21 août 2025

Priyanka Chopra et Nick Jonas ne font pas de folies au lit, et c’est lui qui le dit !

Nick Jonas et Priyanka Chopra sont l’exemple d’un couple de célébrités heureux. Notons que les tourtereaux se sont rencontrés en 2017. La même année, ils avaient officialisé leurs fiançailles en Crète, en même temps que l’anniversaire des 36 ans de l’actrice. En décembre 2018, le chanteur de 32 ans et l’actrice de 43 ans se sont finalement mariés.

De cette belle idylle est née Malti Marie, une petite fille, aujourd’hui âgée de 3 ans et demi. Cette boule d’amour est venue au monde en janvier 2022 grâce à une mère porteuse. Le bonheur du couple ne fait donc aucun doute. Seulement, ce bonheur n’irait pas jusqu’au lit. Après tout, Nick Jonas lui-même a avoué que le sexe et le lit n’allaient pas ensemble dans son couple.

Le mardi 19 août dernier, Nick Jonas était l’invité de l’émission Are You Okay ?, sur TikTok. Une occasion pour lui de se confier sur son "drapeau beige" ou "beige flag". Notons qu’il s’agit d’un trait de caractère neutre ou comportement neutre dans un contexte amoureux ou sexuel. C’est ainsi que le chanteur de Jealous a lancé : "Je pense que les lits ne servent qu'à dormir".

"Je ne m'assois pas dessus, je ne mange pas dessus, je ne lis pas et je ne regarde pas la télévision dessus… Je n'y arrive pas", a-t-il expliqué en ajoutant : "C'est tout un truc". D’ailleurs, il avoue que même si Priyanka Chopra regardait la télé au lit, il ne l’y rejoindrait pas. "Je vais tirer un siège et m'asseoir à côté du lit", précise-t-il.

Même si Nick Jonas ne s’est pas exprimé explicitement sur ce qu’il faisait au lit avec Priyanka Chopra, il est certain qu’ils n’y font pas des folies. D’ailleurs, ces révélations en ont déçu plus d’un. Nombreux sont ceux qui avaient commenté avec étonnement sur le réseau social.

"Tirer une chaise pendant que Priyanka est au lit en train de regarder la télé ensemble, c'est dingue pour moi mdr", a écrit un internaute, "Il m'a convaincu avec son argument sur les transports en commun, mais m'a ensuite perdu avec son argument selon lequel "le lit est fait uniquement pour dormir"", a commenté un autre.

Stéphane Bern dans la tourmente, cette histoire de gros sous qui lui tombe dessus

Depuis quelques semaines, Stéphane Bern se retrouve propulsé malgré lui au cœur d’une petite tempête médiatique autour du label "Les plus belles fêtes de France". Le célèbre animateur — devenu en France l’un des visages du "patrimoine" — avait prêté sa voix et son parrainage à une initiative visant à mettre en lumière les fêtes et traditions locales. Un engagement qui, sur le papier, sonnait parfaitement dans la lignée de son image.

Mais la fête a vite tourné au vinaigre. Des enquêtes de presse ont révélé que le financement du projet serait lié à Pierre-Édouard Stérin, un milliardaire dont les positions et réseaux suscitent des interrogations chez certains élus et acteurs locaux. À la faveur de ces révélations, plusieurs communes labellisées ont choisi de se retirer, ne souhaitant pas voir leur fête rattachée à une polémique politique.

Le compagnon de Yori n’a pas tardé à réagir : il affirme avoir été "trompé" par des montages financiers et se dit soucieux de ne pas être "instrumentalisé". L’animateur rappelle aussi que son soutien visait uniquement à protéger un patrimoine immatériel fragile, et non à prendre part à des jeux d’influence. Le ton monte cependant entre défenseurs du label et détracteurs, chacun campant sur ses arguments.

