08 novembre 2023

Patrick Timsit révèle avoir été kidnappé à l'âge de trois ans

Une révélation terrifiante… Patrick Timsit, actuellement en tournée en France avec son spectacle seul en scène Adieu… peut-être. Merci… c'est sûr, a dévoilé une partie de son passé lors de son passage dans l'émission Culture Médias sur Europe 1, le mercredi 8 novembre. L'humoriste a abordé un sombre chapitre de son enfance, révélant avoir été kidnappé à l'âge de trois ans. Une histoire captivante… mais surtout terrifiante. Thomas Isle, l'animateur de l'émission, a évoqué la Une de France Soir que Patrick Timsit avait fait alors qu'il n'était qu'un jeune bambin : "À l’âge de trois ans, vous faites la Une de France Soir parce que vous avez été kidnappé avec une demande de rançon et menaces de mort", révèle-t-il. Une anecdote qui a circulé, mais dont il n'a que très rarement parlé.

L'humoriste a confirmé la véracité de cet épisode : il a bien failli être kidnappé. "Alors, oui ! (...) C’est probablement lié à la guerre d’Algérie", estime-t-il, puisqu'il est parti de son pays un an avant, sa famille fuyant la guerre au milieu des bombes. "C’était très sérieux, puisque la personne a été arrêtée…”, a-t-il ajouté. Finalement, l'enquête policière aura révélé que les personnes qui avaient menacé de l'enlever étaient des clients de l'entreprise familiale. Cependant, il a reconnu ne “pas du tout” se souvenir des détails de cet événement douloureux, qui aurait pu être très traumatisant. Après cela, sa mère très inquiète ne le quittait plus du regard. Heureusement, cela ne l'a pas empêché d'être très heureux. En plus d'avoir occulté cet épisode de sa mémoire, l'humoriste a aujourd'hui de très beaux souvenirs de son enfance, puisqu'il était proche de ses parents.

Jean-Jacques Goldman : son étonnante double vie au début de sa carrière

Nagui qui lui doit le générique de Taratata, a bien essayé de le sortir de sa retraite pour célébrer le trentième anniversaire de son émission musicale. Mais Jean-Jacques Goldman lui a fait savoir qu'il faudrait en attendre, au bas mot, encore 20 de plus avant de le retrouver sous les spotlights du show de France 2. C'est ainsi, le chanteur qui reste l'une des figures les plus aimées du PAF chérit la vie simple qu'il a patiemment construite depuis 25 ans entre Londres et Marseille, avec sa femme Nathalie et leurs trois filles Maya, Kimi et Rose.

Insaisissable Goldman ? Ce n'est pas faute d'essayer pourtant. Au cœur de l'été 2023, l'essayiste Ivan Jablonka auteur du remarquable Laëtitia ou la Fin des hommes, publie au Seuil Goldman, un livre qui se veut une étude historique et sociologique de son œuvre. Y sont notamment évoqués : l'assassinat de son demi-frère Pierre Goldman ou le meurtre de Sirima. Un livre que sans surprise Jean-Jacques Goldman rejette d'un bloc : "Je n'ai jamais rencontré cet auteur, mes amis non plus, et je suis triste pour tous les gens qui se font duper en achetant ces livres qui parlent de moi", a déclaré le chanteur cité dans un article publié dans Le Canard enchaîné.

Le 3 novembre dernier, c'est L'Équipe qui se pique d'en dire plus sur la vie du chanteur phare des années 80/90. On découvre une archive dans laquelle le chanteur évoque son premier métier, un emploi dans le magasin Sport 2000 que tiennent ses parents à Montrouge, alors même qu'il a déjà sorti trois énormes tubes : "Ma dernière fiche de paie remonte à décembre 1982. J'avais pourtant déjà sorti Il suffira d'un signe, Quand la musique est bonne et Comme toi. Il m'arrivait parfois d'enregistrer l'émission Champs-Élysées, de me démaquiller dans la voiture et de reprendre aussitôt ma place au magasin, mon vrai boulot", peut-on lire. "Des clients me reconnaissaient, mais ce n'était pas gênant. J'étais incollable sur les fixations de ski, le moulage des crampons ou les cordages des raquettes" se souvenait-il encore. Le succès l'aura finalement saisi tout schuss…

Jean Marais : la triste histoire de son héritage

Son visage anguleux, sa voix douce, son histoire d'amour avec Jean Cocteau... Jean Marais demeure aujourd'hui une personnalité marquante du cinéma français, 25 ans jour pour jour après sa mort. L'acteur s'est éteint le 8 novembre 1998, à l'âge de 84 ans. Lorsqu'il meurt, Jean Marais a déshérité depuis deux ans déjà le seul enfant qu'on lui connaît, Serge Villain-Marais, né Serge Ayala, au profit de son amie de longue date Nicole Pasquali.

