09 avril 2025

1944 : Brandon Sklenar veut jouer dans la série

De la même manière que 1923 était la suite indirecte de 1883, la prochaine Yellowstone sera en quelque sorte la continuité de la série western avec Harrison Ford. Ces programmes explorent l’histoire du clan Dutton, depuis leur arrivée dans le Montana jusqu’aux aventures des héritiers de John Dutton (Kevin Costner) qui se déroulent de nos jours.

De cette histoire s’étalant sur près de deux siècles, nous savons donc le début (1883) et la fin (les cinq saisons de Yellowstone), mais la période intermédiaire n’est en revanche pas encore totalement connue. Le préquel 1923 a permis de lever le voile sur une partie de cette histoire, et notamment celle de Spencer Dutton – le grand-père de John.

La suite des aventures des Dutton se déroulera 21 ans plus tard, en 1944. En toute logique, ce troisième préquel verra apparaître Spencer Dutton, mais également son fils John – le futur père de John Dutton dans Yellowstone. Les interprètes des deux personnages n’ont pas encore été révélés, de quoi donner à Brandon Sklenar l’espoir de pouvoir conserver le rôle de Spencer.

Ce dernier a en effet prêté ses traits au personnage dans les deux saisons de 1923. S’il venait à rempiler dans 1944, un lourd maquillage serait nécessaire pour le vieillir de vingt et un ans. Mais l’acteur américain a toutefois exprimé son intérêt pour apparaître dans le programme dont le tournage n’a pas encore commencé.

"Écoutez, je sais que 1944 est un projet qu’ils envisagent ici, et peut-être qu’on verra Spencer dans 1944" a-t-il déclaré à Variety. "C’est quelque chose que j’aimerais faire." Bien que les maquillages permettent de nos jours d’accomplir des miracles, il paraît peu probable que Brendan Sklenar soit choisi pour jouer Spencer dans cette nouvelle série.

Plusieurs personnages ont déjà été joués par des acteurs différents. C’est notamment le cas de John Dutton, incarné par Kevin Costner dans les cinq saisons de Yellowstone, mais également par Josh Lucas dans les flashbacks retraçant sa jeunesse. On imagine donc qu’un nouvel acteur sera choisi pour jouer son grand-père dans ce troisième préquel.

Toutes les séries dérivées de l’univers de Yellowstone sont à retrouver dès à présent sur Paramount+.

Sylvester Stallone voulait qu'on laisse tranquille ce personnage

La saga culte Rocky, c'est six films mettant en vedette Sylvester Stallone dans la peau du célèbre boxeur Rocky Balboa, mais aussi trois autres opus (pour un quatrième, il faudra attendre) centrés sur le personnage d'Adonis Creed, fils d'Apollo Creed, incarné par Michael B. Jordan. Cette évolution de la franchise, c'est un certain Ryan Coogler qui, alors qu'il n'avait quasiment aucune expérience, la souhaitait ardemment. Mais, ainsi que l'ont récemment rappelé nos confrères de Collider, il lui a fallu pas mal de temps et d'abnégation pour convaincre Stallone, qui n'était à l'origine pas du tout chaud.

Au cours d'un entretien accordé en 2016 au site Deadline, Stallone était revenu sur la genèse du premier film Creed. "Ça a pris deux ans à Ryan Coogler pour me convaincre", déclare-t-il. "J'avais été très reconnaissant de la manière dont le dernier chapitre de la saga, Rocky Balboa, bouclait l'histoire de manière satisfaisante pour le public. Quand Rocky faisait ses adieux, c'était un adieu au public et un merci. Je me suis dit "Enfin". Je trouvais que c'était une merveilleuse conclusion."

C'est alors que Ryan Coogler, inconnu au bataillon, fait irruption et, au culot, approche Stallone. "Rocky est resté inactif pendant six ou sept ans, et puis un type est arrivé et m'a dit "Oh, est-ce qu'on peut le déterrer ?" J'ai répondu "Non, non, non, non", poursuit la star bodybuildée.

"Puis il m'a raconté cette histoire. Ma première réaction était que c'était déconcertant", avoue Stallone. "On y voit Rocky hors du ring, livrant un combat qu'il ne peut vraiment pas gagner. C'est un combat contre le plus grand adversaire du monde : la vie. J'ai alors dit "Non, gamin, je crois qu'on est en train de manipuler quelque chose qu'on devrait laisser tranquille."

