25 avril 2025

Le coup de gueule de Hugh Grant contre les écoles privées et huppées « ridicules » de ses enfants

Hugh Grant n’y est pas allé de main morte contre les pratiques de « certaines écoles privées et huppées ridicules ». L’acteur de 64 ans a pris part à une discussion organisée par la campagne Close Screens Open Minds (fermez les écrans, ouvrez les esprits), qui cherche à faire interdire l’usage des écrans de type téléphones portables, ordinateurs et tablettes, dans les écoles.

Un combat que la star de Coup de foudre à Notting Hill semble avoir rejoint dans l’intérêt de ses enfants. Hugh Grant en a eu trois avec son épouse Anna Eberstein, et deux autres avec son ancienne compagne Tinglan Hong. Et si la progéniture de la star de Love Actually peut naturellement se permettre de fréquenter des écoles « privées et huppées », ces dernières ne sont pas moins « ridicules » pour leur père qui aimerait que ses enfants passent plus de temps à l’extérieur que sur des écrans.

« Ce sont (ces écoles) qui disent que (les enfants) ne vont pas jouer dehors aujourd’hui parce qu’il pleut, ou qu’ils ne peuvent pas aller sur le portique d’escalade parce qu’il y a du vent. C’est pathétique », a-t-il lancé, selon The Telegraph. Sa colère à ce sujet a redoublé lorsque l’établissement de ses enfants s’est félicité de ses méthodes de travail avec des appareils électroniques. « "Nous donnons un Chromebook à chaque enfant, et ils font beaucoup de cours sur leur Chromebook, et ils font tous leurs devoirs sur leur Chromebook" », a cité l’acteur au souvenir de ce que lui a expliqué l’école. « On s’est dit : "C’est la dernière putain de chose dont ils ont besoin, et la dernière chose dont nous avons besoin". ».

Pour remédier à la situation, la star de Wonka s’est imaginé l’émergence d’un « ensemble d’écoles » de type « héroïque » « pour briser le moule ». Il espère aussi qu’une « masse de parents critiques » s’exprimera à l’avenir afin d’« effrayer » les « politiciens » et les écoles craignant « de perdre leur commerce ». Pour cette discussion, l’acteur était accompagné d’une cousine au second degré du roi Charles III, Sophie Winkleman, et de l’auteur et psychologue américain Jonathan Haidt, qui a exprimé son inquiétude face à « l’épidémie de maladies mentales » liée à l’usage excessif des écrans.

Sydney Sweeney devrait porter l'adaptation de Split Fiction au cinéma

Déjà embarquée dans l’adaptation ciné du jeu d’arcade culte des années 80, OutRun, dont elle sera productrice, Sydney Sweeney ne compte visiblement pas lever le pied.

L’actrice américaine va enfiler une nouvelle fois le costume de game heroine : selon Variety, elle tiendra l’un des rôles principaux de l’adaptation cinéma de Split Fiction, réalisée par Jon M. Chu, qui a cartonne cette année avec son adaptation de Wicked.

Le scénario sera signé par les scénaristes de Deadpool & Wolverine, Rhett Reese et Paul Wernick – autrement dit, attendez-vous à un cocktail de punchlines, d’action débridée et d’univers complètement barrés.

Produit par Mike Goldberg et Dmitri M. Johnson via Story Kitchen (ex-dj2 Entertainment), le projet est actuellement proposé aux studios, avec la boîte de prod du réal, Electric Somewhere. À noter que Sydney Sweeney ne se contentera pas d’être devant la caméra : elle endosse aussi le rôle de productrice exécutive.

Mais Split Fiction, c’est quoi au juste ? Imaginé par le créateur de It Takes Two, Josef Fares, le jeu (développé par Hazelight Studios et publié par Electronic Arts) mélange science-fiction et fantasy dans une aventure coopérative haletante. On y suit Mio et Zoe, deux autrices qui rêvent d'être publiées, qui se retrouvent aspirées dans leurs propres récits, contraintes de survivre dans les mondes qu’elles ont elles-mêmes inventés. Gameplay en écran scindé, plateformes, pouvoirs distincts... un terrain de jeu explosif, idéal pour une adaptation grand spectacle.

