19 février 2025

Le réalisateur de la première adaptation de Shōgun a donné son avis sur la nouvelle version diffusée en 2024

C’est incontestablement la meilleure série de 2024. Notée 4,3 sur 5, la nouvelle adaptation de Shôgun a connu un succès international, et s’est notamment vu remettre l’Emmy Award et le Golden Globe de la meilleure série dramatique. Plusieurs saisons supplémentaires ont été commandées, alors que le programme a été conçu comme une mini-série d’une seule saison.

Presque tout le monde a validé cette nouvelle adaptation du roman de James Clavell, notamment pour son ton plus réaliste et les moyens conséquents mis à disposition de cette production historique. Mais la série a malgré tout essuyé quelques critiques, notamment celles du réalisateur de la version originale de Shôgun, Jerry London.

Une première série a en effet vu le jour en 1980. Ce feuilleton porté par Richard Chamberlain et Toshirô Mifune avait déjà rencontré à l’époque un large succès, et avait remporté plusieurs prix. Ses multiples diffusions ont permis à la série de devenir culte, et de se faire ensuite connaître par plusieurs générations de téléspectateurs.

À Hollywood Reporter, le réalisateur de la première adaptation de Shôgun a donc donné son avis sur la nouvelle série. Et bien qu’il semble prêt à reconnaître les qualités de cette version, celui-ci semble également très critique quant au succès rencontré par ce remake.

"J'ai regardé toute la série, et c'est très difficile de s'y accrocher. Elle a remporté tous les prix parce qu'il n'y avait pas de grandes séries en face. Il n'y avait pas beaucoup de concurrence" a notamment confié ce dernier qui ajoute avoir eu beaucoup de mal à regarder la série dans son intégralité.

"Cette nouvelle version repose sur l'histoire du Japon et se concentre davantage sur Toranaga, qui était le shōgun. C'est très technique et très difficile à saisir pour un public américain. J'ai parlé à de nombreuses personnes qui l'ont regardée, et elles m'ont dit : 'J'ai dû arrêter parce que je ne comprenais pas.' Les réalisateurs de cette nouvelle version ne se sont donc pas vraiment souciés du public américain."

Satisfait de son propre travail, Jerry London reconnaît qu’il n’était pas favorable à cette nouvelle version de Shôgun. "Je pense avoir fait un excellent travail, et la série a reçu tant de prix que je ne voulais pas qu'ils la refassent" a-t-il expliqué, ajoutant toutefois qu’il est satisfait que cette adaptation ne soit pas un simple copié-collé de la sienne.

La nouvelle adaptation de Shôgun est à retrouver dès à présent en intégralité sur Disney+.

Dune 3 avec Timothée Chalamet : le tournage va commencer plus tôt que prévu !

Le retour de Dune se précise. Toujours portée par le réalisateur Denis Villeneuve, la production du troisième volet a déjà commencé et le tournage serait d'ores et déjà prévu pour cet été comme l'annonce le média Deadline.

Aucune information ne précise, pour le moment, où se déroulera le tournage, même si les deux premiers volets ont été tournés dans les studios Origo en Hongrie, en Jordanie et à Abu Dhabi.

La grande interrogation concerne Zendaya et son emploi du temps très chargé. Actuellement occupée par la saison 3 d'Euphoria, l'actrice est également attendue sur le tournage de L'Odysée de Christopher Nolan et du quatrième volet de Spider-Man - dont le tournage est également prévu pour cet été.

Deadline précise que l'équipe de Dune pourrait se réunir à la fin de l'été. Le studio Warner Bros. aurait déjà prévu la sortie pour décembre 2026 mais le délai semble assez court pour être entièrement respecté.