Mais le fils que Jean Marais avait reconnu en 1963 entame une bataille judiciaire qu'il gagne. Il récupère alors une partie de l'héritage. Avant de se donner la mort en 2012. "Il souffrait énormément de la solitude", avait alors expliqué à France Dimanche son ami Guy Balensi qui avait un temps espéré que Serge Villain-Marais soit "sauvé" après qu'il avait touché "l'argent qui lui revenait".

Le reste de l'héritage, principalement une collection d'art et d'artisanat, avait été conservée par Nicole Pasquali et son mari Joseph Pasquali, dit "Jo". Mais, le couple n'ayant pas d'enfant, Nicole Pasquali avait fait le choix de se séparer de son vivant des céramiques, lithographies, tableaux, bronzes, photographies, vitraux et pièces de mobilier hérités de Jean Marais. Elle avait organisé deux ventes aux enchères et annoncé reverser l'argent récolté à des associations. Nicole Pasquali s'est éteinte le 18 janvier 2018, à l'âge de 91 ans.

L'histoire entre Jean Marais et son fils Serge demeure complexe. Selon Jean Marais, il aurait eu une aventure passagère avec une gitane nommée Maria Ayala, qui lui aurait ensuite écrit pendant la guerre pour lui dire qu'elle était enceinte de lui. Ce que l'acteur n'aurait pas cru, jusqu'à ce qu'il rencontre par hasard Serge Ayala dans un bar l'année de ses 21 ans. Jean Marais a alors reconnu ce fils en 1963. Mais, regrettant le manque d'attention de son fils à son égard, Jean Marais aurait formulé un désaveu de reconnaissance de son fils dans son testament en 1996, deux ans avant sa mort.

D'abord jockey, Serge Villain-Marais a ensuite été chanteur durant une très courte carrière de deux ans (1965-1966), menée avec le soutien de son père. Il s'était même essayé au cinéma en 1967, donnant la réplique à nulle autre que Jean Marais, dans le film de Bernard Borderie Sept Hommes et une garce.

Christophe Willem se confie sur le harcèlement scolaire dont il a été victime

Christophe Willem n’a pas toujours été le chanteur à succès que l’on connaît. C’est grâce à sa participation à Nouvelle star que celui que l’on surnomma la tortue pendant plusieurs années était devenu populaire auprès des Français. Et pourtant, il aurait bien pu ne jamais franchir le stade de la première audition en 2006.

Dave Attia s’est souvenu dans Les Enfants de la télé, ce dimanche 29 octobre, de l’arrivée de Christophe Willem sur le plateau de casting. Il croyait alors à une blague concoctée par la production : "La production nous glissait des casseroles tous les 5/6 candidats, on s'est dit que ça en était une. On ne l'écoutait même pas au début", faisait-il savoir avant de comprendre que ce candidat était très talentueux. Christophe Willem avait de son côté expliqué sa dégaine en révélant qu’il sortait de “partiels”.

Plus de dix-sept ans après sa participation à la Nouvelle Star, Christophe Willem était de passage dans l’émission Okoo-koo diffusée sur France 4. Ce mercredi 8 novembre 2023, le chanteur a alors levé le voile sur le harcèlement scolaire qui a été le sien, comme l'atteste un passage déjà mis en ligne en exclusivité sur la plateforme du programme : "Pour moi, la période la plus difficile, c'était clairement le collège. J'ai toujours été efféminé, mais ça fait partie de ma personnalité, j'ai toujours eu une voix aiguë. Au collège, j'étais la folle de la cour de récré, ce genre d'insultes", a-t-il confié, se souvenant alors de ces nombreuses récréations qu’il appréhendait.

Il ajoute : “Chaque moment de temps libre, tu sais que tu es potentiellement une cible. Pendant les premières années de ma carrière, je ne faisais pas de festival ou d'émission en extérieur parce que je me disais qu'il y aurait peut-être des gens pour m'attaquer”. À l’époque, Christophe Willem ne pipe pas mot à son entourage : “Je pense qu'on est extrêmement fort quand on est petit pour dissimuler des trucs. J'avais deux personnalités et quand j'arrivais chez mes parents, personne ne pouvait s'imaginer que je vivais ça”. Bien des années plus tard, Christophe Willem a consulté un psychologue. Une très bonne décision pour l'aider à aller de l’avant : “Si j'avais vu un psy beaucoup plus tôt, j'aurais peut-être été plus apaisé et j'aurais peut-être désamorcé beaucoup de mécanismes qui m'ont bloqué dans ma vie", a conclu celui qui a recroisé ses haleurs des années plus tard. Quant à eux, ils évoquent de simples taquineries.

