11 août 2025

Critiqué pour ne jouer que son propre rôle à l’écran, George Clooney répond avec humour

George Clooney se fiche bien de ce qu’on peut dire sur ses capacités de comédien. Interrogé par Vanity Fair sur le fait qu’on lui reproche souvent de ne jouer que son propre rôle, l’acteur de 64 ans a répondu sans détour.

« Les gens disent que je ne joue jamais que mon propre rôle ? Je m’en fous complètement », a-t-il déclaré. « Il n’y a pas beaucoup de gars de mon âge qui sont autorisés à faire à la fois des comédies musicales comme O Brother d’un côté, et puis des drames comme Michael Clayton ou Syriana de l’autre. »

Et d’ajouter, non sans ironie : « D’ailleurs, avez-vous déjà essayé de jouer vous-même ? C’est dur à faire. »

George Clooney sera prochainement à l’affiche de Jay Kelly, un film de Noah Baumbach dans lequel il incarne… une star de cinéma mondialement connue en pleine crise existentielle ! Si l’acteur s’est dit séduit par le projet en quelques heures après avoir lu le scénario, il a tout de même posé ses conditions au réalisateur, réputé pour exiger de nombreuses prises de ses acteurs.

« J’ai littéralement dit à Noah : "Écoute, j’adore le scénario. Je t’adore en tant que réalisateur, mais j’ai 63 ans, mec - je ne peux pas faire 50 prises" », a révélé George Clooney. « Je n’ai pas ça en moi. J’ai un registre de jeu qui va de A à B. »

A supposer que le registre A corresponde au fait de jouer son propre rôle, on aimerait bien savoir à quoi correspond le registre B !

De passage en Irlande, Ed Sheeran s’arrête au pub et donne un concert impromptu

Ed Sheeran fait décidément comme chez lui quand il passe en Irlande ! Il y a quelques jours, la pop star britannique a donné un concert impromptu au Sky And The Ground, un pub de la ville de Wexford, où des groupes locaux se produisaient à l’occasion du Fleadh Cheoil na hÉireann, un festival de musique irlandaise bien connu des amateurs.

Le chanteur de 33 ans a chanté en chœur plusieurs chansons traditionnelles irlandaises avant de régaler le public avec quelques-uns de ses tubes comme le rapporte la BBC. Et face à la cohue provoquée par sa présence, Ed Sheeran n’a pas tardé à sortir dans la rue pour que le plus grand nombre puisse profiter du spectacle.

L’interprète de Photograph, dont le père est originaire de Belfast, a interprété plusieurs morceaux folk traditionnels irlandais dont Wild Mountain Thyme aux côtés du groupe BIIRD, ainsi que Raglan Road, chanson écrite par le poète irlandais Patrick Kavanagh et popularisée par The Dubliners. À l’extérieur, Ed Sheeran a, entre autres, joué son classique Perfect pour le plus grand bonheur de la foule.

L’argent généré par le passage d’Oasis à Manchester va permettre de financer les salles indépendantes

Les concerts d’Oasis à Manchester rapportent gros… aux petites salles ! Les frères Gallagher ont donné cinq concerts à Heaton Park dans le cadre de leur tournée de retrouvailles, attirant plus de 320.000 spectateurs. Autant de personnes dont la venue a généré beaucoup d’argent, et le fait est que la municipalité vient d’annoncer qu’une partie de ces revenus servira à soutenir les salles indépendantes.

Ces shows monumentaux, ainsi que les concerts d’autres stars comme Billie Eilish, Olivia Rodrigo, Charli XCX, Elbow, Fontaines D.C. ou encore Robbie Williams, ont considérablement dopé l’économie locale. Le conseil municipal de Manchester a ainsi pu constituer un fonds de 250.000 livres sterling grâce aux revenus de location de ses parcs et aux taxes professionnelles versées par les grandes salles.

