21 mai 2025

Michelle Williams a trouvé sa colocation avec Ryan Gosling « horrible » lors du tournage de Blue Valentine

Michelle Williams et Ryan Gosling semblent avoir poussé le bouchon un peu loin lors du tournage de Blue Valentine. Les deux acteurs se sont partagé la vedette dans ce drame de 2010 réalisé par Derek Cianfrance. La comédienne y incarne Cindy, une jeune femme éperdument amoureuse de Dean (Ryan Gosling), avec qui la relation s’effiloche au fil du temps en raison de leurs visions différentes sur la vie de famille.

Pour se préparer à ce changement de ton au cours du tournage, qui s’est effectué chronologiquement, les deux acteurs ont eu l’idée de vivre ensemble pour travailler leur jeu.

« Nous avons tourné la première partie où ils sont jeunes et amoureux et où tout se passe très bien, puis nous avons fait une pause de deux semaines et avons emménagé ensemble », a expliqué Michelle Williams dans un épisode récent du podcast Armchair Expert with Dax Shepard. « Nous avons fait des improvisations pendant la journée pour trouver des moyens de nous agacer l’un l’autre et de détruire cette chose que nous avions créée. »

Or, la stratégie des acteurs a si bien marché que leur expérience sur le plateau a pris une tournure « horrible », surtout lorsque le réalisateur du film a commencé à alterner des scènes de tension avec des moments plus joyeux.

« (Derek) disait : "Après cette journée frustrante, vous allez maintenant emmener votre fille au parc d’attractions et essayer de passer un bon moment" », s’est souvenue Michelle Williams. « Nous avons appris à nous agacer l’un l’autre. C’était horrible… Je suis agaçante. Nous faisions appel à toutes nos pires qualités. »

Mais l’effort en valait la chandelle puisque la comédienne de 44 ans a été nommée pour la première fois à l’Oscar de la meilleure actrice pour ce rôle en 2011. Au cours de la même interview, Michelle Williams a rendu hommage à son ancien compagnon, le défunt acteur Heath Ledger, avec qui elle a eu une fille, Matilda, en 2005. L’actrice a évoqué la « sensibilité incroyable » de la star de The Dark Knight et s’est montrée reconnaissante envers l’existence de leur fille. Heath Ledger est décédé à l’âge de 28 ans en 2008 des suites d’une overdose médicamenteuse.

Cannes 2025 : Jodie Foster ovationnée pour Vie Privée de Rebecca Zlotowski

ourire éclatant aux lèvres, Jodie Foster a enlacé la réalisatrice Rebecca Zlotowski mardi soir au Festival de Cannes, alors que Vie Privée récoltait une impressionnante ovation de plus de 9 minutes. La salle, en liesse, a applaudi la plus francophone des actrices américaines avec ferveur, tandis que la star ne cessait de désigner Zlotowski, comme pour rappeler au public que c’était le moment de la cinéaste.

Vie Privée - qui sortira dans les salles en France le 26 novembre prochain - est un thriller décalé dans lequel Foster joue une psychothérapeute qui devient persuadée que le suicide d’une patiente cache en réalité un meurtre.

Dans Vie Privée, elle joue en français, une première depuis Un long dimanche de fiançailles en 2004.

Il faut rappeler que Jodie Foster n’en est pas à son premier tapis rouge cannois. Présente régulièrement sur la Croisette depuis plusieurs décennies, elle avait notamment reçu une Palme d’honneur en 2021. Plusieurs de ses films ont été projetés en sélection officielle, à commencer par Taxi Driver, Palme d’or en 1976, mais aussi Money Monster en 2016 — un thriller qu’elle a réalisé avec George Clooney et Julia Roberts — ou encore The Beaver en 2011, drame porté par Mel Gibson et également signé par ses soins.

Zootopie 2 : la suite du classique de Disney dévoile sa bande-annonce

Dix ans après, Judy et Nick sont de retour !

Le premier trailer de Zootopie 2 vient d’arriver (voir ci-dessous), et il annonce une nouvelle aventure palpitante pour le renard et le lapin, désormais coéquipiers : Judy Hopps et Nick Wilde.

Cette fois, ils se retrouvent plongés dans une mission sous couverture pour protéger un serpent nommé Gary — doublé par Ke Huy Quan — tandis qu'ils seront traqués par les forces de l'ordre.