Dans le roman, Le Messie de Dune, Paul Atréides (Timothée Chalamet) règne en empereur depuis 12 ans. Presque un dieu, puisqu'il voit l'avenir. Il sait quand et comment frapperont ses ennemis. Ils vont essayer de lui reprendre l'épice qui donne la prescience et peut-être de percer le secret de son pouvoir. Il peut déjouer leurs plans, mais voit plus loin encore. Il sait que tous les futurs possibles mènent au désastre et est hanté par la vision de sa propre mort.

Le cinéaste Denis Villeneuve a fait savoir, à plusieurs reprises, qu'il ne réaliserait plus aucun film de la saga après celui-ci.

Stranger Things : Jamie Campbell Bower a eu besoin d’une thérapie après la saison 4

S’il y a bien un acteur qui s’est donné dans la saison 4 de Stranger Things, c’est Jamie Campbell Bower. L’interprète de Numéro 1 et de Vecna a fait une arrivée remarquée en se révélant être le grand méchant de la série Netflix. Un rôle qui lui a donné du fil à retordre, tant physiquement que psychologiquement.

Lors d’une convention récente qui s’est tenue à Orlando, le comédien de 36 ans a fait une bien triste révélation aux fans présents, d’après People : “Nous parlions de certaines choses avec mon thérapeute, et il m'a dit : "Nous devons vraiment nous assurer que vous vous réservez du temps pour vous lorsque vous travaillerez à nouveau”. Je me suis retourné vers lui et je lui ai dit : “Pour être honnête, je ne pense pas que je jouerai un autre méchant avant un certain temps. Ça m'a foutu en l’air. Je suis très sérieux”.

Si Jamie Campbell Bower n’est pas rentré plus dans les détails, on imagine toute la noirceur qu’il a dû convoquer pour jouer Vecna, le seigneur du monde à l’envers et celui qui tire les ficelles depuis le début. Le comédien a dû travailler sa voix et sa manière de se déplacer. Et on ne parle pas non plus des 8h de maquillage quotidien qui ont été nécessaires pour le transformer en créature terrifiante.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que l’acteur anglais se confie sur ses problèmes mentaux. Après la sortie de la saison 4, il avait profité de son regain de popularité pour révéler qu’il s’était battu pendant des années contre ses addictions et qu’il avait été interné, pour préserver sa santé et celle de ses proches.

Malgré tout cela, Vecna garde un très bon souvenir de Stranger Things : "C'était une incroyable aventure que de rejoindre la série à partir de la saison 4, de faire partie de quelque chose que tant de gens aiment, que j'aime aussi et que j'aimerais toujours. Mais je suis définitivement prêt à raccrocher le costume et à lui faire mes adieux."

Pour Jamie Campbell Bower, les adieux ont déjà eu lieu puisque le tournage de la saison 5 de Stranger Things s’est achevé il y a quelques semaines. Quant aux fans, ils vont devoir faire preuve de patience avant de retrouver Vecna et les héros de Hawkins.

Si Netflix a annoncé la dernière saison pour 2025, les frères Duffer sont en train de travailler sur le montage et le travail est titanesque puisqu’ils ont filmé l’équivalent de huit blockbusters. Et on ne sait toujours pas si cette saison 5 sera diffusée en deux parties...

Ces 5 entreprises de science-fiction sont les plus dangereuses du cinéma

Le cinéma a su nous offrir de nombreux méchants mémorables qui ont marqué des générations entières de spectateurs. Cependant, si on glorifie souvent ces personnages, à juste titre, pour leur impact dans la pop culture, on oublie souvent une autre sorte d'antagoniste : les entreprises malfaisantes !

Ces multinationales pernicieuses, que l'on adore détester, ont tellement frappé les spectateurs, qu'elles font désormais partie du panthéon des plus grands méchants du cinéma. Pour leur rendre hommage, on vous propose un focus sur les 5 entreprises les plus nuisibles du 7ème art !

Weyland-Yutani - Alien

La société Weyland-Yutani, au centre de la saga Alien, est sans doute la société fictive la plus connue du cinéma. Fondée par l'industriel Charles Bishop Weyland, elle fusionnera avec sa concurrente japonaise, Yutani Corporation, devenant Weyland-Yutani Corp.

