05 mai 2025

Le chanteur Michael Bolton raconte sa bataille contre un cancer du cerveau agressif

«Très vite entraîné dans un duel ». Michael Bolton, connu pour ses tubes How am I supposed to live without you ou encore I said I love you… but I lied, a été diagnostiqué d’un glioblastome, une tumeur au cerveau agressive opérée en urgence, en décembre 2023. Le chanteur de 72 ans évoque son combat contre la maladie dans le magazine People.

« On puise dans ses ressources et sa détermination comme on ne l’aurait jamais imaginé », a assuré Michael Bolton à nos confrères américains. En janvier dernier, l’artiste, qui avait dû annuler sa tournée pour des raisons de santé, a subi une seconde opération au cerveau, en raison d’une infection. « Céder à la difficulté n’est pas une option, a-t-il déclaré. Vous êtes très vite entraîné dans un duel. Je suppose que c’est ainsi que l’on découvre de quoi on est fait. »

Le chanteur aux 75 millions de disques vendus voit sa mémoire à court terme, sa parole et sa mobilité affectées par les traitements. « Quand on se retrouve dans une situation difficile, le simple fait de savoir qu’on n’est pas seul à la traverser est un moment important, poursuit-il. Ça aide vraiment les gens de savoir. Ça leur rappelle qu’ils ne sont pas seuls ». L’artiste aux deux Grammy Awards se réjouit de pouvoir compter sur le soutien de ses trois filles et de ses six petits-enfants.

A 72 ans, Michael Bolton planche sur un nouveau morceau Ain’t Going Down Without a Fight (Je ne partirai pas sans me battre, en français). Ses derniers examens effectués le mois dernier se veulent rassurants, l’artiste reste sous surveillance.

L’Institut Pasteur indique que le glioblastome est la tumeur du cerveau la plus « agressive, invasive et mortelle ». « Forme incurable de cancer, sa survie médiane est de 14,6 mois. Malgré les traitements actuels, reposant sur une chirurgie suivie d’une radiothérapie et d’une chimiothérapie concomitantes, la rechute de GBM est presque inévitable », détaille l’Institut Pasteur.

Lorde revient sur son combat contre ses problèmes d’image corporelle

Lorde est parvenue à vaincre sa dysmorphophobie dévorante. La chanteuse de Royals s’est confiée cette semaine sur l’époque où elle s’est laissée dominer par certains diktats sur la minceur et l’image du succès dans son milieu.

« J’avais rendu mon corps très menu, parce que je pensais que c’était ce que l’on faisait en tant que femme et en tant que femme exposée », a-t-elle expliqué magazine Document. « Je me suis dit : "Je suis menue. Cela montrera aux gens que je prends ma position au sérieux ». Lorde, Ella Yelich-O’Connor de son vrai nom, en est même arrivée à devoir penser « souvent à ne pas manger beaucoup », au point d’avoir l’impression qu’on lui « volait chaque bouchée de nourriture ».

Cet état d’esprit et le manque de nourriture ont alors fait perdre à l’artiste de 28 ans ses « repères » et l’ont rendue « très faible », l’invitant à une réflexion sur sa perception de l’image corporelle. Et l’effort en a valu la chandelle : « Aujourd’hui, je regarde en arrière et je n’ai plus ce sentiment de flottement. Je mange autant que je veux et que j’en ai besoin ». Une règle que la chanteuse s’est imposée pendant la préparation de son prochain album, Virgin, afin de ne pas risquer de resombrer dans ces pensées négatives.

« Je me suis dit : "Je ne sortirai rien tant que je ne serai pas dans mon corps comme je sais que je suis censée l’être, pour pouvoir faire mon travail". C’est tout ce que j’ai fait ces quatre dernières années en gros », a confié l’artiste en recherche d’authenticité pour le reste de sa carrière. « Cet album est un sous-produit de ce processus qui m’a permis d’entrer pleinement dans mon corps et de ressentir la plénitude de mon pouvoir. C’est cool d’être de retour à cet endroit, comme le portail qui s’ouvre et le poids. Je suis moi-même. Toutes ces parties de moi sont représentées de différentes manières. Je ne me cache pas de moi-même ». Lorde a dévoilé la semaine dernière le single What Was That, qui fera partie de son prochain album prévu le 27 juin.