Fin de l'histoire ? Oh que non... Ryan Coogler, éconduit par Stallone, s'en va alors réaliser son premier long métrage, le très remarqué Fruitvale Station, mais n'a ensuite qu'une chose en tête. "Il avait remporté de nombreux prix, il avait de multiples opportunités, mais il continuait à revenir vers moi pour Creed", raconte "Sly". "Là, je me dis "Ce type fonctionne manifestement avec une énergie différente. Elle est sincère et il n'est question ni d'argent, ni d'égo. Il devait boucler une mission, il voulait faire ça pour son père qui était très malade."

Et Stallone de conclure : "Il y avait quelque chose chez ce gamin de très physique dans ses manières mais en même temps quelque chose de sensible et émotif. À vrai dire, il me faisait penser... à moi. Alors j'ai fini par dire "Tu sais quoi ? Un jour, quelqu'un m'a donné ma chance. Je vais arrêter d'être prudent et je vais faire la même chose."

Au final, Ryan Coogler a bien fait d'insister et Stallone d'accepter : Creed - L'Héritage a été un beau succès public avec 174 millions de dollars de recettes dans le monde et plus d'1,6 million d'entrées en France. Producteur sur les deux autres opus de la saga, Coogler a ensuite retrouvé Michael B. Jordan pour Black Panther, Black Panther: Wakanda Forever et, tout récemment, Sinners, qui sortira en salles le 16 avril prochain.

08 avril 2025

Ayem Nour trompée, elle se livre à coeur ouvert sur ses relations

Pour sa nouvelle chaine Youtube baptisée "La série", ce dernier a reàu l'ancienne candidate de télé-réalité pour parler de la femme qui se cache derrière le personnage, de ses croyances et convictions, de sa vie de famille et de sa vie amoureuse. Elle qu'elle se fait désormais très discrète sur le sujet, la mère de Ayvin a livré quelques informations...

Ainsi, face caméra, Ayem Nour a confirmé être en couple et être "très amoureuse". "Je suis très amoureuse et c'est très rare mais quand je donne tout c'est complexe, parce que je suis une femme complexe. Forcément l'homme que j'ai choisi est aussi complexe. On s'aime très fort mais ce n'est pas un long fleuve tranquille, ce n'est pas linéaire... C'est très intense comme l'amour que je suis lui porte. C'est la première fois de ma vie que je me remets en question pour faire des efforts et modifier certaines choses car je veux finir avec lui." a-t-elle confié.

Si aujourd'hui elle semble épanoui côté coeur, Ayem Nour n'a pourtant pas toujours connu cela. Comme elle l'a révélé à Laurent Argelier, elle n'a connu que des relations dans lesquelles elle a été trompée. "Je n'ai vécu que ça. J'ai passé ma vie à être presque tout le temps trompée. Les hommes que j'ai côtoyés de manière sérieuse, je pense qu'ils ont un sentiment d"insécurité avec moi parce qu'ils ne sont pas à la hauteur. Un homme qui est à la hauteur, normalement il n'a pas besoin de me tromper et de me trahir." a-t-elle expliqué.

Selon Ayem, la plupart des hommes avec qui elle est sortie avaient un "manque de confiance". "Ils attaquaient avant même d'être attaqués parce-qu'ils se disaient 'Elle ne va pas rester avec moi, c'est un personnage public, elle est beaucoup sollicitée. Ils avaient peur." a ajouté la jeune femme. "Je m'y attendais et je me suis formatée à l'idée que les hommes étaient infidèles de manière générale." a précisé Ayem. Son père ayant trompé sa mère, elle a grandi avec ce schéma.

Ayem Nour révèle pourquoi elle n’aura pas d’autres enfants

Dans son autobiographie Toutes celles que je suis, Ayem Nour raconte son parcours, ses ambitions, mais aussi ses épreuves. Notamment son combat pour obtenir la garde de son fils unique, Ayvin-Aaron. Le petit garçon est né en 2016 de sa relation avec Vincent Miclet, son ex-compagnon, de 23 ans son aîné.