Engagée dans la colonisation spatiale et la fabrication d'androïdes, l'entreprise n'a pas hésité une seconde à sacrifier des équipages entiers afin de garder en vie des xénomorphes, voyant en ces créatures sanguinaires une poule aux oeufs d'or pour la science et l'exploitation militaire.

Colonies, armement, ressources minières, recherche scientifique... Weyland-Yutani est omniprésente dans l'univers d'Alien. La multinationale, aussi fourbe que cupide, ne prend pas de gants quand il s'agit de sacrifier des vies humaines pour faire le plus de profits possibles. 

Cyberdyne Systems / Skynet - Terminator

Dans la franchise Terminator, Cyberdyne Systems est la société de haute technologie responsable du développement de Skynet, l'Intelligence Artificielle responsable du Jugement dernier. À la base, il ne s'agit que d'une entreprise de la tech spécialisée dans la fabrication de composant pour ordinateurs.

Après les événements du premier Terminator, elle récupère le bras robotique et le processeur du T-800 après sa destruction par Sarah Connor dans une usine du groupe. À partir de là, Cyberdyne développera Skynet, IA qui finira par devenir autonome et déclencher une apocalypse nucléaire.

Cependant, si la société est responsable du Jugement dernier, elle ne l'a pas fait sciemment, ne prévoyant pas que Skynet prendrait le contrôle total pour éliminer la quasi-totalité de l'Humanité.

Umbrella Corporation - Resident Evil

Umbrella Corporation est sans aucun doute le groupe le plus maléfique de tous. Au-delà d'une multinationale, Umbrella est un personnage à part entière, véritablement crucial dans la licence Resident Evil. Sa spécialité ? La recherche pharmaceutique.

À l'instar de Weyland-Yutani, Umbrella ne s'embarrasse pas de l'aspect humain. Entre expérimentations génétiques et recherches illégales sur les armes bio-organiques, l'entreprise est le vice incarné. Elle n'hésite pas à exploiter n'importe quel être vivant, animaux, humains et même des végétaux, dans le but de contrôler le monde et maximiser ses profits.

 Comme on peut le constater dans les jeux vidéo puis dans les films tirés de la licence, Umbrella possède deux visages. Il y a d'abord l'entreprise bienveillante, présente dans la vie quotidienne des gens. Cependant, elle a une seconde facette beaucoup moins glorieuse avec le développement clandestin d'armes biologiques génétiquement modifiées et la traite d'êtres humains pour ses recherches.

La société n'hésite pas à revendre ces armes à des groupes para-militaires et à des pays du Tiers-Monde. Cette aspect, d'une vilénie sans nom, est inconnue du grand public et de la grande majorité de ses employés. Dans tous les opus de la saga, sa toute puissance est combattue par les protagonistes afin de révéler au grand jour cette malfaisance et faire couler cette entreprise criminelle.

InGen - Jurassic Park

Fondée par John Hammond, International Genetics Incorporated, alias InGen, est une multinationale de bio-ingénierie de l'univers Jurassic Park / Jurassic World. Elle est spécialisée dans la recherche génétique dans le but de recréer des animaux disparus afin de les exploiter commercialement. C'est comme ça qu'est né le projet Jurassic Park avec les dinosaures.

Son concurrent, Biosyn Genetics, utilise des méthodes bien plus délétères qu'InGen. Cette entreprise est encore plus avide et inhumaine, prête à tout pour voler les secrets scientifiques d'autres sociétés pour se les approprier et maximiser se profits.

Par exemple, c'est Biosyn qui engage Dennis Nedry dans le premier Jurassic Park afin qu'il dérobe les embryons de dinosaures. Entre espionnage industriel et sabotage, ses méprisables dirigeants n'ont que faire de la légalité et de la dignité humaine.