Les répétitions d’Oasis dans un pub londonien n’ont pas plu au voisinage

Certaines choses ne changeront jamais ! Réunis le temps d’un tournage dans un pub londonien, Liam et Noel Gallagher ont rapidement fait l’objet d’une plainte pour tapage. Une situation qui n’est pas sans rappeler les plus belles heures du groupe britannique, même s’il ne s’agissait pas à proprement parler d’une répétition.

En effet, les deux frères étaient présents au Mildmay Club de Newington Green pour le tournage d’une vidéo promotionnelle en vue de leur prochaine tournée. Or, avant même que les deux musiciens n’arrivent sur place, un voisin était déjà venu se plaindre du volume sonore, comme l’a rapporté une source au tabloïd The Sun.

« Avant que Noel et Liam n’arrivent, un voisin est venu dire qu’il fallait baisser les basses », a rapporté cette source proche du tournage. « Mais c’est Oasis, ils ne vont que monter le son. Et c’est exactement ce qu’ils ont fait quand Noel et Liam sont arrivés. » Toutefois, comme l’a précisé Liam Gallagher sur X, il ne s’agissait pas d’un concert mais bien d’un tournage avec de la musique en fond sonore, ce qui laisse présager du meilleur, si tant est qu’on vive un peu plus loin.

Quoi qu’il en soit, les deux frères semblent avoir bel et bien enterré la hache de guerre puisque, interviewé par TalkSport, Noel Gallagher n’a pas tari d’éloges sur son cadet. « Il est en grande forme, vraiment tip top. J’étais avec lui hier (jeudi). Il a hâte, on a tous hâte », a-t-il confié.

George Lucas explique pourquoi Yoda inverse l’ordre des mots quand il parle

Si vous vous êtes toujours demandé pourquoi Yoda s’exprime de façon si particulière, George Lucas vient enfin de lever le voile sur ce mystère.

Présent lors de la projection du 45e anniversaire de L’Empire contre-attaque au TCM Classic Film Festival, le papa de Star Wars a expliqué que cette inversion systématique de l’ordre des mots dans les phrases du Maître Jedi n’avait rien d’un caprice créatif.

En effet, il s’agissait d’une astuce pour s’assurer que le public, et tout particulièrement les plus jeunes spectateurs, prête attention aux paroles du personnage.

« Si vous parlez normalement, les gens n’écoutent pas tant que ça », a expliqué le cinéaste de 80 ans dont les propos ont été transcrits par People. « Si vous avez un accent, ou si c’est très difficile de comprendre ce qu’il dit, ils se concentrent sur ce qu’il dit », a poursuivi George Lucas.

Une astuce d’autant plus importante que Yoda est « le philosophe du film » et qu’il fallait trouver un moyen d’inciter les enfants de 12 ans à écouter ses préceptes. Une idée qui n’aurait sans doute pas aussi bien fonctionné sans le talent de Frank Oz qui, rappelons-le, fut à la fois la voix et le marionnettiste qui donna vie au plus célèbre des maîtres Jedi.

Tom Cruise va être fait citoyen d’honneur britannique

Après quatre décennies passées à clamer son amour pour le Royaume-Uni, Tom Cruise se voit enfin récompensé. La star hollywoodienne va recevoir un prix d’honneur du British Film Institute (BFI) le mois prochain, ce qui fera de lui un citoyen d’honneur, comme le révèle le DailyMail.

Une distinction qui ne surprendra personne, tant l’acteur a fait preuve d’anglophilie au fil des années, allant jusqu’à maîtriser l’argot cockney des quartiers populaires de Londres comme l’a souligné son ami Kenneth Branagh.

« Il est devenu un Britannique honoraire, avec un joli répertoire d’argot londonien », a confié Kenneth Branagh au Times, l’acteur et réalisateur irlandais ayant partagé l’affiche de Valkyrie avec Tom Cruise en 2008.

