Buckingham Palace prend très au sérieux les accusations à l’encontre de Meghan Markle. Alors que la duchesse de Sussex a nié fermement les allégations, la famille royale a déclaré, par le biais d’un porte-parole, qu’elle ne « tolérait et ne tolérerait jamais le harcèlement ». Et qu’une enquête interne avait été diligentée.
« Nous sommes clairement très préoccupés par les allégations du Times suite aux déclarations faites par d’anciens employés du Duc et de la Duchesse du Sussex. En conséquence, notre équipe des RH (ressources humaines) va examiner les circonstances décrites dans l’article. Les membres du personnel impliqués à l’époque, y compris ceux qui ont démissionné, seront invités à participer pour voir si des leçons peuvent être tirées », peut-on lire dans un communiqué relayé par la BBC.
Un article du Times révélait ce mercredi que dès octobre 2018, soit cinq mois à peine après son mariage avec le prince Harry, Meghan Markle aurait eu un comportement tellement explosif avec certains de ses employés qu’elle en aurait poussé deux à la démission et ruiné la confiance d’un troisième. Buckingham Palace est responsable du recrutement de tous les « employés royaux », qui travaillent directement pour les membres de la famille de la reine, et toujours selon la BBC, cela fait plusieurs mois que les employés attendent pour faire ces déclarations explosives.
Le timing n’est évidemment pas anodin : le prince Harry et Meghan Markle interviendront face à Oprah Winfrey ce dimanche, lors d’une interview dans laquelle ils vont se livrer sur leur départ de la famille royale et leur nouvelle vie aux Etats-Unis, loin de leurs obligations. La reine, quant à elle, a prévu d’intervenir au même moment à la télévision britannique pour célébrer la journée du Commonwealth, signe que le « Megxit » est loin d’être digéré.
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