29 octobre 2025

Drake visé par une plainte pour escroquerie avec des paris en ligne

Les paris en ligne peuvent rapporter gros… autant en matière d'argent que de soucis, comme l’a récemment constaté Drake. Le rappeur de Take Care se met souvent en scène sur ses réseaux sociaux misant, grâce à Stake, sur des paris en ligne. Mais à l’arrivée la mise risque d’être compromise. Une plainte a été portée devant un tribunal de l’État du Missouri, aux États-Unis, contre le chanteur canadien de 39 ans, l’influenceur Adin Ross, 25 ans, et le casino et site de paris en ligne Stake, propriété du groupe Sweepsteaks Limited.

La star et le jeune influenceur sont accusés d’abus de confiance et auraient induit les internautes en erreur en présentant leurs sessions de jeu en direct comme des paris personnels alors qu’en réalité, les fonds provenaient, selon la plainte consultée par Rolling Stone, de Stake. « Lorsque Ross et Drake prétendent jouer en ligne avec Stake.com, ils ne le font souvent pas avec leur propre argent, bien qu’ils disent le contraire au public du Missouri et d’ailleurs », est-il indiqué.

Le rappeur et Adin Ross, en partenariat avec Stake, sont aussi accusés de cibler des jeunes et adolescents dans une stratégie marketing visant à attirer un public « influençable ». Drake compte notamment plus de 142 millions d’abonnés et Adin Ross plus de 6,4 millions sur Instagram, où les deux hommes effectuent régulièrement la promotion du site. « Le rôle de Drake en tant que mascotte officieuse de Stake est discrètement corrosif - il glorifie la plateforme auprès de millions de fans impressionnables, dont beaucoup considèrent ses habitudes de paris sauvages comme parole d’évangile », précise la plainte.

En outre, Forbes rapporte qu’il est reproché à Stake d’utiliser les échanges en ligne comme stratagème pour contourner les lois américaines qui interdisent les jeux d’argent en ligne. Le site proposerait aux joueurs de miser puis de convertir en cryptomonnaie leurs bonus « Stake Cash » à partir de leurs achats de « golden coins », qui n’ont à la base aucune valeur réelle. Une manœuvre qui constitue, selon la plainte, un « moyen évident de jouer de l’argent réel ».

Lequel de ses films Sylvester Stallone sauverait-il aujourd’hui ? Demolition Man !

Rambo ? Rocky ? Expendables ? Copland ?

Interrogé par GQ sur les rôles les plus marquants de sa carrière, Sylvester Stallone a surpris tout le monde : s’il ne devait en garder qu’un, ce serait Demolition Man !

L'acteur de 79 ans avoue tout l'amour qu'il porte à ce film de science-fiction de 1993 qu’il juge aujourd’hui "presque en train de se réaliser dans notre vie réelle !".

"Je pense que c’était un grand film. C’est l’un des rares qui tient encore vraiment le coup malgré le temps qui passe. D'ailleurs, il est presque en train de se réaliser dans notre monde," confie Stallone, en référence au futur aseptisé et hyper policé décrit dans le film. Il parle même de "gentillisation de la société, où tout est si doux, si docile".

Dans Demolition Man, Stallone incarne John Spartan, un flic brutal cryogénisé et réveillé des décennies plus tard pour traquer son ennemi juré, Simon Phoenix, joué par Wesley Snipes, dans un futur où la violence est bannie. "Je trouve ça très contemporain," insiste Stallone, qui raconte avoir récemment recroisé le réalisateur Marco Brambilla à New York. "C’était vraiment bien fait."

L’acteur en profite pour saluer la performance de Wesley Snipes :

"Wesley était sauvage, plein d’énergie, un excellent combattant. Quand on se battait, il y avait parfois des plaques pour se protéger, et il y allait fort — je le sentais passer ! Il a vraiment creusé son personnage, avec ses cheveux, sa voix, son attitude. Il était au sommet de son art."