Du côté de l’association, la communication tente d’éteindre l’incendie : elle parle d’articles "calomnieux" et assure du caractère apolitique de son action, tout en reconnaissant la nécessité de plus de transparence sur ses soutiens financiers. Reste que, pour l’instant, la controverse risque bien d’avoir laissé des traces dans l’image du label — et, par ricochet, dans celle de son parrain médiatique.

Dans cette affaire de fêtes froissées, Stéphane Bern, qui a déjà quelques soucis financiers, apparaît en partie victime d’un montage qu’il dit n’avoir pas pleinement contrôlé. Reste à savoir si la communication et des clarifications supplémentaires suffiront à ramener la fête dans les rangs — ou si le scandale laissera un goût amer dans le calendrier des traditions françaises.

Hugues Aufray s’adresse à ses fans après avoir fêté ses 96 ans

Le chanteur Hugues Aufray a soufflé sa 96e bougie, ce lundi 18 août. Un événement que l’artiste a pu fêter avec ses proches, mais également avec ses fans. C’est du moins ce qu’il a révélé dans un post publié sur les réseaux sociaux, ce mercredi 20 août. Sur Facebook, le célèbre interprète de Santiano  a révélé qu’il avait reçu un nombre incalculable de messages lui souhaitant un joyeux anniversaire. Une attention qui l’a profondément touché, mais qui l’a également frustré, car il n’a pas encore pu répondre à tout le monde. « Chers amis, proches ou lointains, qui me suivez fidèlement sur la route avec mes chansons, à l’occasion de mon 96eme anniversaire je tiens aujourd’hui, à vous dire combien je suis touché par vos très nombreux messages d’amitié fidèle ! Hélas comme vous l’imaginez, plus le succès est grand, plus nombreux vous êtes ! », a-t-il écrit.

Avec une pointe d’humour, Hugues Aufray a poursuivi son message en expliquant qu’il commençait « presque à regretter le temps où [ses fans étaient] beaucoup moins nombreux ». « Je trouvais le temps de répondre à chacun de vous personnellement. Hélas… Hélas ! Ce temps n’est plus ! Faut-il le regretter ? Bien sûr que non, car grâce à vous mon succès n’a cessé de se répandre…Merci 96 mille fois […] Je vous embrasse affectueusement et fraternellement », a-t-il conclu. Une belle déclaration qui a évidemment fait plaisir aux internautes. « Merci beaucoup pour votre petit message. Prenez soin de vous, amicalement », a écrit un utilisateur de Facebook.

Même si Hugues Aufray a récemment fêté ses 96 ans, le chanteur est toujours en pleine forme. À tel point qu’il continue de donner des concerts, et qu’il fait toujours dix à vingt ans de moins que son âge. Dans une interview accordée au Parisien, en janvier 2024, l’auteur-compositeur-interprète avait notamment expliqué qu’il avait adopté une hygiène de vie quasi irréprochable. Depuis plusieurs années maintenant, Hugues Aufray ne fume pas, ne se drogue pas, et ne consomme pas d’alcool, sauf à de très rares occasions, comme les anniversaires par exemple, où « [il] prend un fond de verre ». Concernant son alimentation, il avait également expliqué qu’il mangeait « de moins en moins de viande » et qu’il faisait « des dîners légers » pour une meilleure digestion.

Une place pour Pierrot : inspiré d’une histoire vraie, ce film bouleversant sur la différence dévoile ses premières images

Camille découvre que son frère Pierrot, un homme autiste de 50 ans, est victime d’une surmédication qui le plonge peu à peu dans la régression. Déterminée à lui rendre sa dignité, elle décide de l’accueillir chez elle et se lance dans une quête éprouvante pour lui trouver un lieu de vie réellement adapté à sa différence.

La bande-annonce d’Une place pour Pierrot, récemment dévoilée, donne le ton : une atmosphère empreinte de délicatesse, des regards chargés de sens, et un personnage central – Pierrot – à la fois fragile, lumineux et profondément attachant. Mais surtout, un souffle d’espoir. Loin de tout pathos, ces premières images laissent entrevoir un portrait sincère et nuancé de la vie d’un homme autiste confronté à un monde qui le comprend mal, et le combat de sa sœur pour lui redonner une existence digne.

