“Louis, jeune fêtard paresseux, multiplie les frasques et dépense sans compter la fortune de son père, président d’un groupe hôtelier de luxe. Excédé, ce dernier décide de donner une bonne leçon à son fils, avec une idée révolutionnaire : lui faire croire qu’il a mystérieusement atterri trois siècles et demi plus tôt, au temps de Louis XIV !”
Au revoir chambres d’hôtel étoilées, technologie dernier cri et jet-setteurs survoltés ; bonjour, paillasses de paille, tuniques en jute et petit peuple. Cette comédie burlesque, mixture assumée d’un peu de Retour vers le futur et de beaucoup des Visiteurs, voit Kad Merad et Clovis Cornillac prendre des airs d’Ed Harris, figure de réalisateur toute puissante dans le Truman Show de Peter Weir.
Le Larbin est chapeauté par un tandem de réalisateurs-scénaristes, Alexandre Charlot et Franck Magnier, à qui l’on doit déjà Imogène McCarthery, Boule et Bill, Les Têtes de l’emploi et la mini-série Marianne (avec Marilou Berry), diffusée sur France 2.
Pour leur quatrième long métrage, les deux cinéastes ont réuni autour d’eux deux pontes de la comédie cocorico : Kad Merad, dont les deux scénaristes avaient déjà composé le rôle dans Bienvenue chez les Ch’tis et RTT ; et Clovis Cornillac, qui leur doit ses personnages dans Maléfique et dans Astérix aux Jeux Olympiques.
Clovis Cornillac est en ce moment même à l’affiche d’Un p’tit truc en plus, qui cartonne en France.
Ça n’est d’ailleurs pas la première fois que les deux comédiens se retrouvent sur le grand écran : ils partageaient déjà l’affiche de Protéger et servir, de Faubourg 36 et Monsieur Papa, le premier film de Kad Merad en tant que réalisateur.
Cette fois-ci, ils seront entourés d’Isabelle Carré, qu’on a vue cette année dans Et plus si affinités, et d’Audran Cattin, révélé par la série TF1 Les Bracelets rouges, et dont ce sera le second long métrage après L’Ascension, de Ludovic Bernard et avec Ahmed Sylla.
Le Larbin sortira le 17 juillet dans les salles de cinéma.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire