24 mars 2025

Courtney Love devient citoyenne britannique pour ne plus avoir à remettre les pieds aux Etats-Unis

Courtney Love semble définitivement avoir tourné la page américaine de sa vie. Installée à Londres depuis cinq ans déjà, l’ex-leader du groupe Hole vient d’annoncer qu’elle avait bon espoir d’obtenir la citoyenneté britannique dans les six prochains mois.

« Je suis vraiment heureuse d’être ici. C’est tellement bien de vivre ici », a déclaré la veuve de Kurt Cobain lors d’un événement couvert par le Daily Mail. « Je vais enfin être citoyenne. J’ai déposé ma demande ! Vous n’allez pas vous débarrasser de moi ! »

Si Courtney Love ne cite pas directement Donald Trump, l’artiste de 60 ans ne cache pas son inquiétude face à la situation politique aux États-Unis qu’elle qualifie d'« effrayante ». Il faut dire que la chanteuse n’a jamais caché son aversion pour l’actuel président américain dont elle compare le style à de l'« emperor-core ».

Courtney Love associe ce terme notamment à sa façon de porter « des montres à un million de dollars » et d’aller tous les week-ends jouer au golf à Mar-a-Lago, sa résidence de Floride.

Scarlett Johansson explique pourquoi elle refuse les selfies avec les fans en dehors de ses apparitions promo

Scarlett Johansson a une règle qu’elle s’efforce d’appliquer avec constance : pas de selfies avec les fans en dehors des événements promotionnels. Une politique qui ne manque pas d’attirer des ennuis à l’actrice de 40 ans dans sa vie de tous les jours.

« Ça offense vraiment beaucoup de gens », a-t-elle confié à InStyle. « Ça ne veut pas dire que je ne suis pas reconnaissante que les gens soient fans ou contents de me voir. Mais je leur explique toujours que je ne suis pas en train de travailler. Je ne veux pas être identifiée comme étant à ce moment précis avec vous. Je fais mes trucs. »

Si Scarlett Johansson refuse les selfies, c’est aussi pour préserver sa tranquillité d’esprit. « J’aime être dans mes pensées qui n’ont rien à voir avec ce que les gens pensent de moi. Je n’aime pas être dérangée », ajoute-t-elle.

La comédienne, qui fera ses débuts derrière la caméra en 2025 avec le drame Eleanor the Great, dit d’ailleurs se reconnaître dans la démarche de Chappell Roan qui a adopté la même politique vis-à-vis de ses fans l’année dernière. Et tant pis si ça déplaît !

Cate Blanchett entretient une animosité sans borne pour les souffleurs de feuilles

Cate Blanchett a beau être une actrice multirécompensée capable d’incarner les personnages les plus complexes, il y a une chose qu’elle ne peut tout simplement pas supporter : les souffleurs de feuilles. Un outil devenu indispensable aux employés chargés d’entretenir voiries et espaces verts, mais qui, aux yeux de la star de 55 ans, est une aberration et le signe d’une humanité en décadence.

« C’est l’invention la plus stupide qui soit, a-t-elle pesté lors d’une interview accordée à People. Ils sont le symbole de tout ce qui ne va pas avec nous en tant qu’espèce. » Une aversion qui ne date pas d’hier puisque Cate Blanchett s’était déjà insurgée contre ces engins dans l’émission Hot Ones en 2022.

« Est-ce que ta tension n’augmente pas quand tu vois quelqu’un avec un souffleur de feuilles ? », a ensuite demandé Cate Blanchett à Michael Fassbender qui faisait avec elle la promotion The Insider, leur nouveau film. Une question à laquelle l’acteur a répondu en soulignant que c’était surtout le bruit qui le dérangeait, avant de suggérer qu’il serait peut-être temps de revenir au bon vieux râteau.

Une idée qui a immédiatement obtenu l’approbation de Cate Blanchett qui ne doit pas avoir souvent passé le râteau dans sa vie pour le préférer au souffleur !