"Dans Zootopie 2, des studios Walt Disney Animation, les détectives Judy Hopps et Nick Wilde se retrouvent sur la piste tortueuse d’un mystérieux reptile fraîchement débarqué à Zootopie, et qui bouleverse l’équilibre de la ville", annonce le synopsis officiel. "Pour résoudre l’affaire, Judy et Nick vont devoir infiltrer des recoins inédits et inattendus de la ville, où leur partenariat sera mis à rude épreuve comme jamais auparavant."

Ginnifer Goodwin et Jason Bateman seront de retour au casting vocal en VO, qui s’étoffe avec Quinta Brunson (Abbott Elementary) qui prête sa voix à Dr. Fuzzby, un quokka thérapeute chargé d’aider Judy et Nick à régler certains problèmes relationnels. Shakira est également de retour dans le rôle de la pop star Gazelle, tandis que Fortune Feimster incarne une castor prénommée Nibbles.

Zootopie 2 est écrit et réalisé par Jared Bush, co-réalisé par Byron Howard et produit par Yvett Merino. Sortie le 26 novembre dans les salles en France.

Wahlberg fera son grand retour dans une série animée Ted

Selon un article de Variety, le service de streaming de NBCUniversal, Peacock, a commandé une nouvelle série animée se déroulant dans l’univers de Ted. L’intrigue principale du nouveau show est encore inconnue, mais Variety rapporte que l’action se déroulera après les événements des deux films live-action Ted (2012) et Ted 2 (2015), réalisés par Seth MacFarlane.

Ce dernier prêtera d’ailleurs à nouveau sa voix au nounours à la langue bien pendue, tandis que Mark Wahlberg, Amanda Seyfried et Jessica Barth reprendront leurs rôles respectifs de John, Sam et Tami-Lynn, du côté du doublage cette fois. Kyle Mooney et Liz Richman ont, quant à eux, été choisis pour interpréter, respectivement, deux nouveaux rôles : les personnages d’Apollo et de Ruth.

L’univers de Ted est né en 2012, avec une première comédie co-écrite et réalisée par Seth MacFarlane. Pour rappel, le premier film raconte l’histoire de John Bennett (Mark Wahlberg), un homme dont le souhait d’enfance de donner vie à son ours en peluche s’est réalisé, et qui doit maintenant décider entre maintenir la relation avec l’ours au caractère bien trempé, nommé Ted, ou sa petite amie, Lori (Mila Kunis).

Depuis, une suite a été produite, dans laquelle Ted, John et l’avocate activiste Samantha L. Jackson (Amanda Seyfried) ont pour mission de faire légaliser l’existence de Ted, alors que ce dernier tente, avec sa compagne Tamy-Lynn (Jessica Barth), d’adopter un enfant.

Après le second film, c’est une série préquelle en live-action qui a vu le jour en 2024, et qui se déroule en 1993 alors que John n’a que 16 ans mais doit déjà gérer son ours en peluche grossier. Cette série est actuellement en production, ayant été renouvelée pour une deuxième saison que MacFarlane qualifie de la plus drôle à ce jour.

Les sept épisodes de la saison 1 de Ted sont actuellement disponibles en VOD. Le premier film Ted est, quant à lui, disponible sur Netflix, tandis que Ted 2 est à (re)voir sur Prime Video.

Vendredi 13 : l'un des méchants les plus terrifiants du cinéma dévoile une nouvelle apparence dans Crystal Lake

Horror, Inc. a dévoilé un premier aperçu du nouveau look du tueur en série Jason Voorhees, portant un masque de hockey, pour l’extension multiplateforme prévue de la franchise Vendredi 13.

Annoncé il y a exactement un an, le “Jason Universe” (ou “Univers Jason”), de son petit nom, englobe de nombreux projets et inclut des films, des jeux, des produits dérivés et des séries comme Crystal Lake de A24 et Peacock, avec Linda Cardellini.

Ce nouveau look, révélé en exclusivité par le magazine Adweek, présente un Jason beaucoup plus svelte que dans les films précédents, où le personnage était souvent plutôt costaud. Ce Jason, comme vous pouvez le constater dans le post ci-dessous, semble également avoir des cheveux, porter des chaussures confortables et privilégier les tons bruns/verts terreux pour ses vêtements, contrairement aux tenues bleu marine et noires d’autrefois.

