26 mai 2025

Mort à 95 ans du cinéaste algérien Mohammed Lakhdar-Hamina,

Il est des concours de circonstances parfois troublants. Vendredi 23 mai, le festival de Cannes rendait hommage à Mohammed Lakhdar-Hamina, cinéaste algérien et seul lauréat africain de la Palme d’or, qu'il avait remporté en 1975 pour son extraordinaire film, Chroniques des années de braise, présenté en version restaurée dans le cadre de Cannes Classic. Le réalisateur est décédé ce même jour, à l'âge vénérable de 95 ans.

La famille du réalisateur a indiqué dans un communiqué qu'il s'est "éteint à son domicile algérois, à l'âge de quatre-vingt-quinze ans, laissant derrière lui un héritage cinématographique inestimable", saluant "sa vision unique qui a marqué l'histoire du cinéma". Un réalisateur qui a su dresser un "véritable pont culturel entre le Sud et l'Occident, devenant ainsi la voix du tiers monde et de son pays pendant près de quarante ans".

Le président de l'Algérie, Abdelmadjid Tebboune, a adressé un message de condoléances à la famille. "Avant d'être un réalisateur créatif mondial ayant laissé une empreinte indélébile dans l'histoire du cinéma mondial, c'était un moudjahid [combattant] digne, ayant contribué à la libération de son pays à travers des images et des scènes qui ont fait connaître à l'humanité les héroïsmes de la glorieuse révolution de libération" a-t-il écrit.

Né à M'sila dans l'Aurès (situé au nord-est de l'Algérie), Mohammed Lakhdar-Hamina était le fils de modestes paysans. Après une école d'agriculture, il avait étudié en France, à Antibes. Pendant la guerre d'Algérie, son père fut enlevé, torturé et tué par l'armée française. Lui-même fut appelé en 1958, mais avait rejoint à Tunis la résistance algérienne.

Autodidacte, Mohammed Lakhdar-Hamina a appris le cinéma sur le tas. Après quelques courts métrages, il entame sa carrière de réalisateur en 1964 avec un documentaire, Mais un jour de novembre. En 1966, alors même que la guerre d'Algérie a pris fin très peu de temps auparavant, il signe une première fiction remarquée, Le vent des Aurès, qui remporte d'ailleurs le prix de la première oeuvre au festival de Cannes. En 1975, c'est la récompense suprême pour sa Chronique des années de braise. La lutte pour l'indépendance de l'Algérie est au coeur de cette fresque historique, qui raconte en six tableaux, de 1939 à 1954, la naissance d'une nation.

Il fut l'un des rares réalisateurs africains et arabes à avoir concouru quatre fois au Festival de Cannes, et était, jusqu'à son décès survenu ce 23 mai, le doyen des lauréats de la Palme d'or encore en vie.

Mort à 95 ans de Mara Corday

 L'actrice américaine Mara Corday est décédée le 9 février dernier d'athérosclérose cardiovasculaire à son domicile californien, vient d'annoncer Deadline. Star de séries B durant la seconde moitié des années 50, Clint Eastwood l'avait pris sous son aile et reproposé du travail durant les années 80.

Mara Corday commence sa carrière dès ses 15 ans comme danseuse de revue à Hollywood, puis devient mannequin. A 21 ans, elle signe sa première (micro) apparition dans Les Coulisses de Broadway (1951) porté par Tony Martin et Janet Leigh.

Après plusieurs rôles non crédités dans les compagnies de série B Monogram et Republic Pictures, elle arrive à travailler pour les grands studios mais ne perce pas. A titre d'exemple, on la voit notamment dans certains plans de saloon du western L'Homme qui n'a pas d'étoile (1955) avec Kirk Douglas, mais la même année, elle va connaître ses premiers, premiers rôles.

Universal lui confie deux tête d'affiche. D'abord dans le film catastrophe Tornade sur la ville, puis celui du film de monstres Tarantula, l'histoire d'une tarentule géante d'origine expérimentale, semant la terreur dans une contrée américaine. Elle porte le film avec John Agar, et rencontre sur le plateau un jeune débutant nommé Clint Eastwood. Ce dernier n'incarne qu'un aviateur dont le visage est masqué par un casque et un respirateur, mais il va garder Mara Corday en tête.

