12 novembre 2021

Luc Besson accusé de viol : "La France ne protège pas les victimes des gens connus" déplore Sand Van Roy

En mai 2018, Sand Van Roy accusait Luc Besson, producteur de Taxi 5 qui l'avait également dirigée dans Valérian, de viol. Des faits que le réalisateur du Cinquième élément a toujours niés, autant que les plaintes formulées par cinq autres femmes.

Et tandis que l'affaire pourrait une nouvelle fois être classée sans suite, le parquet ayant requis un non-lieu au mois d'octobre, la comédienne s'est exprimée pour la première fois à la télévision.

Dans le numéro de "Complément d'enquête" consacré à Roman Polanski et diffusé ce jeudi 11 novembre sur France 2, Sand Van Roy a réaffirmé son envie de ne "rien lâcher". Malgré les critiques formulées envers la justice française : "Cette plainte a complètement brisé ma vie", déclare-t-elle. "Je regrette d'avoir porté plainte en France, parce que ce pays ne protège pas les victimes des gens connus."

Alors que "la matérialité des faits est contestée", Sand Van Roy rappelle qu'elle a dû subir plusieurs expertises psychiatriques et que les pièces attestant de sa dépression ou de son stress post-traumatique, établis par les médecins, n'ont pas été versées au dossier. Et, dans le même temps, Luc Besson n'a jamais été placé en garde à vue, pas plus que son ADN n'aura été prélevé avant plusieurs années.

La comédienne précise cependant qu'elle porterait de nouveau plainte si tout était à refaire. Mais "pas en France. Pas dans ce pays qui m'a maltraitée, qui m'a surtraumatisée", affirme-t-elle en plus de son envie de "confronter les gens qui ont fait des bêtises judiciaires." En attendant, ces accusations ont également eu un effet négatif sur sa carrière, dont l'élan a été stoppé net.

"En France, j'ai eu un seul casting [depuis 2018]. Je venais de tourner Taxi, alors je passais pas mal de castings, j'avais un bon agent, tout était bien… Et depuis, ça s'est arrêté." Des propos que corrobore un producteur contacté par l'émission et qui devait lui confier un rôle lorsque les accusations ont été formulées : "Lorsque son nom est sorti, [elle a été] blacklistée, c'est-à-dire que les gens ne voulaient plus l'engager."

L'intégralité de l'interview de Sand Van Roy est à retrouver dans le replay de l'émission "Complément d'enquête" du 11 novembre 2021.

Disney+ : teaser de Week-End Family avec Éric Judor

Pour fêter ses 2 ans, Disney+ propose, ce vendredi 12 novembre, le Disney+ Day, une journée spéciale avec de nombreuses annonces et surprises.

L’occasion de dévoiler, en France, le teaser de Week-End Family, première production originale française de la plateforme. Les quelques secondes donnent le ton : une dynamique joviale, familiale et électrique grâce à laquelle les téléspectateurs découvrent les personnages de ce programme qui fait écho à la comédie Treize à la douzaine.

C’est Éric Judor qui joue le premier rôle de cette série composée de 8 épisodes, d’une durée de 30 minutes chacun. Créée par Baptiste Filleul - scénariste, entre autres, d’Infidèle sur TF1 -, la fiction raconte les aventures de Fred, père d’une famille recomposée.

Sa vie change lorsqu’il fait la rencontre d’Emmanuelle (Daphné Côté-Hallé), une Québécoise qui termine sa thèse en psychologie de l’enfant. Très vite, la jeune femme va découvrir cette grande famille et croiser la route des 3 ex-femmes de Fred.

À la réalisation, on retrouve Pierre-François Martin-Laval (Les Profs 1 et 2) et Sophie Reine (Ciragettes et chocolat chaud). Aux côtés d’ Éric Judor, le casting est composé de Annelise Hesme, Jeanne Bournaud, Hafid F. Benamar ou encore Anabel Lopez. Si aucune date de sortie n’a été officiellement annoncée, Week-End Family devrait arriver sur Disney+ courant 2022.

