10 septembre 2025

Selena Gomez détaille ses maux du quotidien qui l’affligent à cause de sa maladie auto-immune

Selena Gomez a appris du mal qui la ronge depuis plusieurs années. La chanteuse et comédienne a été diagnostiquée, plus de dix ans auparavant, d’une maladie chronique auto-immune, le lupus, qui engendre des symptômes variables sur plusieurs organes, selon le site d’Ameli, et peut provoquer des douleurs diverses. La star de 33 ans a notamment subi une transplantation de rein en 2017 en raison de sa maladie.

Si elle se dit désormais « heureuse d’être en vie », la chanteuse de Calm Down continue de subir régulièrement les effets du lupus.

« Je suis moi-même confronté à de nombreux problèmes de dextérité, et cela peut être frustrant. Même ouvrir une canette peut être douloureux… Je sais ce que ça fait », a confié la jeune femme à Allure, expliquant par la même occasion l’aspect inclusif du packaging des cosmétiques de sa marque Rare Beauty, selon le magazine.

L’emballage et les modalités d’utilisation des produits auraient en effet été pensés pour être accessibles aux personnes qui, comme la star d’Emilia Perez, souffrent d’un handicap. Allure donne pour exemple le tout premier parfum de la marque, Rare, qui dispose d’un « large bouton » pouvant facilement être déverrouillé et actionné, au lieu d’un « bouchon amovible » plus communément utilisé pour les bouteilles de parfum.

Selena Gomez s’est déjà confiée sur sa maladie dans le documentaire My Mind & Me, sorti en 2022. La fiancée du producteur de disques Benny Blanco y évoque notamment les douleurs qui la faisaient pleurer « immédiatement au réveil ». L’artiste a bien failli ne jamais dévoiler ce film revenant sur ses années de lutte avec sa santé physique et mentale, mais elle est aujourd’hui « très contente » d’avoir sauté le pas. Selena Gomez espère que le partage de son expérience « aidera » d’autres personnes avec des maux similaires.

Judith Godrèche mise en examen après une plainte de Jacques Doillon pour diffamation

Jacques Doillon et Judith Godrèche continuent de s’opposer. Le réalisateur de 81 ans avait répondu en 2024 par un dépôt de plainte à une remarque de l’actrice sur Instagram, où elle l’accusait d’abuser des enfants avec lesquels il tournait. La plainte a abouti à une mise en examen de la comédienne et réalisatrice de 53 ans a signalé à ses abonnés sur le réseau social de Meta. « Breaking news », a-t-elle écrit au début de son post, avant d’expliquer le motif avancé par la justice : « des propos comportant des allégations ou imputations de faits susceptibles de porter atteinte à l’honneur ou à la considération de Monsieur JD ».

Pour clarifier le processus qui a conduit à sa mise en examen, la comédienne, qui a tourné avec Jacques Doillon La Fille de 15 ans (1989) lorsqu’elle était adolescente, rappelle : « En 2024, j’avais écrit sur Instagram : "en 2022, ce journal écrit que la spécialité de Doillon est de tourner avec des enfants. Il manque une phrase : avec qui il couche" ».

Aujourd’hui, Judith Godrèche persiste et signe : « J’en sais pourtant quelque chose », avant de faire remarquer que la plainte qu’elle a elle-même voulu déposer contre Jacques Doillon pour des faits présumés de viol sur mineur lors des répétitions du tournage de leur film « se heurte à la prescription ». Ce double traitement l’énerve et elle souligne : « pour sa plainte contre moi la justice ne perd pas de temps ».

Notons que la comédienne a aussi porté plainte contre le metteur en scène Benoît Jacquot, aujourd’hui âgé de 78 ans, qui fut son compagnon quand elle en avait 14 et lui 39. Celui-ci nie toute violence ou « emprise » et insiste sur le caractère amoureux de leur liaison, mais d’autres plaintes ont conduit à sa mise en examen pour viols.

