15 novembre 2023

Camille Combal se confie sur son trait de personnalité qui amuse ses proches

Il est l’un des animateurs les plus populaires de TF1. À 41 ans, Camille Combal est aux commandes de certaines des émissions les plus populaires de la première chaîne, comme Mask Singer et Danse avec les stars. Depuis le 9 novembre, il présente également un talk-show baptisé Camille & images, diffusé chaque jeudi en deuxième partie de soirée. Autour de l’animateur, on retrouve une bande de chroniqueurs composée de Dominique Farrugia, Chantal Ladesou, Michèle Bernier, Anne Boissard, Philippine Delaire, Noom Diawara, Ilyes Djadel, Elena, Paul El Kharrat, GuiHome, Alexandre Kominek, Monsieur Poulpe, Nash, Héléna Noguerra, Adil Rami ou encore Arnaud Tsamère.

"J'aimerais avoir quelque chose qui soit une cour de récréation. Je viens de la radio où il y a beaucoup de liberté, de spontanéité et je voudrais essayer de trouver un programme où je puisse retrouver ça. Quelque chose où on puisse arriver comme on est, moi, les invités, les intervenants et pouvoir faire une vraie cour de récré", avait confié Camille Combal à Puremédias.

Mercredi 15 novembre, le journal Libération a consacré un portrait à Camille Combal. À cette occasion, le journal a interrogé les proches de l’animateur. Ces derniers décrivent un homme "très stressé", "angoissé", qui vit constamment avec "la peur de mal faire". "Ce contrôle lui permet aussi de sortir du cadre une fois en tournage", a confié Abdoul, le meilleur ami de Camille Combal. De son côté, le principal intéressé confirme être un "maniaque maladif". Une obsession qui est notamment visible dans sa penderie, où il s’obstine à vouloir ranger ses vêtements en fonction des couleurs : "Ça m'énerve : tout le monde trouve ça trop mignon quand c'est Beckham, alors que moi tout le monde se moque", a expliqué le mari de Marie Treille Stefani. 

Comment Martin Scorsese est devenu la nouvelle star de TikTok

Martin Scorsese continue de conquérir les réseaux sociaux à l’aide de sa fille Francesca. Déjà, en 2019, l’héritière Scorsese avait provoqué son père avec un emballage cadeau Marvel pour Noël – ce qui n’a pas manqué de faire réagir sa communauté, demandeuse d’autres vidéos mettant en scène son illustre paternel.

Lors d’une interview pour GQ, Francesca Scorsese s’est confiée sur les taquineries Marvelesques qu’elle entretient avec son père. Cette dernière prévient qu’elle ne cherche ni à provoquer ni à éveiller les rivalités entre deux teams, prêtes à s’écharper pour savoir qui possède le monopole du cinéma le plus légitime.

"Je ne veux pas blesser ou frustrer les gens. Je soutiens évidemment mon père, mais je me suis élevé moi-même. À l’origine, quand j’étais d’accord avec lui, je n’avais jamais vu un seul film Marvel. C’est pendant le COVID que j’ai fini tous les Marvel, mais ça ne m’a pas fait changer d’avis – je dirais que seulement quelques-uns d’entre eux sont bien."

"Les gens me disent de lui offrir un gâteau Marvel, je leur répond qu’il me tuerait !", dit-elle en plaisantant.

Rappelez-vous, en octobre 2019 lors de la promo pour The Irishman le réalisateur avait confié à Empire ne pas considérer les films Marvels comme faisant partie du cinéma.

"Je ne les regarde pas. J’ai essayé, vous savez ? Ce n’est pas du cinéma", affirmait Martin Scorsese à l’époque.

Cette activité sur les réseaux sociaux n'est pas sans risque. Une récente vidéo postée sur le TikTok de sa fille a fait réagir Joe Russo, co-réalisateur d’Avengers 3 et 4, qui n’a pas hésité à parodier Martin Scorsese.

Francesca assure à GQ qu'elle n'a pas regardé la réponse de Joe Russo. La jeune influenceuse continue en tout cas de mettre en avant son père sur son compte TikTok, lui faisant récemment participer au challenge "movie vs movie", un mini-tournoi où il faut choisir entre des films en hochant la tête d'un côté ou de l'autre. L'occasion de découvrir que Scorsese préfère Birdman à Once Upon a Time in Hollywood et Vice-Versa à La Reine des Neiges. 

