27 mars 2025

Bande-annonce de Rust, avec Alec Baldwin

Le 21 octobre 2021, les prises de vues de Rust prennent une tournure tragique lorsqu'un pistolet chargé blesse mortellement la cheffe opératrice Halyna Hutchins pendant une répétition impliquant Alec Baldwin, acteur principal du western réalisé par Joel Souza. Interrompu dix jours plus tard, le tournage a repris en avril 2023, sur fond de procès pour homicide involontaire.

Si les poursuites contre Alec Baldwin, qui a affirmé que le coup de feu était parti tout seul, ont été abandonnées en raison de l'incompétence du bureau du procureur local du Nouveau-Mexique, avant une annulation pure et simple de son procès en appel, l'armurière Hannah Gutierrez-Reed a été reconnue coupable d'homicide volontaire et condamnée à dix-huit mois de prison ferme en avril 2024.

Un an plus tard, alors qu'il doit sortir le 2 mai en VOD aux États-Unis mais n'a pas encore de créneau français, la bande-annonce du film a été dévoilée. Grands espaces, chevaux, duel dans une ville désertée par ses habitants, Indiens, revolvers… Tous les éléments du western classique sont présents dans les images de ce film qui s'inspire d'une histoire vraie : celle du plus jeune pendu de l'Histoire de l'Ouest américain.

Soit, ici, Lucas (Patrick Scott McDermott), le petit-fils d'Harland Rust (Alec Baldwin), célèbre hors-la-loi dont la tête est mise à prix depuis des années et qui décide d'aller l'aider lorsqu'il est reconnu coupable d'un meurtre. Quitte à ce que la menace représentée par le maréchal Wood Helm (Josh Hopkins, qui a remplacé Jensen Ackles pour des questions de conflit d'emploi du temps lorsque le tournage a repris) et le chasseur de primes Fenton 'Preacher' Lang (Travis Fimmel) pèse un peu plus sur lui lorsque ces derniers se lancent à ses trousses.

Une chasse à l'homme qui, au vu de ces images, s'annonce violente, et s'accompagnera d'un documentaire diffusé sur Hulu le 11 mars dernier, Last Take: Rust and the Story of Halyna, qui revient sur la journée tragique du 21 octobre 2021. Là encore, nous ne savons pas si et quand nous pourrons le voir en France, mais la fin de l'histoire n'a jamais semblé aussi proche.

Disney+ ajoute enfin ajoute cette fonctionnalité bien pratique

Toutes les plateformes de streaming se distinguent par leurs catalogues, leurs interfaces, leurs prix mais aussi leurs fonctionnalités. Mais depuis plusieurs années, les services de streaming tendent à s'uniformiser pour offrir des expériences similaires à leurs utilisateurs, qui ont souvent plusieurs abonnements.

Les abonnés, qui pouvaient se perdre entre les différentes plateformes ou se plaindre de ne pas avoir les mêmes fonctionnalités sur tous les services de streaming peuvent constater que les plateformes proposent avec le temps des fonctionnalités similaires et pratiques.

Comme Netflix, la plateforme Disney+ propose depuis peu une fonctionnalité très pratique pour celles et ceux qui binge-watchent beaucoup de contenus sur la plateforme et qui aiment avoir une interface de streaming bien rangée.

Si votre liste de contenus en cours de lecture est longue comme le bras, vous allez enfin pouvoir y faire un peu de ménage ! “Vous l’avez demandé et nous vous avons écouté !". Le groupe Walt Disney Company a annoncé la bonne nouvelle sur son site officiel pour ses abonnés :

"Disney+ lance une mise à jour mondiale très attendue de son menu "Continuer la lecture", permettant aux utilisateurs de supprimer facilement des titres de la ligne. Que vous ayez déjà terminé un titre, ajouté un élément par accident ou simplement souhaité une réinitialisation, nous avons la solution."

Si vous voulez supprimer des titres de la liste "Continuer la lecture", vous maintenez le bouton de votre télécommande enfoncé pour le supprimer et vous sélectionnez "Supprimer".

