30 septembre 2025

Kaamelott 2 d'Alexandre Astier : la bande-annonce

Moins d'un mois à patienter pour découvrir en salles la suite de la saga culte d'Alexandre Astier, Kaamelott : Deuxième volet (partie 1). Prévu le 22 octobre sur nos écrans (et dès le 21 octobre grâce à de nombreuses avant premières réservables dès demain), le long métrage se dévoile aujourd'hui via une première bande-annonce.

Les beaux parents du Roi Arthur organisent la première réunion de la Nouvelle Table ronde, réunion à laquelle Arthur Pendragon ne compte pas assister. Mais le Roi ne va pas avoir le choix puisque les Dieux sont en colère contre lui!

Après la destruction de Kaamelott, son refus obstiné de tuer Lancelot précipite le Royaume de Logres à sa perte. Il réunit alors ses Chevaliers, novices téméraires et vétérans désabusés, autour de la Nouvelle Table Ronde et les envoie prouver leur valeur aux quatre coins du Monde, des Marais Orcaniens aux terres glacées du Dragon Opalescent lors de quêtes. Quêtes qui sont l'objet du débat de cette vidéo.

Ces nouvelles images (un teaser avait déjà été dévoilé en août dernier) nous en dévoilent davantage sur les adversaires et les nouveaux alliés du Roi Arthur, notamment le mystérieux Conle le Fameux joué par Daniel Mesguich.

On découvre également que le gigantesque fantôme vu à la fin du premier volet, n'est autre que celui de Ban, le père de Lancelot.

De nouvelles images riches en répliques qui nous promettent un film à la hauteur de l'attente des fans. Côté casting, les habitués Alexandre Astier, Anne Girouard, Lionel Astier, Joëlle Sevilla, Jean-Christophe Hembert et Audrey Fleurot seront entourés de nombreux comédiens : Alain Chabat, Christian Clavier, Guillaume Galienne, Simon Astier (de retour !), Virginie Ledoyen, Redouane Bougheraba, Moguiz, Haroun ou encore Thomas VDB.

Comme son titre l'indique Kaamelott : Deuxième volet (partie 1) se compose de deux longs métrages. La première moitié sort donc ce 22 octobre tandis que la seconde sera visible le 11 novembre 2026.

29 septembre 2025

Marion Barbeau : la danseuse et comédienne ose la robe transparente et dévoile sa poitrine lors d’une soirée de prestige

Le 27 septembre dernier, le gala d’ouverture de la saison de danse 2025-2026 de l’Opéra Garnier a réuni une pluie de célébrités. Bien que Marion Barbeau ne fasse plus partie de l’institution depuis 2024, elle a fait partie des stars présentes au photocall de l’événement. Et le moins qu’on puisse dire est qu’elle y a fait sensation.

Si les célébrités présentes à cet événement organisé avec le soutien de la maison Chanel ont opté pour des robes noires chic et élégantes pour la plupart, la danseuse et actrice de 29 ans a préféré la naked dress. Pari réussi, Marion Barbeau a fait tourner toutes les têtes avec sa robe révélatrice.

Les célébrités présentes à la soirée de prestige de l’Opéra de Paris ont presque toutes choisi un look en robe noire. Charlotte Casiraghi a, par exemple, opté pour une robe décolletée signée Chanel. Tout comme Angèle, égérie de la marque également, qui s’est démarquée avec une longue robe noire à la jupe volumineuse.

Digne des tapis rouges hollywoodiens, le look de Marion Barbeau était on ne peut plus glamour. La danseuse française a glissé sa silhouette parfaite dans une robe marron semi-transparente laissant tout transparaître de sa poitrine braless et le triangle de sa petite culotte. Aux pieds, elle portait des ce qui semble être des chaussures à semelle plateforme.

Le gala d’ouverture de la saison de danse 2025-2026 de l’opéra de Paris est une soirée des plus prestigieuses. Lors de l’événement s’est déroulé le défilé du Ballet avec toute la Compagnie, notamment les Étoiles, les Premières Danseuses, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra, dont Marion ne fait plus partie. 