Une rupture difficile pour l'ex-chroniqueuse de TPMP People. Elle a révélé avoir été victime de chantage, de menaces et de harcèlement psychologique de la part de l'homme d'affaires. Lors d'une interview pour le podcast LA Série, l'animatrice de 36 ans a répondu aux questions, l'occasion d'évoquer sa vie de mère et l'éventualité d'un second enfant.

Ayem Nour s'est expliquée. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait prête à se remettre en question. La raison ? Garantir la durabilité de sa relation avec son nouveau compagnon. "Je vais te dire une folie, alors là c’est un scoop. C’est en exclusivité, je n’ai jamais dit ça de ma vie depuis toute ma notoriété".

"C’est la première fois de ma vie que je me remets en question en me disant : 'Ayem, fais les efforts nécessaires, modifie certaines choses, parce que tu veux être le plus longtemps possible avec lui'. C’est la première fois que je suis prête à ça", a-t-elle lancé.

Ayem Nour n’est pas particulièrement encline à envisager une nouvelle grossesse, et elle en explique la raison. "Sans les kilos ? Si c’est sans les kilos…", répond-elle d'abord dans un éclat de rire à Laurent Argelier. Elle ne cache pas sa pensée : "Ça ne va pas plaire, mais s'il n'y avait pas la contrainte – c’est horrible ce que je vais dire mais je le pense ! – de la prise de poids, la surcharge mentale, de ne plus pouvoir travailler quotidiennement, tout ce que ça engendre, je ferais douze gosses !"

L'influenceuse a continué de partager ses réflexions sur la maternité en évoquant sa situation actuelle: "J'ai mon fils, ma belle-fille, ma vie… C'est déjà beaucoup de travail. L'envie d'être maman à nouveau oui, mais ce que ça engendre derrière n'est pas évident. Faire un enfant c'est beau et romantique, sur le papier, mais en pratique ce n'est pas la même chose !". Elle en a profité pour remettre les choses au clair : "Il faut arrêter de vendre aux gens que la maternité, la grossesse et l'accouchement sont des trucs mignons et extraordinaires… Ce n'est pas vrai, il n'y a rien d'extraordinaire, à part l'arrivée de ce nouvel être formidable".

David et Victoria Beckham : leur ancien garde du corps retrouvé mort en Espagne dans de tragiques circonstances

Craig Ainsworth, ancien garde du corps de David et Victoria Beckham, a été retrouvé mort en Espagne. Selon les informations rapportées par le Daily Mail, son corps sans vie aurait été retrouvé, le lundi 7 avril dernier. L’endroit exact où son corps a été retrouvé et les circonstances de sa mort n’ont pas encore été révélées.

C’est sa mère, Sally, qui avait lancé un appel urgent, le samedi 5 avril dernier. Un appel désespéré que la mère de famille avait fait après que Craig Ainsworth ait "publié un dernier message d’aurevoir sur Facebook". Elle avait également révélé que la police avait concentré ses recherches sur Alicante et la région de Barcelone. Malheureusement, dans une mise à jour sur les réseaux sociaux, elle avait écrit : "Craig a été retrouvé. C'est avec la plus grande tristesse que le monde a perdu Craig. Il a servi en Afghanistan et souffrait de syndrome de stress post-traumatique".

L’homme qui aurait eu 40 ans au moment de sa mort avait écrit un message bouleversant sur Facebook. "Vivre est la chose la plus rare au monde. La plupart des gens existent, c'est tout", avait-il débuté son message en citant Oscar Wilde.

"Pour la plupart d'entre vous, cela sera un choc, mais j'ai ressenti une douleur terrible au cours des quatre dernières années, depuis que le confinement a détruit tout ce que j'avais construit et que j'ai perdu des êtres humains vraiment incroyables que j'étais fier d'appeler amis et collègues", poursuit-il en évoquant ses 11 amis, morts par suicide en 16 mois. Affirmant qu’il avait vécu "la vie de 10 hommes", il avoue avoir "vécu avec un cœur pure et de bonnes intentions". "Lilo et Stitch - Je suis désolé de vous abandonner, ça me brise le cœur mais je vous reverrai tous les deux de l'autre côté où nous pourrons jouer pour toujours", avait-il laissé comme note à ses chiens.

