15 avril 2025

Bande-annonce de Lady Oscar, le remake de la série culte par Netflix

En France, on la connaît comme Lady Oscar. Le dessin animé japonais a été diffusé chez nous pendant des générations, de Récré A2 à Midi les Zouzous en passant parles Minikeums. Au point où Lady Oscar est devenue une figure emblématique de l’animation japonaise en France, avec un générique devenu culte !

Mais il faut s'avoir qu'à l'origine, l'animé était adapté d'un manga intitulé La Rose de Versailles. Et aujourd’hui, plus de cinquante ans après la publication du manga original, La Rose de Versailles renaît en film d’animation pour conquérir une nouvelle génération de spectateurs sur Netflix. La bande-annonce est là (voir ci-dessous).

Cette fresque historique et romantique se déploie au cœur de la Révolution française, en suivant le destin fascinant d’Oscar — une femme sublime, élevée comme un garçon par un général de haut rang — et d’une galerie de personnages inoubliables. "Dans le faste de la France du XVIIIe siècle, alors que la Révolution arrive, tous affrontent leur destinée avec panache et élégance, emportés par les tourments d’une époque en plein bouleversement. Dans une société corsetée par les normes de classe et de genre, Oscar fait voler en éclats les conventions : libre, fière, elle choisit sa voie et s’engage sans peur dans la Révolution. Son charisme, sa force et sa beauté ont inspiré des générations de jeunes filles."

Publiée dès 1972 dans le magazine Weekly Margaret (Shueisha), la saga de Riyoko Ikeda s’est vendue à plus de 20 millions d’exemplaires, devenant un phénomène culturel majeur au Japon.

Pour cette adaptation en film, la réalisation a été confiée à Ai Yoshimura et le scénario à Tomoko Komparu, tandis que les personnages ont été dessinés par Mariko Oka.

La chanteuse Ayaka prête sa voix puissante au thème principal, Versailles, qu’elle a écrit spécialement pour le film.  

La Rose de Versailles sortira le 30 avril sur Netflix.

Le réalisateur Eli Roth revient sur l'échec du film Borderlands

Petite séquence flashback. En 2015, on apprenait que la franchise de jeu vidéo Borderlands ferait prochainement l'objet d'une adaptation au cinéma, sous la houlette de la (mini) Major Lionsgate.

Sorti en 2009 et développé par le studio texan Gearbox, Borderlands était un jeu mélangeant le jeu de rôle et tir à la première personne, dans lequel quatre aventuriers badass et charismatiques se lançaient à la recherche d'une fameuse Arche sur une planète du nom de Pandore, supposée renfermer tous les trésors de l'univers.

Dans un monde ouvert avec une ambiance d'inspiration far-west post-apocalyptique rappelant furieusement Mad Max mais en nettement plus drôle et barré, le studio avait frappé très fort avec son titre qualifié de Shoot'n Loot. Mais plus encore avec sa suite, Borderlands 2 et son méchant absolument génial, le Beau Jack, vendue à plus de 19 millions d'exemplaires.

Complétée avec d'autres Spin Off vidéoludiques (dont l'excellent Tales From The Borderlands en 2014) la franchise Borderlands est une cash machine absolue pour son développeur et surtout son éditeur, 2K. Le dernier opus à l'époque, Borderlands 3, est sorti en septembre 2019. Nous vous disions d'ailleurs ici ce que nous en pensions.

En février 2020, le patron du studio Gearbox, Randy Pitchford, annonçait en fanfare l'arrivée du réalisateur Eli Roth aux commandes de cette adaptation. Et tout s'est mis à dérailler, parce que rien ne s'est déroulé comme prévu.

Doté d'un budget de 110-120 millions de dollars, Borderlands est sorti 4 ans après le début de son tournage principal, tandis que de nombreux fans se lamentaient déjà en apprenant que la violence du jeu, partie intégrante de son univers, était totalement anesthésiée pour rentrer dans les clous d'un PG-13.

Des reshoots furent décidés en 2023, mais Eli Roth n'était pas disponible, car il tournait Thanksgiving, ce qui a conduit Lionsgate à engager le réalisateur de Deadpool, Tim Miller, pour terminer le film, avec des réécritures de script effectuées par près de sept scénaristes. Déjà bien mal engagé, le film a aussi pâti d'une mauvaise publicité lorsque le scénariste Craig Mazin, derrière Chernobyl et The Last of Us, a carrément demandé que son nom soit retiré des crédits...