Omni Comsumer Products (OCP) - RoboCop

Enfin, on termine cette liste avec Omni Computer Products, société ultra dominante du secteur militaro-industriel dans la saga Robocop. Son vice-président, Richard "Dick" Jones, campé par Ronny Cox, est un dirigeant corrompu sans scrupules qui cherche à privatiser la police de Detroit afin de mieux dissimuler ses activités criminelles. 

Dans le premier opus de Robocop, un prototype de robot-policier nommé ED-209 connaît une avarie et se met à tuer des innocents en pleine réunion.

Ce drame a mené au projet Robocop, qui finira par mettre en lumière les sombres projets de Dick Jones et l'entreprise OCP, ces derniers étant liés à la pègre et au parrain du crime, Clarence Boddicker. Quelle est la plus terrible des multinationales de la SF selon vous et est-ce que vous en voyez d'autres qui pourraient venir gonfler cette liste ? On peut citer aussi Tyrell Corporation de Blade Runner, mais il fallait faire des choix. En tout cas, on vous laisse en débattre !

18 février 2025

Lara Fabian sans filtre sur ses débuts compliqués

Lara Fabian a célébré le 9 janvier dernier ses 55 ans. La chanteuse fête aussi cette année ses 30 ans de carrière dans la chanson, un tournant marquant, qui lui permet de faire un bilan de ce qu’elle a vécu. Elle s’est confiée à Gael à propos de son départ au Canada en 1990 et son émancipation de ses parents. « Il fallait que je coupe le cordon complètement, que je sorte du triptyque formé avec mon père et ma mère, oui, et que je parte vivre au Canada pour pouvoir définir les contours de qui j’étais et m’exprimer librement », a-t-elle partagé à nos confrères, et d’ajouter : « Tout en restant très proche de ma famille, mais en sortant de la surprotection parentale. Mon départ a aussi été lié à ma rencontre avec Rick Allison (avec qui elle a écrit ses plus grands tubes, NDLR), qui rêvait d’Amérique, tout comme moi. »

Loin de sa mère et de son père, elle a débarqué dans « une bulle de francophonie qui nous rassurait ». Lara Fabian a expliqué que ce voyage a été « une seconde naissance ». « C’est le berceau de ma carrière : j’y ai fait ma première télé, ma première radio, je m’y suis exprimée sur scène pour la première fois. Ce lieu m’a construite, nourrie », a-t-elle poursuivi. Mais si le Canada lui a beaucoup apporté, l’artiste n’a pas oublié à quel point elle a dû travailler afin de se faire remarquer dans l’industrie. « Pendant sept ans, on a ramé, mangé des petits pois , fait trois jobs par jour pour développer ma carrière. Je connais le goût du travail, de la persévérance, de l’échec, de la prise de risque, du saut dans le vide, de la faim, du manque d’argent… Du coup, le premier succès a été surnaturel. Une part de vous ne le croit jamais. Cela m’habite encore aujourd’hui », a-t-elle conclu sans filtre.

La chanteuse a révélé le 8 décembre dernier sur Europe 1 avoir fait la manche lorsqu’elle était adolescente avec son père. « Je devais avoir 13 ans » quand elle confie avoir fait la manche pour « s’offrir un ensemble chandail et pantalon [qu’elle aimait] beaucoup ». « C’était assez cher, c’était dans une galerie assez chic de la rue Neuve à Bruxelles, à l’époque », a-t-elle ajouté. Pierre Crokaert, son père, ramoneur de profession, n’avait peut-être pas les moyens de lui en faire cadeau et avait alors trouvé une solution.