Les nouveaux films Transformers et Star Trek repoussés à 2023

Optimus Prime et l'Enterprise vont rester au garage un peu plus longtemps. Paramount a en effet décalé les dates de sortie des prochains opus des sagas Transformers et Star Trek au cinéma. Dans le cas de la franchise lancée par Michael Bay en 2007, le report est de taille puisque le nouveau film est repoussé du 24 juin 2022 au 9 juin 2023.

Le studio n'a pas précisé la raison de cet énorme report, mais il est d'autant plus surprenant que le tournage de Transformers - Rise of the Beasts vient tout juste de s'achever sous la direction de Steven Caple Jr. (Creed II). Emmené par Anthony Ramos (D'où l'on vient) et Dominique Fishback (Judas and the Black Messiah), le long métrage nous transportera aux quatre coins du monde et dans les années 90. Et introduira, au cinéma, des machines de la série animée Beast Wars (Animutants en VF).

Pour le moment, seule la nouvelle date américaine a été annoncée. Mais, si l'on suit la logique des blockbusters de cette trempe, le long métrage devrait être visible au même moment en France. Ce qui est certain, c'est que Transformers - Rise of the Beasts s'empare du créneau qui était réservé à Star Trek 4. Qui bouge ainsi au 22 décembre 2023.

Une date jusqu'ici réservée par Disney et le Star Wars - Rogue Squadron de Patty Jenkins, dont le tournage débutera plus tard que prévu. Aux dernières nouvelles, il n'était pas encore question de repousser la sortie, mais le changement opéré par Paramount laisse entendre que ce sera sans doute le cas. Et qu'une autre grande saga de science-fiction passera Noël 2023 dans les salles.

Passé entre les mains de S.J. Clarkson (réalisatrice d'épisodes de Jessica Jones ou Orange is the New Black) et Noah Hawley (créateur de Legion et Fargo), le film est actuellement confié à Matt Shakman, qui a mis WandaVision en scène. Et c'est l'une des rares choses que l'on sait pour le moment, car le synopsis n'a pas été dévoilé, pas plus qu'il n'a été dit si Chris Pine et Zachary Quinto seraient de retour devant la caméra.

En 2018, le projet était en effet mis à mal par des désaccords sur les salaires. Et notamment celui de Chris Pine. Ou Chris Hemsworth. Interprète du père de Kirk dans la scène d'ouverture du reboot de J.J. Abrams, ce dernier aurait dû faire son retour grâce à une histoire de réunion familiale et de voyage dans le temps. Une idée qui a peut-être été abandonnée depuis, mais nous en saurons plus lorsque le projet donnera des nouvelles plus concrètes.

11 novembre 2021

Affaire Alec Baldwin: une première plainte déposée contre l'acteur et l'équipe du film Rust


Le tournage du dernier western d’Alec Baldwin a viré au cauchemar, le 21 octobre dernier. L'acteur a accidentellement tué la directrice de la photographie Halyna Hutchins avec un revolver qui n'avait pas été chargé à blanc. Depuis, une enquête est ouverte pour tenter d’éclaircir les circonstances de ce drame et elle pourrait bien prendre un nouveau tournant. Un technicien de l'équipe du film, présent lorsqu’Alec Baldwin a tiré le coup fatal, a décidé de porter plainte, ce mercredi 10 novembre, à Los Angeles, comme le rapporte Ouest France.

La plainte a été déposée pour “négligence” et vise l'acteur, la production et l'armurière du film. Serge Svetnoy, chef éclairagiste, y indique avoir été assourdi par la détonation du revolver et assure même avoir senti le souffle et des résidus de poudre sur son visage. Selon le récit qu’il a livré aux enquêteurs, le chef éclairagiste se serait précipité vers Halyna Hutchins juste après le coup de feu. Dans sa plainte, Serge Svetnoy rapporte avoir souffert d’une “détresse émotionnelle grave”.

