31 octobre 2025

L'Echelle de Jacob revient bientôt au cinéma

Flashdance, 9 Semaines ½, Liaison Fatale, Proposition Indécente... Derrière ces importants succès se cache un réalisateur, Adrian Lyne. Dès les années quatre-vingt, ce Britannique se fait un nom grâce à ses thrillers érotiques. Portés par des acteurs au sommet de leur popularité, les films récoltent énormément d'argent, permettant au cinéaste d'acquérir une certaine liberté.

Quand il pose ses yeux sur un script de Bruce Joel Rubin - le scénariste de Ghost -, intitulé L'Echelle de Jacob, le réalisateur y voit l'occasion idéale pour proposer un film plus personnel. L'histoire suit Jacob Singer, un Américain de retour de la guerre du Vietnam et tourmenté par des visions cauchemardesques qui altèrent sa réalité.

Le studio Paramount achète le script puis, insatisfait de la fin et des scènes au Vietnam, décide de s'en débarrasser. C'est finalement la société Carolco Pictures qui reprend le projet, offrant une carte blanche totale à Adrian Lyne. Ce dernier imagine Tom Hanks en Jacob Singer avant de choisir Tim Robbins.

Le résultat à l'écran est bluffant. L'Echelle de Jacob est l'un des films américains les plus sombres des années quatre-vingt-dix, probablement l'un des meilleurs aussi. Longtemps indisponible, ce classique oublié est aujourd'hui réédité en 4K depuis le 15 octobre et ressortira le 17 décembre prochain sur grand écran, près de 35 ans après sa sortie.

Refusant d'inscrire son film dans un genre bien défini, Adrian Lyne réalise une œuvre susceptible de vous traumatiser autant qu'elle peut vous émouvoir. Entre film d'horreur et drame existentiel, L'Echelle de Jacob s'imprime dans les esprits grâce à ses apparitions monstrueuses - bon nombre d'entre elles ont même inspiré le jeu vidéo Silent Hill.

Le long métrage se veut aussi politique, livrant un message clair sur le stress post-traumatique des vétérans du Vietnam et les expériences dont ils auraient été victimes au front. C'est certainement ce qui explique l'échec cuisant du film à sa sortie. Après une succession de cartons, Adrian Lyne fait face au rejet du public.

Dans un entretien réalisé par le journaliste Didier Allouch - présent sur l'édition 4K du film -, l'acteur Tim Robbins explique que les circonstances politiques de l'époque, et notamment la Guerre du Golfe - qui démarrait quelques mois avant - ont eu d'importantes conséquences sur sa réception.

"C'était le pire film qu'on pouvait sortir à ce moment-là, estime-t-il. Les gens ne voulaient pas qu'on leur parle d'un vétéran du Vietnam. Ils pensaient à la reconquête. L'Echelle de Jacob n'était pas adapté à l'époque."

Pourtant, l'échec n'a pas eu raison du film. Trente-cinq ans plus tard, L'Echelle de Jacob fascine encore les spectateurs et spectatrices qui croisent son chemin et gagne à être redécouvert par un nouveau public.

Road House : le remake va avoir droit à deux suites différentes et concurrentes

Sorti en 2024 et réalisé par Doug Liman (Mr and Mrs Smith, Edge of Tomorrow), Road House a été un énorme succès pour Amazon Prime, cumulant près de 50 millions de visionnages à travers le monde en seulement deux semaines. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce qu’une suite, actuellement en tournage, ait été mise en chantier.

Sauf qu’Amazon Prime n’est pas seul sur le coup puisque, cas unique dans l’histoire des franchises à Hollywood, une autre suite (du même film !) est actuellement développée par des studios concurrents. Comment est-ce possible ?

Lorsque Doug Liman est engagé pour réaliser ce remake du film culte Road House avec Patrick Swayze, il accepte car le projet devait (lui aurait on dit) sortir en salles. Problème, Road House version Jake Gyllenhaal sortira finalement en streaming sur Prime Video. De quoi déclencher la colère du réalisateur, qui avait carrément appelé au boycott de l’avant-première de son propre film !