Marion Barbeau a quitté le Ballet de l’Opéra de Paris depuis 2024 et s’est consacrée depuis à sa carrière dans le cinéma. Rappelons que l’actrice de 34 ans a poursuivi une brillante carrière au sein de l’institution. Pratiquant la danse depuis l’âge de six ans, elle est première danseuse de l’Opéra de Paris depuis 2018. 

Ces confidences intimes sur son frère que Marina Foïs ne fera plus

Elle est à l’affiche de Moi qui t’aimais de Diane Kurys et prête ses traits à Simone Signoret aux côtés de Roschdy Zem, qui incarne Yves Montand. Le 1er octobre prochain, Marina Foïs sera sur grand écran pour le plus grand bonheur de ses fans., revient sur les douze dernières années d’un couple mythique de la chanson et du cinéma français.

Mais derrière ce rôle d’icône, l'actrice Marina Foïs a accepté de se livrer à cœur ouvert, évoquant une blessure intime lors de son interview pour nos confrères de Paris Match : la perte de son frère aîné. C’est avec une sincérité désarmante qu’elle a raconté ce drame survenu lorsqu’elle avait 29 ans. Pilote amateur, son frère est décédé dans un accident d’avion.

Très proche de lui, la soeur de Giulia décrit un lien fusionnel qui s’est brisé brutalement. "Il pilotait des petits avions et il est mort dans un accident. On était très, très proches… il prenait systématiquement ma défense, même quand j’avais tort", a confié la comédienne, émue.

Pourtant, si elle a déjà accepté d’en parler publiquement, elle admet aujourd’hui que ces confidences la mettent mal à l’aise : "Moi, je ne raconterai plus jamais rien de privé. J’ai parlé ponctuellement de la mort de mon frère. Je me suis toujours sentie dégueulasse après l’avoir fait." Ce deuil particulier, lié à son enfance, a profondément marqué ses souvenirs.

La comédienne Marina Foïs raconte que penser à ses vacances en Italie devenait insupportable sans lui. "C’est une douleur très particulière, ça touche aux racines, à l’enfance", explique-t-elle. Non croyante, elle ne trouve aucun apaisement dans l’idée d’un au-delà : "Pour moi, la mort, c’est la fin. J’ai considéré qu’il m’avait abandonnée, d’une certaine manière."

Des mots durs qui traduisent l’intensité de son chagrin. Malgré tout, l’actrice a su se reconstruire. Quelques jours après ce drame, elle rencontrait celui qui allait partager sa vie et avec qui elle aura deux enfants. "La vie est ainsi faite : un immense malheur avec un très grand bonheur", confie-t-elle. Et si la tristesse ne disparaît jamais vraiment, Marina Foïs insiste : "La joie, c’est une discipline." Aujourd’hui, la sœur de la journaliste Giulia Foïs préfère tirer un trait sur ces confidences trop intimes, qu’elle juge impudiques. "La vie est violente pour tout le monde. Ce n’est pas que ma vie, c’est aussi celle de ma famille", conclut-elle, décidée à protéger désormais son jardin secret.

Eric Antoine et Gennifer Demey : après le mariage, le couple fait une apparition remarquée et la jeune femme ose le décolleté XXL

Quelques semaines après avoir célébré leur mariage, Eric Antoine et Gennifer Demey ont fait une apparition publique en tant que jeunes mariés. Le couple a assisté le 28 septembre à la soirée de gala Vaincre le Cancer organisée au Cercle Interallié, à Paris. Une soirée caritative marquée par une vente aux enchères au profit de la recherche, où Florent Pagny, lui aussi touché par un cancer, était à l’honneur.

Mais ce n’est pas seulement leur présence qui a retenu l’attention. Si l’animateur et magicien préféré des téléspectateurs est apparu tout sourire, son épouse a captivé l’assistance par son élégance audacieuse. Gennifer Demey, présentatrice météo sur M6, a osé une robe décolletée XXL.

Le samedi 30 août 2025, Eric Antoine et Gennifer Demey se sont dit “oui” à Aix-en-Provence, après deux ans et demi d’amour. Une union célébrée en grande pompe dans le sud de la France, entourés de leurs proches. Pourtant, un détail n’est pas passé inaperçu : l’absence remarquée de plusieurs partenaires de l’animateur dans La France a un incroyable talent.

