Adriana Karembeu et Marc Lavoine partagent cette passion très coûteuse

Marc Lavoine est aujourd’hui un homme heureux. Le chanteur, qui est en pleine tournée, vit désormais avec Adriana Karembeu. Depuis quelques mois, les deux tourtereaux s’affichent en public, pour le plus grand bonheur de l’artiste. Interrogée sur Europe 1, par Laurent Mariotte, Marc Lavoine a fait quelques confidences au sujet de sa vie de couple.

Notamment leurs petits plaisirs en cuisine. Mais apparemment, ni l’ancienne mannequin ni le chanteur ne cuisine. En réalité, “on va au restaurant. On dîne dehors”, précise le chanteur. Une petite habitude qui doit leur coûter sacrément cher. Mais pour Marc Lavoine, cette passion pour la bonne cuisine est aussi une facilité. En effet, il l’avoue de lui-même, il ne cuisine pas bien. "Moi tu sais, je ne fais pas de choses chez moi. Je n'ai pas de quoi cuisiner", dit-il. 

Il est donc préférable de manger dehors : "Je peux faire des pâtes... J'ai des plaques mais je ne sais pas cuisiner et je n'ai pas le temps. Et puis je préfère sortir. J'aime bien il y a un côté festif."

Et apparemment, Adriana Karembeu n’a pas vraiment envie de cuisiner à la maison :  "Si j'ai envie de salir la poêle, ce qui n'arrive pas souvent quand je suis seule, je prépare un steak", avait-elle confié à nos confrères de Purepeople. Ainsi, les deux tourtereaux préfèrent manger dehors. Un passe-temps qu’ils aiment pratiquer à deux. Un nouveau point commun pour ce couple qui avait décidé de dévoiler au grand jour cette histoire d’amour. 

Rappelez-vous, en septembre dernier, Marc Lavoine et Adriana Karembeu se sont amusés à s’embrasser et à pousser la chansonnette devant le théâtre des Champs-Elysées, au son du piano d’Omar Harfouch.

"J'ai demandé à ce qu'ils ne soient pas en public pendant 10 jours avant le concert. Ils allaient s'embrasser de toute façon. Que ce soit dans le métro ou dans la rue. Amicalement, je leur ai demandé de ne pas se montrer, j'ai demandé à ce qu'ils ne résident pas dans le même hôtel et qu'ils se rencontrent sur le tapis rouge”, avait dévoilé le pianiste sur le plateau de Chez Jordan. 

Chris Pratt reconnaît qu’il joue toujours le même personnage dans les blockbusters

Dans une interview accordée à Entertainement Weekly pour la sortie sur Netflix de The Electric State (une grosse batterie à plat, comme vous pourrez le lire dans notre critique), Chris Pratt a été interrogé sur les similarités entre son personnage dans le film des frères Russo et Les Gardiens de la galaxie, où il incarne Star-Lord/Peter Quill. « Keats et Peter sont deux produits de la même époque, et il y a donc une similitude dans cette nostalgie d'une époque révolue (….) Bien que dans The Electric State, il s'agisse d'une version alternative des années 90. Mais bien sûr, Quill a toutes ces références à la culture pop des années 80, des choses qui l'ont aidé à se construire et à devenir qui il était avant de quitter la Terre à 13 ans. (...) Et tous deux trouvent quelque chose de plus grand qu'eux-mêmes pour lequel ils veulent se battre et sont prêts à se sacrifier (…) « [Keats] est un peu ce que Peter Quill aurait pu être s'il n'avait pas été enlevé et envoyé dans l'espace, mais qu'il avait plutôt vécu une guerre avec les robots. »»

Et Chris Pratt d’aller plus loin en assurant qu’à partir du moment où il joue dans « un grand film d'aventure, de science-fiction, braillard et familial », alors il ne faut pas s’attendre à une autre prestation de sa part : « Quand c'est un grand film commercial comme celui-ci, je vais forcément faire une interprétation façon Pile et Face des personnages que j'aime jouer. » Il fait ici référence au film de Peter Howitt (qui s’appelle Sliding Doors en VO) avec Gwyneth Paltrow et John Hannah, où l’on suit deux versions possibles de la vie d’une jeune femme.

Évidemment, c’est plus simple que de se demander s’il pourrait envisager ses rôles différemment. The Electric State est toujours visible sur Netflix.