Une fois devenu une star de cinéma, Eastwood fera retravailler l'actrice dans plusieurs de ses films : L'Epreuve de force (1977), Le Retour de l'inspecteur Harry (1983), Pink Cadillac (1989) et La Relève (1990), qui sera le dernier film de Mara Corday.

Mais retour aux années 50, où les tentatives Tarantula et Tornade sur la ville ayant porté leurs fruits, Corday parvient à rester tête d'affiche de séries B westerns comme 24 heures de terreur et Naked Gun (1956) ou les films de monstres La Serre géante et Le Scorpion noir (1957). Elle parviendra à obtenir le premier rôle, devant sa vedette masculine, de Undersea Girl, l'histoire d'une journaliste cherchant à empêcher des bandits d'explorer une épave puis du Gang des filles (1958), dans lequel elle incarne la meneuse d'un gang de cambrioleuses.

Hélas, sa gloire est éphémère, et très vite, Mara Corday se retrouve cantonnée à des apparitions télé en guests dans les séries du début des années 60 comme Au nom de la loi, Laramie ou Aventures dans les îles. Elle disparaît brutalement des écrans en 1961, avant d'y revenir grâce à Clint Eastwood.

Elle s'est éteinte le 9 février dernier à 95 ans.

Cat's Eyes : TF1 annonce une très bonne nouvelle aux fans

Elles sont bientôt de retour ! TF1 a révélé que le tournage de la saison 2 de sa série événement Cat’s Eyes a démarré le 15 mai 2025. Dans un communiqué officiel, on obtient ainsi des informations au sujet de la suite des aventures explosives de nos trois héroïnes…

La chaîne dévoile aux fans : "Quelques mois après leur dernier coup, les Cat’s Eyes sont de retour, plus déterminées que jamais : pour sauver leur père, dont elles viennent de retrouver la trace, elles sont résolues à faire tomber le plus important réseau de trafiquants d’art en France.

Les trois sœurs se lancent dans une nouvelle série de vols spectaculaires qui va les emmener du Musée d’Orsay au Centre Pompidou, en passant par l’impressionnant Mont Saint-Michel ! Sur terre ou en l’air, elles vont aussi devoir se surpasser pour cambrioler un train en marche et s’échapper d’une banque ultra-sécurisée par le sommet de la Tour Montparnasse.

Tandis que Sylia doit gérer le retour d’Abel et Alex sa vie compliquée avec Lili, Tam voit son couple avec Quentin mis à mal. Les soupçons de Gwen à son égard s’accentuent et l’arrivée d’un mystérieux voleur charismatique surnommé "le Marquis", ne laisse pas la jeune femme indifférente et bouleverse ses certitudes. Mais est-il leur allié ou leur ennemi ?"

"Entre alliances dangereuses et tensions amoureuses, l’arrivée de ce nouveau personnage aussi talentueux que les Cat’s Eyes va créer des frictions entre les trois sœurs et mettre en péril leur mission. C’est la saison de tous les enjeux et de tous les dangers !"

Au casting, les fans reverront évidemment Camille Lou, Constance Labbé et Claire Romain en cheffes de file. Mais ce n’est pas tout car MB14, Elodie Fontan, Tom Leeb, Lola Dewaere, Simon Ehrlacher, Jérôme Le Banner, Léon Plazol, Juliette Plumecocq-Mech, Grégory Kristoforoff, Grégoire Colin, Loryn Nounay et Matthieu Penchinat seront aussi de la partie.

Pour rappel, Grégory Fitoussi et Cindy Bruna ne reprendront pas leurs rôles respectifs cette année. Ainsi, le père du trio sera à présent incarné par Arnaud Binard (Emily in Paris, Brocéliande) et Tamara Marthe (alias la chanteuse Shy’m) interprètera désormais Gwen.