Lors de la conférence de presse de l’émission, Eric Antoine a expliqué les raisons de cette absence. ‘‘Ils étaient tous invités mais malheureusement Marianne a eu des soucis de santé, Hélène était au Japon et Sammy au Canada, donc il n’y a que Karine qui était là.” a-t-il confié à TV Mag. Malgré ce contretemps, il assure n’avoir aucune rancune envers ceux qu’il considère comme de véritables membres de sa ‘‘famille”.

Le mari de Gennifer Demey n’a d’ailleurs pas dit son dernier mot concernant la célébration de son mariage. Toujours en conférence de presse, Éric Antoine a annoncé qu’une seconde cérémonie aurait lieu l’année prochaine. ‘‘Je refais une autre fête, on se marie cette fois-ci devant Dieu. Ils sont réinvités et ils m’ont dit qu’ils seraient là.”

Un rendez-vous qui promet déjà d’être festif et émouvant, d’autant plus que cette fois, l’ensemble du jury de La France a un incroyable talent devrait être au rendez-vous. En attendant, Eric Antoine et Gennifer Demey profitent de cette nouvelle étape de leur vie de couple, en multipliant les apparitions aussi glamour que complices.

Ed Sheeran fait tout pour avoir des abdos en béton

Depuis qu’il a perdu 10 kilos, Ed Sheeran s’est lancé un nouveau défi. Parce que se délester d’un peu de poids ne raffermit pas forcément les chairs, il continue le sport mais avec un autre objectif : « avoir des tablettes de chocolat ».

C’est ce que l’interprète de Shape of You, qui n’a « jamais eu de tablettes de chocolat » de sa vie, a confié au micro d’Andy Cohen sur Sirius XM, expliquant vouloir d’abord voir s’il « peu (t) le faire ». Le chanteur britannique a admis avoir mis le doigt dans un engrenage qu’il n’a pas l’intention d’arrêter.

« J’ai pris du poids l’année dernière et je me suis dit que j’allais m’entraîner comme un fou à la salle de sport et tenter de perdre 5 kilos. Je me suis dit que je verrai bien jusqu’où je peux aller », a-t-il tout d’abord expliqué.

Les cinq kilos sont donc devenus dix, mais ce qu’Ed Sheeran souhaite maintenant, c’est sculpter son corps pour afficher la fameuse tablette de chocolat. Force est de constater que c’est assez difficile, ce qui l’amuse plutôt.

« Je me plante assez régulièrement, parce que je continue de sortir et je me dis à chaque fois "Tiens, je vais prendre quelques bières", et puis, vous savez… » a expliqué l’artiste, qui ne se met pas la pression pour autant. Au contraire : « J’ai l’impression d’être dans la meilleure forme de ma vie ».

La pression pour ressembler à un idéal inatteignable, il en a déjà subi les conséquences au cours de sa carrière et il ne compte pas se laisser à nouveau submerger. « Il y a toujours eu des trolls en ligne, des journaux ou des commentaires », a déclaré Ed Sheeran, ajoutant que les injonctions ne sont « jamais venues » de son label. « L’industrie musicale, c’est d’abord la musique et ensuite l’image. »

En conclusion, Ed Sheeran estime que la pire pression est celle que l’on « se met soi-même dans la tête qu’il faut ressembler à tout le monde ». Celle du pub est à pratiquer avec tout autant de modération.

Omar Sy et les scènes intimes face caméra : avec Sara Giraudeau, c’était "limite"

Depuis 27 ans, Omar Sy coule des jours heureux dans les bras d’Hélène. Cette dernière, au courant que son compagnon exerce le métier d’acteur, sait très bien qu’il doit parfois tourner des scènes intimes pour le bien de son métier. Néanmoins, malgré la confiance qui règne entre les deux, l’acteur âgé de 47 ans reconnaît que tourner ces scènes peut parfois s’avérer compliqué.

La preuve, avec le tournage de French Lover. Cette comédie romantique, disponible depuis le 26 septembre 2025 sur Netflix, cartonne. À tel point que le film occupe actuellement la première plate du Top 10 de la plateforme depuis sa sortie. 