Pour le chef éclairagiste, “il n'y avait aucune raison pour qu'une balle réelle se trouve dans ce revolver ou où que ce soit sur le tournage de Rust”, estime-t-il dans sa plainte. Et d’ajouter : “La présence d'une balle dans un revolver représente une menace mortelle pour tous ceux qui se trouvent à proximité.” Serge Svetnoy accuse les producteurs, dont Alec Baldwin, et tous ceux qui ont eu la responsabilité de l'arme de “négligence”. Hannah Gutierrez-Reed, l'armurière du tournage, qui avait la responsabilité des armes à feu sur le tournage, est donc notamment visée par cette plainte. La jeune femme de 24 ans a réassuré, ce mercredi 10 novembre, qu’elle ignorait la présence d'une munition réelle sur le plateau. “Nous sommes convaincus qu'il y a eu sabotage et que Hannah est victime d'un coup monté”, écrit son avocat, Jason Bowles, dans un communiqué transmis à l'AFP.

Meghan Markle avoue avoir participé à sa biographie

Faute avouée à moitié pardonnée ? Revirement de situation inattendu dans l'affaire de la lettre de la duchesse, révélée par le journal Mail on Sunday en 2018. Ce mercredi 10 novembre, The Sun révélait de précieux échanges survenus entre l'actrice et son ancien secrétaire Jason Knauf, après l'envoi d'un courrier adressé à Thomas Markle. Informée, Meghan Markle a alors présenté ses excuses et fait de rares révélations devant la Cour d'appel, révèle le Daily Mail.

Selon nos confrères, la duchesse de Sussex n'aurait pas précisé aux juges en charge de l'affaire, qu'elle et son époux Harry avaient fourni des informations aux écrivains de la biographie obscène Finding Freedom : "Je suis désolé, j'ai oublié", a-t-elle concédé. Le 10 décembre 2018, la mère d'Archie et Lilibeth a fourni de précieuses informations sur "le passé de sa famille éloignée" et "sa version sur l'incident de diadème impliquant la reine", apprend-on.

Pourtant lors de son audition, Meghan Markle avait assuré aux enquêteurs que ni elle, ni son époux n'avaient fourni la moindre information à ces auteurs. Mais son ancien secrétaire a assuré une version bien différente au tribunal : "Le livre a été discuté directement avec la duchesse à plusieurs reprises en personne et par courrier électronique. Le duc et la duchesse ont autorisé une coopération spécifique par écrit en décembre 2018", assure Jason Knauf.

Dans une note adressée aux juges chargés de l'affaire, l'ancienne actrice de Suits se confesse : "En réponse aux informations et documents fournis par M. Knauf, j'affirme que M. Knauf a fourni des informations aux auteurs du livre et qu'il l'a fait en ma connaissance", a-t-elle affirmé.

Toutefois, la jeune maman l'assure : "Lorsque j'ai approuvé [ce] passage, je n'ai pas eu l'avantage de voir ces e-mails et je m'excuse auprès du tribunal pour le fait que je ne m'étais pas souvenu de ces échanges à l'époque. Je n'avais absolument aucune envie ou intention d'induire l'accusé ou le tribunal en erreur". Pas sûr que ces nouvelles révélations fassent plaisir à "la famille de son mari"...

Mort de Jerry Douglas, acteur des Feux de l'amour

“Au nom de toute la société des Feux de l'amour, nous adressons nos plus sincères condoléances à la famille Douglas à l'occasion du décès de Jerry Douglas”, ce sont les mots écrits par Anthony Morina, producteur exécutif des Feux de l’amour à l’occasion du communiqué sur la mort de Jerry Douglas. Celui qui a interprété John Abbott durant une trentaine d’années est décédé d’une “brève maladie” d’après les dires de son agent à l'âge de 88 ans.

Jerry Douglas avait quitté la série en 2006 après que les scénaristes décidèrent de faire mourir le personnage emblématique du patriarche qu’était John Abbott. Mais Jerry Douglas n’avait pas totalement quitté la série, ce dernier revenait de temps à autre sous forme d’esprit pour guider d’autres personnages. Sa dernière apparition remonte à 2016. Les Feux de l’amour est une des séries les plus longues de l’histoire avec pas moins de 49 saisons et 12.228 épisodes.

