13 mai 2025

Kim Kardashian : pourquoi a-t-elle absolument voulu témoigner au procès de son braquage à Paris ? Elle répond

En 2016, alors qu'elle assistait à la Fashion Week de Paris, Kim Kardashian a été victime d'un braquage violent dans sa chambre d'hôtel, où des bijoux d'une valeur estimée à 9 millions d'euros ont été dérobés. L'affaire, surnommée celle des "papys braqueurs" en raison de l'âge avancé des accusés, a marqué un tournant dans sa vie personnelle et publique.

Le procès de ces dix hommes s'est ouvert le 28 avril dernier à Paris. Ce n'est cependant que ce mardi 13 mai que la star américaine s'est rendue à la barre du procès sur cette affaire pour livrer son témoignage. C'est en larmes que l'ancienne femme de Kanye West a raconté minute par minute cette nuit du 2 au 3 octobre qui a viré au cauchemar et où elle a craint pour sa vie. "J’étais certaine de mourrir ce jour-là", a-t-elle confié lors de son audience devant la cour d’assises de Paris.

Durant son témoignage, Kim Kardashian a ainsi exprimé son désir de confronter ses agresseurs et de clore ce chapitre douloureux de sa vie. Elle a ainsi déclaré à la barre : "J’ai voulu faire partie de ce procès car avant tout je suis victime dans cette affaire. Je veux devenir avocate car ça me parle directement. Et ça rejoint mes convictions d’être présente aujourd’hui. Je voulais être là pour écouter tout ce qu’il s’est passé cette nuit-là et pour pouvoir tourner la page".

Son engagement envers la justice et son aspiration à devenir avocate ont donc renforcé sa détermination à témoigner en personne. La star a également exprimé son espoir que son témoignage serve à prévenir de futurs crimes similaires. "Je crois à la réinsertion mais je ne suis pas celle qui va décider, a-t-elle expliqué. Je voudrais que cela ne se reproduise pas, que personne n’ait à vivre cette épreuve-là, de savoir s’il va être tué ou violé. Je ne le souhaite même pas à mes pires ennemis". La parole devant la cour d'assises de Kim Kardashian est donc un geste fort et symbolique pour elle.

Joe Biden : un nodule a été découvert lors d'examens médicaux de routine

En 2021, Joe Biden est devenu le plus vieux président de l'histoire des États-Unis à être investi. Il avait alors 78 ans. Ironie du sort, son ancien rival Donald Trump a entamé son second mandat au même âge cette année. La santé et l'âge de Joe Biden sont deux sujets qui ont été pris très au sérieux au cours de son travail à la Maison Blanche. Le président a notamment été placé sous surveillance des médecins lorsque son épouse a contracté la Covid en 2023. Cependant, c'est bien son aptitude ou non à briguer un second mandat qui a été remis en cause l'année dernière.

Absences, regard vide, confusion… L'attitude de Joe Biden a inquiété ou été copieusement moquée lors de plusieurs apparitions publiques. Par exemple, ce débat avec Donald Trump a provoqué un énorme malaise en pleine campagne présidentielle. Désormais, Joe Biden, en retrait, travaille à donner une meilleure image de sa personne. Il explique notamment à qui veut l'entendre pourquoi il a pris son temps avant de passer le flambeau à Kamala Harris en 2024… Un sujet qui attise la colère de ses soutiens. D'après certains d'entre eux, cette décision serait intervenue trop tard et aurait en partie provoqué la victoire finale de Donald Trump.