Paris Hilton se lance dans le true crime en revenant sur le meurtre d’une femme en 2021

Déjà femme d’affaires et DJ accomplie, Paris Hilton se lance maintenant dans le true crime. La star vient de produire My Friend Daisy, un podcast en dix épisodes qui revient sur le meurtre de Daisy De La O, une jeune femme de 19 ans abattue devant son appartement de Compton, ville de l’agglomération de Los Angeles, en 2021.

Une affaire qui a marqué les esprits puisque le meurtrier avait pu être arrêté en grande partie grâce à la mobilisation d’internautes sur les réseaux.

« Je cherche toujours des moyens de mettre en lumière des histoires importantes », a confié Paris Hilton dans un communiqué relayé par Deadline. « Quand j’ai lu l’histoire de Daisy, j’ai eu le cœur brisé, mais j’ai aussi été profondément touchée par la façon dont sa communauté s’est mobilisée pour réclamer justice. »

Produit par la société de Paris Hilton, 11 : 11 Media, en collaboration avec iHeartPodcasts, My Friend Daisy est écrit et présenté par la journaliste Jenn Swann. Disponible le 26 mars, le podcast promet d’explorer en détail cette enquête hors norme où la mobilisation des proches de la victime et de la communauté des enquêteurs amateurs du Web a permis d’obtenir justice.

Ceux qui ont aimé Don’t F**k With Cats devraient apprécier.

Ed Sheeran crée la surprise en jouant dans un pub de Boston pour la Saint Patrick

Décidément, Ed Sheeran a le goût des concerts surprises. Lundi dernier, le chanteur s’est invité au Dubliner, un pub de Boston, ville considérée comme la plus irlandaise des États-Unis, pour célébrer la Saint Patrick, la grande fête irlandaise annuelle, comme il se doit.

Vêtu d’un maillot des Celtics, il a notamment interprété Galway Girl, son titre en hommage à l’Irlande, ainsi que plusieurs de ses tubes comme Don’t, Bad Habits ou encore Shivers, le tout accompagné par le groupe de folk irlandais Beoga.

Cette apparition surprise s’inscrit dans une série de concerts improvisés donnés ces derniers temps par le chanteur de Shape of You. La semaine dernière, il s’était déjà produit dans les rues de La Nouvelle-Orléans en compagnie d’un orchestre local avant de faire sensation à Nashville avec une reprise de Baby One More Time de Britney Spears.

Une tradition qu’il a tenté de perpétuer dans une rue de Bangalore, en Inde, en février dernier avant que la police, mécontente et ignorant que le chanteur s’était préparé, selon lui, ne lui coupe le micro. Tous ces happenings n’étaient pas que pour le plaisir : Ed Sheeran a confirmé que son prochain album était « terminé » et qu’un single arriverait prochainement !

Alain Chamfort est « enfin guéri » de son cancer des os après cinq ans de rémission

Face à la maladie, Alain Chamfort voit « enfin » le bout du tunnel. Le chanteur de Manureva a révélé ce mois-ci qu’il avait récemment tourné la page de son cancer des os à l’issue d’un parcours de guérison truffé d’inquiétudes. « Après cinq ans en rémission, je suis enfin guéri », a-t-il affirmé à La Tribune Dimanche. « Je vous avoue que j’ai vraiment eu peur ».

Si Alain Chamfort a remporté la bataille contre son cancer, ce dernier a laissé des traces sur son corps, comme il l’avait témoigné plus tôt auprès de Le Télégramme. « Je me sens différent d’avant et un peu plus fragile », a-t-il confié. « J’ai, en effet, des problèmes dans le dos, les vertèbres ont été un peu touchées et je ressens des douleurs dans les doigts ». Mais l’artiste ne se laisse pas abattre pour autant : « Je fais donc maintenant un peu de sport, je continue à avoir des projets et à ne pas me laisser dominer par ces petites douleurs. Je fais, certes, moins alerte qu’avant mais ça le fait ».