Road House version 1989 ayant eu une suite officielle, Doug Liman aurait alors secrètement acquis les droits du remake de celle-ci, afin de court-circuiter Amazon dans son projet de décliner Road House 2024 en franchise. [Source : Deadline]

Baptisée Road House : Dylan, ce scénario signé Doug Liman n’est pas celui mis en chantier par Amazon, qui a alors décidé de développer une suite originale à l’histoire Road House. Actuellement en tournage donc, cette suite est désormais réalisée par Ilya Naishuller, avec Dave Bautista, Aldis Hodge et Leila George au casting.

Nous nous retrouvons ainsi avec deux suites concurrentes du même film. Une situation totalement ubuesque, rendue possible du fait des multiples procès encore en cours concernant les droits d’auteur de la franchise Road House. On vous épargne les détails, mais le scénariste du film original conteste à Amazon le droit d’avoir remaké son film, en raison du statut légal de… bref. Tout ça est un imbroglio juridique qui n’est pas prêt de se dénouer.

Woody Allen prépare un nouveau film pour 2026 en Europe

A bientôt 90 ans, l'heure de la retraite n'a pas encore sonné pour Woody Allen. Le cinéaste américain s'offre même une double actualité. La plus proche est la parution d'un livre qui vient de débarquer dans les rayons des librairies françaises : Quelle mouche a piqué Baum ?, édité chez Stock.

Si Woody Allen avait déjà pris la plume pour partager ses mémoires (le livre Soit dit en passant, déjà chez Stock en 2020), puis un recueil de nouvelles sous le titre Zéro gravité (Stock, 2023), il s'essaye cette fois-ci pour la première fois au genre du roman.

L'intrigue se présente ainsi : Depuis quelque temps, Asher Baum n’est plus lui-même. Il vient d’être lâché par son prestigieux éditeur new-yorkais, son troisième mariage est sur le point de sombrer et son insupportable beau-fils est devenu la nouvelle coqueluche de l’édition. Pire encore, dans un moment de folie, Baum a tenté d’embrasser une jeune journaliste, ce qu’elle s’apprête à rendre public. Alors, quand il découvre un secret fracassant, il ne sait plus où donner de la tête : doit-il le taire ou le révéler, quitte à faire exploser son couple ?

Une intrigue qui laisse à penser qu'elle pourrait ensuite donner lieu à un film, car on y retrouve les marottes du cinéaste.

Ce livre sera-t-il le sujet du prochain film de Woody Allen ? Si tel était le cas, il lui faudra transposer l'histoire dans un autre pays et une autre ville. L'intrigue et le titre du film sont pour l'instant soigneusement tenus secrets. Seul le nom de code WASP 2026 a filtré. Mais la confirmation est faite qu'un tournage est prévu en 2026 en Espagne.

Libération rapporte l'information (via le quotidien espagnol El Pais). Le film devra être tourné à Madrid et avoir le nom de Madrid au sein de son titre. La Comunidad de Madrid apportera des fonds publics (1,5 million d'euros), "justifié par «la promotion [de Madrid] comme destination de voyage»", précise Libération.

Ce n'est pas la première fois que Woody Allen tournerait en Espagne. Il y avait filmé Barcelone dans Vicky Cristina Barcelona en 2008, et San Sebastian dans Rifkin's Festival, sorti en 2022.

Le dernier film de Woody Allen remonte à Coup de chance, son 50e long métrage, sorti en 2023 en France. Au moment de la promotion du film, le cinéaste avait indiqué vouloir prendre sa retraite.

"Je veux arrêter pour deux raisons. La première est qu'il est de plus en plus difficile de trouver de l'argent pour réaliser des films. C'est la partie la plus ennuyeuse dans ce métier. La seconde, c'est que je n'aime pas ce qu'est devenu le cinéma aujourd'hui avec les plateformes de streaming".

Et d'ajouter : "Avant, c'était très excitant de retrouver son film sur grand écran, de voir les gens remplir une salle et de vivre une expérience commune. Si quelqu'un décidait de me financer, je succomberais sans doute à la tentation de faire un autre long métrage, mais je tenterai de faire en sorte que mon film reste le plus longtemps possible à l'affiche", avait-il indiqué au micro de France Info.

Rappelons que depuis 2018, Woody Allen est dans la tourmente après des accusations d'agressions sexuelles par sa fille adoptive. Par la suite, dans le sillage du mouvement MeToo, Hollywood lui a tourné le dos et le réalisateur a eu beaucoup plus de mal à monter ses projets, lui qui avait habitué le public à un long métrage par an. 