Cependant, Joe Biden pourrait être contraint de lever le pied. En effet, l'ancien président américain a "un petit nodule" à la prostate, relevé lors d'un examen médical de routine, déclare un porte-parole de Joe Biden à ABC News. Une anomalie qui aurait ensuite "nécessité un examen plus approfondi", ajoute-t-il. Pour l'heure, aucun autre détail n'est connu. D'autres examens médicaux devront déterminer si ce nodule provient d'une "inflammation" ou possède une autre cause. En 2023, un précédent examen médical de Joe Biden avait révélé "une petite lésion" sur sa poitrine, rappelle People. Elle avait alors été retirée et envoyée en laboratoire. Une biopsie avait révélé qu'il s'agissait d'un carcinome basocellulaire, et tous les tissus cancéreux avaient alors été retirés.

Procès de Kim Kardashian : la star américaine se confie sur l'événement traumatisant qu'elle a vécu un mois après son braquage

Kim Kardashian revient de loin. Dans la nuit du 2 au 3 octobre 2016, la star américaine, qui se trouvait à Paris pour la Fashion Week, a été victime d'un violent cambriolage pendant lequel elle a été ligotée par des malfaiteurs surnommés les "papys braqueurs". Ce mardi 13 mai 2025, Kim Kardashian avait fait le déplacement de Los Angeles au Palais de justice de Paris pour témoigner. A la barre, la mère de quatre enfants n'a pas pu retenir ses larmes, en prononçant ses premiers mots. "J’étais à Paris pour la Fashion Week, j’adore cette ville. Ça m’arrivait de me réveiller même en pleine nuit pour me balader dans les rues de Paris. Je me sentais toujours en sécurité dans cette ville auparavant. On faisait du lèche-vitrine, on prenait un chocolat chaud. Tout a basculé lors de ce moment", a-t-elle déclaré après avoir décliné son identité.

Kim Kardashian a également révélé avoir été victime d'un autre événement traumatisant un mois seulement après son braquage parisien, pendant lequel 9 millions d'euros de bijoux lui ont été dérobés. "Ma maison [de Los Angeles] a été cambriolée peu de temps après. Certains ont voulu faire la même chose que ce qui s’était passé à Paris. Après avoir quitté Paris, nous sommes restés à New York quelque temps et c’est à ce moment que ma maison a été cambriolée. J’ai commencé petit à petit à avoir des phobies", a-t-elle expliqué, selon un journaliste de Voici présent au procès.

Pour l'ex-femme de Kanye West, tout a changé après son cambriolage. "A l’époque, je pouvais rester seule, sans sécurité, une fois chez moi ou dans un hôtel. Nous estimions que nous étions en sécurité. Mais cette expérience a tout changé [...] Ça a changé la perception de ma propre sécurité. Aujourd’hui, je suis obligée d’avoir quatre à six veilleurs la nuit pour me sentir en sécurité", a-t-elle confié. Auditionnée avant elle, sa styliste, Simone Harouche, avait elle aussi expliqué à quel point ce cambriolage avait profondément changé et traumatisé la superstar américaine.

Golshifteh Farahani Présidente du Jury du Festival de Deauville

Après une virée au Festival de Cannes pour présenter le prochain Julia Ducournau, Alpha, où l’actrice incarne un des rôles principaux aux côtés de Tahar Rahim, Golshifteh Farahani se rendra aussi dans le nord de la France, à Deauville. Elle préside la 51e édition du Festival du Cinéma Américain et succède à Benoît Magimel. Honoré de recevoir l’actrice et chanteuse franco-iranienne, les organisateurs du festival s’expriment ainsi dans un communiqué de presse : 

“Gol­shif­teh Fara­ha­ni a endos­sé à l’écran de si nom­breuses causes et de si nom­breuses figures de l’audace, qu’elle est deve­nue un sym­bole et un éten­dard de la liber­té des femmes, mais c’est corps et âme qu’elle joue sa vie chaque jour avec intensité.”