Sorti le 6 mars dernier seulement, le jeu a cartonné dès son lancement, cumulant plus de deux millions de ventes en une semaine et des critiques ultra-positives. Reste à savoir quel rôle jouera Sweeney : la mystérieuse Zoe, ou l’intrépide Mio ?

Pour le boss de Netflix, voir des films au cinéma "est un concept dépassé !"

La question claque dans l'air dès les premières secondes de l'entretien : "Avez-vous détruit Hollywood ?"

Le co-PDG de Netflix, Ted Sarandos, était en conférence hier soir avec  le rédacteur en chef du Time Magazine, lors du Time100 Summit. L'occasion de faire un état des lieux du cinéma et de l'industrie. Sans surprise, sa réponse a été claire : "Non, nous sommes en train de le sauver".

Et Ted Sarandos d'expliquer dans la foulée pourquoi Hollywood est en souffrance depuis quelques années, tandis que Netflix croît encore et encore :

"Netflix est une entreprise très centrée sur le consommateur. On se soucie vraiment de livrer les programmes comme vous voulez les regarder."

Pour le boss de l'entreprise de streaming n°1 dans le monde, si le box-office mondial rame autant, c'est un symptôme du mal qui ronge le milieu : "Qu’est-ce que ça dit ? Qu’est-ce que le public essaie de nous faire comprendre ? Qu’il préfère regarder les films chez lui, merci bien ! Les studios et les cinémas se battent pour préserver cette fenêtre de 45 jours qui n’a plus rien à voir avec l’expérience actuelle du spectateur, qui est juste d’aimer un film."

Ted Sarandos fait ici référence à la chronologie des médias américaine selon laquelle dans les 45 jours suivant la sortie d’un film, il ne peut être diffusé qu’en salle de cinéma, pas en streaming ni en VOD. En revanche, il peut désormais sortir en DVD dans les 17 jours qui suivent.

Cedi étant dit, Netflix n’a pas complètement tourné le dos aux salles obscures : la plateforme détient notamment le Bay Theater à Los Angeles et le Paris Theater à New York. Deux cinémas que Netflix a, selon Sarandos, « sauvés » d’une reconversion en pharmacie : "On ne les a pas sauvés pour sauver l’industrie des cinémas. On les a sauvés pour préserver l’expérience du cinéma."

La plateforme est aussi contrainte de proposer des sorties limitées en salle pour que certains de ses films visant des Oscars puissent être éligibles comme Glass Onion (2022) ou Emilia Pérez (2024). "On fait ces sorties sur mesure… Il faut cocher quelques cases pour les Oscars, faire tourner le film un peu, ça aide aussi dans le cycle médiatique. Mais j’ai toujours encouragé les réalisateurs avec qui on travaille à se concentrer sur le public. Faites un film que les gens aiment, et ils vous le rendront bien."

Bien entendu, le boss de Netflix prêche pour sa paroisse, et sans détour, il estime que le modèle de la salle de ciné est carrément révolu !

"Beaucoup ont grandi avec ce rêve : faire des films pour un écran géant, pour une salle remplie d’inconnus et qui resterait deux mois à l'affiche avec des séances pleines et des gens qui pleurent… Mais ça, c'est un concept dépassé !"

Selon Sarandos, créer des œuvres pour les salles, le cinéma en tant qu'expérience collective, est une idée obsolète :

"Je pense que oui, cette idée est dépassée. Pour la majorité des gens, pas pour tout le monde. Si vous avez la chance d’habiter Manhattan, vous pouvez peut-être aller au cinéma à pied, à côté de chez vous et c’est génial. Mais ce n’est pas le cas de la majorité du pays."

Il met alors le doigt sur l'obligation quasi systématique de faire un déplacement, en voiture, pour aller voir un film dans une salle, dans la plupart des villes américaines.

Finalement, le businessman assure ne pas être contre les cinémas, "mais leur déclin ne me dérange pas. Ce qui me dérangerait, c’est que les gens arrêtent de faire de grands films".

Et il met Hollywood en garde : ne vous laissez pas piéger par le fantasme de l’expérience en salle. Ne vous enfermez pas dans cette idée que les films doivent être vus comme vous voulez qu’ils soient vus : "Ce qui compte, c’est comment le public veut les voir. C’est ça, l’avenir de l’industrie."

Une nouvelle vision du cinéma, de Hollywood et de l'industrie en général qui ne devrait pas manquer de faire réagir dans les jours voire les années qui viennent.

A l'âge de 11 ans, Ben Affleck a été subjugué par Retour vers le futur

Célèbre pour avoir interprété de nombreux personnages mythiques du cinéma, tels que le Chevalier Noir dans Batman v Superman, le super-héros Daredevil, le criminel Doug MacRay dans The Town ou encore le pilote de guerre Rafe McCawley dans Pearl Harbor, Ben Affleck n'a pas toujours été la star hollywoodienne que l'on connaît aujourd'hui.

Il y a de nombreuses années, avant de connaître la popularité, lui aussi faisait partie de ces jeunes spectateurs dont les yeux brillaient dans les salles obscures, au fond de leur fauteuil rouge.

En effet, ainsi qu'il l'a récemment raconté lors de son dernier passage sur le plateau de Jimmy Kimmel, c'est en découvrant le premier volet de la trilogie Retour vers le futur qu'il a vécu l'un de ses plus beaux souvenirs de cinéma :

"Je me souviens être allé à une projection de Retour vers le futur, m'être retrouvé dans le métro en rentrant chez moi et avoir pris cette décision consciemment, 'ceci est le meilleur film jamais réalisé'", a-t-il ainsi raconté avant d'ajouter que cette expérience inoubliable l'avait incité, un peu plus tard, à suivre l'interprète du Doc en pleine rue !

"Un an plus tard, il me semble que Christopher Lloyd jouait dans une pièce à Boston. Je l'ai aperçu dans la rue, je n'avais jamais vu de célébrité ou d'acteur de toute ma vie auparavant. J'avais probablement 11 ou 12 ans. Et plus tard, j'ai réalisé que je l'avais suivi sur 10 pâtés de maisons. Je l'ai littéralement stalké !"

Un peu plus d'une décennie après, Ben Affleck faisait à son tour ses premiers pas à Hollywood. Après avoir joué les figurants aux côtés de Matt Damon dans le drame Jusqu'au bout du rêve, il co-signait le scénario du mythique Will Hunting, et s'ouvrait ainsi un bel horizon vers le succès.

Thomas Dutronc prépare un hommage à sa mère, Françoise Hardy

Malgré l’immense humilité de sa mère, Thomas Dutronc compte bien lui rendre un hommage à la hauteur de l’artiste qu’elle était. Le chanteur de 51 ans, actuellement en tournée pour son dernier album Il n’est jamais trop tard, a avoué que ce « projet » avait commencé à faire son bout de chemin dans son esprit alors que le premier anniversaire de la disparition de la chanteuse de Comment te dire adieu, décédée à 80 ans le 11 juin dernier, approche à grands pas.