Scarlett Johansson n’en peut plus qu’on lui demande de rejouer Black Widow

Dans une récente interview accordée à InStyle, Scarlett Johansson est revenue sur son rôle emblématique dans l’univers Marvel. La star y incarnait Natasha Romanoff, alias Black Widow, qui s’est sacrifiée dans Avengers : Endgame pour sauver le monde. Et depuis, les fans ne la lâchent visiblement pas et lui demandent constamment quand son personnage reviendra dans le MCU : « Natasha est morte. Elle est morte. Elle est morte. D'accord ? », tranche l’actrice, qui sera prochainement à l’affiche de Jurassic World : Renaissance de Gareth Edwards. « Ils ne veulent tout simplement pas y croire. Ils se disent : ‘’Mais elle pourrait revenir !’’ Écoutez, l'équilibre de l'univers tout entier est entre ses mains. Il va falloir lâcher prise. Elle a sauvé le monde. Laissons-lui son moment de gloire. »

Scarlett Johansson précise par ailleurs qu’elle a du mal avec ce niveau de célébrité (Black Widow ayant contribué à la rendre encore plus reconnaissable auprès du très grand public, même si elle était déjà une superstar) : « Quand on est une personnalité publique, c’est amusant d’être reconnue et célébrée. Mais le problème, c’est qu’on ne peut jamais revenir en arrière (…) Et on y perd énormément. Il faut que ce soit un choix, et c’est pour cela que je préserve mes enfants », dont peu de photos ont filtré, « le plus longtemps possible. »

Dernièrement, elle expliquait refuser d’ouvrir un compte Instagram, malgré les demandes répétées d’Universal. 

Millie Bobby Brown répond à ceux qui critiquent sa voix et son accent

Après avoir défendu son apparence, voilà que Millie Bobby Brown doit justifier son accent. L’actrice de 20 ans, qui s’est fait remarquer ces derniers temps pour ses variations entre l’accent britannique et américain, a profité d’un passage dans le podcast SmartLess pour régler leur compte à ses détracteurs.

« C’était un sujet brûlant pendant un moment. J’appelle ça l’accent-gate tellement c’était frustrant », a expliqué la star de Stranger Things. « C’était partout. Tout le monde parlait de mon accent et y voyait un vrai problème. Et je me disais, "Les gars, je suis mariée à un Américain". »

Depuis son mariage avec Jake Bongiovi en mai dernier, Millie Bobby Brown passe beaucoup de temps avec sa belle-famille américaine, ce qui ne manque pas d’influencer son accent.

« Quand je suis avec sa famille, je passe automatiquement à l’accent américain. Mais dès que je retourne en Angleterre, dès que j’entends l’accent de mes parents, je reprends automatiquement l’accent britannique », a-t-elle précisé.

L’actrice le rappelle, c’est un peu son métier de savoir s’adapter : « Vous me demandez d’incarner des personnages mais vous attendez de moi que je ne me transforme pas en fonction des gens ? Ce que j’entends, je le fais. C’est tout ce qui compte. »

Une procureur virée après avoir refusé de rendre son droit de port d’arme à Mel Gibson

Elizabeth G. Oyer n’a pas cédé aux pressions, et elle l’a payé de son poste. Alors que la procureur examinait des demandes de restitution de permis de port d’armes, on lui a demandé d’inclure celle de Mel Gibson à la liste de neuf candidats qu’elle avait validés.

« C’était dangereux. Ce n’est pas une question politique mais de sécurité », a-t-elle déclaré au New York Times, soulignant que l’acteur n’avait pas passé les vérifications d’usage.

D’ailleurs, le fait qu’il ait plaidé coupable pour violences conjugales en 2011, entre autres faits peu glorieux de la part de l’acteur, rendait la situation encore plus épineuse. « Rendre des armes à des auteurs de violences conjugales est une affaire sérieuse que je ne peux pas prendre à la légère », a-t-elle expliqué.

Mais les supérieurs d’Elizabeth G. Oyer n’ont pas entendu ses arguments. Selon elle, le procureur général adjoint Todd Blanche lui aurait même suggéré qu’il serait « sage » d’accepter la demande en raison des « relations personnelles » entre Mel Gibson et Donald Trump. En effet, l’ex-président n’avait pas manqué de nommer l’acteur parmi les « ambassadeurs spéciaux » censés aider Hollywood à ramener les tournages aux États-Unis. Résultat, Elizabeth G. Oyer a été limogée quelques heures après avoir une nouvelle fois refusé de céder.

