20 mars 2024

Shannen Doherty : ce souvenir déchirant de l'hôpital pour évoquer son combat contre le cancer

Shannen Doherty est remplie de courage. Voilà près de neuf ans que la comédienne de 52 ans se bat contre le cancer. En effet, en 2015, la quinquagénaire inquiétait ses plus grands fans en annonçant publiquement le diagnostic de son cancer du sein. Si elle annonçait sa rémission après deux ans de chimiothérapie, en 2020, l'actrice révélait la récidive d'un cancer du sein de stade 4. Une forme très grave de la maladie.

L'interprète de Prue Halliwell dans la série Charmed, qui a bercé la jeunesse de la première décennie des années 2000, fait face à un terrible drame contre lequel elle n'a aucune alternative que celle de garder espoir pour retrouver la santé. Son podcast, intitulé Let's Be Clear, dans lequel elle raconte ses mémoires, croisées à l'expérience de son cancer, lui permet de tenir de coup et de garder un lien avec sa communauté. Mais la comédienne donne également de ses nouvelles à ses admirateurs sur les réseaux sociaux.

Ce mercredi 20 mars, Shannen Doherty a publié une photographie souvenir très étonnante, à destination de ses abonnés, sur son compte Instagram. Sur le cliché, elle est allongée sur un lit d'hôpital, vêtue d'une blouse, d'un masque chirurgical et d'une charlotte en plastique, la quinquagénaire porte également de drôles de patchs jaunes sur le front. Malgré la situation anxiogène dans laquelle elle a été photographiée, la comédienne avait un grand sourire aux lèvres au moment du cliché.

"Janvier 2023, j'ai subi une opération du cerveau pour enlever une tumeur. Les choses sur mon front étaient pour la cartographie. Je n'ai pas posé assez de questions, la peur et trop de choses qui se passent m'ont saisie. Mais c'est tellement cool d'avoir eu l'occasion du discuter avec [...] mon chirurgien cérébral et j'ai découvert beaucoup de choses sur mon opération !", a écrit l'actrice sur le réseau social, en souvenir de ce processus qui lui a valu beaucoup de frayeurs par le passé.

"Oh, et ça date de quand ils m'ont donné les médicaments pour la relaxation avant de m'endormir. Apparemment je les ai aimés", a expliqué Shannen Doherty avec ironie, pour expliquer ce sourire plein de sincérité visible sur son visage, malgré l'ampleur de l'opération qu'elle s'apprêtait à vivre.

Guillaume Canet cash sur ses nombreux complexes

Guillaume Canet fait partie de ces acteurs iconiques du cinéma français. Révélé en 2000 dans La Plage aux côtés de Leonardo DiCaprio, le comédien se fait remarquer pour son rôle dans le film Jeux d'enfants en 2003 aux côtés de Marion Cotillard et Joyeux Noël, deux années après. En 2006, il n'a que 33 ans lorsqu'il remporte le César du meilleur réalisateur pour son long-métrage, Ne le dis à personne. Dans un entretien accordé à Madame Figaro le 19 janvier dernier, le mari de Marion Cotillard s'est confié sur le temps qui passe, et les années qui défilent. "Je racontais que je n'avais aucun problème avec le fait de vieillir. Aujourd'hui, je comprends que ce n'est pas si simple", a assuré le père de Marcel et Louise à nos confrères.

S'il estime ne pas avoir de mal à "voir son corps changer", les directeurs de casting, eux, ne l'entendent pas de cette oreille. "Physiquement, je m'en fous, mais je vois des rôles m'échapper", a expliqué l'ami d'Yvan Attal. Et d'ajouter : "Récemment, lors d'une réunion de production, je me suis proposé pour un petit truc et j'ai senti les regards gênés : je n'avais plus du tout l'âge et je n'avais pas voulu le voir".