Pourquoi Tron : Ares n’est pas forcément un flop selon Jeff Bridges

Les résultats de Tron : Ares sont pour le moins en demi-teinte.

Mais Jeff Bridges veut nuancer. L'acteur de 75 ans apporte un point de vue intéressant sur ce que représente vraiment un “échec” au box-office.

Le film était annoncé comme le blockbuster d’automne de Disney, avec un budget estimé à 220 millions de dollars. Pour être rentable, il devait doubler cette somme. Sorti le 10 octobre, Tron : Ares a ouvert au box-office US avec seulement 33,5 millions de dollars, loin des projections initiales. À ce jour, le long-métrage cumule 124 millions de dollars de recettes totales, et le film devrait finir sa carrière autour de 160 millions. Si cela se confirme, Disney risque d'enregistrer une perte de plus de 130 millions... Aïe.

Pour autant, Jeff Bridges, qui reprend le rôle de Kevin Flynn, relativise : l’ouverture au box-office ne doit pas être le seul critère pour juger un film. Il prend l’exemple d’un autre flop devenu culte :

“C’est intéressant de voir comment un film est jugé dès son premier week-end dans les salles" confie Bridges à Entertainment Weekly. “Je me souviens de La porte du Paradis, considéré à l’époque comme un désastre, mais aujourd’hui, il est vu un peu comme un chef-d’œuvre.”

Sorti en 1980, La porte du Paradis, le western épique de Michael Cimino après Voyage au bout de l’enfer, avait été massacré par la critique et n’avait rapporté que 3,5 millions pour un budget de 44 millions. Depuis, le film a été réévalué et même remonté, obtenant désormais un accueil beaucoup plus favorable.

Ce qui fait dire à Jeff Bridges :

"Souvent, moi-même, je n’ai pas aimé un film au premier visionnage. Et puis quelques semaines ou mois plus tard, je le revois et je me dis : ‘Mais à quoi je pensais ?’ Comme dirait Le Dude : ‘C’est juste ton opinion, mec.’”

Pour lui, Tron : Ares pourrait donc très bien voir sa réputation évoluer avec le temps... Certes. Mais pas certain qu'ils voient les choses du même oeil chez Disney...

Jean Dujardin garde un souvenir marquant de

Pour la première fois de sa carrière, Jean Dujardin s'essaye à la science-fiction dans L'Homme qui rétrécit, nouveau film de Jan Kounen. L'acteur y incarne un homme ordinaire, Paul, victime d'un phénomène inexplicable : il est en train de disparaître en rétrécissant de façon accélérée.

Véritable film de genre, ce projet ambitieux permet au Français oscarisé d'explorer de nouveaux territoires devant la caméra. Mais quel est son rapport au cinéma de genre ? Alors que la période d'Halloween s'y prête, nous avons demandé à Jean Dujardin de parler de son film d'horreur préféré.

"Sans hésiter, L'Exorciste. Je l'ai revu et que ça n'a pas bougé. C'est tellement bien mené jusqu'à cette scène absolument effroyable où la mère monte l'escalier et entre dans cette chambre", explique l'acteur.

Il poursuit : "L'Exorciste fonctionne autour d'angoisses assez lentes. Ce sont des angoisses que j'aime, comme dans L'Homme qui rétrécit. Il se passe quelque chose mais on ne sait pas trop ce qu'on a. On va voir le médecin de famille qui vous envoie avoir un endocrinologue. On fait des batteries de test et on voit les angoisses de cet homme qui se relève la nuit, qui fait du sport... Puis on connait l'hypocondrie des hommes."

"J'ai ce souvenir-là dans L'Exorciste. On prend le temps de vous dire que c'est très normal ce qui est en train de se passer. En réalité, elle est "juste" habitée par le diable. Alors que si ça arrive cinq minutes après le générique de début, vous n'y croyez pas. Et j'ai encore la crainte de le revoir. Je l'ai vu à 14 ans, ce qui n'était pas la meilleure idée. J'ai vraiment eu du mal à m'endormir."