A découvrir prochainement sur TF1. 

Ryan Reynolds aimerait faire un film Star Wars interdit aux moins de 17 ans

Ces dernières années, certains films classés R aux Etats-Unis, c'est-à-dire interdits aux moins de 17 ans non accompagnés d'un adulte, ont atteint des sommets au box-office, comme jamais auparavant. Et dans le top 5 des plus gros succès classés R dans le monde, on retrouve les trois films Deadpool, Deadpool & Wolverine siégeant à la première place avec plus de 1,3 milliard de dollars de recettes.

C’est donc peut dire que Ryan Reynolds y connaît quelque chose en film de cette catégorie. Et après l’avoir prouvé chez Marvel, la star aimerait bien s’attaquer à une autre franchise ultra-populaire : Star Wars. C’est ce qu’il a révélé dans le podcast The Box Office de The Outside Scoop, assurant même qu’il en avait déjà parlé avec Disney.

"J’ai dit à Disney 'pourquoi ne ferait-on pas un film Star Wars classé R ?'. Pas forcément sur les personnages les plus connus, mais il y a une large gamme de personnages qu’on pourrait exploiter", a-t-il raconté.

Et de préciser : "Je ne dis pas qu’il faut qu’il soit classé R pour être vulgaire. La classification R est un cheval de Troie pour les émotions. Je me demande toujours pourquoi les studios ne veulent pas se lancer dans ce genre de pari."

En effet, si quelques films de super-héros comme Joker, Deadpool ou Logan ont obtenu une classification R et ont cartonné au box-office, les studios sont souvent frileux à l’idée de faire des blockbusters trop violents. C’est pourquoi il n'est pas gagné que Disney accepte la proposition de Ryan Reynolds, surtout pour une saga aussi familiale que Star Wars. Mais si quelqu’un a les épaules pour un tel projet, c’est bien lui !

Le comédien a néanmoins ajouté : "Je ne dis pas que je voudrais être dans le film, ça ne fonctionnerait pas. Je voudrais le produire et l’écrire ou faire partie des coulisses." Une déclaration qui pourrait décevoir certains de ses fans, mais qui montre que Ryan Reynolds aime de plus en plus travailler derrière la caméra.

Enfin, la star a partagé son envie de surprendre le public avec un tel projet : "Ce genre de franchise repose très bien sur la rareté et la surprise. Nous n'avons pas vraiment de rareté avec Star Wars à cause de Disney+ (où de nombreuses séries sont proposées, ndlr)... mais vous pouvez certainement encore surprendre les gens."

Rappelons que le fidèle collaborateur de Ryan Reynolds et réalisateur de Deadpool & Wolverine, Shawn Levy, a récemment été annoncé à la réalisation de Star Wars : Starfighter avec un autre célèbre Ryan en tête d’affiche, à savoir Ryan Gosling. Pourquoi donc ne pas imaginer que Reynolds puisse rejoindre l’équipe de production de ce film ? La balle semble en tout cas être dans le camp de Disney !

Destination Finale 6 : le plafond d'un cinéma s'effondre sur une spectatrice en Argentine pendant le film

Quand la fiction rejoint la réalité. Le 19 mai dernier, à Buenos Aires, en Argentine, une spectatrice a vécu un événement traumatique alors qu'elle se rendait dans un cinéma : une partie du plafond s'est effondrée sur elle et ce, pendant la projection de Destination Finale Bloodlines.

Une coïncidence insolite, qui renvoie directement aux terribles accidents de la saga, mais surtout effrayante pour cette jeune femme de 29 ans qui a raconté l'incident à Infobae, média argentin en ligne : "Il y a eu un bruit vraiment fort. Au début, on a cru que ça faisait partie du film, tellement on était absorbés; mais ensuite, un énorme morceau de pierre m'est tombé dessus."

En colère contre l'établissement, la jeune femme entend porter plainte. "Imaginez s'ils frappaient ma fille à la tête ! Ils sont irresponsables !", s'injurge-t-elle. Plusieurs photos de l'incident ont été mises en ligne pour constater les dégâts.