Sylvester Stallone rend aussi hommage aux équipes techniques, rappelant que Demolition Man comptait "les deux cascades les plus dangereuses" de toute sa carrière. La première impliquait "une griffe métallique géante", capable de "déchirer un homme si l’hydraulique se détraquait".

Mais la plus risquée, c’était la scène où son personnage est cryogénisé :

"Ils m’ont mis dans une cuve en plexiglas incassable, et ils ont commencé à verser de l’huile chaude jusqu’à ma bouche… Si ça montait plus haut, je ne pouvais plus respirer. Le couvercle était boulonné, impossible de sortir."

Il se souvient même avoir fait tester la résistance après coup : "Les gars ont frappé vingt fois au marteau, ça ne bougeait pas. C’était fou."

Demolition Man avait rapporté près de 160 millions de dollars au box-office mondial et généré plus de 1,7 million d'entrées en France au cinéma. Un film visionnaire et efficace, qui reste un grand classique des 90's... même si l'on ne sait toujours pas comment marchent les trois coquillages !

Spartacus : c'est l'une des batailles les plus impressionnantes du cinéma : filmée il y a 65 ans, elle a mobilisé des milliers d'acteurs

Au sommet d'une colline surplombant de verdoyantes collines italiennes, le visage grave et les yeux résolument tournés vers l'horizon, Spartacus regarde se mouvoir devant lui un gigantesque damier de soldats romains. Ainsi que chacun des esclaves qui constituent son armée, il sait que la bataille sera terrible, mais il est prêt à mourir en homme libre plutôt que de retrouver la servitude.

Avant d'être submergé par ses redoutables adversaires et par les renforts romains qui doivent bientôt arriver, Spartacus compte toutefois défendre chèrement sa peau et sa liberté, réservant une surprise de taille aux premières lignes de ses assaillants. Lorsque les premières estafettes romaines gravissent la colline, d'immenses rondins de bois sont soudain enflammés, et lâchés sur l'ennemi. La plaine est en feu. L'une des plus impressionnantes batailles de l'Histoire du cinéma peut commencer.

Mise en scène par Stanley Kubrick et notamment portée par Kirk Douglas il y a 65 ans, cette spectaculaire séquence située à la fin du long métrage éblouit d'abord et avant tout par les moyens faramineux qu'elle déploie. A une période où les images de synthèse n'existaient évidemment pas, chacun des innombrables soldats que l'on peut voir sur le champ de bataille est donc interprété par un figurant.

Ainsi, 8 000 soldats entraînés de l'infanterie espagnole ont été réquisitionnés pour prendre part à la scène, tournée aux abords de Madrid et orchestrée par Kubrick, qui avait pris place au sommet d'une tourelle afin de mieux diriger ses "troupes".

Le résultat : une bataille impitoyable, particulièrement graphique pour l'époque, et surtout légendaire, qui a sans doute influencé de nombreuses séquences similaires par la suite. On pense par exemple à des films comme Gladiator ou Braveheart.

Comptant parmi les scènes les plus marquantes de Spartacus, elle a très probablement contribué à permettre au film de Kubrick de décrocher ses 4 Oscars.

La Carrie de Mike Flanagan est dans la boîte !

Le maître de l’horreur Mike Flanagan (créateur et réalisateur de The Haunting of Hill House, Les Sermons de Minuit, La Chute de la Maison Usher) vient d’annoncer la fin du tournage de sa nouvelle série Carrie. Cette fois, ce ne sera pas pour Netflix,mais pour Prime Video. Et selon lui, c’est l’un de ses projets les plus personnels.

Sur Instagram, le réalisateur a partagé un message enthousiaste : "Dernier jour de tournage de CARRIE. C’est l’une des meilleures expériences de ma carrière, avec l’un des meilleurs ensembles d’acteurs avec lesquels j’ai jamais travaillé. C’est déjà l’un de mes projets préférés. J’ai hâte que vous voyiez ce qu’on a fait."