Sorti dans la torpeur estivale de 2024, Borderlands a été un des plus gros échecs au box office de l'année. Une gifle cinglante qui a eu la vigueur d'un uppercut : le film a été incapable de ramasser plus de 34 millions $ au box office international. Sur le seul territoire américain, il n'a récolté que 15,4 millions $.

Eli Roth est récemment revenu sur cet échec dans un podcast (via slashfilm), expliquant que les restrictions et contraintes en 2021, liées à la pandémie du covid-19, ont plombé la production du film.

"Je pense qu'aucun de nous n'avait anticipé à quel point les choses allaient être compliquées avec le Covid — pas seulement en termes de ce que nous tournions. Mais ensuite, il faut faire des prises de vues supplémentaires ou des reshoots, et vous avez six personnes qui sont toutes sur des plateaux différents, et ces plateaux sont fermés parce que les villes ont rouvert et qu'il y a maintenant une épidémie de Covid, et... nous ne pouvions pas préparer [le film] ensemble dans une pièce.

Je ne pouvais pas être avec mes cascadeurs. Je ne pouvais pas faire de prévisualisation. Tout le monde était dispersé un peu partout, et on ne peut pas préparer un film de cette envergure sur Zoom. Je pense que nous pensions tous que nous pouvions y arriver, et nous nous sommes un peu fait botter les fesses".

Roth assume quand même sa part de responsabilité dans cet échec. "Vous avez pris l'argent, vous assumez" dit-il. "Je crois qu'une fois qu'ils vous paient, cela fait partie de l'accord, [qu'il y ait] des différents créatifs ou quoi que ce soit d'autre qui se passe". Reste qu'on imagine que l'ardoise laissée par l'échec cuisant du film a quand même dû être un peu compliqué à digérer pour le studio...

L'actrice Courtney Henggeler annonce son départ à la retraite à seulement 46 ans

Quelques semaines seulement après la fin de la diffusion de l’ultime épisode, une star de Cobra Kai annonce sa retraite du métier d’actrice. Âgée de seulement 46 ans, Courtney Henggeler – qui prêtait ses traits à Amanda LaRusso dans la série Netflix – a en effet annoncé son souhait d’arrêter sa carrière entamée il y a une vingtaine d’années.

Dans un message posté sur la plateforme Substack, l’actrice américaine de 46 ans est revenue sur cette décision mûrie par une longue réflexion. Cette dernière a notamment évoqué sa frustration qu’après tant d’années d’efforts pour faire décoller sa carrière, elle ne se voyait offrir que de courtes lignes de dialogue dans des séries à succès, "ou des rôles récurrents qui ne le deviennent jamais."

Bien qu’elle s’estime parmi les "chanceuses" du fait de son apparition dans les six saisons de Cobra Kai, Courtney Henggeler a souhaité se retirer des plateaux pour ne plus être "un simple rouage dans la machine" :

"Pendant des années, j’ai ignoré la voix dans ma tête qui me suppliait d’arrêter. Cette voix, ce grignotement constant. Ce n’était pas à cause du métier d’actrice en lui-même. Mais à cause du parcours semé d'embûches que je devais affronter pour pouvoir jouer. Ce qui autrefois me semblait nécessaire, auquel je participais volontiers, que je célébrais même, est devenu étouffant."

L’arrêt de Cobra Kai semble l’avoir convaincue de se retirer définitivement des plateaux de tournage. Et l’actrice américaine n’avait de toute façon plus rien à perdre, puisqu’elle n’a pas été contactée pour apparaître dans le film Karate Kid : Legends qui réunira à l’écran Ralph Macchio - son mari à l'écran dans Cobra Kai - et Jackie Chan.

Au cours de sa carrière, Courtney Henggeler est apparue dans des séries à succès telles que Dr. House, The Big Bang Theory ou encore Jane The Virgin – la plupart du temps le temps d’une scène et de quelques lignes de dialogue. Son rôle secondaire dans les six saisons de Cobra Kai a donc marqué l’apogée de sa courte carrière à la télévision.