La spectatrice n'a pas été touchée à la tête, mais a été blessée à l'épaule, au dos, au genou et à la cheville. Elle s'est par la suite rendue à l'hôpital pour être diagnostiquée : "J'étais vraiment bouleversé… Ils ont fait une radio. Le diagnostic était un traumatisme dû au coup. J'avais aussi plusieurs ecchymoses. Je dois revenir dans quelques jours pour une autre radio du dos."

Selon le média Infobae et plusieurs sources présentes sur les lieux expliquent que les récentes intempéries qui ont touché le pays sont peut-être à l'origine de cet effondrement.

Destination Finale Bloodlines, actuellement au cinéma

La réalisatrice Lynn Ramsay va mettre en scène un film de vampires avec Ezra Miller

Alors que son dernier film, Die My Love, porté par Jennifer Lawrence et Robert Pattinson, a été présenté en compétition lors du dernier Festival de Cannes et n’a pas encore de date de sortie, la réalisatrice britannique Lynne Ramsay planche déjà sur un nouveau projet.

S’adressant au LA Times, la cinéaste a révélé être en train de travailler sur un "film de vampires", avant d’ajouter : "Je ne peux pas vous en dire plus. C’est avec Ezra Miller, qui était dans We Need to Talk About Kevin. Il tient le rôle principal et le projet est en cours de développement."

Lynne Ramsay précise être en train de développer le projet, ce qui laisse penser qu’il s’agira de son prochain tournage. Elle a déjà collaboré avec Ezra Miller en 2011 sur We Need to Talk About Kevin, dans lequel l’acteur incarnait un adolescent incarcéré après avoir commis une tuerie dans son lycée.

Le comédien américain s’est ensuite illustré dans l’univers DC (Batman v Superman, Justice League, The Flash), où il interprétait le super-héros Flash, ainsi que dans la saga dérivée de Harry Potter, Les Animaux fantastiques.

Cette nouvelle collaboration expliquerait la brève apparition d’Ezra Miller sur le tapis rouge lors de la présentation de Die My Love à Cannes. Le film de vampires marquera son retour devant la caméra, lui qui était devenu persona non grata à Hollywood depuis plusieurs années.

En effet, l’acteur a vu son image publique gravement entachée par une série d’affaires judiciaires et de comportements controversés : arrestations pour troubles à l’ordre public à Hawaï, vidéo où il étrangle une femme en Islande, accusations de manipulation sur une mineure, soupçons de cambriolage… En janvier 2023, Ezra Miller a plaidé coupable dans l’affaire de cambriolage et a annoncé suivre un traitement pour des troubles de santé mentale.

Aucune date de sortie n’a encore été annoncée pour ce mystérieux film de vampires.

24 mai 2025

Le palmarès complet du 78e Festival de Cannes

Palme d’or du court-métrage 

I'm Glad You're Dead Now de Tawfeek Barhom

Mention spéciale du jury pour Ali d’Adnan Al Rajeev

Caméra d’or 

The President’s cake de Hassan Hadi 

Mention spéciale du jury pour My father’s shadow de Akinola Davies Jr.

Prix spécial 

Résurrection de Bi Gan 

Prix d’interprétation masculine 

Wagner Moura pour L’Agent secret 

Prix du scénario 

Jean-Pierre et Luc Dardenne pour Jeunes mères 

Prix du jury

Sirat d’Oliver Laxe et Sound of Falling de Mascha Schilinski

Prix de la mise en scène

Kleber Mendonça Filho pour L’Agent secret 

Prix d’interprétation féminine 

Nadia Melliti pour La Petite dernière 

Le Grand Prix 

Sentimal Value de Joachim Trier 

Palme d’or  

Un simple accident de Jafar Panahi

23 mai 2025

Jacques Pradel, le spécialiste du crime, en veut beaucoup à Aqababe

Il n'est pas le premier spécialiste des faits divers à discréditer la thèse d'Aqababe, mais Jacques Pradel a dit tout le mal qu'il pensait de la récente enquête du blogueur.