Si vous êtes sur la page Détails du titre, vous pouvez simplement accéder à l'icône Supprimer à droite et sélectionnez "Supprimer".

Si vous êtes sur mobile, vous appuyez sur les trois petits points de la vignette du contenu dans la liste "Continuer la lecture" et vous sélectionnez "Supprimer".

Si vous êtes sur ordinateur, vous placez votre curseur sur la vignette et vous cliquez sur l'icône "Supprimer" en haut à droite.

Cette nouvelle fonctionnalité plaira sûrement aux personnes très organisées qui aiment avoir une interface de plateforme rangée. Et ne vous inquiétez pas, la progression de votre visionnage du contenu que vous supprimez dans la liste "Continuer la lecture" ne sera pas supprimée.

Mort de l'acteur Clive Revill à 94 ans

Fameux acteur néo-zélandais, recruté par Laurence Olivier et membre de la célèbre Royal Shakespeare Company, Clive Revill avait notamment tourné avec Otto Preminger et Billy Wilder. Mais avait aussi prêté sa voix pour l'empereur Palpatine dans L'Empire contre-attaque. Il est décédé le 11 mars dernier, à l'âge vénérable de 94 ans, des suites de démence. Sa fille, Kate Revill, a confirmé l'information auprès du Hollywood Reporter.

Né le 18 avril 1930 à Wellington, Clive Revill commence sa carrière au théâtre en 1950 et durant la décennie, joue Shakespeare pendant deux ans, tout en tournant pour la télévision. Sa première apparition marquante au cinéma se fait pour Otto Preminger pour le formidable polar Bunny Lake a disparu, en 1965.

Il grimpe petit à petit les échelons et apparaît de plus en plus haut sur les affiches de films tels qu'Italian Secret Service, La griffe ou Le Gentleman de Londres. C'est à cette époque qu'il rencontre le réalisateur Irvin Kershner pour L'Homme à la tête fêlée (1966) avec Sean Connery et Joanne Woodward.

Son don pour copier les accents fait qu'il est repéré par Billy Wilder, qui l'engage successivement dans le formidable La Vie privée de Sherlock Holmes (1970) puis Avanti! (1972), dont le rôle de majordome italien lui vaut une nomination au Golden Globes du Meilleur second rôle.

On le retrouve ensuite dans des films familiaux (Le Petit prince, Objectif Lotus), un polar (Contre une poignée de diamants) signé Don Siegel et un film d'horreur (La Maison des damnés), avant qu'il limite son travail à l'écran à des épisodes de séries. On le voit ainsi dans Columbo, ou Chapeau melon et bottes de cuir, avant qu'il soit à nouveau engagé par Irvin Kershner (et George Lucas) pour une production ambitieuse : L'Empire contre-attaque.

Clive Revill double ainsi la voix de l'Empereur Palpatine dans le deuxième volet de la saga Star Wars. Il sera remplacé dans ce rôle dès l'opus suivant puisque George Lucas engage Ian McDiarmid pour tenir le rôle de l'Empereur sur le plateau (en remplacement de Marjorie Eaton) et satisfait de sa prestation vocale, lui fait aussi remplacer Clive Revill. Ce dernier sera même effacé a posteriori de L'Empire contre-attaque, puisque depuis des retouches du film effectuées par Lucas en 2004, c'est désormais Ian McDiarmid que l'on entend dans le rôle de l'Empereur.

Durant les années 80, Revill tourne surtout pour la télévision dans MacGyver, Clair de lune, La croisière s'amuse, La cinquième dimension et prête sa voix à de nombreux dessins animés. Citons parmi eux Les Schtroumpfs, Les snorky (Galeo) ou Batman la série animée (Alfred pendant 3 épisodes). Quant au cinéma, il refait appel à lui durant les années 90 pour L'Âge de vivre ou Dracula mort et heureux de l'être.

Il prêtera ensuite sa voix pour de nombreux jeux vidéo, dont certains adaptés de films comme Pirates des Caraïbes : jusqu'au bout du monde, mais aussi Transformers: Revenge of the Fallen, et même Star Wars: The Old Republic, pour différents rôles, mais dont Palpatine est absent ! En 2016, à 86 ans, il revient au cinéma pour La reine d'Espagne, avec Penélope Cruz, réalisé par Fernando Trueba. Ce sera d'ailleurs son ultime contribution au cinéma.