30 octobre 2025

Sydney Sweeney incendiaire dans une robe argentée sans soutien-gorge

En quelques années, Sydney Sweeney s’est imposée comme l’une des actrices les plus en vue de sa génération. Révélée par ses rôles dans Euphoria et The White Lotus, la jeune Américaine a très vite conquis Hollywood. Son jeu intense, sa beauté magnétique et son charisme naturel ont séduit le public comme les critiques. Derrière son image de sex-symbol assumé, Sydney Sweeney trace sa route avec détermination.

À 28 ans, elle alterne entre drames psychologiques, comédies romantiques et films indépendants audacieux. Connue pour son regard perçant, Sydney affiche une allure rétro façon pin-up des années 60. Elle cultive ainsi une image à la fois glamour et puissante. Productrice, entrepreneuse et féministe engagée, elle incarne cette nouvelle génération d’actrices qui veulent contrôler leur image autant que leur destin.

Sydney Sweeney a une nouvelle fois captivé tous les regards. L’actrice âgée de 28 ans, a foulé le tapis rouge de l’événement Power of Women 2025 organisé par Variety au Beverly Hills Hotel. Sublime dans une robe moulante transparente à manches mi-longues et à la coupe fluide, elle a opté pour un style audacieux. En faisant l’impasse sur le soutien-gorge, elle a dévoilé sa silhouette tonique.

Minimaliste et élégante, elle a ajouté à sa tenue des boucles d’oreilles pendantes en perles. Sa coiffure courte, ultra-brillante, affichait des pointes légèrement retournées. Connue pour avoir “volé la vedette” lors de la World Series dans une robe rouge incendiaire, Sydney a attiré tous les regards sur le tapis rouge. Elle a ensuite prononcé un discours particulièrement émouvant à l’intérieur du lieu.

Sur scène, la comédienne a tenu à célébrer “le pouvoir des femmes”. Elle a déclaré : "Le pouvoir de se relever, de se battre et de continuer à croire en soi, même quand personne d’autre ne le fait".  Très émue, l'actrice a dédié son prix à Christy Martin, ancienne championne de boxe américaine victime de violences conjugales. "Elle signifie énormément pour moi et je suis si heureuse qu’elle soit ici ce soir, c’est une héroïne, une véritable outsider", a-t-elle ajouté. Sydney a révélé qu’elle incarnait Christy dans son prochain film Christy, en salles le 7 novembre. Elle a décrit cette expérience comme “l’une des plus inspirantes” de sa carrière.

"La force de Christy ne réside pas dans ses coups, mais dans son cœur", a-t-elle souligné, avant d’ajouter avec émotion : "Chacune d’entre nous a son propre combat. La force ne doit pas toujours être bruyante, c’est aussi se relever encore et encore, peu importe qui regarde". Pour ce rôle, l’actrice a appris la boxe et a insisté sur la réalité des combats : "Chaque coup que vous voyez à l’écran est réel. Nous nous frappions vraiment. Je voulais que tout paraisse authentique".

Michel Drucker : ce soin de routine qui a failli avoir sa peau

À 81 ans, Michel Drucker continue d’enchaîner les dimanches sur France 3 comme si de rien n’était. Pourtant, le monument de la télévision française revient de très loin. Invité par Guillaume Pley sur sa chaîne YouTube, l’animateur de Vivement dimanche s’est livré sans filtre sur ses problèmes de santé passés… et une infection qui aurait pu lui coûter la vie.

Son ton est détendu, sa voix posée, mais l’histoire qu'il raconte est tout sauf anodine. "J’ai eu un soin dentaire", commence-t-il. En apparence banal, ce rendez-vous médical s’est transformé en cauchemar, parce qu'il a entrainé une cascade de complications graves. Pour Michel Drucker, c’est un véritable miracle d’être encore debout.

Cela faisait déjà quelques années que la santé de Michel Drucker inquiétait ses proches. Hospitalisé en 2020 pour une opération à cœur ouvert, puis une seconde fois en 2021, l’animateur de France Télévisions a vu sa vie basculer à plusieurs reprises. Mais il ignorait que le vrai danger viendrait d’ailleurs. "Il m’est arrivé un truc tout bête", résume-t-il. "J’ai eu un soin dentaire. J’ai une bactérie qui est partie partout : dans les reins, dans les jambes, partout. Et ça risquait de monter au cerveau. Je risquais de faire deux AVC."