“Nous nous efforçons de préserver l’essence même de Jason, tout en continuant d’évoluer vers l’avenir avec une identité visuelle définie qui l’emmène vers son prochain chapitre”, a déclaré Rob Barsamian, président de Horror, Inc., dans un communiqué, précisant que la légende des effets spéciaux et du genre de l’horreur, Greg Nicotero (Le Jour des morts-vivants, The Walking Dead) avait contribué à ce nouveau look. “Nous collaborons également avec des voix connues et nouvelles de la franchise pour trouver cet équilibre. Nous avons doté Greg de notre nouveau masque à 13 trous et avons travaillé ensemble sur ce look intégral qui incarne le Jason classique. C’est un tueur puissant, imposant et terrifiant, armé d’une machette, son arme de prédilection.”

Mais ce n’est pas tout : un nouveau logo, à découvrir en vidéo ci-dessous, a également été dévoilé, à l’occasion du 45e anniversaire de la franchise la semaine dernière.

Sheri Conn, directrice marketing de Horror, Inc., explique que l’équipe “développe activement une gamme de produits sous la bannière ‘Jason Universe’, comprenant de nouveaux films, des jeux, des expériences immersives, des objets de collection et bien plus encore”, et qu’elle “réimagine activement” ce que pourrait être le prochain chapitre de la franchise.

Comme un chien enragé : Sean Penn est allé trop loin sur le tournage de ce thriller des années 80

Jusqu'où peut-on aller pour essayer d'avoir une bonne scène de cinéma ? Au début de sa carrière, Sean Penn tentait de repousser les limites de ce qu'un acteur peut faire pour son métier, notamment sur le tournage de Comme un chien enragé en 1986.

Alors qu'il a 26 ans, Sean Penn décide de devenir son personnage, Brad Jr., jeune homme sans histoire qui tombe peu à peu dans la délinquance au contact de son père, un redoutable chef de bande interprété par Christopher Walken. Et il va tenter quelque chose de dangereux.

Vers la fin du film, son personnage se rend rempli de haine chez son père qu'il déteste. Dans une scène déchirante, le fils confronte le père, qui nie tous les crimes dont on l'accuse, jusqu'à ce qu'il réalise que Brad Jr a une arme chargée. Mais sur le plateau de tournage, Chris Walken était réellement terrifié, car Sean Penn avait au dernier moment chargé des balles à blanc dans le revolver qu'il utilisait pour la scène.

Or, comme il est précisé dans le documentaire Sean Penn, l'enfant terrible de l'Amérique actuellement disponible gratuitement sur ARTE (et récemment relayé par Télé Loisirs), une balle à blanc tirée à bout portant peut tuer. On découvre aussi que Sean Penn est assez satisfait d'avoir fait peur à Walken afin qu'il soit vraiment terrifié à l'écran et pour la scène.

Mais l'intéressé, lui, garde un souvenir un peu plus mitigé de l'expérience, comme il l'avait confié à l'émission Inside The Actors Studio en 1995 :

"Dans la scène, il devait pointer le revolver collé à mon visage. J'ai toujours été terrifié par les armes, à feu ou non, les cascades, les choses comme ça, j'évite à tout prix.

"Et juste avant qu'ils ne disent 'Action' pour la quatrième prise, quelque chose comme ça, [Sean] a couru à l'autre bout du plateau et je l'ai entendu dire : 'Donne-moi l'autre arme !' La caméra tournait, il est revenu sur le plateau faire la scène et en moi, je ne sais pas pourquoi, je me suis dit 'on continue', alors que tout en moi me disait de lui dire : 'Stop, donne-moi cette arme'. Mais j'ai vraiment été terrifié. J'avais peur de cette arme."

Comme un chien enragé est inspiré d'un réel fait divers survenu dans la banlieue de Philadelphie aux Etats-Unis, mais n'est actuellement disponible sur aucune plateforme.

3 hommes et un couffin revient au cinéma

Ce mercredi, le plus grand succès de la décennie 80 au cinéma en France ressort en salles. Trois hommes et un couffin, qui fête ses 40 ans cette année, a été un immense succès public : 10 millions d'entrées au box-office en 1985. Il s'agit de la première ressortie du film, même si bien sûr cette comédie a aussi fait les belles heures de la télévision en étant souvent rediffusée à une époque.

L'histoire de ce film réalisé par Colline Serreau est belle car il faut se souvenir qu'à l'époque, c'était "un sujet dont personne ne voulait" (l'histoire de trois amis se retrouvant du jour au lendemain avec un bébé à gérer seuls).