La Passion du Christ 2 : Mel Gibson s'apprête enfin à tourner la suite de son film

La suite de La Passion du Christ, film le plus controversé de Mel Gibson, s'apprête enfin à entrer en tournage !

Après plusieurs années de développement, La Passion du Christ : Résurrection était censé entrer en tournage en début d'année. Mais rien. Variety annonce aujourd'hui que la Résurrection aura finalement lieu cet été dans les célèbres studios italiens Cinecittà.

Et c'est la directrice générale des studios, Manuela Cacciamani qui l'a annoncé dans une interview accordée au quotidien financier italien Il Sole 24 Ore. Elle a déclaré que Mel Gibson et Icon Productions avaient fixé la date du début du tournage de la suite de sa superproduction biblique au mois d'août prochain.

Le long métrage, toujours porté par Jim Caviezel, sera donc tourné à Cinecittà, tandis que la scène de la résurrection sera tournée dans l'ancienne ville de Matera, dans le sud de l'Italie. Mel Gibson devrait également tourner des séquences dans d'autres anciens sites ruraux du sud de l'Italie, notamment Ginosa, Gravina Laterza et Altamura.

Maia Morgenstern, qui incarnait la mère de Jésus dans le premier opus, et Francesco De Vito, qui interprétait Pierre, seraient également de la partie, selon le casting d'IMDB.

En juillet 2023, Mel Gibson précisait lors de l'émission Outstanding Screenplays que son co-scénariste Randall Wallace (nommé aux Oscars pour le scénario de Braveheart) et lui avaient écrit deux versions du script : une structurée et une qui ressemble à "un trip sous acide".

"J'ai deux scripts, l'un est très structuré et solide, plus proche de ce à quoi on pourrait s'attendre. L'autre est comme un trip sous acide, car on explore d'autres royaumes. On est littéralement en enfer. C'est comme voir les anges déchus. C'est complètement fou."

A date, on ignore encore quelle version a finalement été choisie... Aucune date de sortie pour La Passion du Christ : Résurrection n'a encore été annoncée.

Sorti dans nos salles en mars 2004, La Passion du Christ se concentrait sur les douze dernières heures de la vie de Jésus-Christ. Trahi par Judas, Jésus est arrêté et emmené à Jérusalem, où les chefs des Pharisiens l'accusent de blasphème et lui font un procès qui a pour issue sa condamnation à mort.

D'un budget de 30 millions de dollars, le film a rapporté près de 612 millions de $ dans le monde et a réuni plus d'1,7 million de spectateurs en France. Mais La Passion du Christ a surtout beaucoup divisé en raison de l'excès de scènes de torture. Le long métrage a été censuré dans plusieurs pays.

Piégé : bande-annonce avec Anthony Hopkins

Un voleur (Bill Skarsgård) s'introduit dans une voiture de luxe et se retrouve piégé à l'intérieur. Il découvre que son énigmatique propriétaire (Anthony Hopkins) en a le contrôle total et qu’il va exercer sur lui une vengeance diabolique.

Voici le point de départ de Piégé, film au pitch diablement efficace de David Yarovesky, réalisateur notamment de Brightburn - L'enfant du mal, disponible sur Netflix, produit par le maître du cinéma horrifique Sam Raimi. La bande-annonce qui vient de sortir promet un film au suspense garanti !

Outre ce pitch et son suspense prometteur, ce film donne envie pour son casting : l'occasion de retrouver Anthony Hopkins dans un rôle de grand méchant ! La bande-annonce laisse à penser qu'il s'agira d'un rôle uniquement vocal, mais malgré tout hyper angoissant ! Quant au talentueux Bill Skarsgård, il était récemment dans Nosferatu, mais aussi du remake de The Crow. Il devrait montrer l'étendue de son jeu dans ce huis clos dans une voiture !