Révélé au grand public dans Angèle et Tony (2010), rôle qui lui a valu le César du meilleur espoir masculin, Grégory Gadebois s’est imposé comme l’un des acteurs les plus sensibles de sa génération. Il enchaîne depuis des rôles marquants, portés par une humanité à fleur de peau : que ce soit dans Délicieux (2021), où il incarne un cuisinier visionnaire à l’aube de la Révolution française, ou dans Présidents (2021), où il surprend en interprétant un ancien chef d’État inspiré de François Hollande.

Dans Une place pour Pierrot, Gadebois livre une performance d’une justesse rare, tout en retenue et en pudeur. Une fois encore, il incarne avec intensité un personnage profondément humain, loin des artifices. Fidèle à son parcours et loin de l’éclat médiatique, l’acteur poursuit ici une carrière fondée sur l’émotion brute et la vérité des sentiments.

Après plusieurs rôles marquants où elle donne vie à des personnages profondément engagés et humanistes — une aide-soignante épuisée dans la comédie dramatique Quand tu seras grand, une journaliste d’investigation luttant contre les pesticides dans Goliath, ou encore des portraits à fleur de peau dans À la folie — Marie Gillain s’impose naturellement comme la partenaire idéale de ce duo complice et émouvant. Dans Une place pour Pierrot, elle incarne Camille, une sœur dévouée, combative, véritable force de la nature prête à tout pour rendre à son frère une vie digne.

En salle le 10 septembre, Une place pour Pierrot s’annonce comme un récit à la fois intime et universel, qui interroge avec délicatesse la place que chacun tente de trouver dans la société. 

Gaumont fête ses 130 ans !

En 2025, la société Gaumont célèbre 130 ans de cinéma et d’émotions… mais aussi d’innovations ! Une aventure débutée en 1895 grâce à la vision audacieuse et novatrice de Léon Gaumont. Rembobinons…

En 1895, à 31 ans, Léon Gaumont prend les rênes du Comptoir Général de Photographie, une société spécialisée dans la fabrication et la vente de matériel optique et photographique. Pris par l’émulation collective pour la photographie et le cinéma, insufflée par les avancées techniques d’Edison et des frères Lumière, il croit fermement à l’avenir du cinématographe (la première machine permettant de projeter des films, inventée par les frères Lumière). En 1896, il commercialise le chronophotographe ou “Chrono Demeny” (du nom de son inventeur) : une caméra réversible permettant à la fois la prise de vue et la projection de films très courts.

Véritable touche à tout et perfectionniste, Léon Gaumont travaille sur plusieurs innovations techniques majeures, notamment le son avec le chronophone, et la couleur grâce au chronochrome.

En 1905, Gaumont construit un studio de prises de vues cinématographiques, qui servira notamment pour le tournage des premiers films sonores, des phonoscènes projetées grâce au chronophone. Puis, dans les années 1930, Gaumont prend part à la révolution du cinéma sonore avec le système Gaumont-Petersen-Poulsen. Le procédé consiste à enregistrer les sons sur une pellicule de 35 mm et à en synchroniser la diffusion avec un projecteur de film de 35 mm, projetant les images.

Dès 1928, Gaumont parvient tout de même à présenter le premier long métrage sonore de l’histoire du cinéma : L'Eau du Nil, de Marcel Vandal.

Dès la fin du XIXe siècle, Léon Gaumont saisit l’importance de la distribution dans un secteur encore balbutiant. D’abord pour des raisons juridiques, Il fait apposer sur les films produits par sa société, une marguerite en hommage au prénom de sa mère — devenant ainsi l’un des tout premiers à créer un logo reconnaissable dans l’histoire du cinéma. À une époque où les studios restent anonymes pour le grand public, ce geste est novateur.