Principalement connu pour son rôle de John Abbott, Jerry Douglas avait également fait quelques apparitions pour d’autres séries, dont Cold Case ou Melrose Place pour les plus connues d’entre elles. Il ne s’était pas arrêté là car en 2005, l’acteur s’était aussi essayé à la musique en enregistrant un album intitulé The Best is Yet to Come, comprenez, “le meilleur est à venir”. Il s’était rendu sur une multitude de scènes aux États-Unis afin d’interpréter ses morceaux. Dû à son décès, son épouse depuis 37 ans se retrouve veuve. Il laisse aussi trois enfants, Jod, Hunter et Avra ainsi que deux petits-enfants.

Devil May Cry : enfin des nouvelles de la série animée Netflix

Le producteur Adi Shankar a enfin donné des nouvelles de la série animée Devil May Cry annoncée en novembre 2018, destinée à Netflix et adaptée de la célèbre franchise vidéoludique de Capcom.

Dans une interview accordée à IGN, Adi Shankar a parlé de la série à venir et précisé que le co-créateur Alex Larsen et lui avaient déjà terminé l'écriture des scripts de la première saison de la série. "Les scripts de la saison 1 sont terminés", a déclaré Shankar. "Ils sont super. Je ne pourrais pas être plus excité."

Adi Shankar a expliqué que la saison 1 comprendra "huit épisodes", mais que l'histoire ne s’arrêtera pas là : tout comme avec Castlevania – la série animée Netflix dont il est producteur – il prévoit un "arc sur plusieurs saisons".

S’il ne révèle pas de détails spécifiques de l’histoire, il confirme néanmoins que plusieurs personnages de la franchise Devil May Cry feront leur apparition. "Je peux confirmer que Vergil est dedans, ainsi que Lady, et bien sûr Dante aussi", a-t-il déclaré. La production devrait débuter courant de 2022. Actuellement, aucune information de sortie n'a été confirmée, il n'est donc pas clair quand les fans peuvent s'attendre à voir la série sur Netflix.

Bande-annonce de Chère Léa avec Anaïs Demoustier et Grégory Montel

Après une nuit arrosée, Jonas (Grégory Montel) décide sur un coup de tête de rendre visite à son ancienne petite amie, Léa (Anaïs Demoustier), dont il est toujours amoureux. Malgré leur relation encore passionnelle, Léa le rejette.

Éperdu, Jonas se rend au café d’en face pour lui écrire une longue lettre, bousculant ainsi sa journée de travail, et suscitant la curiosité du patron du café (Grégory Gadebois). La journée ne fait que commencer...

Voici le point de départ de Chère Léa, une comédie tendre et douce-amère, portée par le trio Grégory Montel, Grégory Gadebois et Anaïs Demoustier. Léa Drucker, Nadège Beausson-Diagne et Pablo Pauly sont également au générique. 

Chère Léa est le 7ème long métrage de Jérôme Bonnell. Le cinéaste a notamment réalisé Le Temps de l'aventure avec Gabriel Byrne et Emmanuelle Devos, ainsi que A trois on y va, avec le trio Anaïs Demoustier, Félix Moati et Sophie Verbeeck.

Pour découvrir le film en intégralité, rendez-vous dans les salles obscures le 15 décembre 2021.

#MeToo en France : Adèle Haenel témoigne dans un livre-enquête de Marine Turchi

Deux ans après avoir recueilli le témoignage choc de la comédienne Adèle Haenel (accusant le réalisateur Christophe Ruggia de harcèlement sexuel et attouchements), et mené une vaste enquête sur #MeToo dans le cinéma français, Marine Turchi, journaliste à Mediapart, dévoile un livre-enquête intitulé "Faute de preuves", qui vient de paraître au Seuil.