Les petites salles pourront candidater pour obtenir des subventions de ce nouveau fonds, qui devrait être géré par l’association Music Venue Trust comme le relaye la BBC. Bev Craig, responsable du conseil municipal, a souligné que si les plus gros concerts « font les gros titres », ils ne sont « possibles que parce qu’ils font partie d’un écosystème plus large » où les petites salles « servent de tremplin aux artistes ».

Jay Taylor, coordinateur national du Music Venue Trust, considère que cette aide arrive au bon moment, après la réduction des allègements fiscaux gouvernementaux pour les petites salles.

Les métamorphoses de Tahar Rahim pour des rôles ont des conséquences sur sa santé

Tahar Rahim n’hésite pas à se livrer corps et âme pour ses rôles. L’acteur, de retour au cinéma le 20 août dans le drame Alpha de Julia Ducournau, a dévoilé à L’Équipe qu’il avait « perdu 22 kg » pour ce film où il incarne un junky. Un pari de taille pour le comédien de 44 ans qui s’estimait déjà « maigre » avant cette transformation, mais qui avait « besoin d’aller plus loin ».

Pour parvenir à ses fins, Tahar Rahim a adopté la même approche que les « sportifs de haut niveau ».

« Il y a le travail, l’abnégation, le tunnel… Ça passe forcément par une préparation physique », a-t-il confié au magazine, ajoutant que ces efforts, qu’il a lui-même entrepris, font partie du métier : « Demande ou pas, vu le script, si je n’ai pas cette apparence physique, j’abîme le film de l’intérieur. Et c’est foutu. »

L’époux de Leïla Bekhti a ensuite repris « 15 kg de muscles » pour un autre film, dont il vient de terminer le tournage. Si ces chiffres donnent le tournis, ils reflètent un certain souci d’authenticité chez l’acteur d’Un prophète. Comme il l’explique, le corps « envoie la première impression » au spectateur, et c’est son apparence physique « qui impulse tout ». Par ailleurs, Tahar Rahim ne peut « entrer dans la maison (du personnage) » s’il n’a « pas le corps » de son rôle.

Toutefois, ces transformations ont eu des conséquences sur sa santé, même s’il affirme s’être entouré de certains spécialistes, dont « un cardiologue, une nutritionniste-biologiste ». Mais ces changements ne sont « pas neutres », comme il l’a admis, « notamment pour les tendons ». Et de préciser : « Je me tape plein de tendinites. » Ce type de préparations est néanmoins inévitable pour Tahar Rahim, à qui il arrive de « comparer (s) on métier à de la boxe ».

Ce jour où Emma Thompson a repoussé les avances de Donald Trump

Emma Thompson a un jour reçu un curieux coup de téléphone. L’actrice était en plein tournage de Primary Colors, en 1998, une satire politique inspirée de l’ascension présidentielle de Bill Clinton, incarné par John Travolta. Drôle de timing, c’était aussi le jour où a été prononcé son divorce avec le cinéaste et comédien Kenneth Branagh. Et à l’autre bout du fil, « c’était Donald Trump », a raconté la star de Love Actually, lors d’une rencontre au Festival du film de Locarno, en Suisse, comme le rapporte The Guardian.

Celle qui a reçu le prix du Leopard Club, pour l’ensemble de sa carrière ce week-end, a expliqué que l’actuel président des États-Unis s’est présenté en disant : « Bonjour, ici Donald Trump ». Croyant à une blague, l’actrice a alors demandé « En quoi puis-je vous aider ? »

Mais la requête de Donald Trump, qui venait de se séparer de sa deuxième femme, Marla Maples, va quelque peu désarçonner l’actrice de Cruella.

« J’aimerais beaucoup que vous veniez séjourner dans l’une de mes magnifiques propriétés. Nous pourrions peut-être dîner ensemble », a-t-il alors lancé, selon elle. Pas de quoi impressionner la lauréate des Oscars qui a répondu : « C’est très gentil. Merci beaucoup. Je vous rappellerai. » Et ne l’a jamais fait.