Ce mercredi 20 mars, Guillaume Canet a accordé une interview au Figaro. L'occasion pour l'acteur et réalisateur de 50 ans, d'évoquer ses nombreux complexes, qu'il tente de gommer. "D’une manière générale, j’ai du mal avec le bruit que je peux faire", a-t-il commencé. Et d'énumérer ensuite : "Je ne supporte pas de voir un magazine avec ma tête dessus. À la télévision, je ne supporte pas ma voix de canard". Sur le devant de la scène depuis les années 2000, le comédien semble donc avoir du mal à se voir à l'écran. "J’adore faire des films, mais je n’aime pas me regarder", a-t-il également confié. Une particularité que l'on retrouve également chez le comédien Johnny Depp ou encore Reese Witherspoon. "J'ai une amnésie absolue concernant tous les films que j'ai faits. Je ne vais pas les regarder, car sinon je vais en arriver à me détester", avait avoué la comédienne.

Slimane cible de messages racistes et homophobes "chaque jour"

Un déferlement de haine quotidien. Alors qu’il prépare un nouvel album en parallèle de son show pour représenter la France lors de la prochaine édition de l’Eurovision, Slimane a pris le temps de répondre aux questions du magazine Têtu. Au cours de l’échange, paru ce mercredi 20 mars, le chanteur de 34 ans a révélé qu’il recevait régulièrement des messages racistes, mais aussi homophobes. Des critiques que le papa d'Esmeralda a très mal vécues pendant un temps, mais auxquelles il s’est malheureusement habitué. "C’est triste à dire, mais peut-être qu’on s’y habitue plus qu’on ne gère ce genre de messages, cette violence", a-t-il indiqué, précisant que les insultes se sont intensifiées depuis que sa participation à l’Eurovision a été annoncée.

"Chaque jour, j’ai droit à une sortie raciste du type : 'Ah, c’est l’Arabe qui va nous représenter' ou 'y a pas de chanteur français ?' Mais aujourd’hui, ça peut même me faire rire, tellement je trouve ça pathétique", a-t-il ajouté. Avec du recul, Slimane reste optimiste et préfère jouer la carte de "l’indifférence" vis-à-vis de ses détracteurs. "J’estime que ce que je fais, ma carrière, mes concerts, les gens qui viennent me voir de toutes origines et de toutes confessions, sont la meilleure des réponses", a-t-il expliqué avec beaucoup de maturité.

Au cours de l’interview avec Têtu, Slimane s’est livré à cœur ouvert sur d’autres sujets très personnels, tels que ses problèmes de poids et la gynécomastie (pathologie entraînant le développement des glandes mammaires chez l’homme) dont il a souffert lors de son enfance. : "Mon obésité, dans l’enfance, a vraiment taillé l’homme que je suis, et je n’en ai jamais parlé dans mes chansons, à part sur Pas beaux, avec Vitaa", a-t-il déclaré, avant de conclure : "Quand j’étais jeune, j’avais un problème de gynécomastie, c’est-à-dire les glandes mammaires qui se développent un peu trop. C’est quelque chose qui m’a vraiment perturbé dans ma façon d’appréhender ma virilité en tant que garçon."

Oprah Winfrey s’est « affamée » des années pour maigrir

Oprah Winfrey a 70 ans, et derrière elle un long combat contre « la graisse animale », comme elle le dit de façon imagée. Et un long combat contre la honte aussi, intériorisation des vexations reçues pendant « plus de vingt-cinq ans » à propos de son poids.

Faire de la télé, avoir l’objectif, et le réussir, de devenir une star des talk-shows demande une volonté de fer. Et Oprah Winfrey, connue pour ses commentaires cinglants, n’en est pas dépourvue. Mais sans doute ce à quoi elle a été soumise durant si longtemps a-t-il trempé son caractère. Elle s’en est ouverte dans une émission spéciale Oprah Special : Shame, Blame, and the Weight Loss Revolution (Oprah Special : Honte, le rejet et la révolution de la perte de poids).

« J’ai été ridiculisée dans tous les talk-shows de fin de soirée pendant 25 ans et sur les couvertures des tabloïds pendant 25 ans. Je me souviens avoir d’abord pensé : "Oh, regardez ! Je suis en couverture. Et puis, j’ai lu le titre, et M. Blackwell – l’homme de goût de l’époque – m’avait qualifiée de "bossue, grumeleuse et carrément bouffonne" », se souvient amèrement celle qui a incarné Sofia dans La Couleur pourpre, en 1985.