Il faut dire que Nina Rives a pu s’offrir un joli casting en convainquant Omar Sy et Sara Giraudeau. Deux acteurs qui se connaissent depuis leur collaboration dans le film de Hugo Gélin sorti en 2016, Demain tout commence. 

"Le courant est passé tout de suite, une entente très naturelle, beaucoup d’humour au centre de la discussion, de compréhension mutuelle (...) En vérité, je ne pensais pas forcément être le type de comédienne qu’on venait chercher pour une comédie un peu mainstream", expliquait Sara Giraudeau dans le communiqué de presse.

Avant de poursuivre : "Je n’avais pas l’impression d’être le profil évident, ce que je trouvais à la fois étonnant et comme étant un bon signe aussi. Puis dès que j’ai lu le scénario, c’était évident, j’ai trouvé le scénario très original et le couple assez détonnant".

Plusieurs années plus tard, l’alchimie entre Omar Sy et Sara Giraudeau opère toujours. Néanmoins, lorsqu’il s’agit de scènes intimes, le premier avoue avoir mis quelques barrières lorsque celles-ci dépassaient le cadre selon lui. 

"Ça, c’était à la limite de mes capacités.(Rires.) Mais Nina savait exactement ce qu’elle voulait. Moi, je faisais ce qu’elle me demandait, puis quand je n’en étais pas capable, je disais non, mais je n’ai pas l’impression de l’avoir souvent fait", explique le compagnon d’Hélène dans le dossier de presse de French Lover.

Omar Sy ne s’arrête pas et assure néanmoins que "tout s’est fait naturellement sur le tournage". "Je n’ai pas eu à chercher ou même à comprendre, ce qui veut dire qu’on avait un scénario qui était quand même bien foutu. Sara est très consciente de ce qu’elle fait, elle est douée et n’en est plus à son premier barbecue. (Rires.) C’est là où elle est très étonnante, elle fait très bien les choses l’air de rien, toujours avec une forme de simplicité, de légèreté comme si elle n’avait pas fait exprès, alors que je sais que c’est du travail. C’est brillant", conclut-il.

Mais en travaillant sous la houlette de Nina Rives, Omar Sy savait très bien dans quel projet il mettait les pieds. En effet, auprès de Variety, l’acteur de 47 ans indique que la réalisatrice connaît très bien "sa pudeur" : "Quand nous avons développé le scénario final, elle a filtré tout ce que j'étais capable de faire ou non", assure-t-il.

Tom Hardy tournera pour Sean Penn

Dans une récente interview accordée à Vanity Fair, Sean Penn a confirmé qu’il reprendrait le chemin de la réalisation l’année prochaine pour un projet mettant en vedette un acteur britannique avec lequel il n’a jamais travaillé auparavant.

“Je prépare un film avec Tom Hardy, dont le tournage ne pourra pas commencer avant l’été prochain car Tom est occupé avec la série [MobLand de Guy Ritchie]. Je le trouve tout simplement extraordinaire.”

Un duo Penn-Hardy ? Sur le papier, ça semble prometteur. Sean Penn n’a toutefois donné aucun autre détail sur le projet. Mais, comme le souligne The Playlist, vu sa filmographie de réalisateur, tout est possible.

Si ses deux derniers films, The Last Face (2016) et Flag Day (2021) n’ont pas rencontré le succès, le travail de Penn en tant que réalisateur avant ces films est remarquable, avec Into The Wild (2007) et The Pledge (2001) que l’on peut citer parmi ses meilleurs longs-métrages. N’oublions pas non plus The Indian Runner, son premier film en tant que réalisateur (1991), un petit bijou méconnu avec Viggo Mortensen, David Morse, Dennis Hopper, Patricia Arquette et Charles Bronson.

Quant à Tom Hardy, on l’a vu récemment dans Ravage, le film d’action de Gareth Evans à retrouver sur Netflix. Il joue aussi dans MobLand, où il incarne le bras droit d’une famille mafieuse londonienne dirigée par Pierce Brosnan et Helen Mirren. Paramount+ a renouvelé le show en juin après une première saison acclamée par la critique, qui a été le lancement de série le plus important de la plateforme avec 2,2 millions de spectateurs. Parmi ses autres projets récents de l’acteur, on retrouve Venom: Let There Be Carnage ainsi que The Bikeriders de Jeff Nichols, tous deux disponibles en VOD.