Avec du recul, la star pense que l’ancien présentateur de The Apprentice a su « que (s) on jugement de divorce avait été prononcé ce jour-là » et « qu’il avait des gens qui cherchaient une jolie divorcée à présenter ». Jamais bien loin de ses engagements en faveur de l’écologie et des droits des réfugiés et des femmes, Emma Thompson a conclu : « J’aurais pu sortir avec Donald Trump, et j’aurais eu une histoire à raconter. J’aurais pu changer le cours de l’histoire américaine. »

Space Invaders va être adaptée au cinéma

Si les jeux vidéo ont longtemps eu la réputation de générer de mauvaises adaptations, le vent a tourné ces dernières années avec des succès critiques et publics comme Super Mario Bros au cinéma ou The Last of Us sur le petit écran.

De quoi donner des envies à certains studios, comme New Line qui vient de recruter les scénaristes de la comédie d’action Netflix Gangsters par alliance, Ben Zazove et Evan Turner, pour adapter l’un des jeux d’arcade les plus populaires au monde, Space Invaders.

Deadline, qui a révélé l’information, n’en sait pas plus sur ce que racontera le film, mais précise qu’il sera produit par Akiva Goldsman, Joby Harold, Tory Tunnell, Greg Lessans, Rachel Wizenberg et Matt Schwartz.

Il devrait néanmoins être question d’invasion extraterrestre puisque dans le jeu créé par la société japonaise Taito, les joueurs doivent défendre la Terre d’une invasion alien, en tirant sur des vagues d’envahisseurs avant qu'ils atterrissent. Sorti sur les bornes d’arcade en 1978, Space Invaders est l’un des tout premiers shoot 'em up fixe, un genre qui atteindra son apogée à la fin des années 1980 et au début des années 1990.

Vite devenu un phénomène, Space Invaders a eu droit à de nombreuses suites et transpositions sur d’autres systèmes de jeu, comme les ordinateurs et les consoles, au fil des décennies. Le plus récent étant Space Invaders Infinity Gene Evolve, sorti en avril dernier sur Apple Arcade.

Si ce projet marque la première adaptation de Space Invaders à l’écran, d’autres jeux d’arcade ont déjà pris vie au cinéma, comme Mortal Kombat, qui après deux films dans les années 90 est revenu durant le Covid avec un reboot dont la suite, qui a déjà battu un record, est attendue en salle en octobre prochain.

Mais aussi Street Fighter, qui a eu droit à de nombreuses adaptations et dont un nouveau film est en projet avec Jason Momoa au casting, lui qui était déjà la star d’une adaptation d’un célèbre jeu vidéo cette année : Minecraft, qui est à ce jour le plus gros succès de 2025 aux Etats-Unis avec près de 424 millions de dollars de recettes, et près d’un milliard dans le monde. De quoi lui assurer d'avoir lui aussi une suite ! 

09 août 2025

Tom Hanks rend hommage à Jim Lovell, le vrai héros d’Apollo 13

"Bonne route pour ce nouveau voyage".

Tom Hanks a rendu hommage à l’astronaute Jim Lovell, qu’il incarnait dans le film Apollo 13 en 1995 et qui vient de décéder.

Réalisé par Ron Howard, le long métrage retraçait la mission lunaire de la navette spatiale, marquée par une explosion en plein vol qui obligea la NASA à improviser pour ramener l’équipage sain et sauf sur Terre. "Houston, on a un problème..." est resté comme l'une des répliques les plus cultes du 7e art. Et Tom Hanks salue la mémoire de celui a réellement dit cette phrase dans les étoiles :

"Il y a des gens qui osent, qui rêvent et qui entraînent les autres vers des lieux où nous n’irions pas seuls. Jim Lovell, qui pendant longtemps avait été plus loin dans l’espace et plus longtemps que quiconque sur notre planète, était de ceux-là," a écrit Hanks sur ses réseaux sociaux. "Ses nombreux voyages autour de la Terre et jusqu’aux portes de la Lune n’étaient pas motivés par l’argent ou la célébrité, mais par le fait que relever de tels défis est le carburant même de la vie — et qui mieux que Jim Lovell pour accomplir ces voyages." Et de conclure :

"En cette nuit de pleine lune, il s’en va — vers les cieux, le cosmos, les étoiles. Bonne route pour ce nouveau voyage, Jim Lovell."