Alexia Laroche-Joubert en dit plus sur son salaire

Alexia Laroche-Joubert était l’invitée de Clique ce mardi 7 novembre 2023. La productrice est revenue sur sa vie privée mais aussi sur sa grande carrière. Reconnue dans le monde médiatique et télévisuel, cette business woman n’a pas peur d’évoquer sa fortune et son salaire. “Je gagne très bien ma vie. Je me suis beaucoup battue pour imposer d’être aussi bien payée que n’importe qui”, confie-t-elle. “N'importe qui, c’est les hommes ?”, lui demande alors Mouloud Achour, le présentateur. “Oui en l'occurrence. C’est vrai que je l’ai vécu comme une reconnaissance. Le fait aussi d’avoir connu des difficultés familiales, comme les échecs de mon papa, enfin ce que lui a vécu comme un échec, ça m’a donné comme une forme de rage de vivre.”

Aujourd’hui, elle se dit beaucoup “plus apaisée”. “Mais il y a des moments où la rage, elle n’est pas loin. Elle vient probablement de l’enfance.” Et pour illustrer ses propos, la productrice de nombreux jeux télévisés se confie sur un souvenir d’enfance. “Je me rappellerai toujours de cette image qui est très symbolique. J’étais dans un club privé quand mon papa avant de l’argent. Et c’était très très chic. Et je me sentais très mal à l’aise avec les gens de la haute. Et un jour je vais à un truc de polo (sport équestre ndlr), je vois tous les gens de la haute manger des petits fours. Et je me suis dit ‘j’ai le droit d’être où je veux et il n’y a aucune barrière qui m'empêchera d’être dans un coin ou dans un autre. Et je pense que cette rage elle vient de là. Je ne veux pas qu’on m’impose quoi que ce soit”. 

Lors de cet entretien, Alexia Laroche-Joubert a eu des mots assez étonnants. Quand le présentateur lui a demandé si elle avait des addictions dont elle ne souhaitait pas se défaire, elle a alors répondu : “P*tain, je n'en ai pas ! Je dis, heureusement que je b*ise, parce que sinon, je suis une fille hyper chiante !".

Le film Zelda, en live action, est officiellement annoncé

Mais qui va jouer Link ? Voilà une question qui va animer les fans de Zelda pendant quelques mois. Après le succès du film Super Mario Bros. cette année, qui a glané 1,36 milliard de dollars au box-office mondial, Nintendo confirme son intention de s'attaquer maintenant à une adaptation de Zelda. Mais surprise : alors qu'il était évoqué depuis cet été un film d'animation avec Universal et son studio Illumination, comme pour Mario, Nintendo a visiblement opté pour une autre approche.

Le créateur et développeur des jeux, Shigeru Miyamoto, annonce lui-même avoir lancé le développement d'un film en "live action", comprenez un film en prises de vues réelles avec des acteurs qui incarneront le Link et son bonnet vert, en route pour sauver la fameuse princesse Zelda.

"Je travaille sur le film live-action The Legend of Zelda depuis de nombreuses années maintenant, avec Avi Arad-san, qui a produit de nombreux films à succès" explique Miyamoto. "J'ai demandé à Avi-san de produire ce film avec moi, et nous avons maintenant officiellement commencé le développement du film avec Nintendo, fortement impliqué dans la production. Cela prendra du temps jusqu’à son achèvement, mais j’espère que vous avez hâte de le voir."

Dans un communiqué officiel, Nintendo confirme et annonce que le film, encore sans titre officiel, a déjà un réalisateur. Ce sera Wes Ball, surtout connu pour son travail sur la trilogie du Labyrinthe. Il avait signé les trois films de 2014 à 2018 et il a dirigé récemment le dernier opus de La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume (qui sortira en 2024).

Ce film Zelda sera cofinancé par Nintendo et Sony Pictures, le communiqué de presse indiquant que Nintendo financera plus de 50 % tandis que Sony gèrera la distribution mondiale en salles. "En s'impliquant profondément dans la production cinématographique dans le but de faire sourire le monde grâce au divertissement, Nintendo poursuivra ses efforts pour produire un divertissement unique et le proposer au plus grand nombre."