Après un mois à ressentir un profond malaise, il finit par être opéré d’urgence pour changer une valve au cœur. "On m’a dit : 'Il y a un truc qui ne va pas, il faut opérer'", explique-t-il encore. S’il pensait en avoir fini, un an et demi plus tard, le scénario se répète. "Rebelote… deuxième opération", confie Michel Drucker, visiblement encore marqué par cette période difficile. Il ajoute avec gravité : "J’aurais dû avoir des séquelles. J’aurais dû ne plus marcher. On a failli me couper la jambe aussi."

Ce parcours médical aussi impressionnant qu’angoissant ne l’a pourtant pas empêché de reprendre du service. Dès qu’il a pu remonter sur scène, Michel Drucker s’est réinstallé sur son fameux canapé rouge, fidèle au poste comme toujours. Il le répète : "Les médecins me disent que je suis un miraculé." Et cette phrase, il ne la prononce pas à la légère.

Devenu malgré lui un symbole de résilience, l’animateur star s’accroche à ses routines et à son métier. À 81 ans, il continue d’enregistrer Vivement dimanche, et de faire rêver des générations de téléspectateurs avec des anecdotes de légende. Une chose est sûre : rien ne semble pouvoir venir à bout de Michel Drucker, pas même une infection sournoise partie d’une banale dent !

Daniel Auteuil : ce trouble très handicapant dont il est atteint, tout comme son fils

Daniel Auteuil va bientôt revenir sur le grand écran, dans le prochain film de Rebecca Zlotowski : Vie Privée, au côté de Jodie Foster. Le long métrage sortira le 26 novembre 2025, et raconte l’histoire de Lilian Steiner, une psychiatre qui apprend la mort de l’une de ses patientes, et se persuade qu’il s’agit d’un meurtre. Derrière son talent d’acteur, l’artiste a connu certains obstacles. Il a découvert tardivement qu’il était atteint de dyspraxie, un trouble du développement moteur qui touche entre 4 et 6 % de la population.

Cette particularité rend les gestes précis et coordonnés difficiles. “Je pense que je suis un autodidacte de la dyspraxie. Je ne savais pas que je l’étais”, a confié Daniel Auteuil sur France Bleu en février dernier. C’est en voyant son fils Zachary rencontrer les mêmes difficultés qu’il a fait le lien. “Quand on a décelé chez mon fils ce même truc et qu’on a quitté l’enseignement normal pour aller dans une école dite alternative, j’ai compris.”

L’acteur s’est montré très sincère sur le vécu de ce trouble. “On souffre ! On souffre ! C’est-à-dire que l’on croit être un crétin… On doit l’être… On perd confiance en soi.” Il a raconté combien cela avait influencé son parcours d’artiste : “Si on m’avait pris au conservatoire d’art dramatique, je n’aurais pas attendu presque 40 ans avant de jouer une pièce classique.”

Aujourd’hui, il relativise cette expérience et voit dans sa dyspraxie une force. Le mari d’Aude Ambroggi garde une réelle empathie pour son fils, qu’il a voulu préserver en l’inscrivant dans une école adaptée.

Zachary suit donc une scolarité dans une école alternative où la musique et le dessin tiennent une place importante, source Santé Magazine dans un article. Un cadre plus souple, qui favorise son apprentissage. La prise en charge de la dyspraxie y est multidisciplinaire, mêlant ergothérapie, psychomotricité et orthophonie.

Cette collaboration entre enseignants, rééducateurs et parents permet de soutenir au mieux les enfants concernés. Pour Daniel Auteuil, ce choix a été une évidence. Très proche de son fils, il partage avec lui plusieurs passions, comme la musique et la pêche, qui renforcent leur complicité.

Daniel Auteuil est aussi père de deux filles, Aurore et Nelly, nées de précédentes relations. Avec sa fille aînée, également comédienne, il partage parfois l’écran. Mais c’est avec Zachary qu’il a découvert une autre facette de la paternité. 

La virée shopping de Rihanna après son troisième accouchement

À peine six semaines après la naissance de sa fille, Rihanna a fait une apparition remarquée dans Los Angeles. La chanteuse a été photographiée ce 29 octobre en pleine séance de shopping, plus rayonnante que jamais.

La star barbadienne était super lookée, comme à son habitude. Elle portait une longue robe-chemise dans des tons automnales, assortie à la saison, qu’elle avait associée à des cuissardes en python. Un rouge à lèvres éclatant et de larges lunettes de soleil complétaient ce look travaillé. Décontractée mais sûre d’elle, Rihanna semblait parfaitement remise de son troisième accouchement.