Craig Ainsworth a été le garde de corps de David et Victoria Beckham de 2013 à 2015. Cela quand il vivait à Holland Park, à Londres. Embauché par l’intermédiaire de la société de sécurité américaine Gavin De Becker, Craig Ainsworth avait passé des tests comme être aspergé de gaz poivré dans les yeux ou encore affronter un combattant MMA dans le noir.

Dans une interview, l’ancien marine royal avait partagé son expérience du couple de star. "David était charmant. Victoria était discrète, elle était avec les enfants ou travaillait", avait-il confié en ajoutant : "Avec toute la visibilité dont ils font l'objet, leurs enfants se comportent bien. Pour atteindre ce niveau de célébrité et préserver leur unité familiale, ils doivent faire quelque chose de bien". En plus des Beckham, Craig Ainsworth a également été le garde du corps d’autres stars comme Jennifer Lawrence, Johnny Depp et même Arnold Schwarzenegger.

Sara Forestier révèle qu’on lui a demandé d’enlever sa culotte lors de son premier casting à 13 ans

Après les témoignages de comédiens comme Jean Dujardin ou encore Pierre Niney, ce sont ceux des actrices auditionnées, en novembre, par la commission d’enquête parlementaire sur les violences dans l’industrie du cinéma qui ont été dévoilés. Parmi ceux-ci se trouve l’audition de Sara Forestier, qui a raconté notamment son premier casting.

La comédienne, par deux fois césarisée, a passé sa première audition à l’âge de 13 ans. Il s’agissait d’un court-métrage. Les organisateurs du casting lui ont demandé de retirer sa culotte pour la « faire tournoyer dans les airs » et qu’elle retombe dans l’assiette d’un personnage.

Une scène présentée officiellement comme comique mais qui n’a pas du tout fait rire l’adolescente qu’elle était.

« J’ai commencé ma carrière en disant "non" […] J’avais 13 ans, je n’étais personne, je n’avais jamais fait de films, mais j’ai dit non et puis je suis partie », a déclaré Sara Forestier devant la commission d’enquête parlementaire, ainsi que le relaye l’AFP.

L’actrice a connu un premier succès en 2003, à 17 ans, avec le film L’Esquive d’Abdellatif Kechiche. Seulement, là encore, le tournage, qui s’est déroulé l’année de ses 15 ans, a donné lieu à des réflexions graveleuses de la part d’un membre de l’équipe. Un régisseur, âgé de 30 ans, lui aurait lancé, entre deux scènes, qu’il avait envie de lui « faire l’amour dans les fesses ».

Sara Forestier a témoigné que « dire "non" » l’a protégée « des metteurs en scène qui voulaient coucher » avec elle en la « menaçant de (lui) retirer un rôle ». Seulement, « il y a eu le "non" de trop, celui qu’on m’a fait payer ». C’était en 2017, sur le tournage du film Bonhomme, comme elle l’a raconté devant la commission d’enquête parlementaire.

L’actrice avait déjà évoqué cette affaire, notamment sur le plateau de Quotidien, affirmant avoir été giflée par un acteur, qu’elle nommera plus tard comme étant Nicolas Duvauchelle. Le comédien, de son côté, dément avoir levé la main sur elle. Lorsqu’elle avait quitté le tournage, et été remplacée par Ana Girardot, la rumeur avançait que Sara Forestier avait été la personne violente sur le plateau.

« Ils ont réussi à me faire taire. Psychologiquement, c’était comme un coup de massue supplémentaire […] J’étais, littéralement, à terre, à genoux dans mon salon, en sanglots – je revois encore cette image et ça me fait mal d’y repenser. J’ai eu envie de mourir », ajoute Sara Forestier, qui avait, juste avant cette « gifle » qu’elle dénonce, fait une grossesse extra-utérine ayant entraîné une hémorragie interne grave.

Après une pause de plusieurs années, Sara Forestier est revenue au cinéma dans le film Trois amies, sorti en 2024, et porté plainte contre Nicolas Duvauchelle. Une enquête a été ouverte en décembre 2024 par le parquet de Paris.

Madonna et Elton John se sont enfin réconciliés

Entre Madonna et Elton John, c’était la guerre et ce, depuis 23 ans ! Le Rocket Man avait lancé les hostilités, mais c’est la reine de la pop qui a pris l’initiative d’une réconciliation, et en public !