Il y a quelques semaines, la star des Internets a expliqué qu'il avait réussi à retrouver la trace de Xavier Dupont de Ligonnès, disparu depuis 2011.

L'homme le plus recherché de France est le suspect numéro un dans l'affaire du quintuple meurtre de Nantes. Et selon Aqababe, après des années de cavale, il serait désormais en Asie.

De passage dans l'émission Buzz TV, ce 23 mai 2025, Jacques Pradel est venue promouvoir son dernier livre : "L’univers du crime". Lui qui a animé notamment "L'heure du crime", pendant 10 ans sur RTL, a donné son avis tranché sur ces récentes nouvelles.

Comme son confrère Jean-Alphonse Richard, Jacques Pradel est convaincu que Xavier Dupont de Ligonnès s'est suicidé.

Après avoir tué sa femme et ses quatre enfants à son domicile de Nantes, il a disparu le 15 avril 2011. On l'a vu pour la dernière fois à l'hôtel Formule 1 de la commune de Roqueburne-sur-Argens, dans le Var.

Et si Jacques Pradel en est convaincu, c'est parce que "Une cavale coûte très cher et Dupont de Ligonnès n’avait pas de trésor caché".

Pour le justifier, il précise d'ailleurs : "Je me fonde sur un courriel qu’il a envoyé à deux amis intimes, un an plus tôt". XDDL y aurait expliqué aussi, dit-il, que "pour des raisons religieuses, qu’il fera en sorte, s’il arrive un 'accident', que personne ne puisse jamais prouver qu’il en est à l’origine".

C'est pour ces raisons que Jacques Pradel a estimé que les conclusions d'Aqababe étaient complètement loufoques.

Et de tacler même : "Comment cet influenceur à la con, et je pèse mes mots, qui se targue d’avoir lancé sur les réseaux sociaux une chasse à l’homme, peut penser qu’il va, grâce à ses followers, réussir à retrouver Dupont de Ligonnès  ?" Ambiance.

Vaimalama Chaves victime d’inceste à 5 ans : ses rares confidences sur son agresseur

Le 15 décembre 2018 n'est pas une date que Vaimalama Chaves est près d'oublier. En effet puisque c'est ce jour là que Miss Tahiti a été élue Miss France 2019 au Zénith de Lille. S'en est suivie une année de règne incroyable aux côtés de Sylvie Tellier et la signature de jolis contrats en tant que mannequin mais pas que... En effet, notre reine de beauté s'est également lancée dans la chanson en sortant en 2020 un album intitulé Good Vaïbes. Sur la première piste, on retrouve une reprise de Jardin d'Hiver d'Henri Salvador au ukulélé. Enfin, "Vaï" s'est aussi essayée à la comédie en tournant dans le téléfilm Meurtres à Tahiti pour France 3.

Très active, la native de Papeete a plus d'une corde à son arc. Ainsi s'est-elle récemment lancée dans l'écriture. Le 15 mai dernier, elle a sorti son premier livre intitulé O VAI - Découvrir Tahiti c’est comprendre son âme. Laissez-moi vous guider aux éditions First. Dans cet ouvrage, l'ex candidate de "Danse avec les stars" se raconte. "À travers mon histoire, mes réflexions et mes souvenirs, je vous invite à plonger dans ce voyage de vie où chaque étape peut aussi éclairer votre chemin", écrit-elle en quatrième de couverture.

La jeune femme de 30 ans raconte alors la petite fille qu'elle était mais aussi les embûches qui auraient pu la faire sombrer. Au fil des pages, c'est comme ça que les lecteurs vont découvrir l'impensable. La jolie brune avait 5 ans lorsqu'elle a été abusée par un proche. Elle n'a jamais porté plainte. Pourquoi ? Que s'est-il passé ? Dans les colonnes de Voici, ce 23 mai, la sublime Tahitienne est revenue sur cet épisode extrêmement douloureux.