L’intégrale de la série Cobra Kai est à retrouver dès à présent en exclusivité sur Netflix.

14 avril 2025

L'acteur Nicky Katt est mort à l'âge de 54 ans

C'est à son domicile de Burbank, en Californie, que Nicky Katt a été retrouvé sans vie mardi 8 avril. Une information dévoilée par le site Deadline, et confirmée par John Sloss, l'avocat de l'acteur. Si pour l'heure aucun détail supplémentaire n'a été communiqué sur les circonstances de son décès, la disparition du comédien va certainement toucher celles et ceux qui ont été fans de séries dans les années 2000.

Nicky Katt était en effet l'un des personnages emblématiques de la série Boston Public, connue aussi pour avoir révélé Michelle Monaghan et Jeri Ryan. Diffusée entre 2000 et 2004 aux États-Unis, la série de David E. Kelley avait propulsé la carrière de l'acteur grâce à son rôle de Harry Senate, un professeur aux méthodes de travail étonnantes. Après trois saisons, le créateur du show avait accepté d’écrire une fin pour son personnage afin de lui permettre de développer sa carrière au cinéma.

Il avait ainsi marqué les esprits en jouant dans Les Initiés, un film dont il partageait l'affiche avec Ben Affleck et Vin Diesel. Il y incarnait Greg Weinstein, qui recrutait le héros du film, Seth, lui promettant qu’il deviendrait riche en rejoignant son entreprise de courtiers.

Mais si c'est passé la trentaine que Nicky Katt a connu le succès, l'acteur américain a débuté sa carrière à l'adolescence. En effet, à l'âge de 11 ans déjà, on avait pu l'apercevoir dans Underground Aces, avec Melanie Griffith, avant de faire une apparition quelques années plus tard dans les Gremlins.

S'il a travaillé plus tard avec Steven Soderbergh, Christopher Nolan ou encore Adam Goldberg, c'est surtout pour des rôles de méchant ou de dur à cuire (dans A time to kill ou Boiler Room notamment). Une étiquette qui lui a longtemps collé à la peau : "Tout le monde dit que les méchants sont les plus amusants, mais j’ai certainement traversé des périodes où les gens voulaient que je joue le méchant, surtout après Génération rebelle. Mais j’ai eu beaucoup de chance, car j’ai pu jouer tous les types de rôles", avait-il par exemple déclaré dans une interview en 2008, lors de la sortie du film Snow Angels.

Michel Polnareff très cash, il évoque son rapport à la célébrité

À 80 ans, Michel Polnareff n'est pas près de nous dire au revoir ! Ce monstre sacré de la chanson française est en effet en passe de dévoiler son 11e album studio, baptisé Un temps pour elles, qui sortira le 25 avril prochain. Exilé aux États-Unis depuis plus de vingt ans, le chanteur vit désormais loin de l'agitation médiatique à Palm Springs, dans une propriété où il a aménagé son propre studio d'enregistrement, et passe son quotidien en compagnie de sa femme Danyellah et de leur fils Louka. Mais l'interprète de Goodbye Marylou traversera bientôt l'Atlantique pour entamer une tournée en France ! Un retour très attendu puisque ses derniers concerts datent d'il y a neuf ans. Une série de spectacles qui s'était d'ailleurs, hélas, achevée sur une double embolie pulmonaire…

Et après plus de 60 ans de carrière, l'homme aux lunettes blanches n'a rien perdu de sa superbe et continue de faire venir les fans dans les salles de concert. Une notoriété pas toujours facile à vivre pour le chanteur…

Dans les colonnes de Sud Ouest, samedi 12 avril, l'interprète de Lettre à France s'est épanché longuement sur son rapport à la célébrité, et sans mâcher ses mots : "Je pense que la célébrité est une saloperie. J’ai commencé ma carrière en ne voulant pas être célèbre."

C'est en partie la raison pour laquelle Michel Polnareff a fui la France, comme il a continué à l'expliquer : "Puis je suis parti en Amérique parce que je ne voulais plus l’être. Je reviens parce qu’il y a une demande et que j’ai envie de partager ma musique avec les gens. Mais la notoriété est un poison : les gens autour de vous ne peuvent pas se comporter normalement. Vous ne savez jamais s’ils sont là pour Michel ou pour Polnareff. Les gens pensent que c’est la même chose, mais on est deux à l’intérieur de moi. Selon les situations, je suis l’un ou l’autre." Une dualité pas toujours facile à vivre pour le chanteur.