Ron Howard a également tenu à saluer l’ancien commandant, tout comme Brian Grazer, producteur d’Apollo 13.

"Reposez en paix, Commandant Lovell. Pilote d’essai de la Navy, Gemini 7, Gemini 12, Apollo 8 et bien sûr Apollo 13. Le simple fait de l’avoir connu a été un immense honneur. Son mélange d’intellect, de courage et de sens du devoir en faisait l’un des individus les plus remarquables que j’aie rencontrés. Son soutien à notre travail a inspiré l’authenticité et élevé notre démarche à bien des égards. Merci, monsieur, pour votre service à notre pays et à l’humanité."

Vétéran de quatre missions spatiales — Gemini VII, Gemini XII, Apollo 8 et Apollo 13 —, Lovell est mort jeudi dans l’Illinois, à 97 ans.

Sorti en juin 1995, Apollo 13 avait rapporté 355 millions de dollars dans le monde pour un budget de 52 millions, devenant le troisième plus gros succès mondial de l’année et remportant deux Oscars (meilleur montage et meilleur son) sur neuf nominations, dont celle du meilleur film.

Destination Finale 7 est lancé

La grande faucheuse n'a a pas fini son travai.

Warner Bros. et New Line viennent de commander Destination Finale 7. 

C'est Lori Evans Taylor, co-scénariste de Destination Finale : Bloodlines, et qui avait fait un super boulot pour relancer la vieille franchise horrifique, qui sera de retour à l’écriture. Elle sera épaulée par les producteurs historiques Craig Perry, Sheila Hanahan Taylor, Jon Watts, Dianne McGunigle et Toby Emmerich, tandis que Warren Zide officiera comme producteur exécutif.

Sorti en mai dernier après quatorze ans de silence, le 6e opus de la saga Destination Finale avait relancé la marque avec fracas : numéro 1 du box-office mondial dès son week-end de sortie, record historique pour la franchise avec 140 millions de dollars de recettes au box-office US, et un cumul final de 286 millions de dollars au global, faisant du film le plus gros succès de la série. Au total, les six volets de Final Destination ont rapporté quasi 1 milliard de dollars dans le monde, en faisant la troisième franchise horrifique de New Line derrière The Conjuring et Ça.

Co-écrit par Taylor et Gary Busick, Bloodlines avait élargi l’univers avec une intrigue où la Mort – antagoniste invisible mais implacable – traquait les membres de plusieurs générations d’une même famille. Un concept jugé malin et imprévisible. On ne sait pas encore si Destination Finale 7 sera une suite directe suivant d'autres descendants d'Iris Campbell ou s'il s'agira d'une autre histoire, avec d'autres gens avec la Mort aux trousses.

Jim Lovell, commandant de la mission Apollo 13

Il est le co-auteur de cette fameuse phrase que l’on a tous au moins entendue une fois : "Houston, nous avons un problème". L’astronaute Jim Lovell est décédé jeudi 7 août à l’âge de 97 ans, a annoncé la NASA sur X vendredi 8 août. Commandant de la mission Apollo 13, c’est lors de celle-ci qu’il prononça cette fameuse phrase d’un ton étonnamment calme alors qu’une explosion d’un réservoir à oxygène dans le module de commande et de service venait d’avoir lieu. Un exploit surréaliste qui a permis aux trois astronautes de rentrer sains et saufs, transformant une mission qui aurait pu être un désastre en "un modèle d’ingéniosité et de survie", selon le site Space.com qui lui a rendu hommage.

"La Nasa présente ses condoléances à la famille du commandant Jim Lovell, dont la vie et l’œuvre ont inspiré des millions de personnes au fil des décennies", a déclaré l’agence spatiale dans un communiqué, saluant son "caractère et son courage inébranlable" ayant permis aux États-Unis "d’atteindre la Lune".