Le chanteur a mis du temps à partager son diagnostic avec le public par « pudeur » et par crainte d’attirer vers lui toute forme de compassion ou de comparaison avec d’autres malades moins chanceux que lui. « Je ne voulais pas que l’on me plaigne », a-t-il expliqué à La Tribune Dimanche. « J’étais malade au même moment que Johnny Hallyday et, franchement, savoir qu’il se battait contre un cancer comme moi ne me rassurait pas du tout sur mes chances de guérison ».

Un choix qu’il a déjà évoqué l’an dernier à l’occasion de la sortie de son seizième album studio, L’impermanence, déclarant notamment à Télé Loisirs que « le fait » d’évoquer sa maladie auprès du public « puisse aider d’autres » personnes. « Si cela aide des gens, tant mieux. En ce qui me concernait, ça n’avait pas d’impact sur moi », expliquait-il à l’époque. « Ça ne fait pas avancer la science d’en parler. C’est un point de vue, je ne dis pas que j’ai raison ».

Grimes révèle son récent diagnostic d’autisme et de trouble du déficit de l’attention

En 2021, Elon Musk révélait au monde entier être atteint du syndrome d’Asperger, lors de son passage dans l’émission Saturday Night Live. Son ex-compagne, Grimes, vient d’annoncer quant à elle, avoir récemment reçu un diagnostic d’autisme et de TDAH, trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité.

« J’ai reçu un diagnostic de TDAH/autisme cette année et j’ai compris que je suis probablement dyslexique, ce qui explique pourquoi je suis incapable d’épeler sans correcteur orthographique », a-t-elle constaté dans un long message posté sur X, le réseau détenu par le père de ses trois enfants.

La star répondait à un post faisant un lien entre une lecture supposée excessive durant l’enfance et certains troubles, alors que Donald Trump fait interdire l’accès de certains livres aux Etats-Unis. Grimes dénonçait ce qui s’apparente à une véritable « sous-culture de la santé mentale mal informée dans les réseaux sociaux ».

La chanteuse et productrice de 37 ans, au contraire, témoigne que ses symptômes de TDAH étaient « infiniment pires lorsque je n’étais pas une grande lectrice » et regrette que l’on ne jette le doute sur « l’une des meilleures choses qu’un enfant peut faire pour lutter contre le TDAH ». Pour la chanteuse d’Oblivion, découvrir ce diagnostic sur le tard est une chance.

« J’ai l’impression que si on l’avait su quand j’étais enfant, j’aurais travaillé beaucoup moins dur, j’aurais pris des médicaments », estime-t-elle. « Beaucoup de mes obsessions et motivations bizarres auraient été considérées comme pathologiques et j’aurais pu oublier certaines choses qui ont été très difficiles pour moi, mais je suis heureuse de les avoir surmontées. »

Le véritable danger, selon elle, c’est « la dépendance aux écrans et au burn-out dopaminergique ». L’autre danger, bien sûr, c’est l’exposition de ses enfants dans la sphère publique, contre laquelle l’artiste n’a de cesse de se battre, multipliant les appels au bras droit de Donald Trump et père de Techno Mechanicus, deux ans, Exa Dark Sideræl, trois ans et de X Æ A-Xii, quatre ans.

Darren Aronofsky en lice pour réaliser le remake de Cujo sur Netflix

Il fallait un cinéaste qui ait du mordant… Et c’est Darren Aronofsky qui a été choisi. Le réalisateur américain serait en discussions pour diriger Cujo, remake du célèbre roman d’horreur de Stephen King mettant en scène un Saint-Bernard assoiffé de sang.

Selon des sources proches du projet (via Variety), Cujo est encore à un stade préliminaire de développement, et Aronofsky n’a pas encore eu de réunion créative avec Netflix. Si l’accord aboutit, ce film marquerait sa première collaboration avec une plateforme de streaming.