Elon Musk a-t-il menti sur son enfance ? Son père balance : “Ce sont des conneries”

À l’image de son fils, Errol Musk ne mâche pas ses mots. Ce mardi 18 février, le père d’Elon Musk a accordé une interview exclusive à nos confrères de Libération portant sur son célèbre fils et l’éducation qu’il a donnée à ce dernier. Ingénieur de formation, le septuagénaire assure qu’il a toujours été un père très présent et bienveillant avec ses enfants. "Les gens me demandent si je suis fier de mes enfants ? Je suis fier de les avoir emmenés à l’école tous les jours", s’est-il notamment félicité au cours de cet entretien, précisant toutefois qu’aucun d’entre eux ne peut "dire qu’il a levé la main sur [eux]".

Face à nos confrères, Errol Musk a notamment évoqué l’enfance de son fils Elon — qui a longtemps assuré lors d’interviews qu’il a été victime de harcèlement scolaire lorsqu’il était enfant. Une déclaration que le septuagénaire a formellement démentie. "Ce sont des conneries, il ment, il veut s’attirer de la sympathie. Il ne s’est battu qu’une fois [à l’école], et il était en tort : Elon avait insulté un gamin qui venait de perdre son père", a-t-il ainsi révélé. Et de poursuivre : "Dans les écoles sud-africaines [...] si quelqu’un te frappe, tu dois frapper en retour." Ça donne le ton !

Lors de la cérémonie d’investiture de Donald Trump, en janvier dernier, Elon Musk avait scandalisé le monde entier en adressant un salut jugé "nazi" et "fasciste" à la foule. Un geste qui avait défrayé la chronique et concernant lequel le patron de Tesla s’était justifié, en assurant qu’il n’avait nullement pour intention de faire un tel salut. Questionné par nos confrères de Libération sur le geste réalisé par son fils, Errol Musk a rapidement pris la défense de l’ami de Donald Trump. Aux yeux du septuagénaire, son fils n’a nullement fait un "salut nazi" comme il a pu le lire dans les médias et sur les réseaux sociaux. "C’était juste un bonjour", a-t-il simplement assuré à ce sujet. Des propos qui risquent de faire jaser…

Antoine de Caunes grand-père : son fils Louis a accueilli son premier enfant

Sur son compte Instagram, Louis, le fils aîné de l’animateur, a partagé un cliché révélant sa paternité ce 16 février. En effet, on peut voir le jeune homme prendre la pose avec une poussette, dévoilant ainsi la bonne nouvelle. Ce dernier est en couple depuis plusieurs années avec une styliste, Fallon Castella, qu’il a épousée en 2023 à Biarritz. 

Pour le grand jour, les deux tourtereaux avaient opté pour des tenues très sixties alors que lui portait un pantalon évasé et elle des chaussures à brides. “ “Louis a épousé la femme qu'il aime, il attendait ce moment impatiemment depuis des mois. Il avait préparé le moindre détail. C'était une très belle journée, extrêmement joyeuse dans ce Pays Basque où il a grandi”, confiait Antoine de Caunes à Télé Star quelques jours après la cérémonie. 

Père de trois enfants, Emma (née en 1976), Louis (né en 1987) et Jules (né en 2008), Antoine de Caunes est devenu grand-père pour la première fois en 2002, quand sa fille est devenue maman d’une petite Nina, aujourd’hui âgée de 23 ans. Deux décennies plus tard, l’animateur est de nouveau un papi comblé, avec la naissance de ce petit bébé. 

Si l’on ignore la date de sa venue au monde, on estime que le bébé n’a pas plus de quelques semaines, à en juger la photo partagée par sa maman début janvier sur Instagram. Le tendre cliché montre le nourrisson dans son berceau, vêtu d’un petit tricot et coiffé d’un adorable bonnet orné de cerises. “ Vivienne ”, indique la légende, qui révèle à cette occasion le sexe et le prénom du bébé. 

Antoine de Caunes est marié depuis 2007 avec la journaliste Daphné Roulier, mère de son plus jeune fils. Plus de quinze ans après, l’amour semble toujours au rendez-vous entre les deux personnalités de la télé. “C’est un coup de foudre, un truc qu’on attendait pas, qui nous tombe dessus”, explique l’animateur au micro de RTL. De son épouse, Antoine de Caunes dit qu’elle est “passionnée, passionnante, drôle, surprenante et excentrique”. 