Adepte du pardon, la Material Girl a pris la décision de mettre fin aux hostilités en se rendant au Saturday Night Live (SNL) où Elton John était invité avec la chanteuse Brandi Carlile.

« J’avais besoin d’aller dans les coulisses et de le confronter », a-t-elle expliqué dans un long message sur Instagram. Et grand bien lui en a pris !

« Lorsque je l’ai rencontré, la première chose qu’il m’a dite a été "Pardonne-moi" et le mur entre nous s’est effondré […] Le pardon est un outil puissant. En quelques minutes, nous nous sommes serrés dans les bras », affirme Madonna, ravie.

La chanteuse de 66 ans a cependant reconnu que l’attitude du musicien britannique à son égard l’avait terriblement blessée. « Au fil des décennies, j’ai souffert de savoir que quelqu’un que j’admirais tant partageait publiquement son aversion pour moi en tant qu’artiste. Je ne comprenais pas », écrit-elle après avoir rappelé un souvenir de jeunesse marquant.

En effet, « au lycée », elle avait « fait le mur un soir pour voir Elton se produire en direct à Détroit ! » Et elle avait découvert « le pouvoir de transformation de la musique ». Reconnaissante, Madonna estime que le chanteur a eu une influence décisive sur sa vie et son parcours artistique. Cela « m’a aidé à comprendre qu’il n’y avait pas de mal à être différent, à se démarquer, à prendre le chemin le moins fréquenté. En fait, c’était essentiel », écrit l’interprète de Like a Virgin.

Mais qu’avait donc dit Elton John de si grave ?

En 2002, il avait jugé que sa chanson de James Bond pour Meurs un autre jour était la « pire chanson de Bond jamais entendue ». En 2004, il avait lancé qu’elle chantait sur scène en playback, allant jusqu’à prétendre qu’une telle pratique méritait le peloton d’exécution. Cette année-là, Madonna était nommée pour la meilleure performance live aux Q Awards.

Pas tendre, donc, et cela ne s’arrête pas là. « Garce » ou encore « putain de strip-teaseuse de fête foraine », sont parmi les mots doux qu’il a proférés en public contre Madonna.

Tout cela est bel et bien du passé, comme le prouve la photo que l’interprète de Lisla Bonita a partagée sur son compte Instagram pour illustrer son propos. Une image qu’Elton John a également publiée en Story, en y ajoutant son mea culpa.

Le pianiste s’est dit « pas fier » de sa « grande gueule », surtout envers une artiste au « travail révolutionnaire », et qui a notamment fait avancer la cause des femmes en « ouvrant la voie à toute une génération d’artistes féminines ». La suite ? Il espère bien une collaboration soutenue.

Si Madonna a évoqué « une chanson » que le Rocket Man lui a écrite, ce dernier a rappelé leur combat commun pour la communauté LGBTQ+ et la lutte contre le VIH/Sida. « En nous unissant, j’espère que nous pourrons faire de grandes choses pour ceux qui ont vraiment besoin de soutien. Et nous nous amuserons beaucoup en le faisant !!! », a-t-il répondu, comme le relaye le Guardian.

« C’était comme si la boucle était bouclée ! » a conclu Madonna dans son message.

Jenna Ortega donne la vraie raison de son départ de la saga Scream

En novembre 2023, on apprenait que Jenna Ortega abandonnait Scream 7 après avoir joué Tara Carpenter dans Scream (2022) et Scream 6 (2023). Officiellement, c’était un problème de calendrier qui obligeait la star de Mercredi à quitter la franchise horrifique. 

Dans une interview accordée à The Cut (via Variety), l’actrice a donné la vraie raison de son départ. Et oui, comme on le soupçonnait, il était bien lié à celui de Melissa Barrera, qui venait de se faire virer de la saga à cause de ses prises paroles sur les réseaux sociaux concernant Israël et la Palestine. 

"Ça n’avait rien à voir avec le salaire ou l’agenda. Il y avait l’affaire avec Melissa, et c’est comme si tout s’effondrait. Si Scream 7 ne se faisait pas avec cette équipe de réalisateurs et les gens dont je suis tombée amoureuse, alors ce n’était plus la direction que je voulais prendre pour moi ou ma carrière à ce moment-là."