Adaptée du roman culte de Stephen King publié en 1974, Carrie revisite l’histoire de cette adolescente harcelée au lycée, dotée de pouvoirs télékinésiques, qui finit par se venger de ses bourreaux.

Au casting, c'est la jeune inconnue Summer H. Howell (croisée dans des films d'horreur comme Hunter Hunter et Night of the Reaper) qui reprend le rôle-titre. Elle sera entourée de Siena Agudong, Matthew Lillard, Samantha Sloyan, Alison Thornton, Amber Midthunder, Josie Totah et Arthur Conti.

Le livre de King a déjà connu plusieurs adaptations, notamment le grand classique signé Brian De Palma en 1976 (avec Sissy Spacek), une suite en 1999 (The Rage: Carrie 2), puis deux remakes (2002 et 2013).

Cette nouvelle version, tournée depuis juin dernier, marque la première collaboration de Flanagan avec Prime Video après des années de partenariat avec Netflix. Aucune date de diffusion n’a encore été annoncée.

Banni d'Hollywood depuis 4 ans, Armie Hammer ente son retour au cinéma avec un western

Armie Hammer, connu entre autres pour les films The Social Network et Call Me by Your Name, était bien parti pour devenir l'un des acteurs favoris d'Hollywood. C'était sans compter sur des accusations d'abus sexuels et des échanges de messages à caractère cannibale rendus publics en 2021. Depuis, l'acteur avait disparu de la circulation.

Il est de retour avec un western intitulé Frontier Crucible avec Thomas Jane (The Predator, Punisher), et dont la bande-annonce vient d'être dévoilée.

Le tournage s'est tenu l'automne dernier, comme nous le relayions il y a un an.

Aux Etats-Unis, le film sortira le 5 décembre prochain. Mais en France, il est peu probable que le film ne soit au cinéma. Il s'agit d'une petite production indépendante. De plus, les précédents longs métrages du réalisateur Travis Mills sont tous sortis directement en vidéo.

Décrite comme un mélange entre Reservoir Dogs et Bone Tomahawk, l'histoire se déroule en Arizona dans les années 1870. Un ancien soldat se retrouve à faire alliance avec trois hors-la-loi, une belle femme et son mari blessé, pour tenter de survivre aux éléments et aux ennemis de la frontière de l'Ouest américain.

En 2021, plusieurs femmes ont accusé Armie Hammer d'abus sexuels. L'acteur, qui a toujours nié les faits, a été abandonné par son agence et écarté des projets dans lesquels il était annoncé. Après une enquête menée par la police de Los Angeles, les charges ont été abandonnées pour manque de preuves.

Parmi les films notables d'Armie Hammer, on peut citer The Social Network, The Man from U.N.C.L.E., Call Me by Your Name, The Lone Ranger, Mort sur le Nil et Rebecca.

La série Robin des Bois disponible le 2 novembre sur MGM+

Y a-t-il encore des choses à dire sur Robin des bois, ce personnage de littérature britannique né au 14ème siècle ? Il faut croire que oui. Le 2 novembre prochain, le service de streaming MGM+ (disponible sur Prime Video via un abonnement supplémentaire) mettra en ligne les deux premiers épisodes d’une série centrée sur ce célèbre hors-la-loi qui volait aux pauvres pour donner aux riches et dont voici le synopsis :

Après l'invasion normande de l'Angleterre, Rob, le fils d'un forestier saxon, et Marianne, la fille d'un seigneur normand, tombent amoureux et s'engagent ensemble pour faire triompher la justice et la liberté. Alors que Rob se retrouve à la tête d'une bande de rebelles hors-la-loi, Marianne infiltre le pouvoir à la cour. Tous deux s'efforcent de contrecarrer la corruption royale et d'apporter la paix dans le pays.

Cette légende vieille de 600 ans a été maintes fois adaptée au cinéma et à la télévision, avec plus ou moins de succès. On pense logiquement au film de Ridley Scott avec Russell Crowe ou la version plus critiquée de 2018 avec Taron Egerton.

