Francis Ford Coppola, le réalisateur mythique des trois volets du Parrain, a expliqué dans une publication Instagram sa vision sur la chronologie des trois films. “Beaucoup de gens me posent des questions à propos des différentes versions des films LE PARRAIN… Pour moi, il n’y a qu’un seul film, LE PARRAIN (Partie I et II) et un épilogue ou “Coda” LA MORT DE MICHAEL CORLEONE.”
14 septembre 2023
Margot Robbie a rejoint le piquet de grève devant les locaux de Netflix
Elle est LA star de l'année. Grâce au succès fou de Barbie, qui a récolté 1,3 milliards de dollars dans le monde depuis la mi-juillet, Margot Robbie va toucher le jackpot : environ 50 millions de dollars en comptant ses salaires d'actrice et de productrice, plus ses bonus sur recettes.
Dans ce contexte, le fait qu'elle ait rejoint hier le piquet de grève à Hollywood est tout un symbole. D'autant plus qu'elle n'a pas choisi la date au hasard pour défiler entre les locaux de Netflix et ceux de la Paramount, pancarte au poing : le 13 septembre, cela faisait pile deux mois que le mouvement lancé par les scénaristes (le 2 mai) avait été rejoint par le syndicat des acteurs.
On se souvient d'ailleurs que la promotion de Barbie (tout comme celle de son grand concurrent Oppenheimer) a été interrompue à la date du 13 juillet, ses comédiens ayant l'interdiction de promouvoir le film une fois que la SAG-AFTRA était entrée en grève.
En 2007, déjà, la Writer's Guild of America avait initié une grève importante pour tenter d'obtenir davantage de reconnaissance dans l'industrie du cinéma et de la télévision. Celle-ci avait duré quatre mois, mais n'avait finalement pas permis aux scénaristes d'améliorer considérablement leurs conditions de travail.
En 2023, la démarche est davantage suivie, et le soutien des comédiens est important. Sous la présidence de Fran Drescher (Une nounou d'enfer), de nombreux acteurs populaires ont profité des manifestations pour prendre la parole (comme Bryan Cranston et Aaron Paul de Breaking Bad, par exemple). Beaucoup ont raconté leurs difficultés actuelles ou en début de carrière, et militent pour obtenir des salaires plus justes.
Car pour une faible part de comédiens à succès, la majorité des acteurs galèrent dans cette industrie, enchaînant des petits rôles peu payés. L'expansion de l'intelligence artificielle, parfois utilisée pour remplacer des métiers jusqu'ici effectués par des humains, inquiète. Sa régulation fait aussi partie des négociations.
Une poignée de rencontres entre les porte-paroles des deux syndicats et les patrons des gros studios de cinéma et de streaming ont eu lieu depuis mai dernier, mais les négociations n'ont pas encore abouti à un accord. En attendant, l'industrie est quasiment à l'arrêt : de multiples tournages ont été stoppés ou sont reportés, d'autres peuvent se poursuivre à certaines conditions et pour les films ou séries terminés, les équipes n'ont pas le droit d'en faire la promotion - sauf exception, ce qui a permis à une poignée d'acteurs de se rendre à la Mostra de Venise, il y a quelques jours.
Plusieurs stars ayant offert des millions de dollars au fond de solidarité du SAG-AFTRA celui-ci pourra verser un salaire aux plus précaires durant plusieurs mois, ainsi que couvrir leurs frais (médicaux, scolaires, loyers, etc.). La grève pourrait ainsi se poursuivre longtemps...
13 septembre 2023
Scandale à Miss France 2024 : erreur de comptage, la gagnante de Nouvelle-Calédonie n'est pas la bonne
C'est un fait assez rare pour être souligné. Organisée depuis des décennies, l'élection Miss France est millimétrée. Chaque année, des Miss sont élues dans chaque région, lesquelles ont ensuite l'immense fierté de représenter leur fief au concours national. D'ordinaire, ces pré-sélections se passent sans accroc mais force est de constater qu'un incroyable coup de théâtre vient d'avoir lieu lors de l'élection de la Miss Nouvelle-Calédonie 2023. Samedi 9 septembre, à Nouméa, Mathilda Lelong a été élue gagnante de la compétition de beauté.
Sauf que voilà : trois jours après son sacre, il s'avère qu'une grosse erreur a été commise dans le comptage des voix. Il apparaît ainsi qu'elle n'a pas remporté l'élection, ni son ticket pour Miss France 2024. En réalité, la jeune femme n'est pas arrivée première mais bien... quatrième ! La grande gagnante est finalement Emma Grousset, la prétendante numéro 4.