Le réalisateur devient la muse de sa fille qui, elle, s’amuse à le voir jouer le jeu de ces "trends" dans des vidéos qui deviennent facilement virales (celles avec son père dépassent généralement les 2 millions de vues sur son compte). Dans la même mouvance, le réalisateur a récemment créé un compte Letterboxd proposant des listes de films destinées à guider la filmographie des amateurs du 7e art.

Bande-annonce de Madame Web, avec Dakota Johnson

Le 22 novembre, Tahar Rahim sera aux côtés de Joaquin Phoenix dans le Napoléon de Ridley Scott. Puis sa carrière américaine se poursuivra… chez Marvel.

Dans Madame Web, nouvel opus de l'univers dans lequel se trouvent déjà Venom et Morbius, où l'acteur français porte une tenue de Spider-Man et joue les méchants face à la super-héroïne jouée par Dakota Johnson.

Réalisé par S.J. Clarkson (Jessica Jones), le film sortira dans nos salles le 14 février. Et il mettra en scène plusieurs super-héroïnes qui évoluent dans l'univers de Spider-Man (qui apparaît ici au détour d'un plan ?) dans les comic books. Dont Madame Web (Dakota Johnson), dotée de pouvoirs de divination.

Comme la bande-annonce nous le montre, en les présentant notamment en costume, sont aussi prévues Julia Carpenter (Sydney Sweeney) et Mattie Franklin (Celeste O'Connor), amenées à devenir deux versions de Spider-Woman.

Orange mécanique : le roman qui a inspiré le film culte de Stanley Kubrick décrypté dans un documentaire sur Arte

Composé dans une langue inventée, le "nasdat", un anglais argotique hybridé de mots russes, L'orange mécanique, écrit par Anthony Burgess, a provoqué une double onde de choc. La première, à sa parution, en 1962. Puis en 1971, lors de son adaptation au cinéma par Stanley Kubrick.

Accusé de faire l'apologie de la violence, en écho à des actes criminels qui s’étaient revendiqués de son œuvre, l’écrivain britannique, profondément blessé, expose alors dans un manuscrit autobiographique rédigé en 1972-1973, The Clockwork Condition ("La condition mécanique"), son inquiétude sur le monde en train d'advenir.

Il y présente la vision humaniste qui lui a inspiré cet univers dystopique où la violence nihiliste d'une jeunesse sans espoir se fracasse sur un pouvoir décidé à contrôler les êtres par le conditionnement, en usant de technologies toutes-puissantes.

Jamais publié, ce manuscrit ne fut découvert qu'après son décès, en 1993. C'est sur cette trame passionnante que revient l'excellent documentaire diffusé sur Arte ce 15 novembre à 22h20 : Orange mécanique, les rouages de la violence.

Si Burgess accepta de vendre les droits de son roman à Stanley Kubrick et Warner en 1966, le film ne sortira donc qu'en 1971. Frappé de censure dans plusieurs pays (dont certains n'ont levé l'interdiction qu'en 2000 comme en Italie), le film fut exploité pendant deux ans en Grande-Bretagne avant d'être retiré des salles à la demande express de Kubrick (et ne ressortira là-bas qu'à sa mort).

Si Kubrick a façonné une version toute personnelle du personnage principal, Alex, alors que dans le roman il s'agit d'un adolescent de 15 ans, le cinéaste comme l'écrivain ont su capter avec une acuité effrayante et déjà très avant-gardiste la violence qui gangrène notre société.

"L'un des problèmes sociaux les plus déroutants de nos jours est "comment maintenir l'autorité sans être répressif ?" Il y a ce sentiment grandissant parmi les jeunes, que la politique et les moyens légaux pour faire évoluer la société sont trop lents et sûrement inutiles. D'un autre côté, l'autorité se sent menacée par le terrorisme et ce sentiment croissant d'anarchisme" expliquait alors Kubrick.

