Le mois dernier, Pamela Anderson faisait partie des nombreuses personnalités à faire le tour des défilés de la Fashion Week de Paris. Mais si la star d’Alerte à Malibu s’était, comme tout un chacun, mise sur son trente-et-un, elle se sera distinguée par un choix radical : sortir sans une once de maquillage.
« Je savais que je n’allais pas apporter la paix dans le monde en faisant ça, mais je voulais exprimer une position », a expliqué l’icône des années 1990 à Vogue, tout en précisant qu’elle avait tout de même appliqué de l’huile de rose musquée sur son visage.
« Je me suis juste dit, “Je fais ça pour toutes les filles qui sont là dehors”. J’ai eu des belles-filles dans des relations passées et mes fils ont des petites amies. Alors j’ai fait ça pour elles », a poursuivi Pamela Anderson, avant de toucher au nœud du problème.
« À ce jour, est-ce qu’on sait encore à quoi ressemble un visage ? », a-t-elle demandé.
Parmi les nombreuses stars à faire l’éloge de l’Ozempic pour perdre du poids, on compte maintenant Robbie Williams. Dans une récente interview donnée au Times en amont de la sortie d’un documentaire Netflix qui lui est consacré, le chanteur de 49 ans a abordé l’obsession maladive dont il souffre à l’endroit de son poids.
« Je suis sous Ozempic, bébé », a déclaré l’interprète d’Angels, visiblement fier de lui, comparant l’effet de ce traitement pour le diabète sur le poids à un « miracle de Noël ».
« Et j’en ai besoin sur le plan médical. J’ai été diagnostiqué avec une haine de soi de type 2 », a poursuivi Robbie Williams, avec une plaisanterie de très mauvais goût sur le diabète. « Grossir a un effet incroyablement catastrophique sur ma santé psychologique. (…) Ça me rend fou. »
Même s’il est vrai que l’artiste souffre de dysmorphophobie, qui n’a sans doute pas été aidée par le surnom que lui avait donné Noel Gallagher et qui lui est resté depuis, à savoir « fat dancer » (le gros danseur), difficile de lui pardonner cette sortie. Tout d’abord, cet usage détourné de l’Ozempic a pour effet de provoquer une pénurie là où des personnes diabétiques ont besoin de manière vitale de ce médicament.
D’autre part, l’Ozempic peut avoir des effets catastrophiques sur les personnes qui s’en servent pour maigrir, au même titre que le Mediator, un scandale qui avait éclaté en 2010 en France. Ce médicament pour soigner le diabète de type 2 avait également été détourné en coupe-faim, entraînant de graves effets secondaires sur les patients.
Le groupe Servier, qui commercialisait le Mediator, a été condamné en 2021 à une amende de 2,7 millions d’euros pour « tromperie aggravée » et « homicides et blessures involontaires ». Le laboratoire a fait appel et un deuxième procès s’est achevé début juin cette année, après cinq mois d’audience. La décision doit être rendue ce 20 décembre.
Robbie Williams devrait donc peut-être plutôt suivre une thérapie pour soigner sa « haine de soi de type 2 ».
On se demande quel record pourrait encore décrocher Taylor Swift… La star en est arrivée à battre ses propres ventes avec le réenregistrement de son album 1989 (Taylor’s Version), initialement sorti en 2014, qui est désormais le plus vendu en Amérique en moins d’une semaine pour l’année 2023.
Avec cette sortie, la star multiprimée enchaîne les records comme des perles. L’album, qui a donc fait un meilleur démarrage que l’original, est arrivé en tête du Billboard 200, ainsi que des classements vinyle et streaming cette semaine, avec plus de 1,6 million d’unités aux États-Unis et plus de 3,5 millions à l’échelle mondiale. Ce qui fait d’elle la première artiste de l’histoire à avoir lancé six albums numéro 1 avec plus d’un million d’unités vendues.
Le projet lui a aussi permis de décrocher le record de l’album Spotify le plus écouté en une seule journée, un titre qu’elle détenait déjà avec Midnights, sorti en 2022, mais qui ne contenait que des nouvelles chansons. Taylor Swift (2006) et Reputation (2017) sont les deux albums restants de son catalogue qui n’ont pas encore fait l’objet de nouvelles versions.
Taylor Swift a décidé de réenregistrer tous ses albums sortis sur Big Machine, son ancien label, lorsqu’il a été racheté pour 300 millions de dollars, en 2019, par Scooter Braun, et que ce dernier a revendu, dix-sept mois plus tard, les masters de la chanteuse pour… 300 millions de dollars, d’après Bloomberg, à un fonds d’investissement.