Comment une telle erreur a-t-elle pu se produire ? Comme l'explique France Info, c'est bien Mathilda Lelong qui arrivait en tête parmi les sept jeunes femmes lors du premier tour. Mais pour le second round, celui qui ne se déroulait plus qu'entre quatre candidates, le règlement prévoit que les compteurs soient remis à zéro. Or une erreur a terni le décompte des voix du jury à ce niveau de l'élection.
Toujours selon les informations de France Info, c'est l’huissière qui s'est rendue compte de son erreur et l'a signalée dans la nuit du samedi au dimanche. L'intéressée reconnaît sa part de responsabilité mais impute aussi la faute au comité organisateur, qui subirait une série de dysfonctionnements. Aucun doute que ce rebondissement a été sacrément difficile à encaisser pour Mathilda Lelong, qui se voyait déjà fièrement représenter sa région au concours Miss France.
12 septembre 2023
Vaccin de la Covid : Novak Djokovic brise le silence et s'explique après la polémique
Le vaccin de la Covid-19 a divisé de nombreux Français, y compris chez les célébrités. Ainsi, Anny Duperey s'est complètement lâchée en refusant de s'y plier. La Covid et les nombreux confinements paraissent désormais loin derrière nous. N'en déplaise aux récents événements, qui laissent planer le doute d'un rebond de l'épidémie. Cette période de nos vies reste pourtant difficilement oubliable. Outre l'ennui et la solitude, elle a aussi été marquée par de nombreuses polémiques.
Parmi elles, le refus du tennisman Novak Djokovic d'être vacciné. Cette lourde décision l'avait contraint à perdre son visa et à renoncer à sa participation à l'Open d'Australie. De nombreuses voix s'étaient alors élevées dans cette affaire, y compris celle d'Amélie Mauresmo, directrice du tournoi de Roland-Garros. Novak Djokovik avait fini par être positif à la Covid-19. Cependant, le Serbe n'avait pas respecté son isolement. De quoi attiser un peu plus la colère dans le monde entier.
Aujourd'hui, de l'eau est passée sous les ponts. Pour preuve, le tennisman aurait investi dans une société cherchant un traitement contre la Covid-19. Le voilà aujourd'hui au sommet de sa carrière. Il semble même prêt à redorer son image, comme en témoigne son entretien auprès de John McEnroe, l'ancienne légende du tennis. Ils sont revenus ensemble sur la polémique lors d'une récente interview pour l'émission McEnroe's Places d'Omaha Productions. "Je n'ai jamais été antivax", s'est défendu Novak Djokovik. Des propos repris par nos confrères de TMZ Sports.
Il poursuit : "J'ai toujours été pour la liberté de choisir. Et c'est quelque chose que nous tenons pour acquis. Je n'avais pas l'impression que beaucoup de gens avaient le choix." Selon lui, donc, son refus ne concernait pas l'efficacité du vaccin, mais plutôt son libre arbitre. Novak Djokovik avoue alors qu'il a eu l'impression d'être "un méchant du monde", à une époque où les vaccinations et le pass sanitaire étaient devenus une norme. "Je voulais juste être compétitif, et je voulais jouer au tennis parce que c'est ce que je fais de mieux", conclut-il. Impossible (pour l'instant) de savoir si le numéro 1 mondial de tennis masculin a fini par être vacciné.
Marina Carrère d'Encausse se confie sur sa relation avec son compagnon, atteint de la maladie de Charcot
Au mois d'août dernier, Marina Carrère d'Encausse a perdu sa maman, Hélène, ancienne députée européenne. Mais avant ce drame, la journaliste et animatrice de France Télévisions a vécu une longue histoire d'amour, pendant 25 ans, avec Francis, homme avec lequel elle a eu trois enfants. Si elle a particulièrement apprécié sa vie de célibataire, elle a avoué, au micro de Gala, être restée en bons termes avec le père de ses enfants. Mais depuis, elle a retrouvé l'amour dans les bras d'Antoine, un médecin et ancien rugbyman : "Un jour, Antoine a poussé la porte de mon bureau, je ne le connaissais pas, il venait d’apprendre qu’il avait une maladie de Charcot et il est médecin. Il avait arrêté de travailler tout de suite et il est venu nous proposer de faire un documentaire consacré à sa maladie", a-t-elle expliqué le 5 septembre, sur France Inter. Désormais, elle considère leur relation comme "beaucoup plus intense, beaucoup plus essentielle, parce qu'on n'a pas vraiment de temps à perdre". Un pépin de santé important, qu'elle a choisi d'évoquer sans filtre dans les colonnes de Télé-Loisirs.