Ajoutant : la question est : "comment trouver, si c'est encore possible, un équilibre ?" La réponse n'est pas dans la vision optimiste très utopique visant à détruire l'autorité pour en tirer du bien. Et ce n'est pas non plus en disant que l'autorité doit s'imposer par la force. C'est un dilemme".

Burgess acceptera de s'associer à la promotion du film, mais sera blessé par les attaques incessantes sur son oeuvre -désormais portée à l'écran. "Depuis la sortie du film, on m'associe à sa violence. Si on violait des nonnes, les journalistes m'appelaient pour savoir ce que j'en pensais et si je ne me sentais pas responsable. On m'a étiqueté expert dans la violence, ce que je ne suis pas" commentait l'auteur dans une interview télévisée dont un extrait est diffusé dans le documentaire.

"Nous devenons indifférents lorsque les médias nous abreuvent, jour après jour, de reportages et d'images d'une réalité violente" expliquait Burgess, qui décrit aussi dans son roman, à travers le fameux traitement Ludovico que subit Alex, les techniques coercitives menées par les gouvernements pour "guérir" toutes sortes d'habitudes anti-sociales : l'alcoolisme, la toxicomanie, ou encore l'homosexualité. Ce sont les fameuses et infâmantes thérapies de conversion.

In fine, la question du libre arbitre est centrale chez Burgess et dans son oeuvre. "L'idée que notre capacité puisse être limitée par une force extérieure me terrifie" écrivait-il dans The Clockwork Condition. "Je crains que l'Etat ne soit prêt à s'emparer de nos cerveaux et à faire de nous de bons petits citoyens privés de libre arbitre. Autrement dit, des oranges mécaniques". Plus de 50 ans plus tard, cette interrogation reste, à l'ère de surveillance des masses, plus que jamais d'une brûlante actualité.

"Orange mécanique, les rouages de la violence", diffusé ce mercredi 15 novembre sur Arte à 22h20. Egalement disponible sur arte.tv jusqu'au 12 mai 2024.

Ted est de retour ! Seth MacFarlane dévoile la première photo de la série

750 millions de dollars dans le monde en deux films. Ted et Ted 2 ont été d'immenses cartons et dix ans plus tard, on va retrouver l'ours en peluche crade et vulgaire.

Seth MacFarlane vient de dévoiler une photo de la prochaine série préquelle, attendue l'année prochaine sur la plateforme Peacock, et qui racontera l'enfance de John Bennett (Mark Wahlberg dans les films) avec son ami la peluche qui parle.

"Une image de @Framestore Melbourne, qui s'est surpassé avec son travail VFX exquis sur Ted. Beaucoup de gratitude envers nos amis australiens !"

Seth MacFarlane sera de retour pour doubler Ted, tandis que Alanna Ubach, Giorgia Whigham Max Burkholder (Parenthood) et Scott Grimes complèteront le casting.

Avant que les flammes ne s'éteignent : Camélia Jordana face à la justice et aux violences policières

En 2022, Nos frangins et la série consacrée à Malik Oussékine revenaient sur le meurtre de cet étudiant commis le 5 octobre 1986, en marge d'une manifestation. Aujourd'hui, le sujet des violences policières est au coeur d'Avant que les flammes ne s'éteignent, sorti ce mercredi 15 novembre dans nos salles.

Co-scénariste sur la saison 2 d'Hippocrate, Mehdi Fikri signe ici son premier long métrage. Si le sujet est actuel, cet ancien journaliste ne s'inspire pas d'une histoire vraie en particulier : "J’ai fait le choix de mettre en scène une famille fictive pour aller au fond des choses et parler des aspects sombres de mes personnages, sans crainte de heurter personne", dit-il dans le dossier de presse.

Une famille dont les membres sont notamment incarnés par Camélia Jordana et Sofiane 'Fianso' Zermani, confrontés à la mort de leur frère Karim (Larry), attribuée à une crise d'épilepsie survenue pendant une interpellation policière. Malika, le personnage principal, se lance alors dans une quête judiciaire pour que les responsables soient jugés. Quitte à ce que son combat ait des conséquences sur son entourage.

Passé par le dernier Festival de Toronto, Avant que les flammes ne s'éteignent est également porté par Sofian Khammes, Louise Coldefy, Samir Guesmi ou encore Makita Samba, l'une des révélations des Olympiades de Jacques Audiard.