Stéphane Plaza relaxé pour des faits de violences psychologiques

Ce mardi 18 février, le tribunal judiciaire de Paris a rendu son verdict dans l'affaire Stéphane Plaza. Accusé par deux ex-compagnes, Amandine et Paola, pour des faits qui seraient survenus entre 2018 et 2022, l'animateur de M6 et agent immobilier a été fixé sur son sort. Si lors de son procès du 9 janvier dernier, 18 mois de prison avec sursis avaient été requis, le grand ami de Karine Le Marchand a finalement été reconnu coupable de "violences habituelles par concubin" pour les faits concernant la première plaignante. Il a ainsi écopé de 12 mois de prison avec sursis avec l'interdiction d'entrer en contact avec son ex pendant trois ans.

Cette dernière avait ainsi rapporté des violences physiques, notamment des doigts tordus entraînant des luxations. Des faits niés par le présentateur qui avait invoqué sa dyspraxie pour expliquer les blessures d'Amandine, tout en affirmant que cette maladie ne lui permettait pas de contrôler sa force.

Le tribunal judiciaire de Paris a cependant relaxé Stéphane Plaza des faits de violences psychologiques sur son autre ancienne compagne, Paola. La justice a ainsi estimé que cette infraction n'est pas constituée et que l'agent immobilier est donc innocent concernant les faits qui lui sont reprochés par cette plaignante. Cette dernière avait ainsi dénoncé des insultes répétées et des comportements dénigrants. Elle avait également affirmé avoir été mordue à la cuisse et l'épaule.

Au final, Stéphane Plaza a écopé d'une peine moins lourde que celle de la réquisition, même s'il compte faire appel, comme l'ont annoncé ses avocats. Mais Paola peut-elle faire appel de la relaxe prononcée pour l'animateur ? Comme l'a expliqué Alexandra Gonzalez, cheffe adjointe du service police-justice à BFMTV, la plaignante n'a malheureusement aucun recours contre cette décision. Le parquet peut cependant mener une action alors qu'il avait demandé une peine supérieure. Ce dernier a 10 jours pour faire appel.

Ibrahim Maalouf est devenu papa pour la troisième fois

Le plus beau des cadeaux ! Depuis leur rencontre, c’est une histoire digne d’un conte de fées que vivent les deux artistes. Ibrahim Maalouf, musicien virtuose originaire de Beyrouth et Hiba Tawaji, chanteuse et actrice révélée dans The Voice en 2015, forment un duo aussi complice sur scène que dans la vie. En 2020, ils ont scellé leur amour par un mariage intime à Paris, loin des projecteurs. Et un an après leur union, les tourtereaux ont eu la joie de mettre au monde leur premier fils. Un heureux évènement qui a ainsi élargir le cocon familial d’Ibrahim Maalouf, déjà papa d’une adolescente de 14 ans, Lily, issue d’une précédente relation.

Alors que le monde entier célébrait l’amour le 14 février, celui qui a été au centre d'une longue polémique et sa compagne ont partagé la plus mémorable des nouvelles : la naissance de leur deuxième enfant ensemble. Une belle page s’ouvre pour la famille qui semble plus heureuse que jamais.

Ibrahim Maalouf a réservé à ses abonnés une surprise de taille pour la fête des amoureux. Sur Instagram, où il est suivi par plus de 260 000 fans, le musicien de 44 ans a partagé un tendre cliché de son épouse tenant son bébé dans les bras. En légende, un message simple mais touchant : "Mon amour. Et ce n’est que le début. Joyeuse Saint-Valentin." Si le couple n’a pas révélé le sexe et le prénom de leur nouveau-né, la joie est bien présente. Et les félicitations pleuvent dans les commentaires !