En cas de plainte pour diffamation, la mise en examen est automatique, indique un des internautes dans les commentaires du post de Judith Godrèche. En novembre 2024 l’actrice avait déjà reçu de la part de la Justice un « avis préalable de mise en examen ». En effet, Jacques Doillon, qui s’estime diffamé, avait réagi dès le lendemain aux propos de Judith Godrèche par la voix de son avocate. « Oser affirmer publiquement, comme elle l’a encore fait le 21 février dernier, que celui-ci aurait "couché avec des enfants" qui tournaient dans ses films est ignoble et dépasse l’entendement », avait déclaré dans un communiqué celle-ci, avant de déposer une plainte en bonne et due forme, le 22 février 2024.

Judith Godrèche a traduit son post en anglais et accompagné son texte de cette question : « Un jour ou l’autre les choses changeront, ou pas ? » , poursuivant : « À votre avis, ça encouragera les victimes à dénoncer les violences qu’elles ont subies ou ça les dissuadera ? » Amère, l’actrice termine par ce constat sur la prescription : « Trop tard, tais-toi ! »

Agressions sexuelles à Miss France ? Laury Thilleman exprime son soutien

Le concours Miss France traverse une tempête inédite. Dans son livre Miss France : du rêve à la réalité, Hubert Guérin, dernier collaborateur de Geneviève de Fontenay, dévoile de lourds témoignages anonymes d’anciennes Miss, relatant des agressions sexuelles. Des récits glaçants qui brisent l’image de conte de fées du concours et qui ont poussé le comité Miss France à réagir officiellement.

Face à cette polémique, plusieurs anciennes reines de beauté se sont exprimées. Parmi elles, Laury Thilleman, Miss France 2011, a tenu à clarifier sa propre expérience et à adresser un message de soutien à celles qui auraient pu être victimes.

Sur son compte Instagram, Laury Thilleman a publié un message clair le 9 septembre. ‘‘Je ne connais pas Hubert Guérin et n’ai jamais été contactée par cette personne. Durant mon année de Miss France, je n’ai été ni victime, ni témoin d’aucune forme d’agression.” Elle ajoute néanmoins : ‘‘J’apporte tout mon soutien à celles qui en auraient besoin et les invite à porter plainte, à en parler à des personnes de confiance.”

Dans cette même story, l’ancienne reine de beauté a également tenu à réaffirmer sa confiance envers l’institution. ‘‘J’apporte mon soutien à la société Miss France ainsi qu’à Frédéric Gilbert.’’ Ce témoignage tranche avec les révélations chocs rapportées dans le livre et met en lumière la pluralité des vécus au sein du concours.

Alors que les extraits du livre d’Hubert Guérin alimentaient déjà la polémique, le comité Miss France a publié un communiqué le 5 septembre signé par son président Frédéric Gilbert. Celui-ci rappelle que les faits rapportés remontent à une époque antérieure à la reprise du concours par Endemol puis Banijay. Mais le ton est ferme. ‘‘Toute forme de violence sexuelle, d’abus ou de harcèlement est inacceptable et condamnable.”

Le comité de Miss France encourage les victimes présumées à saisir la justice et réaffirme vouloir préserver l’image d’un concours célébrant les femmes dans le respect et la dignité. Une réponse officielle qui cherche à protéger l’institution tout en affichant une solidarité de principe envers celles qui auraient subi ces violences.

Bruce Willis séparé de sa femme et ses filles : Emma Heming évoque sa mort et le deuil terrible à venir

Emma Heming a choisi de briser le silence face aux polémiques suscitées par la décision de placer Bruce Willis dans une résidence distincte. Critiquée pour ce choix, elle le défend avec conviction, affirmant qu’il s’agissait avant tout de "la décision la plus sûre" pour préserver l’équilibre et la sécurité de toute la famille.

Diagnostiqué au début des années 2020 d’une démence frontotemporale, l'ex de Demi Moore voit son état décliner de manière irréversible. Elle retrace d’ailleurs ce combat intime et ces choix douloureux dans son livre The Unexpected Journey, paru le 9 septembre 2025.

Derrière le soutien qu’elle affiche, Emma Heming porte aussi le poids de décisions éprouvantes pour protéger ses deux filles, Mabel, 13 ans, et Evelyn, 11 ans. Dans son livre, elle revient sur un choix particulièrement douloureux : installer Bruce Willis dans une résidence voisine où il reçoit des soins constants. "C’était l’une des décisions les plus difficiles que j’ai eue à prendre jusqu’à présent. Mais je savais avant tout que Bruce souhaiterait cela pour nos filles", confie-t-elle.