« Je suis allé au pub avec lui plusieurs fois. Il trouve un coin tranquille, apprécie l’ambiance et reste toujours gracieux quand il se fait repérer. C’est quelqu’un qui rit facilement et son enthousiasme est contagieux. »

Seul petit bémol, Tom Cruise n’a pas encore reçu le titre de Sir, comme Bill Gates, George H.W. Bush ou encore Angelina Jolie. Mais avec cette distinction du BFI, ça ne saurait tarder !

Gary Oldman n’a pas été pro avec Demi Moore sur le tournage des Amants du Nouveau monde et il le regrette

Gary Oldman n’est pas près d’oublier ce jour où il est arrivé ivre sur le plateau des Amants du nouveau monde alors qu’il devait tourner une scène importante avec Demi Moore. Une période sombre pour l’acteur qui, bien que sobre depuis 28 ans maintenant, se souvient encore avec honte de son attitude lors du tournage de cette adaptation du roman de Nathaniel Hawthorne.

« Je suis arrivé sur le plateau pour tourner une scène importante », a-t-il confié à Radio Times. « J’ai réussi à la faire, et les spectateurs ne s’en rendraient probablement pas compte, mais j’étais plutôt éméché. »

Le lendemain venu, conscient de son comportement indigne d’un professionnel, Gary Oldman avait présenté ses excuses à sa partenaire à l’écran. « Je suis tellement désolé, tu dois me détester », avait-il lancé à Demi Moore, laquelle lui avait répondu avec une franchise désarmante : « Je ne te déteste pas. C’est bon. Je suis juste déçue ».

Ironie du sort, l’actrice a elle-même fait face à des problèmes d’alcool par le passé, ayant notamment effectué un premier séjour en cure de désintoxication à la fin des années 80 avant une rechute au début des années 2010.

L’étonnante raison pour laquelle Terrence Howard a refusé d’interpréter Marvin Gaye à l’écran

Décidément, Terrence Howard n’a pas de chance avec les biopics. Après avoir refusé d’incarner Smokey Robinson à la demande expresse de ce dernier, l’acteur s’était lancé dans des discussions avec Lee Daniels pour interpréter Marvin Gaye dans un autre film biographique. Une perspective qui enchantait Bill Maher, estimant que la star d’Empire aurait été « parfaite » dans le rôle de l’interprète de Sexual Healing.

Mais c’était sans compter une discussion avec Quincy Jones qui a tout fait capoter.

« J’étais chez lui et je lui ai demandé : "J’entends des rumeurs comme quoi Marvin était gay, c’est vrai ?" Et Quincy m’a répondu : "Oui" », a raconté l’acteur dans le podcast Club Random.

« Ils auraient voulu que je le fasse, mais je n’aurais pas pu », a poursuivi Terrence Howard qui, lorsque Bill Maher lui a demandé s’il ne pouvait pas tout simplement embrasser un homme devant la caméra, a eu une réponse des plus virulentes.

« Si j’embrassais un homme, je me couperais les lèvres. Je ne peux pas jouer ce personnage à 100 %. Je ne peux pas me donner à quelque chose que je ne comprends pas », a-t-il lancé, avant d’ajouter pour sa défense : « Je ne suis pas homophobe parce que je ne veux pas embrasser un homme. » Tout dépend où l’on place le curseur de l’homophobie…

Meghan Markle dément être en train d’écrire ses mémoires

Pour Meghan Markle, il est encore un peu prématuré pour penser à l’écriture d’une autobiographie. Et bien que la duchesse n’exclue pas la possibilité de se lancer un jour dans une telle entreprise, elle a une foule d’autres projets à mener à terme.

« Je sais que les gens sont souvent curieux de savoir si je vais écrire mes mémoires, mais il me reste encore beaucoup de vie à vivre avant d’en arriver là », a confié Meghan Markle au micro du podcast The Jamie Kern Lima Show.