Se moquer de son poids était « devenu un sport national ». « Pour lutter contre la honte, je me suis affamée pendant près de cinq mois, puis j’ai sorti ce tonneau de graisse que l’Internet ne me laissera jamais oublier », a-t-elle raconté dans l’émission, faisant référence à un épisode de son talk-show de 1988 dans lequel elle avait sorti un tonneau rempli de graisse pour montrer à quel point elle avait perdu du poids.

Mais « l’effet yoyo » est sans appel ! « Et après avoir perdu 30 kilos grâce à un régime liquide, le lendemain, le jour même, j’ai commencé à les reprendre. Ressentir la honte de mener un combat perdu d’avance contre le poids est une histoire bien trop familière », avoue celle qui a dû tout essayer pendant des années pour domestiquer son corps.

Adepte et représentante de l’entreprise Weight Watchers, au conseil d’administration de laquelle elle siégeait depuis neuf ans, mais dont elle a très récemment démissionné en faisant don de ses actions au Smithsonian Museum of African American History and Culture, Oprah Winfrey croit avoir trouvé enfin « la » solution à ses problèmes de poids : un médicament.

Car, malgré toutes ces années de lutte contre le poids, Oprah Winfrey n’a pas abandonné… et elle s’est laissé séduire par le médicament que (presque) tout Hollywood consomme : l’Ozempic. Cet antidiabétique injectable, fabriqué par un laboratoire suédois qui fait fortune, est en effet détourné de sa mission médicale première.

Interdit aux diabétiques de type 1, il entraîne de nombreux effets indésirables… au nombre desquels la perte de poids. Qui est donc l’effet recherché par de nombreuses personnes, et parmi elles, Oprah Winfrey, totalement conquise !

« De ma vie, je n’aurais jamais imaginé que nous parlerions d’un médicament qui donne de l’espoir à des personnes comme moi qui luttent depuis des années contre le surpoids ou l’obésité », a-t-elle affirmé. « Je viens donc à cette conversation dans l’espoir que nous puissions commencer à nous débarrasser de la stigmatisation, de la honte et du jugement pour arrêter de faire honte aux autres parce qu’ils sont en surpoids ou sur la façon dont ils choisissent de perdre ou de ne pas perdre de poids », explique-t-elle après avoir annoncé que le « documentaire » ferait la part des choses entre les faits et la controverse.

Or le choix d’Oprah Winfrey est fait, et le recours au médicament en fait partie… On est donc prié de ne pas commenter… ce serait encore attirer la honte sur celles et ceux qui ont recours au produit.

Pourtant, l’utilisation de la sémaglutide crée déjà la controverse. Robbie Williams, qui souffre de dysmorphophobie, a en a fait l’expérience après avoir vanté ce « miracle de Noël ». Car non seulement l’usage détourné d’un médicament est toujours dangereux (on se souvient des dégâts mortels du Mediator, lui aussi destiné à contrôler le diabète de type 2), mais dans ce cas précis, son usage massif par ceux qui veulent maigrir crée aussi une rupture de stocks préjudiciables aux malades qui ont besoin de leur médicament.

Et le fait de savoir que les actions de Weight Watchers ont plongé après le retrait d’Oprah Winfrey peut laisser entendre que celles de l’Ozempic peuvent encore plus grimper… et avec elle, le prix d’achat du médicament. Dans un pays où la couverture sociale est faible et peu répandue, cela peut avoir un effet catastrophique.

Megan FoxMegan Fox révèle toutes les opérations de chirurgie esthétique qu'elle a faites

A Hollywood, les actrices sont souvent scrutées et jugées sur leur physique. Récemment, Jennifer Lawrence a démenti avoir eu recours au bistouri, alors que de nombreux fans étaient persuadés qu'elle avait fait une rhinoplastie. "Je l'appelle le chirurgien esthétique car depuis que je travaille avec lui, tout le monde est convaincu que j'ai subi une chirurgie des paupières", avait-elle déclaré, à propos de l'homme qui la maquille, dans un entretien accordé à Interview. Puis de poursuivre : "Tout le monde pensait que je m'étais fait refaire le nez et je me suis dit : 'J'ai exactement le même nez. Mes joues sont plus creusées. Merci de le mentionner."