Jessie Cave lance un OnlyFans dédié à ses cheveux

Jessie Cave n’a visiblement pas peur de casser son image de jeune fille ingénue. Celle qui interprétait Lavande Brown dans la saga Harry Potter vient d’annoncer sur Instagram le lancement d’un compte OnlyFans. Pour autant, ses fans ne doivent pas s’attendre à des contenus du type de ceux qui font la réputation de la plateforme.

Enfin, à peu de chose près. En effet, ce compte sera dédié à… ses cheveux !

« Des trucs de cheveux, comme ça », a-t-elle expliqué dans une vidéo où on la voit peigner ses longs cheveux d’un blond vénitien des plus soyeux, promettant au passage « les meilleurs bruits de cheveux » et « des choses très sensuelles ».

Si son compagnon Alfie Brown, qui l’interroge dans la vidéo, se demande s’il s’agit d’un « truc sexuel », Jessie Cave souligne qu’elle y voit plutôt de fétichisme.

« Je lance un OnlyFans, mais ce n’est pas sexuel », a encore précisé l’actrice de 37 ans dans son podcast Before We Break Up Again. « C’est un fétichisme. Et un fétichisme n’est pas forcément sexuel. » C’est un point de vue !

Ian McKellen encourage les acteurs cachant leur homosexualité à faire leur coming-out

Ian McKellen en a assez de voir tant d’acteurs se cacher. Dans une interview accordée au Times, le comédien, qui a fait son coming-out à la radio en 1988, à l’âge de 48 ans, s’est dit attristé par le nombre de stars qui dissimulent encore leur homosexualité.

« Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui regrettait d’avoir fait son coming-out », a déclaré l’acteur. « Je me sens désolé pour toute personne célèbre qui pense ne pas pouvoir le faire. Être dans le placard est idiot, il n’y a aucune raison pour ça. »

« Je connais de nombreux jeunes acteurs - certains bien connus, d’autres débutants - qui sont terrifiés à l’idée que leur sexualité soit révélée et que cela les empêche d’obtenir des rôles hétéros », a poursuivi Ian McKellen. « C’est complètement tordu… Je peux penser à au moins quatre acteurs qui cachent complètement leur sexualité. C’est douloureux parce qu’ils ont peur d’être découverts. »

Pour autant, l’interprète de Gandalf dans Le Seigneur des anneaux reconnaît, et non sans tristesse, qu’aucun comédien ouvertement gay n’a encore remporté l’Oscar du meilleur acteur, symbole d’un stigmate persistant à Hollywood.

Le message de Céline Dion aux malades du syndrome de l’homme raide

Céline Dion a profité de la Journée internationale de sensibilisation au syndrome de l’homme raide, samedi, pour adresser un message de soutien à toutes les personnes souffrant de cette maladie. Dans une vidéo relayée sur Instagram, la chanteuse s’entretient avec le Dr Amanda Piquet, neurologue à l’université du Colorado et l’une des rares spécialistes mondiales de la maladie.

« J’ai envie de dire aux gens : quel que soit votre état, vous ne devez pas souffrir seul face à l’inconnu. Regardez-vous dans le miroir et dites-vous : aujourd’hui est le commencement du reste de ma vie », conseille l’artiste canadienne. « Gardez espoir, car il vous guidera

En 2024, Céline Dion a fait un don de 2 millions de dollars au campus médical Anschutz de l’Université du Colorado pour la recherche, dans le but de trouver un remède contre la maladie. Au début de la vidéo, la neurologue Amanda Piquet l’a remerciée pour cet « incroyable cadeau ». Ce à quoi la chanteuse a répondu : « Ce n’est pas un cadeau, si je peux me permettre, c’est une responsabilité. »

Céline Dion avait annoncé à ses fans souffrir du syndrome de la personne raide en décembre 2022. Elle avait alors été contrainte d’arrêter sa tournée mondiale. Cette maladie est caractérisée par une raideur musculaire progressive et des épisodes répétés de spasmes musculaires douloureux. Le 25 juin 2024, Amazon Prime a sorti I Am : Céline Dion, un documentaire sur le combat de la chanteuse contre cette maladie neurologique. Un mois plus tard, Céline Dion avait ému le monde entier en chantant L’hymne à l’amour, d’Édith Piaf, depuis le premier étage de la tour Eiffel pour clôturer la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Elle n’avait pas chanté en public depuis quatre ans.