Cette expression pour désigner les Miss France que Marine Lorphelin ne supporte plus

Il y a treize ans, des millions de Français découvraient le visage de Marine Lorphelin, élue Miss France 2013, un an après le sacre de Delphine Wespiser. Si elle n'appartient plus au monde des Miss, Marine Lorphelin reste néanmoins attachée à cette page de sa vie. Dans les colonnes du Parisien, elle a d'ailleurs confié avoir du mal avec le terme "reine de beauté", souvent utilisé pour désigner les Miss. "Je pense quand même qu’aujourd’hui, avec tous les changements sociétaux, et la nécessité de renforcer la place de la femme, après le sexisme et #MeToo, il est important que le concours continue d’évoluer", a-t-elle expliqué au Parisien, qui révèle que cette expression "lui fait froncer les sourcils".

"Une Miss est une ambassadrice qui va défendre des projets sociaux plutôt qu’une reine de beauté. Il y a toujours ces codes esthétiques alors qu’on pourrait passer au-delà. Dans certains pays, comme les Pays-Bas, on va vers des femmes engagées", ajoute-t-elle. A 32 ans, Marine Lorphelin, qui a repris ses études de médecine après son année de règne, a récemment franchi une étape très importante dans son parcours, celle de la thèse.

Marine Lorphelin, qui officie également à la télévision sur France 5, en parallèle de ses activités de médecin, n'a pas toujours été en phase avec son rôle de Miss. "Je me suis souvent perdue dans ce rôle de représentation, diluant ma personnalité et mes valeurs pour plaire au plus grand nombre. Alors j’ai eu besoin de me reconnecter à celle que j’étais avant", avait-elle confié sur Instagram. Puis d'ajouter : "Reprendre les études médicales n’a pas été uniquement un choix de carrière, c’était un choix de sens. Revenir à la réalité, retrouver mes racines, et trouver du sens à ma vie". Une femme désormais épanouie dans sa vie personnelle et professionnelle.

Barbara Pravi évoque les conséquences de la notoriété depuis son passage à l'Eurovision en 2021

Il y a 15 ans encore, Barbara Pravi était serveuse. Mais aujourd'hui, impossible de parler de la chanson française sans évoquer son nom ! C'est grâce au concours de l'Eurovision que la jeune femme se fait connaître du grand public en 2021. Avec son titre Voilà, elle se classe deuxième, derrière le groupe italien Maneskin qui remporte cette année-là la compétition. Mais cette opportunité a permis à la chanteuse au passé douloureux d'être propulsée sur le devant de la scène française, au point même d'être nommée aux Victoires de la musique l'année suivante.

Mais si sa carrière a décollé d'un coup, celle que l'on compare à Piaf ou Barbara, a aussi mal vécu cette notoriété soudaine. La chanteuse a en effet fait une dépression après son passage à l'Eurovision, elle l'expliquait en 2023 : "La vie devient tellement mouvementée, j'ai fait des concerts partout alors que normalement je suis chez moi, je bois ma petite tisane le soir… et là j'ai voyagé beaucoup, la scène, c'est quand même très fatigant car c'est deux heures de concert à chaque fois, c'est très physique. À vrai dire oui, J'ai fait une petite dépression cet été."

Ce dimanche 13 avril, dans les colonnes de La Tribune dimanche, Barbara Pravi est d'ailleurs revenue sur cette célébrité fulgurante et comment celle-ci a changé sa vie : "Vivre un tel succès grâce à une chanson vous transforme du tout au tout. Je suis passée du RSA à gagner ma vie grâce à la musique."

Un quotidien nouveau pas toujours facile à appréhender pour celle qui joue désormais aussi les comédiennes : "Le regard sur vous change et j’ai perdu quelques ’proches’ qui n’étaient finalement pas de vrais amis. Pourtant, je ne pense pas avoir enflé des chevilles. Pour faire un métier d’exposition comme le nôtre, il faut être à moitié fou."