En réponse à cette transaction, et n’ayant pu racheter elle-même ses droits, l’interprète de Shake It Off a donc décidé de retourner en studio pour tout refaire. Taylor Swift a pu compter sur ses fans, ainsi que les radios et autres diffuseurs, pour privilégier ses réenregistrements au détriment des chansons originales. Quant à Scooter Braun, il a depuis perdu plusieurs de ses artistes.
Les ennuis de Russell Brand ne connaissent pas de frontières. Après plusieurs accusations de viol et agressions sexuelles en Grande-Bretagne, l’humoriste doit faire face, cette fois, à une plainte déposée dans un tribunal américain. La plaignante, qui a tenu à conserver l’anonymat de crainte d’être harcelée par les nombreux fans de celui qui publie à présent des vidéos à relent complotiste, l’a rencontré sur le tournage du film de 2010, Arthur, un amour de Milliardaire. Elle exerce aujourd’hui encore le métier d’actrice et craint également des représailles si son nom est divulgué.
Dans cette plainte au civil déposée à la Cour Suprême de New York, elle affirme que Russell Brand se serait exhibé devant elle. Il l’aurait ensuite suivie dans une salle de bains où il l’aurait contrainte à lui faire une fellation alors qu’un membre de l’équipe était chargé de garder la porte pour n’y laisser entrer personne. « Je me suis sentie utilisée et maltraitée. Dégoûtant est le seul mot qui convienne. J’avais l’impression d’être utilisée, que j’étais juste un objet pour satisfaire son excitation du moment », peut-on lire dans l’extrait du document judiciaire relayé par le Sunday Times.
Elle explique également qu’elle « a souffert et continue de souffrir d’embarras, de honte et d’une peur extrêmes » à la suite de l’attaque présumée. Cette plainte bénéficie d’une loi new-yorkaise qui permet aux victimes présumées d’infractions sexuelles de s’affranchir du délai de prescription habituel, jusqu’au 24 novembre 2023.
Si Russell Brand n’a pas encore répondu à cette action en justice, il a fermement nié les précédentes accusations de viol, d’agression sexuelle et de violence psychologique à la suite d’une investigation menée conjointement par le Times, le Sunday Times et l’émission Dispatches de Channel 4. Depuis, la Metropolitan Police ainsi que la Thames Valley Police enquêtent sur ces allégations. Aucune charge n’a pour l’instant été retenue contre Russell Brand, les investigations étant toujours en cours au Royaume-Uni.
C’est un événement qui avait attristé de nombreux Français. Le 7 janvier dernier, Lucas, un collégien de 13 ans s’est donné la mort à Golbey dans les Vosges après avoir subi un harcèlement homophobe de la part de plusieurs camarades de classe. Mais ce lundi 6 novembre : le verdict est tombé. La Cour d’appel de Nancy a finalement relaxé les quatre élèves poursuivis pour « harcèlement ayant entraîné le suicide » de Lucas, a annoncé l’Agence France Presse.
En effet, bien que la Cour ait relevé le caractère « odieux » des propos tenus par les collégiens à Lucas « entre le 1er septembre 2022 et début octobre 2022 », elle a ensuite souligné « l’absence d’effet démontré » des propos tenus par les quatre adolescents sur « la santé mentale de Lucas », ainsi que l’absence de « lien de causalité » entre leurs dires et le suicide du garçon de 13 ans, selon la décision rendue consultée par l’AFP. Une décision qui n’a pas manqué d’émouvoir de nombreuses personnes, notamment l’animateur Christophe Beaugrand.
Il faut dire que le sujet du harcèlement scolaire n’est pas anodin pour l’animateur. En effet, en 2018, il avait révélé avoir lui-même été victime de harcèlement : « J’ai eu le malheur d’être “le bouc émissaire” de certains quand j’étais au collège. Cela crée des blessures qui ne se referment jamais, et qui abîment l’estime de soi et la confiance en soi » avait-il dévoilé sur la Toile.
Et face à la décision de justice de ce lundi 6 novembre, Christophe Beaugrand a souhaité prendre la parole pour faire part de son mécontentement sur le réseau social X : « Une honte. HONTE » a-t-il d’abord écrit dans un tweet repartageant l’information. Sous son tweet, plusieurs de ses abonnés ont également réagi à cette décision de justice : « À vomir ! J’imagine la colère des parents de Lucas. » peut-on lire sous le tweet de Christophe Beaugrand. Des mots auxquels l’animateur a rapidement répondu : « Moi, je n’arrive même pas à l’imaginer. Au-delà de la colère, ça doit être une si grande tristesse » a-t-il écrit. Un désarroi que Christophe Beaugrand doit sans doute partager avec de nombreux Français.