Rappelons que la franchise vidéoludique a fait un retour triomphal sur les consoles en 2017 avec Breath of the Wild, puis avec Tears of the Kingdom, en 2023, sur la Switch.

Le film Zelda n'a pas encore de date de sortie ni de casting.

Jean Dujardin va mesurer 1 centimètre pour le remake de L'Homme qui rétrécit

16 ans après l'adaptation cinématographique du livre de Frédéric Beigbeder, 99 francs, Jean Dujardin et le réalisateur Jan Kounen vont se retrouver pour L'Homme qui rétrécit. Il s'agit d'une nouvelle adaptation du roman de science-fiction de Richard Matheson qui a déjà donné lieu au classique de Jack Arnold sorti en 1957.

A la suite d'une contamination radioactive, un homme voit avec effarement son corps diminuer de taille jusqu'à ne plus mesurer qu'un centimètre. A tel point qu'il devient la proie d'un chat puis d'une araignée. Il doit se battre pour survivre tout en étant confronté à la diminution de son sentiment d'identité.

Selon Variety, le tournage de L'homme qui rétrécit débutera au mois de mai 2024. Ce sera la seconde fois que Jean Dujardin rétrécit pour les besoins d'un film après la comédie romantique de Laurent Tirard, Un Homme à la hauteur, sortie en 2016.

L'acteur Oscarisé pour son rôle dans The Artist revêtira prochainement le costume de Zorro pour une série de France 2.

Gérard Jugnot revient sur le tournage "catastrophique" des Choristes

8,46 millions d'entrées en France, 3,7 sur 5 selon les internautes AlloCiné, Les Choristes a marqué une génération de spectateurs et sa bande originale est rapidement devenue aussi culte que le film avec notamment le titre Vois sur ton chemin. Alors que le film fêtera en mars prochain les 20 ans de sa sortie, Gérard Jugnot a rappelé que le film n'avait rien de gagné.

Invité de l'émission C à vous, l'ex-membre du Splendid est revenu sur la genèse compliquée du film de Christophe Barratier qui reste aujourd'hui son 2e plus grand succès après Les Bronzés 3 et ses 10 millions d'entrées

"(...) Le film est parti très mal : il y avait la canicule, il y avait des grèves, on a changé des acteurs qui n'arrivaient plus... ça a été une catastrophe. Et puis au fur et à mesure, ça s'est transformé, c'était le premier film de Christophe."

L'acteur-réalisateur a ensuite expliqué qu'il avait senti que le film allait prendre une autre ampleur que ce qu'il avait imaginé au départ :

"Moi je dis [à Barratier] : 'Oui, faisons ça', c'est un petit film, on a eu du mal à le monter, mais quand même au fur et à mesure, il y a eu des choses... Je me suis retrouvé avec le petit Maunier qui chantait et je me suis dit... J'avais un peu les poils, ça peut [marcher]. Et on m'a dit après qu'il y avait 5 millions de gens qui chantaient dans les chorales, et le côté 'chanter ensemble', le chœur, ça fait vibrer les gens en même temps. On aurait bien besoin de ça en ce moment."

Toujours sur le plateau de C à vous, Kad Merad, lors d'une précédente émission, avouait que sur le papier, il ne croyait pas du tout au film, dans lequel il interprète le professeur de sport du pensionnat :

"[Barratier] me parle de faire l'adaptation d'un film de Noël-Noël 'La Cage aux rossignols'. Je lui dis : 'Mais attends, Christophe... tu vas le faire comment ? En rap, un truc un peu moderne ?' Non, non, je veux le faire [d'époque]. Et il me propose ce rôle qui était petit au début et qu'il a fait évoluer."

"C'est Jugnot même, qui m'a reçu la première fois et comme évidemment je ne faisais pas de cinéma, c'est lui qui m'a un peu "drivé", je remercie d'ailleurs Gérard Jugnot. On le fait mais je n'y crois pas, à ce film ! Quand même : les chorales, c'est fini ! Et c'est devenu un phénomène de société."

Rappelons qu'en 2002, Kad Merad, c'est surtout "Kad et Olivier", duo comique né à la radio avec Olivier Baroux ayant ensuite explosé sur Comédie ! avec La Grosse émission. Un an avant Les Choristes, Merad est la star de Mais qui a tué Pamela Rose ?, réalisé par Eric Lartigau mais c'est avec Les Choristes qu'il montre qu'il est capable de jouer sur d'autres registres que la comédie.