Piégé, sur un scénario de Michael Arlen Ross, sortira le 9 avril 2025 au cinéma en France.

26 mars 2025

Jacques Legros quitte le 13h de TF1

Un départ que personne n’avait vu venir ! Dans un communiqué daté de ce mercredi 26 mars, le groupe TF1 a annoncé que plusieurs changements allaient prochainement avoir lieu, au sein du journal télévisé de 13 heures. Après vingt-sept ans de bons et loyaux services, Jacques Legros a en effet décidé de quitter la présentation du JT. «Celui qui a accompagné les Français avec succès pendant près de 27 ans donne rendez-vous aux téléspectateurs pour sa dernière semaine de présentation du 5 au 9 mai prochain», a-t-on pu lire.

Si ce départ ne sera effectif qu’en mai, la chaîne a déjà trouvé sa remplaçante, en misant sur Isabelle Ithurburu. Actuellement à la tête du magazine 50’ Inside, celle qui est en couple avec Maxim Nucci va donc faire ses premiers pas au journal de 13 heures à compter de l’été 2025. «Visage emblématique de TF1, elle remplacera désormais Marie-Sophie Lacarrau  pendant ses congés», précise le groupe TF1. «Je salue le travail de Jacques Legros, l’une des plus grandes figures de la rédaction de TF1 qui a su tisser un lien si singulier avec les téléspectateurs. Je peux compter sur la rédaction de TF1, l’équipe du 13H, Marie-Sophie Lacarrau et bien sûr Jacques Legros pour accompagner au mieux Isabelle Ithurburu qui détient toutes les qualités pour incarner ce rendez-vous d’information incontournable pour les Français», indique de son côté Thierry Thuillier, Directeur général adjoint de l’information du Groupe TF1.

Dans une interview accordée à Ouest-France, Jacques Legros se livre sur son départ du 13 heures de TF1. «Ça n’a pas été facile de prendre cette décision. Ça faisait un moment que ça trottait dans ma tête. Je voulais avoir cette liberté de choix. Je ne voulais pas faire le journal de trop ou qu’on me suggère que c’était le moment de partir ou que moi-même je prenne moins de plaisir ou que je me sente moins à l’aise ou que je trouve ça plus dur de me lever le matin. Je ne voulais pas de tout ça, mais partir quand tout va plutôt bien», explique celui qui redoute déjà ses adieux à l’antenne. «Je sens que la dernière semaine, du 5 au 9 mai, sera difficile à gérer», prévient-il. Interrogé sur celle qui va le remplacer, Jacques Legros a estimé qu’Isabelle Ithurburu était «un excellent choix.»

Pierre Palmade libéré de prison ? La justice a tranché

La justice a rendu son verdict. Incarcéré depuis le mois de décembre dernier à la prison de Bordeaux-Gradignan, où il purge sa peine de cinq ans de prison, dont deux ans de prison ferme, à la suite de l’accident de voiture qu’il a provoqué sous l’emprise de stupéfiants en 2023, Pierre Palmade a fait une demande d’aménagement de peine. Il a ainsi comparu le 11 mars dernier devant le juge d’application des peines afin de lui demander un aménagement de sa peine sous bracelet électronique. Le tribunal judiciaire de Bordeaux a finalement rendu son verdict ce mercredi 26 mars. La justice a accepté de laisser l’humoriste purger sa peine sous bracelet électronique, a publié BFMTV. Quelques minutes après l’annonce de cette décision, le parquet de Bordeaux, qui avait 24 heures pour se manifester, a fait part de son intention de faire appel. Conclusion : Pierre Palmade reste en prison en attendant que l’appel soit examiné, ce qui sera le cas dans les deux mois, toujours selon BFMTV.

Les avocats de Pierre Palmade avaient plaidé pour cet aménagement, car il serait selon eux plus adapté à leur client qui souffre de problèmes de santé et qui est aussi soumis à une obligation de soins. À l’issue de cette comparution qui a eu lieu il y a près de deux semaines, l’humoriste était retourné dans sa cellule où il est pour le moment à l’isolement. Il sortira ainsi prochainement de la maison d’arrêt de Bordeaux-Gradignan afin de poursuivre sa peine à son domicile si le parquet ne fait pas appel de cette décision dans les prochaines 24 heures.