« Je vais rendre hommage à ma mère, d’une manière ou d’une autre », a-t-il confié au magazine Gala dans les coulisses de sa tournée. Une idée qu’il présente comme un véritable « défi » en raison de la place qu’elle prend « dans ma tête comme dans mon cœur ». « Peut-être avec un super groupe acoustique et un orchestre de cordes, je ne sais pas encore. J’y pense très fort. Même si, la connaissant, elle n’aurait certainement pas voulu, et m’aurait expliqué que ce n’est pas mon rôle… »

Mais Thomas Dutronc, fruit de l’amour entre sa mère et le musicien Jacques Dutronc, a été témoin des effets retentissants de la mort de la chanteuse tels qu’elle ne l’aurait « jamais imaginé », notamment en raison de sa grande discrétion vers la fin de sa vie, et de son humilité face à la célébrité : « Elle avait tendance à se déprécier tout en sachant qui elle était, ce qu’elle valait. »

Françoise Hardy était aussi, d’après son fils, une femme de « principes » un tantinet têtue. « Elle savait être cassante, avait beaucoup de principes, a-t-il expliqué. Par exemple, elle a refusé de prendre des antidépresseurs pendant qu’elle suivait ses chimiothérapies. Un geste courageux, certes, mais quand même un peu une connerie. » Pourtant, il arrivait à la chanteuse de Tous les garçons et les filles de souffrir de « quelques névroses » qu’elle a léguées à son fils, en plus de leur demeure de Monticello en Haute-Corse et de quelques sous. « Elle n’a pas tout dépensé ! », a-t-il précisé.

Par ailleurs, Jacques Dutronc, qui était séparé de Françoise Hardy depuis les années 1990 sans n’avoir jamais officialisé leur divorce, profiterait lui aussi de la demeure de la chanteuse à Monticello. Mais au-delà de ses habitudes de « squatteur » que lui attribue son fils, le chanteur de L’opportuniste aurait surtout en tête de profiter du temps qui lui reste auprès de lui. « Papa a 82 ans et, même s’il fait attention à lui depuis quelques années, je ressens l’urgence de passer plus de temps à ses côtés, a reconnu Thomas Dutronc. Il me l’a dit sans me le dire, c’est très touchant. »

Partir un Jour : le film d’ouverture de Cannes 2025 dévoile sa bande-annonce

C’est sur la Croisette, à l’occasion de l’ouverture du Festival de Cannes 2025 que les amoureux du cinéma auront l’occasion de découvrir le premier long métrage d’Amélie Bonnin.

Partir Un Jour est tiré de son court-métrage éponyme, sorti en 2021 et récompensé d’un César en 2023. Il raconte les retrouvailles entre deux amis d’enfance.

Cette adaptation en long métrage rencontrera-t-elle le même succès ? La bande-annonce est déjà prometteuse (voir ci-dessous).

Pour l’instant, on sait seulement que le titre et les acteurs restent à l’identique pendant que le scénario, lui, est entièrement inversé. Et oui, ce n’est plus l’acteur césarisé, Bastien Bouillon (La Nuit du 12) qui retrouve les racines de sa terre natale mais bien la chanteuse, Juliette Armanet. Pourtant, la réalisatrice française n’a pas changé de sujet : ce sont toujours les retrouvailles d’un amour de jeunesse qui réveille d’intenses souvenirs et des émotions empruntes de nostalgie.

Dans cette nouvelle version, Juliette Armanet incarne le rôle de Cécile, cheffe gastronomique qui, au moment d’accomplir son rêve professionnel, rentre précipitamment dans son village d’enfance après avoir appris que son père avait fait un infarctus. Ce retour aux sources de sa vie de jeune fille lui fait croiser le chemin de Raphaël - joué par Bastien Bouillon - ex-pote d’enfance et accessoirement, ancien amour de jeunesse.

Le casting est complété par François Rollin (Kaamelott), Tewfik Jallab (Né quelque part) et Dominique Blanc (Stand-by).

Parallèlement à son inauguration à Cannes, Partir Un Jour sortira en salles le 13 mai prochain.

Urban Legend va aussi faire son retour au cinéma

Pour Scream, c'est fait depuis 2022. Et tandis que Destination Finale et Souviens-toi... l'été dernier sont dans les starting blocks, un autre slasher prépare son retour et personne ne sera surpris : Urban Legend. Sorti en 1999, le long métrage réalisé par Jamie Blanks mettait Rebecca Gayheart, Joshua Jackson, Alicia Witt ou encore Jared Leto aux prises avec un tueur en série qui s'inspirait des légendes urbaines que leurs personnages étudiaient en cours pour les éliminer un à un.