Depuis la naissance de sa fille Rocki Irish Mayers, le 13 septembre dernier, la chanteuse savoure pleinement sa nouvelle vie de maman. Sur Instagram, elle avait partagé quelques jours plus tard de tendres clichés où elle apparaît radieuse, son bébé dans les bras. Une publication rare pour celle qui protège sa vie privée.

Rocki vient agrandir une famille déjà bien unie. Avant elle, Rihanna et son compagnon A$AP Rocky avaient accueilli deux garçons : RZA, né en mai 2022, et Riot, né en août 2023. Trois enfants en un peu plus de trois ans, un rythme soutenu que la star parais gérer avec sérénité. Son apparition à Los Angeles en est la preuve : talons hauts, allure impeccable, elle affichait une énergie retrouvée.

Rihanna et A$AP Rocky forment aujourd’hui l’un des couples les plus suivis du show-business. Ensemble depuis la fin de 2020, ils affichent une complicité sans faille. Leurs rares apparitions publiques témoignent toujours d’une relation solide, et maintenant d’une grande famille. 

L’arrivée de Rocki Irish a renforcé encore un peu plus ce lien entre les deux amoureux. Rihanna profite encore de son congé maternité, et n’a pas encore annoncé de retour dans l’industrie de la musique. Avant son accouchement, la chanteuse avait célébré sa longue carrière à travers des vidéos postées sur les réseaux sociaux. En effet, celle qu’on appelle “Riri”, avait posté des souvenirs de ses meilleurs tubes et des moments marquants de sa vie d’artiste. L’occasion pour ses fans d’espérer un retour de la chanteuse. Peut-être un nouvel album en 2026 ? 

Pharrell Williams acquiert un hôtel particulier à Paris

L’artiste aux multiples talents vient de signer une acquisition qui affole les compteurs de l’immobilier de prestige à Paris. Comme le confirme Le Figaro, Pharell Williams vient en effet d'acquérir un hôtel particulier à Paris, situé dans le très prisé 7ᵉ arrondissement, pour un montant estimé autour de 63 millions d’euros.

Le bien se trouve au 23 rue de Constantine (et selon certaines sources, au 6 rue de Constantine), à deux pas de monuments emblématiques entre l’esplanade des Invalides et le Quai d’Orsay. Le quartier incarne le luxe discret : calme, élégant, résidentiel, avec une forte valeur patrimoniale. La demeure a de quoi faire tourner la tête : elle s’étend sur 1 900 m² et s’offre un jardin de 550 m², juste à côté de l’Hôtel de Monaco, là où résident les ambassadeurs de Pologne en France.

Pharrell Williams signe un achat spectaculaire et symbolique à Paris. Ce n’est pas juste un "pied‑à‑terre", mais une véritable maison secondaire qu'il s'offre. Une adresse qui marque un tournant dans son rapport à Paris, ville qu’il investit tant pour son inspiration artistique que pour son patrimoine immobilier.

Et pour le coup, il a fait une bonne affaire. Toujours selon nos confrères, les anciens propriétaires ont mis le paquet pour booster la valeur de ce bijou immobilier et justifier un prix stratosphérique. Avec son escalier monumental et même une piscine intérieure, l’hôtel particulier, cédé par la famille Meyer (une branche des célèbres Louis-Dreyfus, spécialistes des infrastructures) a été entièrement rénové et redécoré. Cerise sur le gâteau : tous les locataires ont été évacués, comme l’aurait exigé Pharrell Williams avant de signer la promesse de vente.

Le compagnon d'Helen possède plusieurs résidences de prestige à travers le monde, principalement aux États‑Unis. Parmi elles, on compte un vaste manoir à Coral Gables, en Floride, avec neuf chambres et un terrain de plus de 3 acres, une somptueuse demeure à Beverly Hills de près de 1 600 m² sur 4 acres, ainsi qu’une maison dans les Hollywood Hills achetée en 2015. Certaines de ces propriétés ont été vendues ou mises en vente, et il est possible qu’il possède d’autres biens via des sociétés ou holdings, ce qui rend difficile un décompte exact de l’ensemble de son patrimoine immobilier.