Le réalisateur de Requiem for a Dream et The Whale finalise actuellement Caught Stealing, un thriller policier produit par Sony, avec Austin Butler et Zoë Kravitz à l’affiche. Le film est attendu en salles dès le mois d’août.

Le nouveau Cujo sera produit par Roy Lee. Pour l'instant, le script n'est pas écrit et Netflix cherche un scénariste ainsi qu'un réalisateur. La sortie n'est donc pas prévue pour tout de suite.

Cujo est un film d'horreur emblématique des années 1980 et 1990, avec un chien tueur sanguinaire, un Saint-Bernard autrefois amical, qui devient un tueur après avoir été mordu par une chauve-souris enragée. "Le mari de Donna Trenton est à New York, essayant de gérer une campagne publicitaire catastrophique. Se sentant abandonnée par son mari accro au travail, souvent absent, Donna Trenton entame une liaison avec un bricoleur local. Alors qu'elle doit faire face seule à la situation, elle emmène sa voiture au garage pour des réparations, mais se retrouve piégée avec son fils Tad dans la voiture en pleine chaleur, face au chien monstrueux."

John Carpenter signera la musique du prochain film d'horreur de Bong Joon-ho

Alors que son Mickey 17 est actuellement à l'affiche, Bong Joon-ho prépare déjà ses prochains projets cinématographiques. Suite au carton plein de Parasite, il a récemment confirmé avoir tourné un film d'animation sur des créatures marines. Pour l'instant intitulé The Valley, ce projet sera donc sa prochaine mise en scène pour le cinéma, puis il compte réaliser un film d'action et d'horreur se déroulant dans une station de métro souterraine de Séoul. Il le décrivait déjà comme "le projet de sa vie", et ce film pour l'instant sans titre vient d'ajouter un talent de taille à son équipe : John Carpenter. Qui devrait se charger de composer sa bande originale.

L'info a été donnée en direct d'une séance de questions réponses menée par Bong autour d'une d'une projection de The Thing restauré en 4K. Après avoir revu le film culte avec Kurt Russell, le réalisateur de The Host a demandé à son acolyte s'il serait intéressé par la composition de la musique de son film d'horreur.

Avant même qu'il ait pu poser officiellement la question, Carpenter a répondu avec empressement : "Je veux m'occuper de votre musique." Les deux hommes se sont serré la main et Bong a assuré au public que c'était "officiellement" et "sérieusement" en train de se faire.

Les détails du film d'horreur de Bong restent à confirmer, mais l'emballement de Carpenter réjouit ses fans. S'il n'a plus mis en scène de long métrage depuis The Ward : l'hôpital de la terreur, en 2011, il reste très impliqué dans sa carrière musicale. Compositeur de plusieurs BO de ses propres films, ou des œuvres dérivées de ceux-ci, telles que les Halloween de David Gordon Green sortis depuis 2018, il signe aussi quelques musiques pour d'autres réalisateurs à l'occasion. Cette année, il a par exemple travaillé aux côtés d'Alex Scharfman pour son premier film Death of a Unicorn, avec Paul Rudd et Jenna Ortega.

On achève bien les chevaux : Sorti il y a 56 ans, c'est le plus grand film de Jane Fonda

Disparu en 2008 à l'âge de 73 ans, Sydney Pollack a laissé une empreinte indélébile dans l'Histoire du cinéma américain, livrant à la postérité des oeuvres marquantes : Les trois jours du Condor, Tootsie, le western Jeremiah Johnson, la fresque romanesque couverte d'Oscars Out of Africa, Nos plus belles années, La Firme... On peut pourtant affirmer sans trembler que son plus grand film n'est pas son oeuvre la plus connue; en tout cas par le grand public : On achève bien les chevaux.

L'histoire ? Elle se déroule en 1932. Les Etats-Unis sont plongés dans les abîmes de la Grande Dépression. Poussés par le chômage et la misère, hommes et femmes décident de participer aux marathons de danse dont les vainqueurs reçoivent des primes intéressantes.