Gaumont développe rapidement une véritable stratégie publicitaire. Affiches, programmes illustrés, catalogues, projections promotionnelles : tous les moyens sont mobilisés pour valoriser les films de la maison, la société possède même sa propre imprimerie.

En réunissant production, promotion, distribution, diffusion et exploitation au sein d’une même structure, la Société des Établissements Gaumont utilise un modèle intégré novateur et prend part à la révolution qui s’opère dans l’histoire de l’industrie cinématographique française.

Dès 1908, alors que le cinéma forain — ou itinérant — amorce son déclin, Gaumont s’engage dans la diffusion grand public. La société inaugure alors sa première salle parisienne, le Chronophone Gaumont, dans le 2ᵉ arrondissement. Puis, deux ans plus tard, en 1910, naissent les “Actualités Gaumont”, ancêtres du journal télévisé : de courts reportages d’actualité projetés chaque semaine et intégrés directement aux programmes de films, qui informent et fidélisent les spectateurs.

En 1910, Léon Gaumont rachète l’hippodrome de la place Clichy et le transforme en une salle de cinéma monumentale : le Gaumont-Palace, inauguré un an plus tard. Il devient, pendant un temps, la plus grande salle de cinéma au monde avec 6 000 places assises. Peu à peu, la société développe un réseau de salles à travers toute la France.

Léon Gaumont se retire en 1930, à l’avènement du cinéma parlant, et une première mutation voit sa société devenir la Gaumont Franco Film Aubert (GFFA). En 1938, la GFFA devient la Société Nouvelle des Établissements Gaumont (SNEG).

L’arrivée en 1975 de Nicolas Seydoux à la tête de la société marque un tournant décisif. Ce dernier intensifie l’orientation de la société vers les coproductions, la télévision et les marchés internationaux. Son directeur général, Daniel Toscan du Plantier, initie dans cette logique une politique de production européenne ambitieuse, mêlant grands succès populaires et œuvres plus avant-gardistes.

Puis, les années 2000 marquent l’entrée dans l’ère numérique : Gaumont Vidéo est créée en 2003 pour éditer les DVD de son catalogue, suivie en 2004 par la naissance de GP Archives (Gaumont Pathé Archives, fruit du regroupement des catalogues de la Cinémathèque Gaumont et de Pathé Archives conservés depuis 1896), dédiée à la conservation et à la valorisation des fonds historiques de la société.

Dès 2015, la société s’intéresse au streaming et travaille avec les plus gros acteurs du mileu en produisant par exemples Narcos (Netflix), El Presidente (Prime video), Stillwater (AppleTv+), Becoming Karl Lagerfeld (Disney+)

Avant de proposer en 2022 sa propre plateforme : Gaumont Classique. Riche de plus de 200 films en noir et blanc issus de

 son catalogue – courant environ des années 1920 aux années 1960 –, cette nouvelle plateforme apporte un vent de fraicheur au sein d’un marché de la SVOD légèrement saturé. La plupart de ses films sont incontournables et restent introuvables ailleurs en streaming ou très peu diffusés à la télévision.

Gaumont n’a donc cessé de marquer de son empreinte l’histoire du cinéma, en France comme à l’international. Pionnière de l’innovation technique, visionnaire dans ses stratégies de promotion et actrice clé de la diffusion du cinéma auprès du grand public, la société a su anticiper les mutations d’un art en perpétuelle évolution 130 ans durant.

Aujourd’hui, à travers ses actions de restauration, de conservation et de diffusion, Gaumont incarne bien plus qu’une simple société : elle est une mémoire vivante du septième art, mais aussi une force créative en mouvement, tournée vers l’avenir.

Cervantes avant Don Quichotte : bande-annonce du film de Alejandro Amenábar

On lui doit notamment Ouvre les yeux, Mar adentro et bien sûr Les Autres avec Nicole Kidman. Mais Alejandro Amenábar avait disparu depuis six ans et le drame historique Lettre à Franco (2019). Il nous revient cette année avec son 11e film, Cervantes avant Don Quichotte (El Cautivo ou The Captive en VO).