Si certaines refusent d'évoquer les opérations de chirurgie esthétique qu'elles ont effectuées pour se sentir mieux dans leur peau, d'autres ont décidé de faire preuve d'une transparence absolue. En mars 2022, Bella Hadid avait expliqué à Vogue avoir fait refaire son nez à l'âge de 14 ans, une opération qu'elle regrette amèrement aujourd'hui, elle qui aurait aimé "garder le nez de [ses] ancêtres". "Je pense que j'aurais fini par l'aimer", avait-elle ajouté.

Invitée dans le podcast Call Her Daddy, Megan Fox vient de révéler toutes les opérations de chirurgie esthétique qu'elle avait faites. "Mes seins sont faux depuis que j'ai 21 ou 22 ans. Je les ai fait refaire entre le premier et le second Transformers. Mais j'avais fait un changement léger. Avant, tout le monde le faisait, mais il fallait le faire de manière discrète [...] J'ai toujours voulu des gros seins. Je n'étais pas satisfaite de la première opération", a-t-elle avoué. L'actrice de 37 ans a expliqué avoir finalement eu recours à la même opération après avoir allaité ses enfants, en imposant à son chirurgien de lui faire "les plus gros seins que [s]on corps pouvait supporter". "Je fais un 85D, ils ne sont même pas si gros, ils font juste gros car je suis toute menue. Si j'avais pu les avoir plus gros, je l'aurais fait [...] Je voulais des seins de stripteaseuses des années 90, et c'est ce qu'il m'a fait", a-t-elle ajouté.

L'ex de Brian Austin Green a également révélé avoir subi une rhinoplastie à l'âge de 23 ans. Megan Fox, qui a également confirmé avoir eu recours à des injections de filler et de botox, a ajouté avoir subi une dernière opération de chirurgie esthétique, dont elle refuse de révéler la nature. "Ce n'était pas une opération connue. Les gens n'en ont jamais vraiment entendu parler", a-t-elle déclaré.

Le Tableau volé : bande-annonce avec Léa Drucker et Alex Lutz

Commissaire-priseur pour une célèbre maison de vente, André Masson apprend un jour qu’une toile d’Egon Schiele qu’on croyait perdue, spoliée par les nazis, se trouve en fait chez un jeune ouvrier de Mulhouse. Ses doutes sont vite balayés par un constat sans appel : l'œuvre est authentique. Une aubaine pour André, qui y voit le point culminant de sa carrière et se jette dans cette aventure à corps perdu, flanqué de son ex-femme et collègue Bertina, et d’une stagiaire à l’esprit fantaisiste.

Si l’occupation nazie et la Shoah constituent “l’arrière-plan historique sur lequel cette histoire se détache”, ce film a surtout été l’occasion pour Pascal Bonitzer de se replonger dans “le monde de l’argent” après Tout de suite maintenant, dont l’intrigue se déroulait dans le cercle très select de la haute finance :

“Il y a toujours quelque chose de cynique et de dégueulasse dans le monde de l’argent, c’est comme ça. Ça m’amusait, s’agissant d’une œuvre d’art, qu’on ne l’envisage jamais autrement que sur le mode : combien ça va rapporter.  André Masson (homonyme du peintre) est capable d’apprécier la beauté d’une œuvre d’Egon Schiele, mais ce qui l’intéresse essentiellement, c’est sa valeur monétaire et marchande et ce que la boîte qui l’emploie va en retirer comme bénéfice et comme gloire dans ce milieu de rivalités féroces entre maisons ennemies.”

Pour personnifier ces intérêts individuels, le scénariste fétiche d’André Téchiné et Jacques Rivette a fait appel à une équipe d’acteurs qu’il n’avait jamais dirigé : Alex Lutz, dont c’est la première apparition au cinéma en 2024 après la sortie de son film, Un nuit, l’année dernière ; Léa Drucker, fraîchement auréolée d’une nomination pour le César de la Meilleure actrice pour son rôle dans L'Été dernier, et également à l'affiche d'Un Homme en fuite. Mais aussi Nora Hamzawi, Louise Chevillotte et Arcadi Radeff. Il retrouve néanmoins Laurence Côte, qu’il avait déjà fait jouer dans son premier long-métrage, Encore, en 1996.

Le Tableau volé sortira au cinéma le 1er mai.