Pour cette nouvelle mouture, MGM+ propose un casting hétéroclite. Jack Patten (dont c’est le premier rôle) se glisse dans la peau du voleur face à Lauren McQueen (Marianne). Mais le comédien qui nous intéresse ici n’est autre que Sean Bean.

Le comédien britannique, popularisé grâce à ses rôles fantastiques dans Le Seigneur des Anneaux et Game of Thrones, se glisse ici dans la peau du Shérif de Nottingham. Un personnage mal-aimé qui pourrait regagner ses lettres de noblesse dans ce Robin des Bois puisqu’il joue un méchant plus nuancé moralement.

Si on ne devait juger que la bande-annonce de ce Robin des bois version 2025, on dirait qu’il s’agit d’un divertissement honnête avec de bons moyens. On s’attend bien évidemment à une bonne dose d’aventures mais les showrunners John Glenn et Jonathan English ont fait savoir dès le début que leur série était centrée sur la relation entre le héros et celle qu’il aime :

“Robin Hood apporte une énergie moderne au conte classique de ce héros hors-la-loi espiègle qui volait les riches pour donner aux pauvres, et à l'histoire d'amour épique entre lui et la courageuse et audacieuse Marianne. Il s'agit d'une aventure romantique intelligente et grandiose qui apporte une authenticité historique, une profondeur psychologique et une attention particulière à la relation entre Robin et Marianne dans cette histoire tant appréciée.”

Les deux premiers épisodes de Robin Hood seront disponibles dès dimanche sur MGM+ et les suivants seront diffusés à un rythme hebdomadaire.

Taylor Sheridan quitte la plateforme Paramount+

Quelques heures seulement après l’annonce choc de son futur départ de Paramount+, de nouvelles révélations reviennent sur la future arrivée de Taylor Sheridan dans le groupe NBCUniversal. Figure de proue de la plateforme de streaming grâce à ses séries Yellowstone, mais également d’autres succès tels que Landman, Tulsa King et Lioness : Opérations spéciales, le scénariste changera d’écurie à l’échéance de son contrat qui expire en 2028.

Deadline consacre aujourd’hui un long papier revenant sur les raisons ayant poussé Sheridan à quitter la plateforme qui a fait de lui le scénariste le plus en vogue à Hollywood. La récente fusion du studio avec la compagnie Skydance a entraîné une série de malentendus qui sont à l’origine de cette décision choc.

Taylor Sheridan qui entretenait d’excellentes relations avec l’ancienne direction de Paramount aurait rencontré des difficultés à échanger avec les nouvelles personnes en charge. Une première brouille a eu lieu lorsque sa série Lioness : Opération Spéciales a failli être annulée après 2 saisons, pour de simples raisons de budget.

Le scénariste n’aurait également pas apprécié que la plateforme développe une nouvelle série avec Nicole Kidman (qui apparaît dans Lioness) sans le prévenir. Des retours faits sur un scénario de film intitulé Capture the flag (qui lui a été renvoyé avec de nombreuses annotations) et le report d’une nouvelle série prévue pour l’an prochain (The Correspondent) n’ont rien arrangé dans leurs rapports.

Ne se sentant plus en odeur de sainteté auprès de la nouvelle direction de Paramount+, Taylor Sheridan s’est laissé séduire par Donna Langley, la présidente de NBCUniversal. Plusieurs discussions dans son ranch texan ont suffi à le convaincre de ne pas renouveler son contrat chez Paramount, et de rejoindre Universal et sa plateforme Peacock dès 2028.

Un autre argument qui a motivé son départ est l’argent qui lui a été proposé. Son nouveau contrat de cinq ans chez NBCUniversal pourrait lui rapporter pas moins d’un milliard de dollars, une somme sans précédent dans l’Histoire de la télévision. Pour cela, il lui faudra tenir l’engagement de créer et produire pas moins de 20 séries, à destination de Peacock et de la chaîne NBC.