Un long métrage aux allures de biopic consacré à l'auteur espagnol Miguel de Cervantès.

Si son Don Quichotte est l’une des œuvres littéraires les plus célèbres au monde, l'écrivain n’a encore jamais été véritablement mis en lumière au cinéma. Ce sera chose faite cet automne avec Cervantes avant Don Quichotte, qui retrace la jeunesse de Cervantès, alors marin de 28 ans dans la marine espagnole, découvrant son goût pour la narration lors de sa captivité comme prisonnier de guerre. Le film fera sa grande première mondiale à la rentrée au Festival de Toronto.

En attendant sa sortie française le 1er octobre prochain, on découvre déjà la bande-annonce ci-dessous.

Le synopsis officiel annonce : « 1575 — Alger. Miguel de Cervantès (Julio Peña), soldat de 28 ans de la marine espagnole, blessé, est retenu prisonnier par des corsaires ottomans. Une mort certaine l’attend si sa rançon n’est pas rapidement payée par ses compatriotes. Mais dans les limites de sa cellule, Cervantès découvre un refuge inattendu : l’art de raconter des histoires. Forgés par la résilience et l’espoir, ses récits captivent ses compagnons de captivité et attirent l’attention de Hasan (Alessandro Borghi), le Bey d’Alger, aussi redouté qu’énigmatique, faisant naître une complicité secrète entre le geôlier et son prisonnier. Alors que les tensions s’accroissent dans la ville, Cervantès, porté par un inébranlable optimisme, élabore un audacieux plan d’évasion. »

Écrit et réalisé par Alejandro Amenábar, le film réunit au casting Julio Peña, Alessandro Borghi, Miguel Rellán, Fernando Tejero, Luis Callejo, José Manuel Poga, Roberto Álamo, Albert Salazar, Juanma Muniagurria, César Sarachu et Jorge Asín.

Le Roi Soleil : bande-annonce

C’est dans un décor populaire, celui d’un bar-pmu de Versailles, que Le Roi Soleil installe son intrigue. Un jour ordinaire, un ticket de jeu gagnant fait irruption dans le quotidien de quelques habitués. Une somme colossale, tombée du hasard, devient l’objet de toutes les convoitises. Faut-il partager ? Avec qui ? Et à quel prix ? Très vite, les tensions montent, les loyautés vacillent, et les ambitions personnelles prennent le dessus.

Caméra à l’épaule, lumières sombres à l’intérieur, grisaille à l’extérieur, silences pesants, la bande-annonce du film laisse transparaître une atmosphère à la fois familière et étouffante où chaque personnage révèle peu à peu sa part d’ombre. En s’arrangeant un peu avec la réalité et leur conscience, les témoins d’un drame pourraient repartir avec plusieurs millions d’euros... Et si la vérité n'était qu'un scénario bien ficelé ?

Pour donner vie à cette galerie de personnages tiraillés entre solidarité et trahison, Vincent Maël Cardona laisse entrevoir un casting aussi éclectique que complémentaire. Pio Marmaï (Le Premier jour du reste de ta vie) incarne un habitué du PMU, à la fois charismatique et imprévisible. À ses côtés, Lucie Zhang (Les Olympiades) apporte une tension silencieuse à son rôle de témoin lucide d’un engrenage qui dérape. Sofiane Zermani (Fianso), habitué aux rôles de fortes têtes, trouve ici un terrain de jeu à la mesure de son énergie brute, tandis que l’humoriste et comédien Panayotis Pascot nous surprend dans un registre plus sombre et nuancé.

Ensemble, ils composent un quatuor tendu, où chaque regard compte, chaque mot pèse, et où l’alchimie fait monter la tension à l’écran.

Entre chronique du quotidien et thriller psychologique, rendez-vous le 27 août au cinéma pour une rentrée sous haute tension avec Le Roi Soleil.

20 août 2025

Adeline Blondieau va se marier !