Peter Weir ne réalisera aucun autre film

Panama sur la tête, teint hâlé, sourire large comme son impressionnante filmographie, clope dans une main, verre de vin rouge dans l’autre, Peter Weir, 80 ans en août, était jusqu’à dimanche dernier en goguette à Paris dans le cadre du Festival de la Cinémathèque Française (ex Toute la mémoire du monde).

Le cinéaste australien y a généreusement présenté une partie de son œuvre : sa trilogie originelle (Les voitures qui ont mangé Paris, Pique-nique à Hanging Rock et La dernière vague), quelques hits hollywoodiens (Witness, Le cercle des poètes disparus, The Truman Show), une curiosité (Etat second) et un chef d’œuvre maritime (Master and Commander). Le dernier long de Weir date de 2011, Les chemins de la liberté. Depuis, rien. Nada. Alors forcément, après avoir déroulé son prestigieux passé, nous nous sommes souciés du présent.

"J’ai travaillé sur plusieurs projets, un en particulier qui n’a jamais réussi à se monter, un peu comme un patient comateux qu’un médecin cherche en vain à redonner vie. Je l’ai porté jusqu’en 2020. Il s’agissait pourtant d’un film indépendant pas un Marvel que produisent à la chaîne les gros studios hollywoodiens. Mais même sur ce terrain-là, je ne faisais plus le poids. C’était un film de cinéma, pas un truc pour la télé ou les plateformes… A un moment, j’ai décidé de tout laisser tomber et, tel un joueur de poker, de quitter la table !"

Il y a quatre ans, Ethan Hawke, révélé grâce à Weir dans Le cercle des poètes disparus, expliquait à un journaliste d'IndieWire à propos du cinéaste australien : "Je pense qu’il a perdu tout intérêt pour les films. Il aimait vraiment ce travail quand il n’avait pas d’acteurs qui lui donnaient du fil à retordre. Russell Crowe et Johnny Depp l’ont brisé." Hawke faisait sûrement référence au tournage dantesque de Master et Commander avec Russell Crowe et à son projet non abouti d’adaptation du roman Shantaram avec Johnny Depp.

A la Cinémathèque, l’intéressé a surtout expliqué "n’avoir plus l’énergie pour se lancer dans un long métrage" et assure adorer sa retraite dans sa maison de Sydney. Tant mieux pour lui. Tant pis pour nous.

Le prochain Superman sera intégralement filmé en IMAX

Superman alerte ! James Gunn a encore frappé. Depuis le début de sa production, le réalisateur s’amuse à documenter le développement du prochain volet du DC universe (anciennement intitulé Superman : Legacy) sur ses réseaux sociaux. Après le casting, le retour de la Forteresse de Solitude, les inspirations de ce nouveau film et son nouveau titre, c’est une information capitale que James Gunn nous dévoile à présent : Superman sera intégralement filmé en IMAX.

C’est sur le réseau Threads que le réalisateur américain a fait cette déclaration. Sous l’une de ses publication – une vidéo montrant l’exceptionnel décor naturel de la ville de Svalbard, en Norvège, où l’équipe s’est délocalisée le temps de tourner les scènes de la Forteresse de Solitude, – un abonné lui demande si les plans tournés à Svalbard sont tournés en IMAX. Et James Gunn de rétorquer : “Le film entier est tourné en IMAX”.

Une bonne nouvelle pour les fans du DCU, qui auront donc le plaisir de découvrir la vision que James Gunn se fait du canon de Clark Kent (David Corenswet) dans la meilleure des résolutions.

Notez que cela n’est pas si étonnant que ça : le dernier gros succès de la Warner est Dune : deuxième partie de Denis Villeneuve, que le réalisateur canadien a mis un point d’honneur à tourner en IMAX. Un principe qui lui a été retourné au centuple car sur les 384 millions de dollars engrangés au box-office mondial, 72 millions proviennent des projections IMAX, devenues très populaires aux Etats-Unis, notamment.

James Gunn et la Warner ont donc décidé de miser sur une recette qui a déjà fait ses preuves. Seul l’avenir pourra nous dire si cet investissement aura valu le coup.

La réponse le 11 juillet 2025 dans les salles.

La date de sortie du film d'action Week-end à Taipei a été dévoilée

Après avoir incarné Owen Shaw, le frère de Jason Statham dans la saga Fast & Furious, Luke Evans revient à l'action avec Week-end à Taipei mis en scène par George Huang.