Le 26 septembre prochain, le documentaire Fin de vie : pour que tu aies le choix, sera diffusé sur France 5, dans lequel le couple a accepté de témoigner. Lors d'un échange à cœur ouvert au micro de Télé-Loisirs, l'ex-acolyte de Michel Cymes a accepté de revenir sur cette relation particulière avec son compagnon Antoine - à laquelle elle a réfléchi à deux fois : "J’ai réfléchi 15 jours en me disant que c’est complètement fou comme histoire, mais l’évidence s’est imposée", a-t-elle avoué. Et de poursuivre : "On ne pense pas forcément que c’est la pire option qui va arriver et puis ça ne se contrôle pas. Donc, finalement, la question ne se pose pas. À partir du moment où nous nous sommes lancés dans cette histoire, c’est avec l’avenir devant nous et on ne sait pas du tout ce que l’avenir réserve… ", a-t-elle conclu. Marina Carrère d'Encausse a terminé cet entretien en indiquant rejoindre son compagnon tous les quinze jours, en raison de ses obligations professionnelles. Ce dernier vivant actuellement au Pays Basque.
La Nonne 2 : quelle interdiction au cinéma pour le film d'horreur ?
A l'instar du premier volet et de tous les films de l'Univers Cinématographique Conjuring, La Nonne 2 de Michael Chaves est interdit dans nos salles obscures aux moins de 12 ans.
Second opus du spin-off Conjuring consacré au démon Valak qui a pris la forme d'une terrifiante Nonne, le long métrage se déroule en 1956 dans le Sud de la France. Sœur Irène, toujours incarnée par Taïssa Farmiga, travaille désormais au pensionnat de Sainte-Lucie en Provence. Très vite, elle comprend que Valak l'a suivie.
Pour le metteur en scène, La Nonne fait désormais partie des monstres culte de la culture populaire. Elle est devenue une véritable icône du cinéma d'horreur.
Michael Chaves explique dans le dossier de presse : "Je crois que la nonne démoniaque fait partie des monstres légendaires du cinéma d’horreur. Dès qu’on la voit sur une affiche, elle nous renvoie un peu à Dracula. Il y a un peu de Grippe-Sou également chez elle, et de Nosferatu. Elle est atemporelle. C’est l’une des icônes absolues du cinéma d’horreur et des plus redoutables antagonistes du septième art."
Le cinéaste, déjà à l'œuvre sur La Malédiction de la Dame Blanche et Conjuring : l'Emprise du Diable explique ensuite sa démarche pour cette suite et pourquoi ce personnage est aussi terrifiant.
"Dans ce nouvel épisode, je voulais aller plus loin encore. Je voulais explorer les différentes manifestations du monstre. Et j’avais envie de creuser davantage encore le récit, ou du moins le mythe et les théories circulant sur ses origines potentielles. C’était important de s’engager dans cette direction sans être trop précis. Car la force du personnage vient aussi du fait qu’on ne sait pas exactement d’où il vient et qu’il garde un certain mystère. C’est ce qui le rend franchement terrifiant".
Pour le producteur Peter Safran, qui a d'ailleurs récemment annoncé le lancement d'une série liée à la saga Conjuring, si Valak fait aussi peur c'est parce qu'il prend les traits d'une nonne, censée être un personnage sacré.
Il déclare "Tout d’abord, presque tout le monde a peur des nonnes. Mais si on associe cette terreur au visage sidérant de la Nonne démoniaque et aux origines de Valak, on obtient un résultat qui trouve un très fort écho chez les fans de cinéma d’horreur. L’idée qu’une force profondément maléfique emprunte une apparence des plus sacrées – une nonne – est irrésistible."
La Nonne 2 sort ce mercredi 13 septembre au cinéma.
Kev Adams : son nouveau projet inattendu et bien loin de la France
Kev Adams a soufflé ses 32 bougies cet été. L'humoriste touche-à-tout est d'abord passé par des débuts difficiles avant de trouver ce qu'il voulait raconter à son public. D'année en année, il s'est livré dans ses spectacles et il s'est même fait une place dans la comédie. Très vite, les plateaux de télévision n'ont plus eu de secret pour lui. C'est aussi en grandissant qu'il s'est intéressé à d'autres causes lui tenant à cœur, comme en témoigne son engagement associatif.