Depuis l’accident de la route provoqué par Pierre Palmade, Michèle Laroque s’est peu exprimée dans les médias à propos de sa relation actuelle avec son ancien complice sur scène. Elle a finalement brisé le silence ce lundi 24 mars au micro de La bande originale sur France Inter. «C’est un sujet extrêmement délicat... Ce qui me lie à Pierre ne regarde que Pierre et moi. Ce que je peux dire, c’est que c’est une énorme tristesse dans ma vie. Je l’ai vu s’autodétruire, ce qu’il a fait est indéfendable et inexcusable. Mais un ami c’est un ami», a-t-elle tout simplement glissé à l’antenne. Elle laisse ainsi sous-entendre, à son tour, qu’elle n’a pas totalement tourné le dos à l’humoriste

Jean-Claude Van Damme condamné par le tribunal de Bruges après une série d’accidents à Knokke-Heist

La chute ne s’est pas faite en solo. Le 17 mars dernier, Nicolas Van Varenberg, le fils cadet de Jean-Claude Van Damme, était condamné par le tribunal de police de Bruges pour conduite à contresens, excès de vitesse et état d’ébriété entre Knokke-Heist et Zeebruges. Résultat : trois mois de retrait de permis et une amende salée de 2 800 euros.

L’incident a choqué : le jeune homme roulait à vive allure, sous l’influence de l’alcool, mettant en danger sa vie et celle des autres. Mais ce que l’on ne savait pas encore, c’est que cette affaire allait bientôt trouver un écho encore plus embarrassant du côté de son célèbre père. Un scénario familial inquiétant… et étrangement similaire.

Quelques semaines après son fils, Jean-Claude Van Damme a lui aussi été rattrapé par la justice belge. Le 18 avril 2024, à Knokke-Heist, l’acteur a perdu le contrôle de son véhicule. Il percute une voiture en stationnement avant de s’encastrer dans un arbre. Le choc est tel que l’arbre s’effondre… sur un autre véhicule. Un enchaînement de dégâts matériels qui aurait pu avoir des conséquences bien plus graves.

L’incident se serait produit alors que l’acteur semblait, lui aussi, en état d’ébriété. Présent sur les lieux : son fils Nicolas, déjà impliqué dans l’affaire précédente. Jean-Claude Van Damme ne s’est même pas présenté à l’audience, ni n’a désigné d’avocat. Conséquence : condamnation par défaut. Le tribunal de Bruges lui inflige une suspension de permis de deux mois et huit jours, ainsi qu’une amende de 1 920 euros.

Celui qui a bâti sa carrière sur des rôles d’action et de maîtrise physique semble perdre le contrôle… au volant. Cette double affaire familiale ternit l’image de l’icône belge du cinéma d’action, qui faisait jusqu’ici profil bas sur la scène judiciaire. Si Jean-Claude Van Damme est resté silencieux sur cette condamnation, ces incidents posent question.

Kim Kardashian est appelée à la barre lors du procès des « Papys braqueurs »

L’affaire avait fait grand bruit et traumatisé Kim Kardashian. Pendant la Fashion Week de Paris en octobre 2016, la star de la téléréalité s’était retrouvée pieds et poings liés dans la baignoire de sa chambre d’hôtel sous la menace d’une arme, alors que plusieurs hommes dérobaient ses bijoux.

Non seulement ce braquage à main armée avait choqué le monde entier, mais d’autant plus lorsque l’âge des voleurs et leur méthode « à l’ancienne » ont été révélés. Les voyous étaient âgés entre 60 et 72 ans et étaient repartis à pied et à vélo dans les rues de la capitale.

Cette affaire, parfois surnommée des « Papys braqueurs », sera jugée à Paris à partir du 28 avril et, d’après TMZ, la principale victime, Kim Kardashian, est appelée à la barre.