Très lucide sur la vie d'artiste, Barbara Pravi confesse également qu'elle a une santé mentale fragile à laquelle elle fait "attention"en suivant "une psychanalyse", estimant même qu'elle devrait"être obligatoire pour les artistes et payée par les maisons de disques". À bon entendeur…

Mareva Galanter, maman de Manava, explique ce que la maternité a changé pour elle

C'est une belle histoire d'amour qui dure ! Entre Mareva Galanter et Arthur, c'est l'union qui fait la force. Alors que tout les opposait et que rien ne présageait de leur amour, le destin a toutefois réuni l'ex-Miss France et l'animateur télé. Tout commence en effet en 2008 où ils se croisent pour la deuxième fois. À l'époque, ils participent tous les deux à l’émission de Frédéric Lopez, Panique dans l’oreillette, où ils doivent chantonner face caméra le célèbre tube d’amour, J’ai encore rêvé d’elle. Si Arthur a, ce jour-là, un véritable coup de foudre pour l'ancienne reine de beauté, il va devoir patienter longtemps avant de la conquérir. En effet, à l'époque, la belle Tahitienne est en couple avec Jean-Charles de Castelbajac et n'est donc pas libre. Il faudra attendre quatre ans de plus pour que la magie opère enfin ! Si ni l'un ni l'autre n'aurait parié sur leur couple, il n'empêche que Mareva Galanter et Arthur filent le parfait amour depuis plus d'une décennie et sont même devenus parents d'une petite Manava en 2015.

Si Arthur était déjà papa de deux premiers enfants, pour l'ex-Miss France, la maternité a été une nouvelle expérience bouleversante ! Dans les colonnes de Gala, ce dimanche 13 avril, l'ancienne reine de beauté s'est confiée sur ce qui a changé pour elle lorsqu'elle a mis au monde sa fille. Elle a notamment expliqué qu'elle avait été complètement changée : "mais je pense que c’est propre à toutes les femmes qui deviennent mère : on devient de véritables radars, à l’affût du moindre bruit. On développe ce que l’on appelle l’instinct maternel car on ressent les besoins de l’enfant avant qu’il ne se manifeste : faim, froid, etc. Et surtout, on a peur. Mais heureusement, l’anxiété ne faisant pas partie de mon tempérament, j’ai vite retrouvé mon flegme tahitien !" Un message qui parlera très certainement à toutes les mamans du monde…

Ce changement de vie qu'Helena Noguerra envisage pour la suite de sa carrière

D'abord mannequin, mais aussi animatrice, chanteuse et actrice, Helena Noguerra a plus d'une corde à son arc ! À 55 ans, la sœur de Lio semble avoir déjà tout fait et n'en finit plus de multiplier les projets. Après avoir participé au dernier album de son amie Mareva Galanter, la quinquagénaire se lance dans une nouvelle aventure. En effet, l'ex de Philippe Katerine, avec qui elle est restée mariée dix ans, commencera cette semaine le tournage d'un nouveau feuilleton, intitulé Nouveau jour. Diffusée quotidiennement sur M6 cet été, la série racontera l'histoire de Louise Bartoli, campée par Helena Noguerra donc, qui reprend l'hôtel de son père après son décès. Une saga familiale pleine de rebondissements, tournée dans l'Hérault, qui réunira également Bruno Solo et Laëtitia Milot. Si celle qui est devenue grand-mère il y a quelques années a l'habitude des tournages, ce nouveau projet représente un défi de taille, puisque le rythme des enregistrements sera beaucoup plus intense qu'au cinéma.

Et c'est dans l'édition du Parisien ce dimanche 13 avril, que la chérie de Fabien Galthié s'est confiée sur ce nouveau rôle et sur les changements qu'il pourrait apporter à son quotidien. À nos confrères, Helena Noguerra, maman de Tanel Derard, a en effet confessé qu'elle vivait désormais sans sa progéniture : "Ce qui est pratique, c’est que je n’ai plus d’enfant à la maison. Je suis à l’adolescence du 3e acte donc je peux de nouveau voler de mes propres ailes et quitter le foyer !"