En revanche, c'est un autre de ses projets qui a fait grincer des dents. Il s'est en effet retrouvé au cœur d'un scandale financier après avoir promu le financement d'un film par cryptomonnaie. Kev Adams était devenu plus silencieux depuis la polémique. C'est auprès du magazine Hôtel&Lodge qu'il s'est confié sur sa nouvelle vie… à Los Angeles ! "C'est une nécessité quand on fait de la scène et des films. Tout y est plus grand, rapide, intense ! Malgré le rythme effréné, je m'y sens chez moi" a-t-il expliqué.
Un nouveau décor pour une nouvelle vie. "C'est assez simple de déconnecter dans le désert de Mojave, les monts San Gabriel, les plages du Pacifique ou simplement dans les quartiers de L.A" ajoute celui qui a un lien particulier avec Leonardo DiCaprio. Ce départ s'explique aussi par une raison professionnelle, loin des caméras. "C'est aussi d'ici que nous avons commencé à travailler sur 'Drink Waters', une eau bonne pour le corps et pour la planète. Le packaging futuriste et les parfums fonctionnels sont des idées purement californiennes." Kev Adams s'est associé à Guillaume Zarka et Franck Hadjez pour commercialiser Drink Waters.
La marque rassemble "une gamme de gourdes adaptées au voyage" [en aluminium, N.D.L.R.] et une eau des Alpes enrichie en vitamines, déclinée en 9 parfums différents. Chaque eau possède une fonction bien précise : brûle-graisse, booster d'énergie et même… "règles heureuses", pour passer cette période plus facilement. "Les bouteilles d'eau en plastique que l'on retrouve sur les rives du Niger, sur les plages de Tel Aviv ou de Malibu, ce n'est pas normal !" s'émeut le jeune homme.
Affaire Adèle Haenel - Christophe Ruggia : fin de l’enquête pour agressions sexuelles
Près de 4 ans après l'ouverture de l'enquête, nouvelle étape dans l'affaire opposant la comédienne Adèle Haenel au réalisateur Christophe Ruggia.
Comme le révèle l'AFP via franceinfo, l'enquête visant le réalisateur Christophe Ruggia est terminée. L'information judiciaire a précisément pris fin le 22 août dernier. "La clôture de l'information judiciaire intervient un peu moins de deux mois après une confrontation de plusieurs heures le 29 juin entre la comédienne, 34 ans, et le réalisateur, 58 ans, qui conteste les accusations", précisent nos confrères du Film Français, qui indiquent que l'AFP n'a pas pu joindre les avocats des différentes parties.
Où en est-on à présent ? Les parties peuvent désormais "adresser leurs observations, avant que le parquet ne prenne ses réquisitions".
Pour mémoire, l'affaire a commencé précisément le 3 novembre 2019. Adèle Haenel provoquait un séisme en accusant le réalisateur de son premier film, Les Diables, d'"attouchements" et de "harcèlement sexuel" dans les colonnes de Mediapart, qui avait mené l'enquête pendant 7 mois. Première actrice française à dénoncer des actes de pédophilie, Adèle Haenel brisait ainsi un tabou, et ouvrait un flot de réactions et de paroles.
Christophe Ruggia est visé par une enquête pour "agressions sexuelles sur mineur de 15 ans".
Adèle Haenel a pris ses distances avec les plateaux de cinéma depuis. Comme elle l'indiquait il y a quelques mois dans les colonnes de Télérama, elle a décidé de politiser son arrêt du cinéma. L'actrice n'a plus tourné pour le cinéma depuis Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma. Son dernier long métrage à avoir gagné les écrans était Les Héros ne meurent jamais de Aude-Léa Rapin. Elle avait également posé sa voix sur le documentaire, engagé et Césarisé, de Jean-Gabriel Périot, Retour à Reims.
Adèle Haenel fera bientôt son retour sur les planches, à Bobigny, sous la direction de Gisèle Vienne, pour la pièce Extra Life, dans le cadre du Festival d'automne.
Amandine Pellissard se livre sur le mal qui la frappe
La maternité, bénédiction ou chemin de croix ? Un peu des deux à lire Amandine Pellissard. Enceinte de son neuvième enfant dont elle devait accoucher le 18 novembre prochain, la mère de famille de 37 ans a vécu l'une des meilleures et des pires journées de sa vie le 6 août dernier. Maéna, sa petite fille a débarqué après seulement 26 semaines grossesse pesant 810 grammes et mesurant à peine 33 cm. Impossible dès lors pour celle qu'Amandine surnomme "sa vaillante" de rentrer à la maison. Elle a immédiatement intégré une couveuse de néonat, et ses parents ont pu commencer à tisser le lien avec de longues séances de peau à peau aussi bouleversantes qu'épuisantes.