Mise en scène par John Ottman (compositeur du second X-Men de Bryan Singer), une suite avait vu le jour un an plus tard. Et un troisième opus, Bloody Mary, avait atterri directement dans les bacs vidéo en 2005, ce qui en dit long sur sa qualité. Sans jamais se concrétiser, l'idée d'un nouvel opus a longtemps flotté dans l'air depuis, et un projet de reboot a même été annoncé en 2020, mais en vain.

Jusqu'à aujourd'hui et cette annonce du Hollywood Reporter, qui affirme que la saga prépare son retour, et que le scénario du film a été confié à Shanrah Wakefield alors que Gary Dauberman, réalisateur d'Annabelle 3, sera le producteur de ce film sans casting ni metteur en scène, et dont on sait seulement qu'il ambitionne "d'examiner ce que peut être une légende urbaine dans un monde post-numérique."

Que le film soit (re)lancé l'année où Destination Finale (le 14 mai) et Souviens-toi... l'été dernier (16 juillet) préparent leur retour dans les salles mondiales n'est absolument pas une coïncidence. Il ne reste désormais plus qu'à voir si et quand ce reboot d'Urban Legend se concrétisera. Et comment.

Taboo : la saison 2 de ce drame historique de Steven Knight devrait bientôt voir le jour

Tom Hardy est décidément très occupé en ce moment. À l'affiche depuis aujourd'hui du film d'action Ravage sur Netflix, et dans la série MobLand de Guy Ritchie, il prend la parole à propos d'une autre série très appréciée de ses fans, Taboo.

Lors d'une interview avec LADbible, Tom Hardy a répondu aux spéculations des fans concernant le retour de Taboo, une série dont il est le co-créateur avec Steven Knight (Peaky Blinders) et son père Chips Hardy.

Le mois dernier, l'acteur a partagé une publication énigmatique sur Instagram, laissant entendre que la suite de sa série pourrait être en route. On y voit l'image d'un navire voguant vers l'horizon.

Bien que Hardy n'ait pas donné plus de détails sur son post, et bloqué les commentaires, il a finalement confirmé que la saison 2 de Taboo est en cours d'écriture. Dans ses propos, il a assuré aux fans qu'ils pouvaient "absolument" s'attendre à de nouvelles aventures avec James Delaney, son personnage principal. Cette nouvelle arrive après plusieurs années sans nouvelles concrètes sur la série.

Ce n'est pas la première fois que l'acteur évoque la possibilité de relancer Taboo. En 2021, il avait déclaré à Esquire qu'une seconde saison était "vraiment importante" pour lui. De son côté, le co-créateur Steven Knight a également confirmé en 2023 qu'ils avaient déjà une idée claire de l'intrigue. Ces déclarations renforcent l'optimisme des fans qui espèrent voir leur héros revenir à l'écran.

En attendant la suite de Taboo, Tom Hardy sera de retour très bientôt sur le petit écran dans MobLand, une nouvelle collaboration avec le réalisateur Guy Ritchie. Prévu pour le 30 mai sur Paramount+, cette série de gangsters réunit un casting impressionnant, avec des acteurs tels que Pierce Brosnan et Helen Mirren. Hardy y incarne Harry Da Souza, un fixeur pour une famille de criminels.

24 avril 2025

Meghan Markle avait une bonne raison de ne pas filmer sa série « With Love, Meghan », dans sa vraie maison

Dans With Love, Meghan, la duchesse de Sussex mentionne régulièrement sa cuisine et son jardin qu’elle cultive dans les collines idylliques de Montecito, en Californie. Toutefois, le lieu que les spectateurs ont découvert dans sa série est un corps de ferme que l’épouse du prince Harry a spécialement loué à des voisins pour la production de Netflix. Un détail surprenant pour celle qui souhaitait dévoiler au public ses trucs et astuces quotidiens pour les jouer les hôtes parfaits.