Alors même si aucune autobiographie n’est à l’agenda de Meghan Markle, elle a des projets éditoriaux autour de ses passions du moment. « En ce moment, j’adore travailler sur tout ce qui touche à l’art de recevoir, la décoration et la cuisine », a-t-elle ajouté.

En attendant, l’épouse du prince Harry a du pain sur la planche ce printemps puisque, en plus d’animer depuis peu un nouveau podcast, Confessions of a Female Founder, elle vient de lancer sa marque lifestyle As Ever et est l’affiche d’un nouveau programme Netflix intitulé With Love, Meghan qui aura une deuxième saison.

Donald Trump a trouvé le moyen de s’en prendre encore à Taylor Swift

Donald Trump ne rate décidément pas une occasion de s’en prendre à Taylor Swift. Lors d’une cérémonie organisée à la Maison-Blanche pour célébrer la victoire des Eagles de Philadelphie au Super Bowl 2025, le président américain est parvenu à glisser une pique à l’encontre de la pop star.

Premier président en exercice à avoir assisté à un Super Bowl, Donald Trump est revenu sur ce match « incroyable » qui s’est déroulé le 9 février dernier à la Nouvelle-Orléans, et lors duquel les Eagles ont battu les Chiefs de Kansas City emmenés par Travis Kelce, le petit ami de la chanteuse.

« J’étais là, avec Taylor Swift », a lancé, d’après People, Donald Trump devant son auditoire. « Comment ça s’est passé pour elle ? », a-t-il répété sous les rires de la foule.

Un nouveau tacle qui intervient après que le locataire de la Maison-Blanche avait déjà publiquement affiché son aversion pour la chanteuse en septembre dernier, postant « JE DÉTESTE TAYLOR SWIFT ! » sur son réseau Truth Social à la suite du soutien affiché de la star à Kamala Harris durant l’élection présidentielle.

Lady Gaga a découvert dans la presse qu’un attentat avait été déjoué avant son concert au Brésil

Lady Gaga a dû avoir des sueurs froides après son concert géant gratuit sur une plage de Copacabana à Rio de Janeiro, au Brésil, durant le week-end. La chanteuse américaine et son équipe se sont exprimées le lendemain de l’évènement, qui a battu un record de participation avec plus de deux millions de spectateurs, selon la mairie de Rio, battant ainsi Madonna et son 1,6 million de spectateurs au même endroit l’an dernier.

Mais cet exploit a été assombri par la découverte d’un projet d’attentat à la bombe pendant le show. Heureusement, ce dernier a été déjoué avant l’évènement par les autorités locales après une quinzaine de perquisitions et l’arrestation de deux personnes soupçonnées d’être impliquées dans ce projet macabre. L’une d’entre elles serait le « responsable » du groupe, qui « diffusait des messages de haine » et « recrutait des participants pour encourager des attaques à l’explosif et aux cocktails Molotov » sur des jeunes et personnes issues de la communauté LGBTQ+.

Le lendemain, Lady Gaga s’est adressée à son public brésilien pour exprimer sa « reconnaissance » et sa « joie » durant le concert. Mais son équipe a avoué au magazine Variety qu’ils avaient été informés le lendemain par la presse de l’attentat déjoué. « Nous avons découvert l’existence de cette menace dans la presse ce matin », ont déclaré les porte-parole de la star de A Star Is Born le 4 mai. « Il n’y a eu aucun problème de sécurité avant le concert, ou même pendant, ni même de tentative de communication de la part de la police ou des autorités concernant de potentiels risques ».

Les équipes de la chanteuse ont reposé leur « confiance » sur les immenses « mesures de sécurité » mises en place pour l’évènement, qui comptait 5.000 agents de sécurité et objets de surveillance technologique. De leur côté, les autorités se sont félicitées de la discrétion de leur opération le jour du concert afin d’éviter toute forme de « panique ou de distorsion de l’information au sein de la population ». D’autant plus que les suspects se faisaient passer, selon la police, pour des « Little Monsters » - le surnom donné aux fans de Lady Gaga - afin d’en attirer quelques-uns dans leurs filets.