À la voir aussi souriante, on ne pourrait pas imaginer que Vaimalama a vécu un traumatisme tel. Et pourtant... Elle n'avait que 5 ans lorsqu'un homme l'a agressé. Dès les premières pages de son livre, l'ex compagne de Nicolas Fleury raconte : “J’étais belle, comme je l’ai toujours été, mais à ce moment-là, j’étais aussi innocente qu’un enfant puisse l’être. C’est de cette innocence qu’un homme a profité pour me suggérer de faire des choses immorales”. En effet, la petite fille qu'elle était n'a pas osé dire "non". Cet adulte me faisait face en me demandant de réaliser des choses que je sentais étranges. À 5 ans, que sait-on de ces choses qu’il a exigées de moi ? Rien du tout ! Et que fait-on quand un adulte nous demande de faire quelque chose ? On exécute !", a-t-elle ajouté.

Enfin, si l'Ultramarine a préféré garder le silence pendant longtemps et ne pas porter plainte, c'est pour une raison bien précise : “À l’époque, le choix a été fait de garder le secret, et surtout de ne pas créer de remous pour ne pas entacher sa réputation. Mais moi, il m’a gâché la vie. Il avait plus de 50 ans. J’en avais 5. Pourquoi est-ce à moi de porter la responsabilité ? J’aurais aimé qu’il soit mis face à ses actes, raconte-t-elle à nos confrères dans cet entretien.

Toutefois, avec le recul, Miss France 2019 assure qu'en parler à l'époque lui aurait fait "beaucoup de bien". Désormais, les faits sont prescrits et "aujourd’hui, c’est trop tard. Mon agresseur est mort. Il ne peut malheureusement plus rendre de comptes” conclut-elle. Une prise de parole forte qui permettra peut-être à d'autres victimes d'aller se confier.

Poupette Kenza, son nouveau business juteux après la prison

Poupette Kenza est sur un petit nuage. Un an après avoir affronté le pire en étant incarcérée pendant plusieurs mois, l'influenceuse est de retour sur les réseaux sociaux mais aussi en librairie. La jeune femme a décidé de poser par écrit ses blessures et traumatismes carcéraux, dans une autobiographie parue chez Plon et baptisée De Poupette à Kenza. Depuis la sortie du livre, la mère de famille enchaîne les séances de dédicaces, et semble battre tous les records de ventes.

En effet, comme elle l'a fait savoir sur son compte Instagram, les demandes de dédicaces pleuvent, à tel point que Poupette Kenza en a mal au poignet ! Poignet bandé, rouges à lèvres usés, stylos périmés, la jeune femme fait face à un succès qu'elle n'avait pas anticipé, mais qui la ravit. La jeune femme, très proche de ses fans, a donc fait le choix de dédicacer tous les livres qui lui ont été achetés, physiquement ou informatiquement. Un travail de titan...

"Après mille bandages, 34 stylos sans encre, des rouges à lèvres qui durent 2 heures, j’ai décidé – et je dis J’AI DÉCIDÉ – pour toutes les Poupettes qui ont commandé sur mon site, de vous DÉDICACER CHAQUE LIVRE UN À UN ! Et ????? JE L’AI FAIT. VOUS AUREZ TOUTES UN LIVRE DÉDICACÉ. Entre deux crampes aux lèvres, quelques bisous d’amour se cachent aussi dans les dédicaces" s'est ainsi réjouie Poupette Kenza sur Instagram.

Résultat, comme elle l'a révélé sur TikTok, ce sont plus de 30 000 baisers, et 30 000 mercis qui ont été écris en l'espace de trois jours. Un véritable engouement, qui a totalement usé Soukaina. "J’ai dédicacé plus de trente mille livres en trois jours, ma chérie, de 7h à 23h. Je pensais que même un petit mot ferait plaisir" a ainsi répondu Poupette Kenza à une lectrice surprise du présent qui lui avait été fait. La jeune femme est plus proche que jamais de sa communauté ! D'autres auteurs, comme Louis Sarkozy, préfèrent eux le rapport humain et les séances de dédicaces.