Mais les parents des grands prématurés ne le savent que trop bien, les bébés sont très fragiles et la situation peut changer du tout au tout en un battement de cils. Maéna "la guerrière" a, depuis sa naissance combattu une jaunisse, a connu des "événements", une infection, et sa dernière échographie transfontanellaire (ETF) a posé des questions à l'équipe médicale qui l'entoure.
Jusqu'ici, Amandine Pellissard tenait avec une relative sérénité le journal de cette venue au monde pas tout à fait comme les autres. À ceux qui s'étonnaient de la voir capitaine calme dans la tempête, elle avait assuré que la naissance de Maéna l'avait changée. "Ton bébé il a besoin de toi pour aller bien, pour aller mieux. Ce petit bout de chou de 30 et quelques cm qui vit ce truc hallucinant...(...) Ma fille elle a besoin d'une maman qui tient debout et je lui dois ça" avait-elle expliqué. "Y'a un mois j'aurais dit comme vous, 'je tiendrai pas le coup, j'y arriverai pas' , mais en fait si parce que tu vois ton bébé et tu te poses pas la question" avait-elle ajouté. Mais voilà, depuis quelques jours, Amandine Pellissard est très peu présente sur ses réseaux sociaux, et ses soutiens s'en inquiètent, craignant sans doute notamment une mauvaise nouvelle autour de la santé de Maéna.
Ce 12 septembre, Amandine Pellissard a fait une timide apparition en story Instagram pour faire une confession à ses abonnés... "Je vais être honnête avec vous, comme je l'ai toujours été. Je vis une période difficile. Sans avoir peur des mots, cela s'appelle une dépression post-partum. C'est violent soudain et dur... Je fais en sorte que ça aille mieux, grâce au soutien de mon mari d'amour de mes proches et de mon médecin. Ce que nous traversons est compliqué mais un jour après l'autre tout ira bien..." a-t-elle notamment indiqué avant de dévoiler un nouveau cliché de Maéna. Nul doute que la compagne d'Alexandre trouvera de nombreux soutiens pour traverser cette nouvelle épreuve.
Calogero : cet événement particulièrement traumatisant qui a conduit à son échec scolaire
Après plus de trois décennies de carrière, Calogero n'a plus rien à prouver. Le chanteur, qui a récemment fait l'unanimité dans son rôle de super coach lors de la finale de la dernière saison de The Voice Kids, a décidé de se lancer un nouveau défi. Comme d'autres chanteurs avant lui, à l'image de Nolwenn Leroy, Louane ou encore Jenifer, Calogero s'est essayé à la comédie, pour un téléfilm au sujet percutant. Dans Respire, diffusé ce mardi 12 septembre sur M6, l'artiste de 52 ans joue le rôle d'un professeur de musique, au contact de Tessæ, une élève victime de harcèlement scolaire.
Un défi que Calogero a relevé avec brio, malgré ses doutes et ses appréhensions. "J’étais forcément plus impressionné sur le plateau, parce qu’il y avait toute l’appréhension des premières fois. J’avais peur d’en faire trop ou pas assez. C’était passionnant et un peu flippant", a-t-il expliqué au Parisien. S'il est désormais un artiste reconnu et un papa épanoui de quatre enfants, le chanteur a traversé une période compliquée pendant son enfance, lui qui a très mal vécu sa scolarité.
A l'école primaire, au CP, Calogero a en effet vécu une scène particulièrement traumatisante, qu'il n'a jamais oubliée. "Le premier jour de CP, je ne mettais pas les points sur les i. Une fois, deux fois, trois fois… J’ai pris une paire de claques très violente, comme mes parents ne m’en ont jamais donnée. C’est peut-être à cause de ça que j’ai été en échec scolaire", a-t-il confié au Parisien. Puis d'ajouter : "J’ai connu l’isolement. Des profs disaient à mes parents : Il ne fera jamais rien de sa vie". Dans un autre entretien, le chanteur avait déjà révélé avoir également été victime de harcèlement et de violences. "Le collège Pablo-Picasso, à Échirolles, était un établissement avec des cas difficiles. Je m’y suis fait casser la gueule deux fois", avait-il avoué à TV Magazine.