En attendant d’en savoir plus sur son prochain film, Tom Hardy est à retrouver dans la série MobLand, disponible sur Paramount+. Sean Penn, l’acteur, est quant à lui à découvrir dans la comédie d’action Une bataille après l’autre de Paul Thomas Anderson, avec Leonardo DiCaprio, à voir actuellement au cinéma.

Les stars d’Hollywood se battent pour être le nouveau Batman de James Gunn

C'est le genre de super-héros torturé que tous les acteurs ont envie d'incarner.

James Gunn assure que les plus grandes stars d’Hollywood font la queue pour jouer Batman dans sa prochaine itération du Chevalier Noir, pour son DC Universe.

Dans une interview avec IGN, le patron de DC Studios révèle que de nombreux acteurs de premier plan ont exprimé leur envie d’incarner Bruce Wayne, et porter le film en cours de développement Batman : The Brave and the Bold.

"Beaucoup d’éléments sont encore en mouvement, notamment sur sa filiation, sa parentalité et tout ça. Mais je peux vous dire qu’un nombre incroyable de grands acteurs m’ont contacté pour me dire qu'ils voulaient être Batman."

Selon James Gunn, le personnage attire de manière très large à Hollywood, notamment depuis que Christian Bale a modernisé le mythe avec la trilogie de Christopher Nolan. Ce qui fait dire à Gunn :

"Il est sans doute plus difficile de trouver un acteur qui ne veut pas être Batman. C’est le rôle que tout le monde rêve de jouer aujourd'hui !"

Le producteur ne donne pas de nom, mais on comprend qu'il aura l'embarras du choix. Mais quel profil va-t-il choisir pour sa version du héros de Gotham ? Probablement un acteur d'un certain âge, puisque son Bruce combattre le crime avec son fils Damian Wayne, dans le costume de Robin. On l'imagine donc assez loin du Batman actuel incarné par Robert Pattinson, et qui continuera à jouer le personnage pour Matt Reeves (une suite est attendue pour le 1er octobre 2027 au cinéma).

Deux versions du Dark Knight qui cohabiteront sur nos écrans. Réalisé par Andy Muschietti (The Flash), Batman: The Brave and the Bold s’inspirera des comics de Grant Morrison. Pas encore de date de sortie.

Cette actrice IA pourrait bien devenir la première star de ciné artificielle

Est-ce que c'est ça l'avenir du cinéma ?

Vous ne connaissez pas encore Tilly Norwood, mais peut-être est-elle une pionnière du 7e art, à sa façon.

Première création issue du studio de talents artificiels Xicoia, lancé récemment comme spin-off de la société de production IA Particle6, fondée par Eline Van der Velden, Tilly Norwood est une actrice entièrement générée par IA. Une star virituelle, dont on nous dit qu'elle peut tout jouer. Et son "talent" suscite déjà un certain intérêt...

Lors du Festival du film de Zurich, Eline Van der Velden a révélé (via Deadline) que plusieurs agents de Hollywood font la cour à Tilly Norwood. Selon elle, les studios avancent discrètement sur des projets liés à l’intelligence artificielle, avec plusieurs annonces attendues dans les prochains mois. "En février, on nous disait : ça n’existe pas, ça ne va rien changer. Puis en mai, les mêmes personnes nous ont répondu : il faut absolument qu’on fasse quelque chose avec vous... Quand nous avons lancé Tilly, les gens se demandaient : qu’est-ce que c’est que ça ? Et dans les prochains mois, nous annoncerons quelle agence va la représenter."

Un pas supplémentaire vers l'implantation de l'intelligence artificielle à Hollywood. Et les choses avancent vite. En juillet, Norwood a révélé sur sa page Facebook qu’elle avait décroché son premier rôle, dans une comédien à sketchs intitulée AI Commissioner.