Lorsque les Français ont entendu parler d'elle pour la première fois, elle n'avait que 20 ans. A l'époque, en 1991, Adeline Blondieau, fille du parolier Christian Blondieau, avait sorti un single intitulé Les envies d'amour. Et si le succès n'avait pas totalement été au rendez-vous, c'est finalement quatre ans plus tard, à la télévision, qu'elle a connu la notoriété. En 1994, elle a en effet été recrutée pour jouer le rôle d'Adeline dans Les filles d'à côté. Un personnage qui a pris de plus en plus d'importance, au point de devenir l'un des principaux d'une série dérivée, Les nouvelles filles d'à côté. Le début de la gloire pour l'actrice aujourd'hui âgée de 54 ans, qui a décroché quatre ans plus tard le rôle de sa vie : celui de Caroline Drancourt dans la série Sous le soleil, qu'elle a incarné de 1996 à 2007 sur TF1. Un pan de sa vie sur lequel l'ancienne acolyte de Tonya Kinzinger et Bénédicte Delmas a désormais complètement tourné la page, puisqu'elle a changé de métier.

La dernière fois qu'elle a joué la comédie, c'était en 2014, dans Sous le soleil de Saint-Tropez. Depuis, après avoir été victime d'un burn-out, elle se consacre pleinement à sa nouvelle passion : la sophrologie ! Il s'agit d'une pratique qui fait débat, s'appuyant sur des techniques de relaxation couplées à des exercices de respiration et à de l'évocation positive. En plus de donner ses précieux conseils sur les réseaux sociaux, l'ancienne vedette de Sous le soleil a ouvert son propre cabinet dans le neuvième arrondissement de Paris. "J’avais plus envie d’accompagner les gens que les divertir parce que j’avais l’impression de comprendre la souffrance, d’être dans une écoute active et bienveillante", avait-elle expliqué dans les colonnes de Ciné Télé Revue. Et si elle a refait sa vie sur le plan professionnel, Adeline Blondieau connait aussi de grands chamboulements dans sa vie sentimentale : elle va bientôt se marier !

Ce mercredi 20 août, c'est une Adeline Blondieau on ne peut plus comblée qui s'est emparée de ses réseaux sociaux pour annoncer la bonne nouvelle : son compagnon l'a demandée en mariage ! "Chéri-chéri m'a fait sa demande", a écrit l'actrice de 54 ans en légende d'un cliché où elle montre fièrement sa bague de fiançailles. Une publication qui lui a évidemment valu des centaines de messages de félicitations de la part de ses abonnés, qui ne savent toutefois que très peu de choses sur l'heureux élu. Après avoir eu des relations médiatisées avec Johnny Hallyday, Richard Grieco, Sergio Temporelli (le père de son fils Aïtor) ou encore Laurent Hubert (le père de sa fille Winona), Adeline Blondieau souhaite miser sur la discrétion. Hors de question pour elle de dévoiler l'identité de son amoureux, même s'il lui arrive de poster des clichés de lui de dos. Comme le dit si bien le dicton : pour vivre heureux, vivons cachés !

EnjoyPhoenix raconte les « séquelles psychologiques » laissées par le cambriolage dont elle a été victime

EnjoyPhoenix, de son vrai nom Marie Lopez, a vécu une expérience traumatisante il y a quelques mois. L’influenceuse, dans le dernier épisode de son podcast Heure Miroir, une soirée au Festival de Cannes qui a viré au cauchemar. « C’est une chose à laquelle on n’est pas préparé. On va parler de cambriolage », a-t-elle déclaré à ses auditeurs, admettant avoir « caché » le sujet plus tôt car elle ignorait « comment l’aborder ».

Mais que les fans se rassurent : « tout va bien, personne n’a été blessé. On a seulement des séquelles psychologiques ». La jeune femme, qui s’est fait connaître sur YouTube, a confié que la soirée avait pourtant bien commencé. « C’était très cool pour une fois. Tout était bien. C’était le moment pour nous de décompresser du stress de la semaine passée, avec la montée des marches et le contenu à faire sur place », a-t-elle expliqué.