Lors de la cérémonie des César 1986, Trois hommes et un couffin va d'ailleurs aussi créer la surprise. Nommé à 6 reprises, le film va repartir avec 3 statuettes. Étaient alors nommés entre autres L'effrontée avec Charlotte Gainsbourg, Subway de Luc Besson, ou encore Sans toi ni loi d'Agnès Varda... Un succès qui va à l'encontre d'un discours que l'on entend souvent au sujet des César : le genre de la comédie est peu récompensé.

Cette ressortie trouve un écho particulier aujourd'hui quand on pense 10 millions d'entrées d'Un P'tit truc en plus. Comme Trois hommes et un couffin, Artus a dû convaincre les producteurs que son projet pouvait toucher un large public.

Le film sera présenté dans une nouvelle version 4K. La restauration, effectuée en 2024, a été supervisée et validée par la réalisatrice Coline Serreau.

Le pitch : Pierre, Jacques, Michel partagent un luxueux appartement. Stewart, Jacques s'envole pour trois semaines au Japon en laissant un message aux deux autre compères : «... Un copain déposera un colis et passera le reprendre plus tard...» Quelle stupéfaction lorsque Pierre et Michel se retrouvent «nourrices» d'un bébé déposé dans un couffin au seuil de la porte. Le colis de Jacques ?. Sans aucun doute. L'aventure semble se compliquer lorsqu'un second paquet est livré... Ce fâcheux «imprévu», source de malentendus, va bouleverser leur vie. D'hommes libres et insouciants, ils vont devenir des suspects traqués par la police et des pères attentifs et préoccupés !

Trois hommes et un couffin réunissait le trio de choc André Dussollier, Michel Boujenah et Roland Giraud, sans oublier Philippine Leroy-Beaulieu, bien connue aujourd'hui des fans de la série Emily in Paris.

20 mai 2025

Inès Vandamme évoque sa relation inexistante avec celui qu'elle refuse de nommer "papa"

Amoureuse, Inès Vandamme l'est ! Après une rupture difficile et de longs mois de célibat, la figure emblématique de Danse avec les stars partage la vie d'un sportif nommé Antoine Léger depuis la fin de l'année dernière. La Nordiste est sûre d'elle : cet homme de 27 ans, avec qui elle souhaite emménager, pourrait être le bon. "Ça fait six mois qu'on est ensemble et pourtant je sais que c'est l'homme de ma vie alors que je suis resté cinq ans quelqu'un et je n'ai pas ressenti ça. Je sais que j'ai rencontré mon âme sœur", assure-t-elle face à Dominique Lagrou-Sempère lors d'un entretien.

En face de l'ancienne reporter de TF1, la chorégraphe s'est également confiée sans fard sur son enfance, et l'absence totale de son père pendant cette période. D'ailleurs, elle refuse de le nommer "papa" et parle de lui comme son "géniteur". "Pour moi, un père, c’est quelqu’un qui est là, qui est présent dans l’éducation. Moi il ne m’a pas éduquée, il ne m’a pas élevée, il ne venait même pas me chercher", s'est souvenue celle qui dit avoir grandi avec sa mère, sa tante qu’elle considère comme sa seconde maman et son oncle.

À l'écouter, Inès Vandamme "n'a jamais ressenti de manque", bien au contraire. Elle a confié trouver "génial" que l'ex-compagnon de sa mère ne vienne pas la récupérer un week-end sur deux, alors qu'elle l'attendait avec son sac sur le dos. "Je ne l’ai jamais aimé. Je n’ai jamais eu d’amour pour cet homme en fait. Et ce n’est pas grave", relativise-t-elle aujourd'hui, espérant seulement que ses futurs enfants ne connaissent pas le même schéma familial.

Pas malheureuse aujourd'hui, l'ex-cavalière de Jungeli dans la dernière saison de DALS a pourtant vu son géniteur tenter de reprendre contact avec elle avant sa majorité. Mais elle l'a envoyé balader et a décidé de couper définitivement les ponts. "Il a essayé de me rappeler quand j’ai eu 18 ans. J’ai décroché et dit 'je peux te rappeler ?' et je n’ai jamais rappeler", a-t-elle raconté sans exprimer le moindre regret. L'amour de son homme et du reste de sa famille lui suffit amplement.

