Aya Nakamura se sent libre. La chanteuse s’est récemment confiée à Vogue à l’occasion de la sortie de son cinquième album studio, Destinée, où elle s’est laissé aller à des textes « plus explicites, plus trash ». « Je dis plus de choses, et je les dis comme je veux », a-t-elle souligné, ajoutant : « Je ne me censure plus ». Une déclaration qui n’a pas échappé à la curiosité de Yann Barthès lors du passage de l’artiste dans Quotidien vendredi.
« Vous avez été censurée ? », lui a-t-il demandé. « Je ne me censure pas dans ce que je dis, mais : "Je ne me censure plus", je l’ai plus dit par rapport au perso… Moi, en tant que mère, je me censurais sur certaines choses », a-t-elle expliqué. Aya Nakamura a deux filles, Aïcha, née en 2016 lors de son premier mariage, et Ava, née en 2022 de sa relation avec le producteur de musique Vladimir Boudnikoff, dont elle est séparée.
La chanteuse de Djadja a aussi dû se défaire d’injonctions sur sa situation familiale. « Avant, j’avais eu des a priori en étant mère de deux enfants de papas différents. Chez nous, ça ne se fait pas, c’est très grave ! », a expliqué la star d’origine malienne. « Je culpabilisais un petit peu. Aujourd’hui, je n’ai pas le même œil sur ça, je suis plus libérée. » Aya Nakamura reconnaît aussi que la trentaine lui sied à merveille, elle qui se considère « plus mature » et a pris « du recul en tant que femme ».
Aya Nakamura a déjà évoqué le sentiment de « culpabilité » qu’elle a ressenti en tentant de mener de front maternité et carrière après la naissance de sa première fille. « Je me suis un peu fait mal à moi-même pour pouvoir avancer », avait-elle confié à C à vous, reconnaissant toutefois que ses efforts avaient porté leurs fruits : « C’est possible, aujourd’hui je le fais, ça fait presque dix ans ».

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