Elle explique également avoir pensé à l’avenir de ses enfants à travers cette décision : "Donner aux filles un peu d'espace avec Bruce et leur permettre de s'éloigner de lui contribue également à les préparer à sa mort. Je sais que cela peut paraître sombre et bouleversant, mais c'est la dure réalité du monde dans lequel je dois naviguer pour continuer à protéger nos filles du mieux que je peux." Malgré les critiques, Emma Heming reste ferme : "Ce n'est vraiment pas sujet à débat. Je sais maintenant que Bruce bénéficie des meilleurs soins, 100 % du temps. Ses besoins sont satisfaits à 100 % du temps, tout comme ceux de nos deux jeunes filles."

Alors que l’attention du public se concentre principalement sur l’évolution de la maladie de Bruce Willis, Emma Heming, belle-mère de Rumer, Tallulah et Scout, rappelle que l’entourage aussi traverse une épreuve difficile : "J’ai l’impression que les aidants sont tellement jugés, et cela montre simplement que les gens ont parfois juste une opinion sans avoir réellement vécu l’expérience".

Elle confie avoir pris la décision de transférer l’acteur dans une autre maison après une alerte du neurologue de son mari, qui lui a dit : "Parfois, les aidants décèdent avant leurs proches". Un électrochoc pour Emma Heming : "Je pense que cela m’a fait prendre conscience que j’avais besoin d’aide, et que ce n’était pas un échec. Je peux demander de l’aide, ce n’est pas grave. Je ne m’en rendais pas compte. J’avais vraiment besoin que quelqu’un me dise que c’était normal de demander de l’aide", admet-elle avec sincérité.

David Hallyday fait perdre plus de 40.000 euros à une certaine Roselyne et il n’y est pour rien

David Hallyday au coeur d’un scandale malgré lui. Roselyne a été invitée sur le plateau de Ça commence aujourd’hui ce lundi 8 septembre. Elle est venue raconter comment elle a perdu plus de 40.000 euros à cause d’un faux David Hallyday. Fan du fils de Johnny Hallyday depuis ses débuts, elle explique avoir été approchée sur Instagram par un homme se faisant passer pour le chanteur.

Cette escroquerie rappelle d’autres affaires médiatisées, comme celle d’Anne qui pensait échanger avec Brad Pitt et a perdu plus de 830.000 euros. Mais dans le cas de Roselyne, ce lien émotionnel particulier avec son idole de jeunesse a facilité la manipulation. ‘‘J’avais ses posters dans ma chambre, tout ce qu’une jeune femme peut faire avec un artiste qu’elle adore.” a-t-elle confié à Faustine Bollaert.

Roselyne raconte que tout a commencé par un message simple. ‘‘Il m’a contactée sur Instagram, c’est lui qui est venu me parler.” Très vite, le faux David Hallyday instaure un climat de confiance. ‘‘On était deux copains qui ne pouvaient pas se voir à cause du confinement et qui parlaient par message.” se souvient-elle. Au fil des mois, les échanges deviennent plus intimes. ‘‘Il m’a très vite dit des mots doux.” confie Roselyne. Jusqu’au jour où il va plus loin : ‘‘Il m’a demandé en mariage…”

Malgré ses doutes, la quadragénaire est piégée par la mise en scène élaborée des escrocs. ‘‘Dès que je commençais à douter, un autre compte venait me parler et me prouvait qu’il s’agissait bien du vrai David Hallyday.” explique-t-elle. Des documents comme une carte d’identité ou des papiers de divorce lui sont même envoyés pour la convaincre. Pendant plus de 3 ans, Roselyne s’accroche à cette illusion.

Les demandes d’argent finissent par arriver. ‘‘Il m’a dit : ‘J’ai un souci, j’ai mon fils dans le coma. Je ne peux pas payer ses soins, faudrait que tu m’aides’.” raconte Roselyne. Trompée par une photo d’un prétendu enfant hospitalisé, elle finit par céder. En tout, plus de 40.000 euros disparaissent. Mais ce n’est que lorsque de nouveaux faux comptes, dont un soi-disant fils de David Hallyday, la contactent, qu’elle comprend qu’elle s’est fait berner. ‘‘Je savais que je me faisais avoir mais je ne voulais pas le voir.” a-t-elle reconnu, bouleversée.