Jeux Paralympiques : une judokate disqualifiée à vie pour avoir menti sur son handicap

La vérité finit toujours - ou presque - par rattraper les tricheurs. Alors que la page des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 a permis de voir éclore de nombreux talents français, les mois suivant les médailles ont été synonymes de dépression pour certains d'entre eux (Florent Manaudou et Léon Marchand en tête), une fois l'euphorie retombée. La judokate azerbaïdjanaise Shahana Hajiyeva a, elle, eu le temps de digérer son titre paralympique obtenu à Tokyo en 2021. Récompensée par son pays de l'ordre "Pour service à la patrie, 1er degré" grâce à son exploit, elle a complété sa collection de médailles par du bronze à Bakou (2023) puis dans la foulée par de l'argent au Grand Prix de Tokyo.

Mais l'athlète de 24 ans a été rattrapée par la patrouille, en amont des Mondiaux de parajudo, qui se sont achevés le 15 mai dernier, au Kazakhstan. Alors qu'elle se présentait à un simple examen de routine, Shahana Hajiyeva a été diagnostiquée souffrante d'aucune déficience visuelle. Sa vision a en effet été déclarée tout à fait optimale, rapporte le média sportif espagnol ABC. Ce gros mensonge l'a automatiquement exclue du tournoi mais l'a également suspendue à vie des compétitions de para-judo pour les malvoyants (catégorie J2, -52 kg). Finaliste à Tokyo, la Française Sandrine Martinet-Aurières pourrait, elle, récupérer la breloque en or de son adversaire.

Par communiqué, les dirigeants du comité paralympique d’Azerbaïdjan ont tenu à apporter des arguments pour défendre sa championne. Selon eux, leur représentante souffre bien de déficience visuelle, mais de récents changements de réglementation au niveau des catégories (créées en fonction du niveau de handicap) auraient eu pour conséquence l’éviction de la jeune femme du circuit international : aucune des catégories désormais existantes ne correspondrait à son degré de handicap. "Suite à ces changements, de nombreux diagnostics ophtalmologiques ont été exclus de la liste des maladies acceptables pour la catégorie J2", a expliqué l'organisation. "C'est pourquoi l'Association internationale des sports pour aveugles (IBSA) a soumis à nouveau nos para judokas à une classification médicale." Une défense suffisante pour sauver l'honneur de l'Azéri ?

Meghan Markle fait des confidences inattendues sur la maternité

« J’avais une vision… » Meghan Markle s’est livrée avec une rare franchise dans l’épisode diffusé le 19 mai 2025 de son podcast Confessions of a Female Founder, dans lequel elle reçoit Cassandra Thurswell, fondatrice de la marque Kitsch. À cette occasion, la duchesse de Sussex est revenue sur ses grossesses et les premiers mois de vie de ses enfants, en évoquant les « nombreux éléments extérieurs » venus bouleverser sa vision idéalisée de la maternité. Elle confie : « Je voulais donner un discours avec un bébé sur la hanche », mais les circonstances ont tout changé. À l’époque, elle était encore membre actif de la famille royale britannique, et a choisi de s’en détacher en 2020 alors que son fils Archie n’avait que 10 mois. L’interview qu’elle a accordée à Oprah Winfrey en 2021, juste avant la naissance de Lilibet, avait déjà révélé les tensions avec la monarchie. Loin de ses ambitions initiales, Meghan admet aujourd’hui : « Ce n’était pas comme je l’avais imaginé ».

Malgré les apparences, Meghan Markle ne cache plus que l’équilibre entre sa vie de maman et ses projets professionnels a été difficile à trouver. Dans cet épisode de podcast, elle explique vouloir montrer à ses enfants « l’importance d’être une maman qui travaille ». Elle a également partagé une anecdote touchante sur sa tournée officielle en Afrique du Sud en 2019, où son emploi du temps avait été entièrement adapté aux horaires de tétée du petit Archie. La duchesse, qui a récemment lancé sa marque As Ever et une série lifestyle sur Netflix, affirme pouvoir compter sur une nounou présente depuis cinq ans. Très complice avec Cassandra Thurswell qu’elle a rencontrée en 2009 grâce à un ami commun, Meghan évoque aussi son passé d’actrice, ses auditions pour Suits, et compare aujourd’hui le développement d’un business à un jardinage minutieux : « La plupart du travail, surtout au début, consiste à s’occuper de la terre. C’est la base. C’est de là que tout va pousser ».