Depuis un an, Virginie Efira s'est tenue à l'écart des tournages. Malgré tout, celle qui est récemment devenue maman pour la deuxième fois a accepté d'accorder une interview auprès de Society, publiée ce jeudi 29 février. Dans les colonnes du magazine, l'actrice s'est alors confiée, sans détour, sur son rapport à l'alcool. Ayant “commencé à travailler assez jeune, vers 16-17 ans, comme serveuse en boîte”, elle connaissait toutes les boîtes de nuit de Bruxelles. Arrivée à Paris au début des années 2000, elle ne connaissait “pas grand monde”. Intimidée, la compagne de Niels Schneider a donc vu le monde de la nuit comme un refuge. “C'était vraiment un sauvetage”, déclare-t-elle. Selon Virginie Efira, l'alcool “décoince” et “enlève une conscience trop forte de soi”. À l'époque, habituée à fréquenter un bar, appelée Le Baron, à Paris, elle explique : “Je suis Belge, et bon bah c'est livré avec le package, si on peut dire : face à l'alcool, j'étais robuste. Très peu de gueules de bois. Pas assez peut-être, pour me punir”.
Si sa consommation d'alcool ne l'a pas pénalisée dans son travail, cela a toutefois eu un impact dans ses “rapports amoureux”. “Je buvais quand je sortais parce que j'étais dans un truc basique de quelqu'un qui voulait être aimée, mais qui ne se pensait pas superaimable”, confie-t-elle. L'actrice s'est également rappelée une anecdote lorsqu'elle était âgée de 15 ans. “À l'époque, je picolais pas mal, j'étais en Corse et j'étais sûre que j'arriverais à composer des chansons en étant bourrée”, se souvient-elle. Mais, le lendemain matin, elle fut bien surprise du résultat. “J'ai vraiment cru que j'avais composé Lady Lay. C'est pareil aujourd'hui avec les scénarios, explique-t-elle. Si je veux écrire un truc de comédie, je vais voir les trucs évidents comme Groundhog Day et après avoir écrit mon petit synopsis, je vais avoir le même degré de croyance que quand j'étais jeune et ivre”.
Au cours de son long entretien auprès de Society, Virginie Efira est également revenue sur les scènes de nu qu'elle a joué au cinéma. Dérangée par l'absence du traitement du corps dans ses projets cinématographiques, l'actrice estime maintenant s'être “bien rattrapée", précisant : “Mais aucun délire exhibo, hein !” Si elle semble à l'aise avec son corps et la nudité à l'écran, elle a toutefois confié être parfois rattrapée par “sa petitesse”, en essayant de “confronter [son] corps à des diktats”.
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