Signalons également que Sheridan n’emportera pas avec lui ses séries du passé. Les droits de Yellowstone et de ses séries actuelles ou diffusées d’ici 2028 demeurent la propriété de Paramount+. La plateforme se réserve donc le droit de les exploiter comme bon lui semblera, mais également de prolonger la diffusion de ces programmes après le départ du scénariste.

Pas moins de quatre nouvelles séries Yellowstone verront bientôt le jour sur Paramount+ : The Madison, The Dutton Ranch, Y : Marshals et 1944. Auxquelles s’ajoutent la quatrième saison de Tulsa King et le lancement de son spin-off NOLA King et la saison 3 de Lioness : Opération Spéciales (qui a finalement été commandée), ou encore des potentiels renouvellements de Landman pour une saison 3 et Mayor of Kingstown pour une saison 5.

28 octobre 2025

Orelsan : cette demande bien précise qu’il a faite à son producteur concernant sa femme et son fils

Orelsan est papa depuis deux ans déjà, c’est enfin officiel ! Ses fans s’en doutaient depuis un moment, et le rappeur de 43 ans a confirmé la nouvelle lors d’une avant-première de son nouveau film Yoroï organisée le 4 octobre dernier à Bordeaux. Lors d’un échange avec le public, l’un des spectateurs lui a demandé s’il allait annoncer une future paternité, et l’artiste originaire de Normandie a alors répondu : "Ça aurait pu… sauf que j’ai déjà un enfant ! Il a deux ans, et on le voit à la fin du film, très brièvement." Eh oui, l’interprète de Paradis a gardé le secret depuis deux longues années ! "Peu de gens le savent, parce que je n’ai pas fait de post avec le bébé dans les bras à la naissance", a-t-il ensuite précisé dans cet échange capté et partagé sur TikTok.

Lors d’un entretien accordé au Figaro publié ce mardi 28 octobre 2025, Orelsan a révélé qu’il avait fait une requête bien précise à son producteur concernant sa femme et son fils. Alors qu’il s’apprête à partir le 15 janvier prochain sur les routes d’une gigantesque tournée en France qui passera par quinze festival d’été et qui se terminera avec dix dates d’affilée à l’Accor Arena en décembre, le copain de Skread demande désormais à rester plus longtemps dans chaque ville pour consacrer du temps à sa compagne Ahélya et leur petit garçon. Un souhait qui a été bien entendu respecté.

"C’est quelque chose que j’ai fait naturellement. Je ne l’ai pas vraiment caché. Je ne m’empêche pas de me promener avec la poussette", a-t-il expliqué dans l’émission 20h30 Le Dimanche le 19 octobre dernier quand Laurent Delahousse a souligné la discrétion de l’artiste concernant son rôle de père. Il a poursuivi : "Je pense que c’est juste le fait de ne pas avoir fait de la publicité, ça fait que les gens ne sont pas au courant." Fidèle à sa pudeur, Orelsan semble avoir trouvé un bel équilibre dans sa vie privée.

Philippe Etchebest fait une apparition dans Call of Duty: Black Ops 7

Doublement étoilé au guide Michelin en 2025, Philippe Etchebest est considéré comme l’un des meilleurs chefs cuisiniers en France. Propriétaire de plusieurs tables implantées dans la ville de Bordeaux qui font le bonheur des habitants de l’Hexagone et des touristes de passage, le juré de Top Chef s’est récemment lancé dans une nouvelle aventure. Le compagnon de Dominique a posé ses valises en plein cœur du 11e arrondissement de Paris pour sa nouvelle expérience culinaire Signature par Philippe Etchebest. Le restaurant éphémère restera ouvert jusqu’au 30 octobre 2025 inclus.