"Violences sexuelles : la police et la justice sont-elles à la hauteur ? La révolution #MeToo a-t-elle changé la donne ?" Marine Turchi revient en longueur sur ces questions, et croise de nombreuses sources pour éclairer ces sujets.

Il y est question d'anonymes, mais aussi du journaliste star Patrick Poivre d'Arvor (revenu dans l'actualité cette semaine avec les témoignages -à visage découvert- révélés par Libération), et enfin de trois affaires concernant le cinéma français, les affaires Luc Besson, Roman Polanski et Christophe Ruggia.

Marine Turchi a pu recueillir un nouveau témoignage exclusif d'Adèle Haenel, revenant en détails sur son parcours judiciaire et les échos qu'on eu sa prise de parole.

Rare en interview, Adèle Haenel livre en longueur son ressenti sur les deux dernières années qui se sont écoulées, et notamment sa vision du milieu du cinéma aujourd'hui : "Le monde du cinéma, pour moi, a envie de cicatriser un peu trop vite des questions qu'on vient juste de soulever.

Il y a une sorte d'obsession à faire la paix au plus vite, c'est-à-dire de replonger dans le statu quo, alors qu'au contraire il faut qu'on prenne le temps de comprendre les implications du mouvement #MeToo, afin de transformer l'organisation du travail et de la société en profondeur", confie-t-elle au cours de cet entretien d'une quinzaine de pages qui vient clore le livre de Marine Turchi.

"Cela fait maintenant plus de deux années consacrées à cette histoire. Je ne le regrette vraiment pas, parce que c'est la chose la plus importante que j'ai faite dans ma vie. (...) La chose la plus importante pour moi aujourd'hui, au-delà de la justice, c'est cette communauté. Le sentiment que ma démarche a pu aider certaines personnes. (...) Le plus important, c'est d'accueillir ces histoires et de reconnaître qu'il s'agit là d'un problème de société sur lequel on peut agir."

"Faute de preuves, enquête sur la justice face aux révélations #MeToo", par Marine Turchi, éditions Seuil, en librairie depuis le 10 novembre 2021.

10 novembre 2021

Caroline Margeridon cash sur l'infidélité : « Je dois avoir une tête à être cocue »

Le 4 novembre dernier, Caroline Margeridon a publié son tout premier ouvrage, intitulé Libre ! En pleine promotion, l'acheteuse emblématique de l'émission Affaire conclue a accordé une interview à Ici Paris, ce mercredi 10 novembre. L'occasion pour l'antiquaire de faire des confidences sur sa mère, qui avait vécu une relation amoureuse avec Johnny Hallyday, sur son début de carrière, mais aussi sur sa vie de famille.

Transparente, l'ancienne amie de Pierre-Jean Chalençon a même parlé de ses échecs sentimentaux, qui sont dus à plusieurs adultères. "Je dois avoir une tête à être cocue", a d'abord lancé Caroline Margeridon, avec humour, avant de préciser que "le père de [s]es enfants, puis [s]on ex-mari [l]'ont trompée". "Ils ont été suffisamment bêtes pour se faire choper", a-t-elle ajouté, avec mépris, avant de faire part de son incompréhension d'avoir subi plusieurs infidélités dans sa vie : "Pourtant, je suis restée égale à moi-même. Après mes deux grossesses, je ne me suis jamais laissée aller. J'ai retrouvé la ligne et j'ai toujours entretenu l'intimité dans mes relations."

Quoi qu'il en soit, la figure emblématique d'Affaire conclue reste catégorique : "La base du couple, c'est la confiance." "En amour comme en amitié, j'ai besoin d'exclusivité", a ajouté celle qui vit actuellement et "depuis deux ans et demi" une histoire avec "un Suisse" âgé de dix ans de plus qu'elle. "Quand je l'ai rencontré, j'ai fendu l'armure, car je pensais qu'il était homo. Je suis heureuse, mais ce n'est pas toujours simple", a déclaré Caroline Margeridon, qui reste lucide malgré les sentiments.