En arrivant aux États-Unis, Arnold Schwarzegger n’avait pas oublié d’apporter son accent autrichien dans sa valise. Même s’il avait la carrure parfaite, l’élocution de cet homme d’action demeurait un frein pour certaines productions.
“J’avais un coach d’anglais, un coach d’acting, un coach en élocution et un coach spécialisé dans la suppression d’accent, qui est décédé à ce jour, sinon je lui aurais demandé un remboursement. “, a déclaré Schwarzenegger lors du Graham Norton Show.
Ce qui est drôle, c’est tout ce qu’ils ont dit. Les producteurs d’Hollywood, les réalisateurs et tous les génies disaient que c’était un obstacle pour moi alors que c’est devenu un atout. ", a ajouté Schwarzenegger.
Il faut noter que les premiers rôles phares de la carrière de l’acteur, Conan le Barbare et Terminator, ont été renforcés par son accent épais. L'acteur se remémore les mots de James Cameron, ce dernier soulignant l’élocution signifiante pour le rôle d’un androïde.
“Ce qui a fait fonctionner Terminator et pourquoi il a réussi, c’est parce que Schwarzenegger parle comme une machine “, affirmait le réalisateur à la sortie du premier film, en 1984.
Lors de cette discussion, le journaliste n'a pas manqué d'aborder sa rivalité au box-office avec Sylvester Stallone. Les deux acteurs sont devenus des icônes du cinéma d’action pratiquement en même temps puisque Terminator et Rambo sont sorti durant la même période.
“Nous étions des rivaux du cinéma, nous avons poussé la compétition à l’extrême – nous devions tous les deux avoir le meilleur corps, nous devions tuer plus de gens dans nos films et nous devions avoir les plus grosses explosions“, se souvient Schwarzenegger.
L'acteur souligne alors que l'investissement commun dans la chaîne de restaurants Planet Hollywood les a beaucoup rapprochés.
"Puis, lorsque nous avons tous deux investi dans Planet Hollywood, nous avons commencé à faire le tour du monde ensemble pour en faire la promotion et nous sommes devenus des amis fantastiques. C’est un grand être humain et nous sommes maintenant inséparables."
Deux ans après avoir sorti son incroyable série documentaire Get Back, consacré à l'enregistrement du dernier album des Beatles, le cinéaste Peter Jackson retrouve les Fab Four pour un ultime hommage. Il a réalisé le tout dernier clip du groupe, celui de la chanson "Now and Then", titre posthume composé par John Lennon en 1978 et achevé en 2023 par Paul McCartney et Ringo Starr.
Un titre qui aura mis cinq décennies à voir le jour, d'abord retravaillé pour la première fois en février 1995 par Paul, George et Ringo dans le cadre du projet The Beatles Anthology. Une première tentative restée inachevée, en partie à cause des défis technologiques impossibles à résoudre à l'époque, liés à la qualité de l'enregistrement original de la voix de John.
"Pendant des années, on a cru que la chanson ne pourrait jamais être achevée. Mais en 2022, il y a eu un magnifique coup du sort", écrit la production des Beatles. "Un système logiciel développé par Peter Jackson et son équipe, utilisé tout au long de la production de la série documentaire Get Back, a finalement ouvert la voie au découplage entre la voix de John et sa partie piano. En conséquence, l’enregistrement original a pu reprendre vie et être retravaillé avec la contribution des quatre Beatles."
C'est logiquement que Peter Jackson a réalisé le clip de Now and Then, qui reprend des images du dernier enregistrement de Paul et Ringo, mixé à des images d'archives. "Je suis extrêmement fier du résultat obtenu, et je garderai d’excellents souvenirs de cette expérience" commente le réalisateur néo-zélandais du Seigneur des Anneaux. "Ce n’est pas évident de susciter l’émotion en n’utilisant que des images d’archives mais la puissance évocatrice de cette magnifique chanson a fait le gros du travail".
Il a mis les moyens pour en mettre plein la vue ! Le Napoléon de Ridley Scott sera un film historique épique, qui racontera l'histoire d'amour de Bonaparte et Joséphine, mais montrera aussi quelques scènes de batailles dantesques, pour montrer le génie militaire de l'Empereur français.
Sony Pictures vient de dévoiler une toute nouvelle vidéo (ci-dessous) dans laquelle le réalisateur discute de son style de réalisation pour le tournage des séquences de bataille. Interviewé par Dan Snow (de History Channel), Ridley Scott explique la manière dont il dispose les caméras, pour laisser l'action venir à lui. Il confie même avoir habillé certaines caméras avec des uniformes de soldats pour les placer au plus près de l'action, sans qu'elles soient visibles dans les plans.