Aujourd’hui, Roselyne tente de se reconstruire malgré les critiques violentes qu’elle dit avoir reçues sur les réseaux sociaux. Son témoignage met en lumière la puissance de ce type d’arnaques qui s’appuient sur la confiance et les émotions. Et si David Hallyday n’y est bien sûr pour rien, son nom aura malheureusement servi d’appât pour ruiner une fan.

Bande-annonce de Song Sung Blue, avec Hugh Jackman

Vous connaissez forcément certaines de ses chansons. Notamment la fameuse rengaine de "Sweet Caroline", qui résonne souvent dans les stades de rugby ou les salles de basket de nos jours. Neil Diamond est une icone de la variété américaine et son oeuvre va être interprétée au cinéma cet hiver par Hugh Jackman.

L'acteur / chanteur, qui a déjà donné de la voix dans Les Misérables ou The Greatest Showman - va de nouveau performer dans Song Sung Blue. Comme le montre la bande-annonce officielle qui vient d'être mis en ligne (ci-dessous), il ne s'agira pas d'un biopic sur Neil Diamond, mais de l'histoire vraie d'un adorable duo qui reprenait ses tubes dans le fin fond du Wisconsin.

Réalisé par Craig Brewer (qui avait fait Un Prince à New York 2 récemment) ce drame musical réunira Hugh Jackman et Kate Hudson dans la peau d’un couple marié qui décide de monter un tribute band de Neil Diamond.

Inspiré du documentaire éponyme de Greg Koh (2008), le film retrace l’histoire vraie de Mike et Claire Sardina, couple de musiciens de Milwaukee sans le sou devenu une référence locale sous le nom de Lightning & Thunder.

Le synopsis : D’après une histoire vraie, deux musiciens à la dérive (Hugh Jackman et Kate Hudson) forment un tribute band joyeux en hommage à Neil Diamond, prouvant qu’il n’est jamais trop tard pour trouver l’amour et réaliser ses rêves."

On retrouvera aussi au casting Michael Imperioli, Ella Anderson, King Princess, Mustafa Shakir, Hudson Hensley, Fisher Stevens et Jim Belushi.

Craig Brewer signe également le scénario.

Song Sung Blue, dont le titre fait écho au hit Song Sung Blue sorti par Diamond sorti en 1972, est attendu dans les salles en France le 31 décembre 2025.

Downton Abbey : le 3e film sera le dernier

Le retour tant attendu au cinéma du phénomène mondial nous replonge dans l’univers de la famille Crawley et de son personnel à l’aube des années 1930. Alors que chacun tente de faire évoluer Downton Abbey avec son temps, une nouvelle ère s’annonce, pleine de défis, de remises en question et d’espoirs.

Si les noms Robert Crawley, Lady Mary, John Bates ou Mrs. Patmore vous sont familiers, c'est que vous avez déjà regardé au moins un épisode de Downton Abbey. Voire que vous faites partie des nombreux fans de la série crée par Julian Fellowes en 2010, et diffusée pendant six saisons outre-Manche, avant de passer du petit au grand écran. Pour un film qui devait faire office d'épilogue. Puis sa suite qui faisait entrer les personnages dans une nouvelle ère et s'achevait par le décès d'une figure iconique du show, dans ce qui ressemblait à une autre fin.

Mais cette fois-ci, c'est la bonne. "L'heure des adieux est venue", nous dit très clairement l'affiche de ce Grand Final, pour ne laisser aucune place au doute, même s'il ne faut jamais dire jamais. En attendant, le film réalisé par Simon Curtis, déjà aux commandes de l'épisode précédent, boucle une boucle entamée dans le tout premier épisode de la série, lorsque le naufrage du Titanic a bouleversé à jamais la famille Crawley en avril 1912.

Moins de deux décennies plus tard (dans la diégèse de l'oeuvre), cet événement est évoqué en présence du dramaturge Noël Coward (Arty Froushan), dont la présence permet d'intégrer un peu de réel dans le fiction, tout en laissant entendre que c'est à travers ses écrits que la vie des héros se prolongera, avec un esprit en adéquation avec celui de Downton Abbey, qui multiplie les clins-d'oeil et références, quand Julian Fellowes rappelle, au détour d'un dialogue, l'importance du scénariste (donc de la sienne) dans une oeuvre, ou que le film paraît conscient de ce qu'il est.