Or, seulement quelques minutes plus tard, son agent lui révèle, « livide », que « l’alarme de la villa » s’est déclenchée.

Arrivée sur place, l’influenceuse et son équipe se sont soumis à des tests ADN, de type « NCIS », et ont échangé avec la police avant d’entrer dans la propriété pour faire le constat des lieux après le passage des cambrioleurs. « Je suis arrivée dans la chambre et c’était un capharnaüm », a-t-elle déploré. « J’ai compris à ce moment-là qu’on m’avait volé beaucoup plus de choses que ce que je pensais. Tout a été retourné sens dessus dessous. Nos valises étaient éventrées, nos tables de nuit ouvertes, nous nous sommes rendu compte que tout avait été fouillé ».

Comme de nombreuses victimes de cambriolage, EnjoyPhoenix a particulièrement souffert de l’impression d’avoir été violée dans son intimité et de la perte d’objets à la valeur sentimentale. « Ils ont pris mon sac neuf et tous mes bijoux personnels qui étaient des cadeaux de ma famille. Là, le ciel m’est tombé sur la tête », a-t-elle avoué.

« J’ai réalisé que le plus important n’était pas la valeur matérielle mais émotionnelle. On ne m’a pas seulement volé de l’argent, mais des souvenirs. Je me suis effondrée. J’ai compris en quoi le cambriolage est traumatisant. Ça m’a fait un électrochoc », a ajouté EnjoyPhoenix, estimant qu’elle ne se « méfiait pas assez » d’autrui et qu’elle devrait « faire plus attention » à l’avenir.

L’hôtel de luxe de Patrick Bruel déjà sous le feu des critiques

«Chambres pas prêtes », « service lamentable »… A peine ouvert et déjà au cœur des critiques. Le chanteur Patrick Bruel avait annoncé, fin juin, l’ouverture prochaine de son tout premier hôtel de luxe : « L’Isle de Leos », à L’Isle-sur-la-Sorgue dans le Vaucluse. Lui qui ne voulait pas d’un « hôtel lambda » et qui promettait une expérience digne de ce nom, il semblerait que certains voyageurs soient déçus.

L’établissement affiche tout de même la note de 4,1 étoiles sur Google, avec pas moins de 200 avis, comme l’a noté Le Dauphiné Libéré. Mais malgré les nombreux clients satisfaits de leur séjour, certains décrivent une expérience « loin des standards promis ».

Les travaux encore en cours semblent agacer particulièrement les visiteurs. « L’hôtel n’est pas fini… spa non accessible. Il est toujours en travaux », explique une cliente. « Peinture écaillée, finition à l’arrache », ou encore : « Alarme incendie qui se déclenche, rideaux qui ne s’ouvrent ni ne se ferment, finitions catastrophiques… » Et pire pour un vacancier qui souhaiterait se reposer : la « perceuse dès 8 heures ». La lenteur du service est également reprochée à plusieurs reprises.

A noter que les avis Google d’un établissement peuvent être publiés par tout le monde. Peut-être que des haters se cacheraient derrière certaines critiques ? Quoi qu’il en soit, le son de cloche a été le même du côté du magazine Voici, qui a également consacré un article au sujet, et collecté le témoignage de Martine.

Cette cliente de l’hôtel affirme même avoir quitté les lieux avant la fin de son séjour. En cause : sa chambre jugée trop bruyante, notamment à cause du passage des voitures sur l’axe routier voisin qui est très fréquenté.

Le magazine avait ainsi contacté directement l’établissement. Le directeur explique : « Nous avons ouvert précipitamment - des travaux sont encore en cours - et il y a eu énormément d’affluence. Nous n’avons pas pu nous roder ». Et du côté de Patrick Bruel, le directeur assure : « Il est contrarié par ces retours, d’autant qu’il est très présent et qu’il souhaite donner la meilleure image possible. »