Au total, douze personnes ont été renvoyées aux assises. Onze hommes et une femme seront jugés, jusqu’au 23 mai, pour « vol avec arme commis en bande organisée », « enlèvement et séquestration », ou encore « association de malfaiteurs ». Parmi eux sont accusés des figures du banditisme des années 80 et 90, dont Aomar Aït Khedache dit « Omar le vieux », Didier Dubreucq dit « Yeux bleus », Pierre Bouianere, ou encore Marceau Baum-Gartner dit « Nez râpé ».

Des surnoms qui raviront les fans de Jean-Pierre Melville, mais beaucoup moins Kim Kardashian qui a cru sa dernière heure arrivée. Yunice Abbas, l’un des suspects, a depuis sorti un livre, J’ai séquestré Kim Kardashian (éd. Archipel, coécrit avec le journaliste Thierry Niemen), dans lequel il raconte comment s’est mis en place « le coup du siècle avec son vieil ami La Pince », comme le décrit le résumé de l’éditeur.

« Je tiens à m’excuser auprès de Mme Kardashian. Je regrette ce que l’on a fait et pas parce que je me suis fait arrêter ! Pour les victimes c’est toujours violent, même quand on a l’impression d’avoir été gentil », avait-il déclaré dans Paris Match.

Leur butin a été estimé à plus de 6 millions de dollars. Un seul bijou a été récupéré, un pendentif de 3,5 carats, évalué à plus de 33.000 dollars qui avait été trouvé au bord du caniveau par une passante. L’un des voleurs l’avait fait tomber dans sa fuite à bicyclette.

Le gardien de l’hôtel de luxe de Kim Kardashian avait un temps été suspecté avant d’être lavé de tout soupçon. Cette affaire a eu, pour lui, des conséquences autrement plus compliquées, comme le détaillait Patricia Tourancheau dans son livre, Kim et les papys braqueurs (éd. Seuil). Cet étudiant, pris dans la tourmente médiatique et la suspicion avant d’être laissé seul et sans appui, a dû rentrer en Algérie sans avoir pu décrocher son diplôme et ne peut revenir en France, n’ayant plus de visa.

licencié par Marvel, Jonathan Majors espère rejouer son rôle de grand méchant

Alors qu'il fait la promotion de son nouveau film Magazine Dreams - longtemps repoussé en raison des déboires judiciaires de l'acteur -, Jonathan Majors est de retour dans les médias. Le comédien, condamné pour violences conjugales en décembre 2023, s'était depuis fait discret, jusqu'à aujourd'hui.

Jugé pour des faits d'agressions et de harcèlement, la star américaine a vu sa carrière explorer en plein vol alors qu'il était annoncé comme le grand méchant du prochain Avengers. Dans Ant-Man et la Guêpe : Quantumania et la saison 2 de Loki, Jonathan Majors apparaissait sous les traits de Kang, futur antagoniste suprême du Marvel Cinematic Universe.

La condamnation de l'acteur a poussé Marvel à changer ses plans, remplaçant Kang par Docteur Doom - joué par Robert Downey Jr. - dans Avengers Doomsday. Interviewé lors du podcast Breakfast Club Power, Jonathan Majors s'est une nouvelle fois exprimé sur le sujet :

"De tous les personnages que j'ai joués, Kang apporte une certaine nouveauté et un certain défi pour un acteur et j'adorerais le rejouer. Tant que les fans en parlent, il y a de l'espoir (...) Ça me manque. Je veux le refaire. Ce rôle est incroyable. (...) Si c'est possible, j'adorerais être là. Mais encore une fois, c'est entre les mains de Dieu."

Les dirigeants de Marvel reviendront-ils sur leur décision ? Il y a peu de chance. Néanmoins, plusieurs acteurs ont récemment pris la défense de Jonathan Majors, comme Will Smith, Whoopi Goldberg ou encore Michael B. Jordan. Ce dernier a même fait savoir qu'il serait prêt à retravailler avec lui.

Alors que l'acteur tente un retour, le magazine Rolling Stone a publié, il y a quelques jours, un enregistrement dans lequel le comédien admet avoir été "agressif" avec une femme, son ex-petite ami, ce qu'il a toujours nié par le passé.