Mais la mère d’Archie, cinq ans, et de Lilibet, trois ans, avait une bonne raison de ne pas ouvrir les portes de sa demeure familiale aux caméras. « Quand les gens me demandent : "Pourquoi n’avez-vous pas filmé dans votre maison ?", je leur explique que j’ai des enfants qui rentrent à la maison pour la sieste. Et 80 personnes dans la cuisine, ce n’est pas vraiment le souvenir d’enfance que je voudrais qu’ils aient », a-t-elle expliqué lors de son passage au sommet Time100 à New York, en faisant référence à son équipe de tournage.

L’ancienne actrice de 43 ans a néanmoins eu « beaucoup de chance » de trouver « tout près » de chez elle une propriété qui ressemblait à la sienne et rassemblait tous les éléments dont elle avait besoin pour se « protéger » avec ses proches et faire de son show un succès. Par ailleurs, ce dernier a rapidement été renouvelé pour une seconde saison dont le tournage aurait déjà été bouclé, selon Variety, pour une sortie prévue l’automne prochain. Lors du sommet, Meghan Markle a révélé que le célèbre chef et fondateur de World Central Kitchen, José Andrés, avec qui elle a délivré des repas aux victimes des incendies de Los Angeles en janvier, ferait partie de ses invités.

En marge de sa nouvelle série, Meghan Markle a lancé sa marque lifestyle As Ever, dont la première collection de produits proposés à la vente au début du mois s’est épuisée en l’espace d’une heure. Forte de ces succès, la duchesse de Sussex s’est aussi lancée dans un nouveau podcast sur les femmes entrepreneures avec Lemonada Media, après son passage en 2022 sur Spotify pour son premier podcast, Archetypes.

Cannes 2025 : Alain Chabat sera l’invité d’honneur de la Quinzaine des Cinéastes

Cette année, la Quinzaine des Cinéastes a choisi de mettre en lumière le cinéma d’auteur populaire en désignant Alain Chabat comme invité d’honneur ! Entre La Cité de la peur, Didier, ou encore Astérix et Obélix Mission Cléopâtre, l’acteur et réalisateur s'est imposé comme maître des comédies absurdes. Chabat sera donc de nouveau présent au Festival de Cannes après avoir monté les marches l’année dernière pour L’Amour ouf, qui lui a valu le César du meilleur acteur dans un second rôle. L'ex membre des Nuls est également aux commandes de la nouvelle série 3D Astérix et Obélix : Le Combat des Chefs, très prochainement disponible sur Netflix (le 30 avril !). Cette personnalité adorée des français a d’ailleurs fait la couverture de notre magazine d’avril. 

Pour l'occasion, Alain Chabat donnera une masterclass le mardi 20 mai au Théâtre de la Croisette, où il présentera une carte blanche. La Quinzaine souligne dans un communiqué de presse : 

"De Didier à RRRrrrr !!!, de Mission Cléopâtre à Santa & Cie, Alain n'a cessé de creuser le sillon d’un cinéma d'auteur populaire où l'absurde et le potache côtoient des univers enchantés et insolents dignes des plus grands enfants [...] Parce que nous rêvons toutes et tous de voir davantage de comédies d'auteur sur grand écran, nous avons offert à Alain Chabat une carte blanche dont le titre-surprise sera révélé pendant le festival. La projection sera suivie d'une masterclass au cours de laquelle Alain Chabat reviendra sur les comédies qui l'ont fait rire et ont marqué sa vie et son cinéma..."

En plus de cet événement, le film d’ouverture de la Quinzaine des Cinéastes devrait faire parler de lui. Il s’agit du long métrage posthume de Laurent Cantet, Enzo, qui a finalement été réalisé par son ami Robin Campillo (120 Battements par minute) après son décès le 25 avril 2024.