Et parmi les personnes que Jim Lovell a inspirées, il y a le réalisateur Ron Howard qui a décidé d’en faire un film : "Apollo 13". Interprété par Tom Hanks, l’héroïsme de Jim Lovell a été largement mis en avant à travers ce blockbuster américain. L’acteur a réagi à la mort de l’astronaute en lui rendant un touchant hommage sur Instagram : "Jim Lovell, qui pendant longtemps était allé plus loin que n’importe quelle autre personne de notre planète, était ce type gentil. Ses nombreux voyages autour de la Terre et jusqu’à très près de la lune n’ont pas été faits pour la richesse ou la célébrité, mais parce que de tels défis sont ce qui alimente le cours de la vie. En cette nuit de pleine lune, il décède - vers les cieux, vers le cosmos, vers les étoiles."

Aujourd’hui, cinquante ans après la dernière mission Apollo, la Nasa prépare un nouveau programme, auquel l’astronaute français Thomas Pesquet participe, pour à nouveau envoyer des hommes sur la Lune.

Au total, Jim Lovell aura passé, au cours de sa carrière, 715 heures dans l’espace, “plus que n’importe quel astronaute des programmes pionniers Mercury, Gemini et Apollo, créés par les États-Unis dans le cadre de leur course à envoyer un homme sur la Lune avec l’Union soviétique”, explique le New York Times. Mais le quotidien le rappelle : "Le capitaine Lovell n’a jamais réalisé son rêve d’atteindre la surface lunaire."

08 août 2025

Bande-annonce de Pris au piège, avec Austin Butler et Zoë Kravitz

Un mois après la ressortie en salles de son film choc Requiem for a Dream, le metteur en scène américain Darren Aronofsky dévoile la bande-annonce de son nouveau film, Pris au piège - Caught Stealing, prévu dans nos salles le 27 août prochain.

Porté par Austin Butler, Zoë Kravitz, Matt Smith, Bad Bunny, Regina King, Liev Schreiber et Vincent D'Onofrio, le long métrage est l'adaptation du roman homonyme de Charlie Huston, qui signe également le scénario. Ce thriller urbain marque le premier volet d’une trilogie centrée sur le personnage de Hank Thompson. Fidèle aux thèmes récurrents du cinéma de Darren Aronofsky, le film met en scène la descente aux enfers de son protagoniste.

Pris au piège - Caught Stealing suit Hank Thompson (Butler), un ancien joueur de baseball qui plonge dans le milieu criminel du New York des années 1990. Les premières images dévoilées ce jour nous promettent un film intense riche en action et en humour noir.

Deux ans après The Whale, Darren Aronofsky revient donc avec un film noir qui lui rappelle sa propre expérience new-yorkaise à la fin des années 1990, comme il le confiait récemment dans les colonnes de Vanity Fair : "Ce film est rempli d'excentriques. C'est un peu mon expérience et c'est pourquoi j'aime tant l'East Village. C'est un véritable aimant pour ça, encore aujourd'hui. J'ai essayé de faire un film de genre avec les meilleurs acteurs du monde, avec la meilleure équipe du monde, et de lui donner vie avec le genre d'énergie que j'ai ressenti en 1998."

Il ajoute non sans ironie : "Tout le monde pense que l'East Village lui appartient. Et c'est drôle, parce que je crois que l'East Village m'appartient. J'y vais depuis que je suis au lycée.

J'étais un garçon de Brooklyn, et c'était l'endroit le plus cool du monde, en partie parce que c'était le seul endroit où l'on servait des mineurs à l'époque. Nous allions toujours dans l'East Village et nous nous mettions dans le pétrin".

Pris au piège - Caught Stealing sort dans nos salles le 27 août prochain. Avant cela, Austin Butler sera à l'affiche du nouveau film d'Ari Aster Eddington, présenté en Compétition au Festival de Cannes.