Edith Piaf aura droit à un nouveau film qui va faire polémique

16 ans après le biopic d'Olivier Dahan, La Môme, pour lequel Marion Cotillard a été récompensée par le César et l'Oscar de la meilleure actrice, un nouveau film centré sur Edith Piaf va voir le jour. Il s'agira d'un biopic animé intitulé Edith, créé à l'aide de l'Intelligence Artificielle.

Warner Music Entertainment s'est associé aux ayants droits d'Edith Piaf afin de lancer ce projet unique en son genre.

Warner Music explique à l'AFP que l'IA permettra de recréer la voix de la célèbre chanteuse. "La technologie de l'IA formée sur des centaines d'extraits vocaux et d’images, dont certains datent de plus de 80 ans, permettra de faire revivre la voix et l'image distinctes de Piaf pour renforcer l'authenticité et l'impact émotionnel de son histoire.

Des enregistrements des plus grandes chansons d’Edith Piaf seront bien entendu utilisés dans leur version originale."

Ce film d'animation de 90 minutes "qui se déroulera à Paris et à New York entre les années 1920 et 1960", proposera donc des chansons originales d'Edith Piaf et sera raconté par la voix de l'interprète de l'Hymne à l'amour. Selon le communiqué de presse, le long métrage dévoilera "des aspects de sa vie jusque-là inconnus".

Actuellement en phase finale de développement, le long métrage est écrit par Julie Veille et Gilles Marliac. Aucun réalisateur n'est encore attaché au projet.

Sorti en février 2007, La Môme revenait sur la vie de l'illustre chanteuse, de son enfance à la gloire. Le film avait fait venir plus de 5 millions de spectateurs dans les salles françaises, avait remporté 5 César et 2 Oscars et lancé la carrière internationale de Marion Cotillard.

Ridley Scott ne voulait pas qu'on lui vole sa saga Alien

Alien le huitième passager, c'est 11 millions de dollars de budget pour plus de 105 millions de dollars de recette en 1979. Hollywood ne pouvait laisser un tel succès s'arrêter là et le studio producteur, la Twentieth Century Fox, lance l'idée d'une suite dès le début des années 80.

Rappelons que l'histoire du Huitième passager est celle de l'équipage du Nostromo qui se retrouve, en plein trajet entre deux planètes, à devoir gérer la présence d'une redoutable créature à bord.

Réalisateur du huis clos spatial, Ridley Scott n'est pas disponible pour un éventuel Alien 2. Il est parti chez Warner Bros tourner Blade Runner avec Harrison Ford. Sauf que la Fox, elle, contacte un réalisateur qui monte et qui s'est fait un nom avec le film Terminator sorti en 1984 : James Cameron.

Interviewé par Deadline, Ridley Scott est revenu sur cette période, qu'il n'a pas très bien vécue :

"Quand j'ai appris que quelqu'un d'autre faisait [Alien 2]", ajoute-t-il, "j'étais en train d'essayer de développer quelque chose. Quand Jim m'a appelé (...), il était très sympa mais il a dit : 'C'est difficile, cette bête est tellement unique que c'est difficile de la rendre à nouveau effrayante maintenant que tout le monde la connait'. Il a donc ajouté : 'Je vais vers plus d'action, à la façon de l'armée'. J'ai donné mon accord. Et c'est la première fois que je me suis dit : 'Bienvenue à Hollywood'."

Au final, le film de James Cameron, intitulé Aliens, le retour, sort en 1986 et rapporte 187 millions de dollars pour un budget supérieur au premier long métrage, devenant largement bénéficiaire. La Fox commandera donc deux autres suites en 1992 (Alien³ de David Fincher) et en 1997 (Alien, la résurrection de Jean-Pierre Jeunet). Deux crossovers verront le jour, intitulés Alien vs Predator (2004) et Alien vs Predator: Requiem (2007)

Ridley Scott reprendra la main sur la saga en tentant de revenir aux sources du mal avec Prometheus, puis Alien: Covenant, qui reste le dernier film en date. En 2024, la saga s'enrichit d'un nouveau long métrage, Alien: Romulus, annoncé comme déconnecté des autres films de la franchise.