En effet, cette musi­cienne de talent et pas­sion­née de théâtre est révé­lée à l’âge de 14 ans dans Le Poi­rier de Dariush Mehr­jui et tourne ensuite près de 20 films en une dizaine d’années, dont À pro­pos d’El­ly d’Asghar Farhadi, son premier grand rôle au cinéma. Sa carrière à l’internationale s’envole en 2008 avec son rôle dans le thriller Mensonges d’État de Ridley Scott, deve­nant ain­si la pre­mière actrice ira­nienne à jouer dans une pro­duc­tion hol­ly­woo­dienne depuis la Révo­lu­tion de 1979. Elle tourne sans hijab, acte de liberté qui lui impose de fuir son pays natal et de s’installer en France. Depuis, on l'a vu apparaître dans plusieurs productions américaines, comme Paterson de Jim Jarmusch ou encore dans le dernier volet de Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar.

Elle incarne des rôles féminins poignants, pour qui la liberté est le mot d’ordre : elle est combattante kurde dans Les Filles du soleil d'Eva Husson ou encore professeur d’université pour Lire Lolita à Téhéran, dans lequel “elle exprime avec brio com­bien le corps des femmes a été la pre­mière vic­time de la Révo­lu­tion ira­nienne de 79”. 

Gol­shif­teh Fara­ha­ni est le tout premier nom dévoilé par le Festival de Deauville, qui aura lieu du 5 au 14 septembre prochains. 

Cannes 2025 : Leonardo DiCaprio remettra la Palme d'or d'honneur à Robert De Niro ce soir

C’est le grand jour : la 78e édition du Festival de Cannes s'ouvrira ce mardi soir.

Et en grandes pompes, puisque le légendaire Robert De Niro recevra sa Palme d’Or d’honneur lors de la cérémonie d’ouverture à partir de 19 heures (en direct sur France 2 et France.tv). Et il y aura double dose de légendes hollywoodienne sur scène, puisque Leonardo DiCaprio a fait le déplacement dans le sud de la France afin de lui rendre hommage. 

Ami et collaborateurs de longue date, les deux acteurs américains sont à nouveau réunis sur la Croisette peu de temps après avoir monté les marches en compagnie de Martin Scorsese pour la projection de Killers of the Flower Moon, en 2023. Auparavant, ils s’étaient déjà croisés sur les tournages de Blessures secrètes de Michael Caton-Jones (1993) et de Simples secrets de Jerry Zaks (1996). Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que l’acteur de Titanic remet à prix à celui de Taxi Driver : en 2020, Leonardo DiCaprio avait déjà fait ce geste pour le prix du Screen Actors Guild Life Achievement Awards. 

Ces deux monuments du cinéma laisseront ensuite place à Mylène Farmer pour une performance inédite.

Puis, les festivaliers pourront assister à la projection de Partir un jour, le premier long-métrage d’Amélie Bonin avec Juliette Armanet et Bastien Bouillon, qui sort dès aujourd'hui en salle !

Si on sait que Laurent Lafitte animera cet événement en tant que maître de cérémonie, les organisateurs du festival ont bien pris le soin de garder secret le nom des autres invités. À suivre… 

Procès Depardieu : l'acteur reconnu coupable d'agressions sexuelles

La verdict a été rendu ce mardi 13 juin par le tribunal de Paris. L'acteur Gérard Depardieu, accusé d'agressions sexuelles lors du tournage du film Les Volets verts de Jean Becker en 2021, a été reconnu coupable. Il a été condamné à dix-huit mois de prison avec sursis.

Le tribunal correctionnel a également prononcé une peine d'inéligibilité de deux ans et l'inscription de Gérard Depardieu au fichier des auteurs d'infractions sexuelles comme le formulaient les réquisitions du parquet.

L'avocat de Gérard Depardieu, Jérémie Assous, annoncé que l'acteur allait faire appel de la décision.

La condamnation de l'acteur repose sur les deux plaintes formulées par deux femmes qui avaient travaillé sur le film Les Volets verts. La première était décoratrice sur le plateau, tandis que la seconde était assistante.