Le film avait notamment révélé Jean-Baptiste Maunier, qui interprétait Morange et le soliste de la chorale, récemment vu dans Classico de Nathanaël Guedj et Adrien Piquet-Gauthier et actuellement dans le feuilleton Demain nous appartient pour un rôle très différent.

Gérard Jugnot sera le 15 novembre à l'affiche de "Comme par magie" dans lequel il tourne à nouveau pour Christophe Barratier.

Enola Holmes avec Millie Bobby Brown : il y aura un troisième film sur Netflix

Il y a un an, les abonnés Netflix retrouvaient sur leur écran la volcanique Enola Holmes, campée par la talentueuse Millie Bobby Brown. Cette nouvelle adaptation des romans de Nancy Springer avait rencontré un joli succès et appelait à une suite. Et elle vient d’être officialisée par la plateforme de streaming.

L’actrice de Stranger Things se glissera à nouveau dans la robe de l’héroïne dans Enola Holmes 3, dont les scripts sont actuellement en cours d’écriture. La grève des scénaristes à Hollywood a très probablement retardé le projet, et celle des acteurs qui continue devrait impacter la suite des événements.

Aucune date n'a pour le moment été annoncée pour ce Enola Holmes 3 mais il faudra attendre au moins 2025 pour voir la suite de ses aventures sur Netflix. A la fin du second volet, Enola Holmes ouvrait son nouveau cabinet près du studio de jiu-jitsu d’Edith et commençait sa jolie idylle amoureuse avec Tewksbury (Louis Partridge). On ne sait pas encore quel livre de Springer sera porté à l’écran mais on sait qu’il sera marqué par l’arrivée d’un personnage très important.

Dans la scène post-générique du deuxième opus, Sherlock Holmes (Henry Cavill) fait la rencontre de celui qui va devenir son nouveau colocataire… un certain John Watson. Le docteur et ami de longue date du détective dans l’univers Conan Doyle est interprété cette fois par l’acteur anglais Himesh Patel (Yesterday).

Nous devrions aussi entendre à nouveau parler de Moriarty (Sharon Duncan-Brewster), ennemi iconique dans l’univers de Sherlock Holmes, qui s’est enfuie de prison et qui est désormais en liberté…

Enola Holmes 1 et 2 sont disponibles sur Netflix.

07 novembre 2023

Vanessa Paradis : saoulée par les questions des journalistes, elle fait une mise au point cash en pleine interview

Qui n'aimerait pas avoir une beauté naturelle comme Vanessa Paradis ? Si la chanteuse, âgée de 51 ans, a une peau aussi parfaite, ce n'est sûrement pas pour rien. Il n'est donc pas rare de voir des journalistes lui poser des questions sur sa routine beauté lors des interviews. Cette dernière a d'ailleurs révélé quelques secrets beauté au magazine Vogue l'an dernier : boire de l'eau, avoir un sommeil régulier et mettre des glaçons sur son visage pour atténuer les traits fatigués. "C'est radial pour lisser la peau et avoir bonne mine. Il paraît que Paul Newman plongeait carrément le sien dans une bassine de glaçon. Ça lui a plutôt bien réussi, mais c'est franchement trop froid pour moi", avait-elle expliqué.

Dans le nouveau numéro d'Harper's Bazar en kiosque ce mois de novembre 2023, Vanessa Paradis a de nouveau répondu à une question concernant son rapport avec son physique et son image. "Je ne peux pas dire que mon au temps qui passe, à mon image, m'angoisse. Et, quoi qu'il en soit, je travaille à m'en foutre. Et ce n'est pas gagné parce que je reste très 'fifille'", a-t-elle avoué juste avant de poursuivre en anticipant la prochaine question du journaliste.

Tout au long de sa carrière, Vanessa Paradis a enchaîné les interviews avec les magazines. Mais il y a une question à laquelle la femme de Samuel Benchetrit ne veut plus répondre. "J'espère que votre prochaine questionne ne concerne pas mon rapport avec la chirurgie esthétique ?" questionne-t-elle, un brin agacée. "Parce que c'est toujours la même chose avec les actrices ou les chanteuses. C'est toujours le même refrain. Vous n'avez pas remarqué ? C'est soit : 'Oh putain, qu'est-ce qu'elle a pris cher !' ou alors : 'Oh putain, qu'est-ce qu'elle a fait ?'. On ne peut plus imaginer une seconde que les choses puissent se faire de manière naturelle, avec les bonnes crèmes et les bons massages", ajoute-t-elle.