14 novembre 2023

James Cameron prépare bien une ressortie d'Abyss en 4K, au cinéma

Depuis le temps que les fans de James Cameron attendaient ça ! Hier soir, le réalisateur de Titanic et d'Avatar a posté une nouvelle affiche d'Abyss, accompagnée de cette vidéo dans laquelle il annonce avec joie la ressortie prochaine de son film de SF. Réédité en 4K. Et au cinéma, précisément le 6 décembre aux Etats-Unis... seulement pour une nuit ! "Mon premier film sur les océans de retour sur grand écran", dit-il avec un sourire. "Et avec de grosses surprises qui n'existaient pas dans la version originale", précise-t-il aussi.

Si l'affiche de cette nouvelle version est pas mal moquée sur les réseaux pour son design kitsch (les têtes flottantes, les acteurs tellement retouchés qu'Ed Harris ressemble à Jason Statham avec des cheveux et qu'on peut confondre Michael Biehn avec Joe Pantoliano), l'annonce en elle-même a de quoi ravir le public.

A sa sortie en 1989, ce film de SF original, qui avait coût cher, notamment par son utilisation d'effets numériques révolutionnaires, a fait un flop au box-office. Il est ressorti en 1993 avec 28 minutes supplémentaires, mais ses recettes ne dépassent pas les 55 millions de dollars aux Etats-Unis malgré ses bonnes critiques. En France, cependant, Abyss a su intriguer 1,9 million de personnes à sa sortie, et chaque rediffusion à la télévision permet aux nouvelles générations de le redécouvrir sans qu'il n'atteigne pour autant le statut de film culte de Terminator ou Titanic.

Maintenant que James Cameron va enfin sortir sa vraie version d'Abyss, rééditée en HD et avec toutes les séquences qu'il avait en tête, ce film "maudit" pourra-t-il enfin connaître le succès qu'il mérite ? En France, cette réédition n'a pas encore été annoncée. Sera-t-elle également proposée au cinéma ? Ou dirtectement en DVD et blu-ray ? Encore un peu de patience...

Voici le synopsis d'Abyss, également porté par Mary Elizabeth Mastrantonio :

Un commando de la Marine américaine débarque à bord de la station de forage sous-marine DeepCore, afin de porter secours à un sous-marin échoué dans les profondeurs. L'équipe de Bud Brigman accueille ces nouveaux arrivants, ainsi que Lindsey, future ex-femme de Bud. Alors que les travaux de récupération commencent autour du submersible naufragé, l'équipage de DeepCore doit faire face à des phénomènes inexpliqués. Et s'ils n'étaient pas seuls, dans les abysses ?

Bande-annonce de Terrifier 3

Terrifier 3 fera son retour le 25 octobre 2024 en Amérique. Damien Leone récidive pour la troisième fois en mettant en scène son terrible clown. Dans une ambiance décalée où flirte le comique et l’ultra-gore, David Howard Thornton incarnera tout en fantaisie le mime le plus effrayant de ces trois dernières années. Ce rictus cauchemardesque compte animer les festivités de fin d’année, notamment durant le réveillon de Noël. Dans le premier trailer, Art rompt en effet la magie de Noël en s’attribuant les traits de Santa Claus. 

Malgré la fin brutale du clown à la fin du deuxième volet, une scène post-générique laissait suggérer que Art le clown ne comptais pas prendre sa retraite de sitôt. Dans l’extrait, Victoria Heyes (Samantha Scaffidi), unique survivante du massacre de Halloween du premier film - et qui en porte les lourdes conséquences sur son visage - a donné naissance à la tête d'Art dans une chambre d’hôpital psychiatrique. Le plan gore à souhait promet d’honorer un phénomène horrifique générationnel qui saura être prolongé au fils des années. 

Lors d’un interview pour Screenrant, Damien Leone a déjà répondu aux rumeurs d’un Terrifier 4.

 "Pour être tout à fait honnête c’est compliqué. Je ne veux pas donner de faux espoirs, je veux que le public expérimente mon film comme si c'était le dernier. On ne sait jamais.", explique Damien Leone.

Terrifier 3 arrivera dans les salles américaines le 25 octobre 2024. Il n'a pas encore de date de sortie française.