La comédienne pourrait ainsi, pourquoi pas, quitter Paris pour s'exiler dans le Sud et vivre à Montpellier afin de faciliter les tournages. Une idée qui ne la fait en tout cas pas grimacer : "J’y verrai plus clair dans six mois ! C’est un chemin à inventer", confie-t-elle encore. Une liberté qui pourrait bien mener Helena Noguerra vers de nouvelles opportunités…

Mickey Rourke viré de « Celebrity Big Brother » pour « comportement inacceptable »

Mickey Rourke et Celebrity Big Brother n’ont pas fait bon ménage. Est-ce une surprise ? Pas vraiment. L’acteur de Rusty James, connu pour sa mauvaise réputation, avait montré dès le début du programme de télé-réalité qu’il n’avait pas l’intention de se conformer aux codes de la bienséance.

Cela n’a donc pas manqué : à peine six jours après le début de l’émission, les producteurs ont préféré se séparer du trublion de 72 ans. D’un commun accord, si l’on en croit le porte-parole de Celebrity Big Brother. « Mickey Rourke a accepté de quitter la maison de Celebrity Big Brother ce soir à l’issue d’une discussion avec la production concernant l’utilisation d’un langage inapproprié et un comportement inacceptable », a-t-il précisé à la presse ce week-end.

Cette décision semble avoir été prise après plusieurs incidents. Le premier, comme l’a rapporté Le HuffPost, concernait des regards insistants sur l’animatrice de l’émission, AJ Odudu. Le second, relate la BBC, concerne des propos ouvertement homophobes, proférés par Mickey Rourke à l’encontre de sa colocataire lesbienne, JoJo Siwa.

Lors d’un échange entre les deux stars le 9 avril dernier, Mickey Rourke a demandé à la danseuse et actrice si elle était attirée par les garçons ou les filles. « Les filles. Ma partenaire est non-binaire », a répondu la jeune femme de 21 ans. Ce à quoi le comédien a rétorqué vulgairement : « Si je reste plus de quatre jours, je peux t’assurer que tu ne seras plus gay ». « Je peux te garantir que je serai toujours gay et que je serai toujours très heureuse dans ma relation », a ensuite répliqué JoJo Siwa.

Mais ce n’est pas tout : l’acteur de 9 Semaines et demie a continué sur sa lancée, envoyant des piques homophobes, du style « pédé », ou déclarant qu’il allait « voter pour éliminer la lesbienne au plus vite ». Après une sèche intervention de la production qui l’a convoqué dans le « confessionnal » du jeu et un avertissement, Mickey Rourke a présenté ses excuses, jouant sur la dérision : « Je demande pardon. Je n’ai pas d’intentions méchantes. Je ne fais que dire des bêtises, vous savez. Je ne prenais pas tout cela si au sérieux », a-t-il expliqué aux producteurs, avant de s’excuser également auprès de JoJo Siwa, arguant qu’il a « l’habitude de (s)'emporter rapidement. Et ça ne veut rien dire ». Si ses excuses ont été acceptées, la compagne de la danseuse a jugé sur Instagram que Mickey Rourke était un « porc » et une « personne dangereuse », homophobe et misogyne.

Mais très vite, Mickey Rourke a à nouveau dérapé. Il se serait aussi montré « menaçant et agressif » envers un autre participant au programme, le présentateur sportif Chris Hughes, lors d’un désaccord sur une tâche à accomplir. Trop, c’est trop, donc, et les autres participants ont commencé à critiquer son attitude. Une source proche a alors confié au Sun : « Mickey Rourke n’allait jamais tenir la distance, mais personne ne s’attendait à ce qu’il parte si tôt et certainement pas dans ces circonstances ».

Il faut dire que l’acteur, qui était le participant le mieux payé de cette saison, n’avait pas caché que sa participation à Big Brother pouvait être problématique. « Je n’accepte pas très bien les ordres, mais si tout le monde est gentil et respectueux, nous pouvons passer un bon moment », a-t-il déclaré dans sa vidéo d’introduction promotionnelle pour le programme. « Tant que personne ne pousse le bouchon, car la mèche peut vite exploser ». Au Sun, Mickey Rourke avait expliqué plus tôt avoir accepté ce rôle pour éviter de jouer dans un film indépendant « vraiment mauvais ». Toutefois, les 500.000 livres sterling qu’il devait recevoir pour le jeu ne devraient pas lui être entièrement versées après ce départ anticipé, selon une source du tabloïd.