Un long métrage dans lequel il retrouvera d'ailleurs Sung Kang qui incarne Han dans la franchise de Vin Diesel. Pour mémoire, dans Fast & Furious : Tokyo Drift, la voiture de Han explose. La scène post-générique de Fast & Furious 6 nous montre que c'est Deckard Shaw (Statham) qui a "tué" Han (qui revient toutefois dans le 9ème volet de la saga), afin de venger son frère Owen (Evans), le grand méchant de Fast & Furious 6. Les deux comédiens vont donc se retrouver 11 ans après avoir brûlé l'asphalte.

L'actrice taïwanaise Gwei Lun Mei, déjà vue dans Black Coal et Le Lac aux oies sauvages, sera également au casting.

Le long métrage est produit par EuropaCorp, la société de Luc Besson. Les détails de l'intrigue ne sont pas encore connus mais selon les médias taïwanais, Luke Evans incarnerait un agent des stups américain en visite à Taipei où iI retrouve son ancienne compagne, incarnée par Gwei Lun Mei.

Week-end à Taipei est décrit comme un film d'action dans la lignée de Taken, Danny the dog et Le Transporteur tous produit par EuropaCorp. Luke Evans sera-t-il le digne successeur de Liam Neeson et Jason Statham ?

Le film marquera le retour de l'acteur et chanteur britannique de 44 ans au cinéma. Luke Evans n'est en effet pas apparu sur grand écran depuis le film d'horreur Ma en 2019. Il a en revanche joué dans des séries (The Pembroke Murders, Nine Perfect Strangers et Echo 3) et des films de plateforme.

Le long métrage sortira dans nos salles obscures le 21 août 2024.

Beyoncé s’adresse aux critiques du monde de la musique country

Beyoncé a-t-elle été piquée au vif par l’accueil frileux et les réactions de la musique country ? Visiblement, oui, mais cela remonte à bien plus loin que la sortie de ses singles, Texas Hold ‘Em et 16 Carriages, pendant le Super Bowl cette année et que les radios country avaient boudé.

Alors que son « acte II » sort le 29 mars, la chanteuse a présenté Cowboy Carter à son public. Tout d’abord en partageant sur Instagram la pochette définitive de ce disque qui fait suite à Renaissance, dont les fans se délectent depuis 2022, mais aussi en répondant aux critiques. Et plus particulièrement de l’univers de la country américaine, réputée pour être une « musique blanche ».

Comme elle l’explique dans sa publication Instagram, « cet album est le fruit de plus de cinq ans de travail » et « est né d’une expérience que j’ai vécue il y a des années où je ne me sentais pas la bienvenue… Et il était très clair que je ne l’étais pas ». Une explication qui pourrait faire référence à l’une de ses premières incursions dans un style qui a pourtant bercé son enfance, étant née à Houston au Texas.

En 2016, Beyoncé a participé aux Country Music Awards. Non seulement elle était dans la salle, mais aussi sur scène, puisqu’elle a chanté avec le groupe The Chicks. Une prestation qui a soulevé, à l’époque, quelques polémiques, certains se demandant tout simplement ce qu’elle faisait là.

« A cause de cette expérience, j’ai plongé plus profondément dans l’histoire de la musique country et j’ai étudié nos riches archives musicales. Les critiques auxquelles j’ai dû faire face lorsque je me suis lancée dans ce genre m’ont forcée à me propulser au-delà des limites qui m’étaient imposées. L’Acte II est le résultat des défis que je me suis lancés et du temps que j’ai pris pour plier et mélanger les genres afin de créer ce corpus d’œuvres », poursuit l’interprète de Crazy In Love.

La frilosité de l’accueil réservé aux deux premiers singles extraits de son album n’a pas empêché Beyoncé de s’imposer, grâce à ses fans. « Je suis honorée d’être la première femme noire à être numéro un au classement Hot Country Songs. Cela ne serait pas arrivé sans le soutien de chacun d’entre vous », ajoute-t-elle.

Avec Cowboy Carter, Beyoncé fait un vœu : « J’espère que dans quelques années, la mention de la race d’un artiste, en ce qui concerne la diffusion de genres musicaux, n’aura plus lieu d’être. »