Au passage, on découvre tout un tas de nouvelles images, au coeur de ces séquences qui promettent d'être impressionnantes, notamment lors de la Campagne de Russie, avec les Grognards engagés dans le froid de l'Europe de l'est.
Kevin Hart est Cyrus Whitaker, un braqueur de renom, recherché dans le monde entier avec son équipe de professionnels, dans le film En plein vol. L’agent Abby Gladwell (Gugu Mbatha-Raw) lui propose une trêve avec les autorités, et même mieux… un job. Cyrus et son équipe sont missionnés pour voler un trésor colossal destiné à financer une cellule terroriste (dirigée par notre Jean Reno national).
Comme tout bon film de braquage qui se respecte, il faut du challenge et un job de taille pour que cela soit digne d’être raconté. Dans ce film, l’équipe de Cyrus va devoir voler un avion… en plein vol ! Voilà tout l’enjeu révélé dans la bande-annonce, avec un montage intense et une musique badass qui souligne la maîtrise des personnages. D’ailleurs, cette équipe est interprétée par un casting éclectique et habitué des films d’actions et de casse : Vincent d'Onofrio (Wilson Fisk dans la série Daredevil), Ursula Corbero (Tokyo dans La Casa de Papel), Billy Magnussen (Mourir peut attendre), Viveik Kalra (Music of my life) et Kim Yun-jee (une star de K-Pop devenue actrice).
Sam Worthington (Avatar) et Jacob Batalon (la trilogie Spider-Man : Homecoming, Far From Home et No Way Home) viennent compléter ce casting déjà bien fourni. Le film est réalisé par F. Gary Gray, réalisateur de Fast and Furious 8 et Braquage à l’italienne. En plein vol sera disponible sur Netflix à partir du 12 janvier 2024.
C'était une des surprises du long métrage The Flash réalisé par Andy Muschietti : la présence dans une apparition éclair de Nicolas Cage dans le rôle de Superman. Sauf que d'après lui, l'acteur est montré dans une situation très différente de ce qu'il a effectivement tourné !
Et si vous n'avez pas la réf de pourquoi Nic Cage apparaît dans le rôle de l'Homme d'acier, sachez que c'est pour une très bonne raison !
Au micro de Yahoo Entertainment, Nicolas Cage a tenu à dire qu'il avait été très surpris de la façon dont il était représenté dans le film DC sorti en juin dernier et depuis disponible en support physique et VOD :
"Quand je suis allé voir [The Flash], je me suis vu combattant une araignée géante, ce que je n'ai pas fait [le jour de tournage]. (...) Je ne crois pas que c'était [créé par] une intelligence artificielle. (...) C'étaient des effets numériques, et je suis d'accord avec ça, car ils pouvaient me rajeunir et me faire combattre une araignée. Mais je ne l'ai pas fait, donc j'ignore ce qui s'est passé."
Mais alors, qu'a tourné Nicolas Cage le jour où il était sur le plateau de l'aventure solo de Barry Allen ? Toujours pour Yahoo, l'interprète de Dracula et de Castor Troy se souvient :
"J'étais littéralement supposé me tenir dans une autre dimension, (...) assistant à la destruction de l'univers. Kal-El assistait à la fin de l'univers et vous pouvez imaginer ce que cela pouvait signifier en termes de ce que je pouvais transmettre durant ce court laps de temps [d'écran] que j'avais. Je n'avais aucun dialogue, donc [je devais] transmettre l'émotion uniquement par le regard. C'est ce que j'ai fait. J'étais sur le plateau environ trois heures."
S'il souligne le travail fourni pour recréer le Superman qu'il devait interpréter pour Tim Burton : "Ils ont en effet passé beaucoup de temps à créer le costume, et je trouve que [Muschietti] est un réalisateur génial, j'adore ses deux films 'Ça'", Cage n'a pu que s'étonner de se voir réaliser à l'écran des choses qu'il n'a jamais accepté de faire.
Tim Burton avait d'ailleurs critiqué l'utilisation de ses versions de Batman et de Superman dans le film dans une tribune cinglante. Nicolas Cage ne pense pas autrement, puisqu'il conclut son entretien par : "(...) Je vois où Tim veut en venir. Je sais ce qu'il veut dire. Je serais très mécontent si des gens utilisaient mon art... et se l'appropriaient. Je le comprends. (...) L'intelligence artificielle est un cauchemar, à mon avis, et elle est inhumaine."