Que le long métrage s'ouvre sur un joli plan-séquence qui part de Picadilly Circus pour entrer dans un théâtre et s'arrêter sur la scène où se joue une pièce appelée "Bitter Sweet". Comme pour donner le ton d'un opus qui s'annonce doux-amer, fin d'histoire oblige, et où il est question de retraite, de succession et d'héritage dans un monde sur le point de basculer, pris entre les conséquences directes de la Crise de 1929 et la montée des populismes qui aboutira à la Seconde Guerre Mondiale.

Les parallèles avec notre époque semblent évident, mais Downton Abbey - Le Grand Final ne les appuie pas, préférant garder l'esprit positif qui l'habite depuis les débuts de la série. Ce n'est pas pour autant que le film reste ancré dans le passé car, comme à son habitude, il s'en sert pour faire écho aux évolutions de la société anglaise, et notamment la place des femmes et les évolutions sociales vécues par la Grande-Bretagne depuis la première moitié du XXème siècle. Un sujet très souvent porté par Lady Mary Crawley (Michelle Dockery), et ce n'est pas ici que cela change.

Déjà bien malchanceuse depuis la première saison, la fille de Robert (Hugh Bonneville) et Cora (Elizabeth McGovern) poursuit sur sa lancée lorsque la révélation de son divorce avec Henry Talbot (Matthew Goode) lui vaut d'être renvoyée d'une soirée et mal vue dans la haute société. Son entourage a beau lui promettre que ce genre de cas évoluera de façon positive à l'avenir pour les femmes (et c'est vrai), le bref plan de sa voiture qui passe devant Buckhingham Palace peut être vu comme une référence à la manière dont ces affaires ont été traitées au sein de la famille royale et dans les médias.

L'avenir de Lady Mary sera toutefois moins tragique que celui de Lady Di, et sa trajectoire restera; sans vous spoiler, comme l'une des plus grandes qualités de Downton Abbey. Qui pourrait revenir sur nos écrans, le petit comme le grand, à l'avenir. Mais en attendant, ce film se présente comme une belle conclusion, avec un hommage à Maggie Smith, sa figure la plus emblématique décédée en septembre 2024, et les convocation des fantômes des lieux dans un final qui ne manquera pas d'émouvoir les fans, avant que les larmes ne coulent pour de bon, au moment où le célèbre générique retentira pour la dernière fois sur un ultime plan de la bâtisse dans laquelle nous avons suivi et aimé ces personnages attachants pendant quinze années, six saisons et trois longs métrages.

Amityville : Hollywood prépare un 11e film !

Le dernier film Amityville remonte à 2017 et pour Hollywood, c'est déjà une éternité - surtout en matière de saga horrifique. Alors que le dernier Conjuring explose tous les records au box-office américain, Amazon MGM Studios prépare un nouveau projet basé sur la célèbre maison hantée.

Un réalisateur a été désigné en la personne de David F. Sandberg. On lui doit, entre autres, Lights out, Annabelle 2 : La Création du mal et, plus récemment, l'adaptation du jeu vidéo Until Dawn. Au scénario, on retrouve justement les auteurs de Conjuring 4, Ian Goldberg et Richard Naing. Le film est présenté comme "une relecture du classique de 1979" précise Deadline.

Si les faits réels du massacre d'Amityville se sont déroulés en 1974, le premier film de la saga a vu le jour cinq ans plus tard avant d'être suivi de 10 autres films, dont un en 3D et plusieurs sortis directement en vidéo. En 2005, Michael Bay produit un remake avec Ryan Reynolds reprenant, lui aussi, les lignes directrices du film original.

L'intérêt autour d'Amityville ne faiblit pas. Les producteurs d'Evanouis, un des plus grands succès de l'année, développe eux aussi un projet qui prendrait, cette fois, un autre chemin, bien différent de l'univers des films existants. Le duo Joseph et Vanessa Winter, à l'origine du long métrage Deadstream, signeront et réaliseront cette version.