Et ce samedi 25 octobre 2025, le papa d'Oscar-Louis a fait ses premiers pas dans un domaine où personne ne l’aurait attendu. Alors que le trailer de Call of Duty Black Ops 7 a été dévoilé, les fans ont pu y reconnaître le chef bordelais ! On peut le voir contemplant Paris depuis un toit lorsqu’il entend le téléphone de sa voiture sonner. "Écoute moi, l’entrainement est terminé. Il est enfin temps pour toi de remplacer le Replacer", lui annonce un militaire quand il décroche. La star de Cauchemar en cuisine lui répond alors "Vous pouvez compter sur moi". Tel un agent des plus redoutables, Philippe Etchebest attache sa ceinture et met le contact de sa Mustang noire. Il quitte ensuite le parking parisien dont la barrière a quelques difficultés pour se relever avant que l’employé de l’établissement ne lui souhaite une bonne mission.

Suite à la publication de la vidéo, les réactions des internautes ne se sont pas faites attendre. D’un côté, les sceptiques ont commenté : "Il manque Pascal le grand frère et Super Nanny pour sauver la licence", "C’est quoi la prochaine étape ? Zazie sur Warzone ?", "On touche le fond" ou encore "C’est déjà la 1er avril ? Ah non… Bah c’est de pire en pire… Par pitié arrêtez tout". Et de l’autre, des internaute ont réagi plus positivement : "Ça va tabasser à coups de poêle", "Quel boss ce Philippe Etchebest" ou encore "En vrai c’est drôle". En colère ou amusé, internet ne manque jamais d’humour.

Le batteur de jazz américain Jack DeJohnette nous a quittés à l'âge de 83 ans.

Ce lundi 27 octobre 2025, le batteur de jazz américain Jack DeJohnette nous a quittés à l'âge de 83 ans. Sa mort est due à une insuffisance cardiaque congestive, a rapporté son assistante, Joan Clancy, à Associated Press (AP). "Il s’est éteint paisiblement à l’hôpital de Kingston, dans l’État de New York, entouré de sa femme, de sa famille et de ses amis proches", a-t-il été précisé sur ses réseaux sociaux. L’annonce a profondément ému le monde du jazz, tant Jack DeJohnette laisse derrière lui une empreinte considérable sur plus de six décennies de création musicale. Il était considéré comme un véritable "virtuose de la batterie", rapportent nos confrères du Monde. 

Né le 9 août 1942 à Chicago, il fut d’abord formé au piano classique dès l’âge de quatre ans avant de découvrir la batterie à l’adolescence. Attiré par le rock et le blues, il développe très tôt un jeu singulier, à la fois énergique et nuancé. Sa carrière décolle lorsqu’il remplace le batteur Elvin Jones le temps de quelques morceaux auprès du saxophoniste John Coltrane, avant d’intégrer le quartet du saxophoniste Charles Lloyd, avec lequel il parcourt le monde pendant quatre ans.

Installé à New York à la fin des années 1960, Jack DeJohnette attire l’attention de Miles Davis, qui lui propose de rejoindre son groupe. Ensemble, ils enregistrent notamment le légendaire Bitches Brew (1970), album fondateur du jazz fusion. Lauréat de deux Grammy Awards, le musicien collabore ensuite avec les plus grands noms du jazz moderne : Thelonious Monk, Bill Evans, Stan Getz, Herbie Hancock ou encore Betty Carter. Son style mêle virtuosité technique et liberté d’improvisation, faisant de lui une figure incontournable du genre.

Dans les années 1980, il fonde le Standards Trio aux côtés de Keith Jarrett et Gary Peacock, un trio mythique avec lequel il se produira pendant plus de vingt-cinq ans. Fidèle au label ECM, il enregistre de nombreux albums salués pour leur élégance et leur profondeur musicale ( dont six en solo). Le magazine Rolling Stone l’avait d’ailleurs classé parmi les cent meilleurs batteurs de tous les temps, soulignant son "talent inné pour composer des mélodies mémorables". Jusqu’à la fin de sa vie, Jack DeJohnette n’avait jamais cessé de jouer, d’expérimenter et d’inspirer les générations de musiciens qui lui ont succédé.