Lors du procès, plusieurs personnalités du cinéma étaient venus soutenir Gérard Depardieu. C'est notamment le cas de Fanny Ardant qui avait pris la parole devant l'audience pour réaffirmer son amitié à l'acteur.

Alors qu'elle tourne actuellement son cinquième long métrage en tant que réalisatrice au Portugal, Fanny Ardant a engagé Gérard Depardieu dans l'un des rôles du film. Il s'agit de son premier tournage depuis 2021.

Madonna : le réalisateur Shawn Levy consacrera une série biopic à la chanteuse pour Netflix

“Like a Virgin”, “Material Girl”, “Vogue” ou encore “Hung Up”... il n’est pas difficile de citer au moins une chanson de Madonna. Artiste féminine ayant vendu le plus de disques dans le monde - au moins 400 millions - l’autrice-compositrice de 66 ans n’avait pourtant jamais vu sa vie adaptée au cinéma. Jusqu'à maintenant.

Deadline révèle que Netflix travaille sur un biopic, sous la forme d’une mini-série, en collaboration avec Madonna et Shawn Levy, producteur de Stranger Things et réalisateur du blockbuster Deadpool & Wolverine.

Cela fait quelques années que Madonna a fait savoir son envie d’adapter son histoire au cinéma. Un projet de film a été annoncé en 2020, du côté d’Universal. Deux ans plus tard, la Reine de la Pop’ et le studio ont révélé avoir choisi Julia Garner (Ozark, Inventing Anna) pour camper la chanteuse à l’écran. Mais depuis, aucune nouvelle.

Le site américain révèle que les deux projets ne sont pas liés mais si Madonna a accepté de travailler avec Shawn Levy sur une mini-série Netflix, c’est peut-être parce que le film est tombé à l’eau. Si c’est le cas, on imagine que Julia Garner serait ravie de tourner dans ce biopic, elle qui a collaboré plusieurs fois avec la plateforme par le passé.

Le projet n’en est qu’à ses débuts et pour le moment, Madonna et Levy n’ont pas révélé quelle période de la vie de la star allait être portée à l’écran. Mais on espère que la série s’intéressera à ses débuts difficiles à New York et la manière dont ses premières années de galère ont façonné l’artiste qu’elle est aujourd’hui.

De sa rencontre avec Dan Gilroy à ses premiers rôles en passant par ses premières scènes jusqu’à sa consécration en 1984 avec "Like a Virgin", cette série devrait être un régal pour les fans. Si la chanteuse participe à l’écriture, comme elle l’a exprimé, on peut s’attendre à un biopic fidèle et particulièrement féministe.

Bande-annonce de Différence : Lola Doillon s’intéresse à l’autisme dans une comédie romantique

Presque 20 années se sont écoulées depuis son premier succès Et toi, t’es sur qui ? dévoilé à Cannes dans la section Un Certain Regard en 2007 et nommé au César du meilleur premier film en 2008. Après Contre toi (2011) et le déchirant Le voyage de Fanny (2016), Lola Doillon signe son retour avec ce quatrième long métrage intitulé Différente.

Ce dernier opus se distingue de son précédent film, un drame dans lequel la cinéaste suivait le périple d'un groupe d’enfants cherchant à rejoindre la Suisse pendant l'Occupation. Ici, le scénario puise dans un tout autre registre. Lola Doillon s’aventure sur le terrain du trouble du spectre de l’autisme mis en scène dans une comédie romantique aux saveurs originales.

Synopsis : “Katia est une brillante documentaliste de 35 ans qui fait preuve de singularité dans sa manière de vivre ses relations, toutes plus ou moins chaotiques. Sa participation à un nouveau reportage l’amène enfin à mettre un mot sur sa différence. Cette révélation va chambouler une vie déjà bien compliquée.”