Le jeune Robert pénètre à son tour dans un de ces immenses halls transformés en dancings et Rocky, le maître des cérémonies, accueille les concurrents. Parmi eux « Sailor », un ancien matelot; Alice, une blonde extravagante et désespérée. Et Gloria, qui va devenir la partenaire de Robert…

Pour les Romains, il fallait au peuple du pain et du cirque, selon l'expression Panem et circenses. Pour les laisser pour compte de l'Amérique de la Grande Dépression, il n'est désormais plus question que de faire le cirque dans des marathons de danse sans fin, pour un peu de pain. Des marathons qui ont réellement existé.

La crise, qui jette dans la rue et la misère plus de 2 millions d'américains et 13 millions de chômeurs, touche tout le monde, et installe les citoyens dans un état de désillusion tel que c'est tout le système de valeurs à la fois morales et économiques qui est très durement remis en cause.

C'est ainsi qu'il faut voir de la part d'Horace McCoy, auteur du livre dont est tiré On achève bien les chevaux, le gigantesque bal comme la mise en abime cruelle d'une société où l'argent (facile) devient le seul prisme de référence d'une communauté qui n'en a plus que le nom.

C'est d'ailleurs cette métaphore implacable qui a motivé le choix du réalisateur, qui, avec le recul de trente ans écoulés depuis les événements lorsqu'il réalise le film, a pu mettre le doigt sur l'une des dérives dangereuse d'un modèle de société qui donne à ce point à l'être humain la condition d'esclave.

MCoy commença à écrire son livre en 1931, et fut publié en 1935. S'il reçu des critiques plutôt positives, il n'a vendu que 3000 exemplaires aux Etats-Unis, principalement parce que de nombreux lecteurs n'avaient tout simplement pas les moyens de se l'offrir, préférant ainsi emprunter l'ouvrage à la bibliothèque.

Traduit en de nombreuses langues, il est notamment devenu un best-seller en France, et, dans les années 50, son livre est devenu culte. Albert Camus en parlait même comme du "premier roman existentiel à sortir des Etats-Unis". On dit d'ailleurs que le personnage principal du livre de McCoy, Robert, a servi d'inspiration à Camus pour son roman L'étranger.

Le roman de McCoy fut réédité aux Etats-Unis en 1946, 1955 (l'année de son décès) et 1966. Bien que les ventes furent faméliques là-bas à ses débuts, Hollywood avait rapidement perçu son potentiel dramatique pour être adapté à l'écran.

Les droits d'adaptations changèrent souvent de mains : Charles Chaplin et Norman Lloyd achetèrent les droits par exemple en 1949, pour 3000$, et tentèrent sans succès d'écrire un script. Il faudra attendre 1968 et le script de James Poe, pour que le projet d'adaptation sorte enfin de l'ornière.

Puissamment mis en scène par Pollack, le film est porté à bout de bras par une immense et bouleversante Jane Fonda, qui trouve ici un des plus grands rôles de sa carrière, aux côté de Michael Sarrazin, Susannah York, Red Buttons, et un extraordinaire Gig Young en ignoble maître de cérémonie, qui sera d'ailleurs récompensé à juste titre par l'Oscar du Meilleur acteur dans un second rôle, sur les neuf nominations reçues par le film.

Implacable et dévastateur portrait d'une Amérique qui se violente toute seule, s’enfoncant dans le précipice sans personne d'autre qu’elle-même pour l’y pousser, On achève bien les chevaux est sans aucun doute l'oeuvre la plus poignante et puissante de toute la filmographie du regretté Sydney Pollack. Et reste toujours, 56 ans après sa sortie, aussi perturbante et d'une actualité saisissante.

Cette merveille est sortie chez nous en DVD en 2007, dans une édition indigne et nue comme un ver. Et depuis ? Rien, aucun Blu-ray à l'horizon. Si un éditeur pouvait se pencher sur la question, on lui en serait mille fois reconnaissant.