Amityville, prochainement au cinéma

09 septembre 2025

Louane révèle être atteinte d’une maladie auto-immune invalidante

Louane a « mal tout le temps » et notamment « dans les genoux, dans les chevilles, dans les poignets », a-t-elle révélé dans le podcast d’Alice Underground. La cause de son mal : la spondylarthrite ankylosante, une « maladie inflammatoire chronique auto-immune dégénérative des articulations », qui provoque « des crises douloureuses, localisées à différentes parties du squelette » et « associées à une fatigue importante », selon le site Ameli. « L’inflammation se résorbe en laissant une cicatrice constituée de tissus fibreux, qui va s’ossifier petit à petit », est-il aussi précisé.

À l’instar de l’endométriose, la spondylarthrite ankylosante relève du handicap dit « invisible » mais qui peut se révéler particulièrement invalidant. Elle est heureusement de mieux en mieux diagnostiquée, et reconnue.

Louane en a en tout cas pris son parti. « C’est simple, on se parle, j’ai mal. Mais j’ai l’habitude », a confié celle qui s’apprête à repartir en tournée. L’artiste de 28 ans se réjouit en tout cas de ne pas avoir « eu de vraie crise », de celle qui l’« empêche de marcher », depuis « vraiment longtemps ». « Ça ne m’est pas arrivé depuis un moment, un an au moins. La dernière fois que ça m’est arrivé, c’était en tournée l’année dernière sur les festivals », relativise-t-elle.

Toutefois, la jeune femme ne prend « plus de médicaments ». Ceux-ci consistent, selon les cas, à « beaucoup d’anti-inflammatoires, ou alors c’est plus compliqué, genre des anti-TNFα. Ça, c’est un peu intense », explique-t-elle. Autre solution : les infiltrations. « Ça, c’est horrible. C’est genre des aiguilles comme ça qu’on te met dans le dos pour aller jusqu’à tes articulations, ou dans le poignet ou là où t’as mal. » Mais pour celle qui s’apprête à épouser le père de sa fille Esmée, Florian Rossi, la solution est difficilement applicable puisque les douleurs surviennent partout. « Donc j’ai mal tout le temps », résume-t-elle.

La chanteuse de maman a donc trouvé d’autres parades pour atténuer les crises. « Je fais attention à ce que je mange pour que ça ne soit pas trop inflammatoire, et je fais beaucoup de Pilates, ça m’aide vachement », confie Louane, qui assure s'en sortir « de mieux en mieux ».

Robin Wright évoque le combat pour obtenir des salaires égaux sur House of Cards

Récompensée pour l'ensemble de son oeuvre par une Nymphe de Cristal au Festival de la télévision de Monte-Carlo, Robin Wright s'est souvenue de sa lutte pour l'égalité salariale dans la série à succès de Netflix House of Cards. Un combat plutôt tendu qu'elle a révélé lors de la conférence de presse : « Ça a été difficile. Ils m'ont dit : «Nous ne pouvons pas vous payer le même salaire qu'un acteur." " Quand l'actrice qui se fit connaître au cinéma dans Princess Bride interroge ses employeurs sur la raison qui motiverait cet écart de salaire, la réponse de la production ne se fait pas attendre : « Parce que vous n'avez pas remporté d'Oscar. » En effet, sa co-star Kevin Spacey a remporté une statuette en 2000 pour American Beauty.

Celle qui explique que ce rôle l'a sauvée d'une "période de sécheresse" au début de la quarantaine s'est vu proposer une sorte de montage financier pour que son salaire puisse correspondre à celui de son collègue. Elle révèle ceci : " On m'a dit : " Bon, alors nous allons diviser votre salaire pour que ce soit équitable et vous nommer productrice exécutive, vous pourrez alors réaliser, et nous vous verserons trois chèques différents. "» Une combine qui choque l'actrice de She's so lovely ! Après des échanges tendus, l'actrice a toutefois gagné la confiance et le respect de la production, passant réalisatrice sur des épisodes de la saison 2, puis productrice exécutive et enfin tête d'affiche de la saison 6 après la mise en retrait de Kevin Spacey. Une triple casquette qu'elle a adopté à nouveau pour The Girlfriend, une série à suspens avec Olivia Cooke visible sur Prime Video!