"Nous voulons que Tilly devienne la prochaine Scarlett Johansson ou Natalie Portman, c’est l’objectif de notre démarche," a confié Van der Velden à Broadcast International, expliquant que les difficultés économiques poussaient l’industrie du cinéma et de la télévision vers l’IA.

"Les gens réalisent que leur créativité n’a pas besoin d’être enfermée dans un budget. Il n’y a aucune contrainte créative, et c’est pour ça que l’IA peut être une force positive. Tout est une question de regard."

Forcément, ce genre d'annonce a de quoi faire paniquer l'industrie. Ou les amoureux du 7e art. 

"Honte à ces gens", a réagi l’actrice Mara Wilson (Mrs. Doubtfire, Matilda) sur Instagram. "Ils ont volé les visages de centaines de jeunes femmes pour créer cette soi-disant actrice IA. Ce ne sont pas des créateurs. Ce sont des voleurs d’identité." L’actrice Abigail Breslin, nommée aux Oscars (Little Miss Sunshine, Zombieland), a de son côté lancé un appel à ses confrères : "Je supplie chaque acteur que je connais de boycotter ça", a-t-elle écrit en partageant l’article de Deadline. "Si votre agence essaie de signer avec une actrice IA, vous devriez la quitter. C’est un énorme doigt d’honneur à tout notre métier. Et puis… ce n’est pas un hasard si c’est une ‘actrice IA femme’. C’est juste une nouvelle manière pour des hommes de contrôler et de raconter l’expérience féminine. C’est dégueulasse. #cancelTillyNorwood !"

Face à cette levée de boucliers et ceux qui s’inquiètent de voir débarquer une actrice générée par ordinateur, Van der Velden répond sur les réseaux :

"Tilly Norwood n’est pas là pour remplacer un être humain. Elle est une œuvre créative, une pièce d’art. Comme beaucoup de formes artistiques avant elle, elle suscite des conversations — et ça prouve déjà le pouvoir de la créativité. Je vois l’IA non pas comme un substitut, mais comme un nouvel outil — un pinceau supplémentaire. L’animation, la marionnette ou les effets spéciaux ont déjà ouvert des possibilités sans rien enlever au jeu réel. L’IA, c’est juste une nouvelle façon d’imaginer et de raconter des histoires. Je suis actrice moi-même, et rien — certainement pas un personnage artificiel — ne pourra enlever la force ou la joie d’une performance humaine."

L'avenir du cinéma s'appelle-t-il vraiment Tilly Norwood ?

28 septembre 2025

Pour Arthur, « l’antisémitisme de gauche est en pleine orgie »

«Toute ma vie je me suis considéré comme Français juif. Mais j’explique dans mon livre que depuis le 7-octobre on ne me regarde plus que sous le prisme de ma judaïté » raconte Arthur dans une interview croisée avec Denis Olivennes paru le 28 septembre dans La Tribune du Dimanche.

L’animateur est interrogé sur son rapport à la religion mais aussi à la politique israélienne à Gaza depuis le 7-octobre à l’occasion de la sortie de son premier livre « J’ai perdu un bédouin dans Paris » (ed. Grasset).

Que pense-t-il de la reconnaissance de l’Etat palestinien par la France ? « J’ai toujours été pour une solution à deux Etats. Mais il y a un problème de calendrier et de conditionnement […] Il y a trop de morts et Netanyahou est souvent impardonnable mais cette reconnaissance avec le Hamas au pouvoir est une récompense et un message aux terroristes : Tuez des Juifs et on vous offrira un Etat ».

Arthur Essebag met aussi en cause la position de La France insoumise. Selon lui, « Depuis le 7-octobre, l’antisémitisme de gauche est en pleine orgie. Il y a les calculs de LFI mais il y a aussi cette jeunesse exaltée qui fait l’amalgame antisionisme/antisémitisme, convaincue d’être dans le camp du bien. Denis (Olivennes, ndlr) n’avait jamais mis sa judaïté en avant, moi non plus avant le 7-octobre. Et, comme lui, je n’ai pas l’intention de baisser le regard ». Et d’ajouter sur les prises de paroles des partis politiques sur la condamnation du Hamas, « C’est terrible à dire mais le RN a très cyniquement fait un sans-faute sur ce sujet… »