Avec une touche de modernisme, la cinéaste explore des thématiques fortes liées à l'autisme, diagnostiqué parfois tardivement chez les femmes. Ce film est le fruit d'un travail de longue haleine et documenté par des rencontres avec les personnes concernées. Aux manettes de ce projet, Lola Doillon choisit Jehnny Beth (nommée au César du meilleur espoir pour Un amour impossible en 2019) pour incarner le rôle-titre de cette comédie romantique. L’acteur belge Thibaut Evrard (La nuit du 12) et l’actrice Mireille Perrier (nommée au César du meilleur espoir de 1990 pour Un monde sans pitié) complètent le casting. A noter que la réalisatrice est aussi à l’origine de deux épisodes de la première saison de la série Dix pour cent (2015) et de trois épisodes de Salade grecque (2023).

Différente sera à découvrir en salles le 11 juin 2025.

12 mai 2025

Gloria Gaynor ne se considère pas féministe et dit aimer les hommes qui « savent prendre leur place »

Si vous pensez Gloria Gaynor féministe depuis au moins 1978 et la sortie de son tube I Will Survive, vous vous êtes trompé. D’ailleurs, la chanteuse culte en a assez qu’on la considère comme une féministe et tient à remettre les pendules à l’heure.

« Les gens me disent "Et puisque vous êtes féministe…" Euh, non. Pas vraiment », a déclaré la chanteuse à Metro. Et de préciser que cette vision erronée de sa personne découle sans doute de son tube qui parle d’une femme qui refuse de laisser son ex revenir dans sa vie après lui avoir brisé le cœur.

« J’aime les hommes. J’ai grandi avec cinq frères, et j’aime les hommes », a continué Gloria Gaynor. En outre, la chanteuse insiste sur le fait qu’elle « aime les hommes qui savent qui ils sont et sont assez forts pour prendre leur place ».

Attention, cependant, il y a un « mais » qui nuance (un peu) et devrait rassurer les déçus autant que dépiter les masculinistes. Gloria Gaynor aime les hommes qui sont « aussi assez forts pour reconnaître les forces d’une femme et lui permettre de les exercer ».

Une vision assez éloignée des canons contemporains en matière d’émancipation féminine, mais qu’on pourra excuser de la part de la chanteuse de 81 ans que le public français porte dans son cœur, I Will Survive restant l’hymne de la victoire de l’équipe de France depuis la coupe du monde 1998.

George Clooney reste optimiste concernant l’avenir politique des États-Unis

Dans une interview accordée à la légende de Broadway Patti LuPone pour Variety, George Clooney pose un regard lucide sur la situation politique de son pays. S’il ne nie pas le charisme de Donald Trump, qu’il qualifie de « star de la télévision », il estime que son influence s’estompera naturellement, comme ce fut le cas pour d’autres figures autoritaires de l’histoire américaine.

« A New York on le connaît tous depuis 30 ans et pour nous c’était juste un gars qui pourchassait les femmes, a déclaré la star hollywoodienne. Mais peu importe. Ça va aller. On va surmonter ça. »

A côté de ça, George Clooney tient à souligner que le parti républicain n’a pas d’autre personnalité aussi charismatique sous la main et aura bien du mal à se réorganiser après le départ de son actuel leader.

Bien connu pour son engagement démocrate, George Clooney s’est également exprimé sur l’avenir de son parti, pointant du doigt la nécessité de mettre en avant des « représentants qui ont le sens de l’humour et des responsabilités », citant au passage Wes Moore, Andy Beshear et Gretchen Whitmer, respectivement gouverneurs du Maryland, du Kentucky et du Michigan.

Quant à la situation actuelle, il relativise. « Nous avons connu des moments bien pires. La seule différence aujourd’hui, c’est la source d’information, leur quantité et leur diversité, a-t-il expliqué. Mais la situation est loin d’être aussi violente, même si on a l’impression qu’elle l’est. C’est bien moins désespéré que ça ne l’était à l’époque. »

Des propos pragmatiques qui éclairent d’un jour nouveau une situation politique qui pourrait sembler désespérée.