Les propos de Jenna Ortega ne sont pas très surprenants, mais ils ont au moins le mérite de clarifier les choses. Le départ des deux actrices a marqué un tournant pour Scream, et le réalisateur Christopher Landon, qui devait mettre en scène le prochain film, a lui aussi claqué la porte quelques semaines plus tard en lâchant sur les réseaux sociaux : "C’était un job de rêve qui s’est transformé en cauchemar. Ça me brise le coeur pour toutes les personnes impliquées. Toutes. Mais il est temps de passer à autre chose." 

Scream 7 est depuis reparti de l’avant avec un nouveau réalisateur, Kevin Williamson (scénariste de Scream, Scream 2 et Scream 4), et le retour de Neve Campbell, figure historique de la franchise qui a finalement eu le cachet qu’elle réclamait… 

Robert De Niro va recevoir une Palme d'or d'honneur au Festival de Cannes 2025

En attendant la sélection officielle, qui sera dévoilée ce jeudi 10 avril, le 78e Festival de Cannes dégaine une grosse annonce pour bien démarrer la semaine. Après Meryl Streep et George Lucas l’an dernier (ainsi que le studio Ghibli), Robert De Niro recevra une Palme d’honneur lors de la cérémonie d’ouverture, le 13 mai prochain. Dès le lendemain, il donnera une masterclass sur la scène de la salle Debussy.

"J'ai des sentiments très forts pour le Festival de Cannes. Surtout aujourd'hui, alors que tant de choses dans le monde nous séparent, Cannes nous rassemble : conteurs, cinéastes, admirateurs et amis. C'est comme si nous revenions à la maison", déclare la légende dans le communiqué par le Festival. 

Entre De Niro et Cannes, c’est une longue histoire. Il a joué dans deux films récompensés par la Palme d’or : Taxi Driver de Martin Scorsese en 1976 et Mission de Roland Joffé en 1986. Il a aussi présenté sur la Croisette Mean Streets, 1900, La Valse des Pantins, Il était une fois en Amérique ou Killers of the Flower Moon. Et il a même été président du jury du Festival de Cannes en 2011, qui avait vu Tree of Life de Terrence Malick remporter la Palme d’Or. 

Trailer de Ravage, avec Tom Hardy

"Après une affaire de trafic de drogue qui a mal tourné, un inspecteur meurtri doit s'introduire dans le monde du crime organisé pour sauver le fils d'un politicien, tout en démêlant un réseau complexe de corruption et de conspirations qui pèse sur toute la ville."

Derrière ce pitch assez classique (qui rappelle d'ailleurs une autre production récente de chez Netflix, Black Doves, la série d'espionnage musclée avec Keira Knightley et Ben Whishaw), Ravage (Havoc en VO) cache une production d'action que les amateurs du genre attendent de pied ferme. Car en 2011, son réalisateur Gareth Evans avait bluffé tout le monde avec sa mise en scène haletante de The Raid. Une succession de chorégraphies plus folles les unes que les autres qui ont énormément été copiées depuis, mais rarement égalées.

Fort de ce succès d'estime important, le réalisateur britannique a de nouveau marqué le public avec sa série Gangs of London (2020), et il a tourné le film horrifique Le Bon apôtre (2018), déjà pour Netflix, signant au passage un contrat de plusieurs programmes étalés sur 4 ans avec la plateforme. Qui lui a sans surprise proposé de plancher sur un remake de The Raid...

Cet accord ayant été renouvelé, on attend à présent des nouvelles de cette version, qui devrait également être supervisée par Michael Bay (Bad Boys) et Patrick Hughes (Hitman & Bodyguard). Mais avant cela, Gareth Evans sortira donc à la fin du mois Havoc, projet annoncé en 2021. Rendez-vous le 25 avril pour voir si le choc promis sera à la hauteur : pour patienter, Netflix dévoile cette semaine sa bande-annonce finale, qui cogne dur, évidemment. Et qui a attiré du beau monde : en plus de la star de Venom, le film est porté par Jessie Mei Li, Justin Cornwell, Timothy Olyphant et Forest Whitaker. Voici la vidéo :