De nombreux fans et amis du couple ont tenu à partager leur bonheur, envoyant une pluie de cœurs et de messages attendrissants. "Félicitations Hiba et Ibrahim. Que Dieu vous protège", "La belle petite famille", "Vous respirez le bonheur, et ça fait du bien de voir ce bonheur", "Félicitations aux heureux parents et bienvenue au petit ange", peut-on notamment lire en commentaire du post. Entre concerts, projets musicaux et bonheur familial, une chose est sûre : 2025 commence en fanfare pour les amoureux !

Meghan Markle change le nom de sa marque lifestyle

Meghan Markle a fait un pas en arrière quant au lancement de sa marque lifestyle pour lui trouver un autre nom. À deux semaines de la sortie de sa nouvelle émission sur Netflix, With Love, Meghan, l’épouse du prince Harry a posté sur Instagram une vidéo d’elle dévoilant, depuis un jardin, le nouveau label de sa marque.

Dans la vidéo, où la voix de son mari résonne en fond durant quelques secondes, la duchesse de Sussex reconnaît d’abord avec un sourire que son projet avec Netflix n’est « plus un secret » pour personne. Mais elle réserve tout de même quelques surprises à ses fans ! « Dans deux semaines, ma série sortira, et je suis très excitée. Et aussi mon entreprise, qui a suscité beaucoup de curiosité », a-t-elle reconnu.

Et avant même d’avoir été révélée au public, sa nouvelle entreprise connaît déjà un nouveau départ avec un nom différent que celui annoncé l’an dernier pour son lancement prochain. « L’année dernière, je me suis dit : "American Riviera (Orchard) c’est un très bon nom. C’est mon quartier, c’est un surnom de Santa Barbara", mais cela me limitait à des choses qui étaient fabriquées et cultivées dans cette région », a-t-elle expliqué. « Puis Netflix est arrivé, non seulement en tant que partenaire de l’émission, mais aussi en tant qu’associé de mon entreprise, ce qui est énorme. J’y ai donc réfléchi et j’attendais le moment de partager un nom que j’avais sécurisé en 2022 et c’est le moment, il s’agit de As Ever ».

Or, Meghan Markle n’a pas choisi ce nom au hasard, puisque la duchesse de 43 ans l’utilise régulièrement pour signer ses déclarations publiques, et que sa signification et son inspiration résonnent avec son ancien blog, The Tig, fermé en 2017 après le début de sa relation avec le prince Harry. « As Ever signifie essentiellement "comme cela a toujours été", et si vous me suivez depuis 2014 avec The Tig, vous savez que j’ai toujours aimé cuisiner, bricoler et jardiner - c’est ce que je fais », a-t-elle souligné. « Et je n’ai pas été en mesure de le partager avec vous de la même manière ces dernières années, mais je le peux désormais. Donc, maintenant que les choses commencent à se répandre, je voulais que vous l’entendiez d’abord de ma bouche ».

« Ce nouveau chapitre est une extension de ce qui a toujours été mon langage d’amour et qui relie magnifiquement tout ce que je chéris - la nourriture, le jardinage, les réceptions, la réflexion et la recherche de la joie au quotidien », a-t-elle ajouté. « Je continuerai à partager avec vous des informations sur les coulisses de la marque au fur et à mesure que nous nous rapprocherons du lancement, et j’ai hâte que vous découvriez tout ce que nous avons créé. »

Cette annonce n’est pas la seule surprise de la duchesse, puisque le nouveau site de As Ever affiche une immense photo laissant apercevoir sa fille de trois ans, Lilibet, trottinant en robe et pieds nus au côté de sa mère le long d’un paysage de Californie, où la petite famille a emménagé après avoir renoncé à ses fonctions royales en 2020. Si le visage de la fillette n’est pas distinguable, cette apparition publique reste toutefois rare puisque le couple n’a révélé que très peu d’images de la petite sœur d’Archie, cinq ans, depuis sa naissance en 2021.