Bruce Dombolo, ex-footballeur et ancien braqueur devenu acteur, est mort à l’âge de 39 ans

C’était un profil pour le moins atypique : après avoir connu de multiples vies professionnelles, le comédien Bruce Dumbolo s’est éteint dans son sommeil, dimanche 16 mars 2025, à l’âge de 39 ans, a annoncé son agent au Parisien.

D’origine congolaise mais né à Marseille, ce colosse d’1,83 mètre avait d’abord été footballeur pro à l’AJ Auxerre (2003), puis dans les clubs italiens d’Ancône (2004) et Pro Vasto (2005) avant de connaître un passage à vide et de jouer sa dernière saison en DH, à Marignane, en 2008.

Puis il avait basculé dans le banditisme : « J’ai pas réfléchi, je suis parti voir des amis qui faisaient un peu de bêtises et je leur ai demandé de bien vouloir m’intégrer parmi eux », avait-il reconnu sur le plateau de Clique TV, en 2023.

Il avait alors fait deux passages par la case prison. D’abord deux ans pour braquage, alors qu’il n’avait qu’une vingtaine d’années ; puis 8 ans pour vol à main armée. C’est là qu’il s’était pris de passion pour le jeu Puissance 4, dont il s’était récemment mis à poster ses parties échevelées sur le réseau social TikTok.

Devenu acteur à la suite d’un passage dans Grand oral, le concours d’éloquence télévisé animé par Laurent Ruquier (France 2), Bruce Dombolo avait fait des apparitions dans les séries Scènes de ménage (M6), Frotter frotter (France 2), Visions (TF1), avec Louane et Jean-Hugues Anglade et Le Remplaçant (TF1), aux côtés de l’ex-NTM JoeyStarr.

Il avait également tenu quelques seconds rôles au cinéma dans le film Sage-homme, en 2023, avec Karin Viard et Melvin Boomer, et dans Neuilly Poissy avec Max Boublil et Claudia Tagbo.

Emilie Dequenne est morte à 43 ans

Il y a moins d’un an, Emilie Dequenne faisait sensation, cheveux courts, sur le tapis rouge du Festival de Cannes. Il s’agissait de la première apparition publique de l’actrice belge depuis l’annonce de son cancer, en octobre 2023. Une forme rare, touchant le système endocrinien. Quelques semaines plus tôt, en avril 2024, elle avait révélé être en "rémission complète" sur son compte Instagram, où elle partageait son difficile combat. 

Finalement, la maladie a été plus forte. Dimanche soir, sa famille et son agent ont informé l’AFP de son décès, à l’hôpital Gustave-Roussy de Villejuif, près de Paris. Elle avait seulement 43 ans. Elle laisse derrière sa fille unique Milla, 22 ans, et son mari Michel Ferracci, l’acteur français qu’elle avait épousé en 2014 et qui se battait à ses côtés. 

Le retour d’Emilie Dequenne à Cannes était d’autant plus marquant qu’elle y est "née". En 1999, le monde du cinéma la découvre à 17 ans dans Rosetta, des frères Dardenne, qui lui vaut le Prix d’Interprétation féminine. Un Festival où elle sera à nouveau récompensée en 2012 pour A perdre la raison, dans la section Un Certain Regard. 

Emilie Dequenne, c’est une grande carrière riche de plus de 50 rôles. Une actrice discrète, touchante, juste et versatile, remarquée après Rosetta dans la super production française Le Pacte des loups, mais surtout à l’aise dans les drames et les films d’auteur. 

On se souvient d’elle dans Une femme de ménage (avec Jean-Pierre Bacri), La Fille du RER (avec Catherine Deneuve et Michel Blanc), A perdre la raison (avec Niels Arestrup et Tahar Rahim), ou encore Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait d’Emmanuel Mouret (l’unique César de sa carrière, en 2021, dans la catégorie second rôle féminin) et Close de Lukas Dhont. 

Emilie Dequenne avait encore beaucoup à donner pour le cinéma, mais le cancer en a décidé autrement. Ironie du sort, à Cannes l’an dernier, elle présentait un film catastrophe intitulé… Survivre. "En plus, je combats des crabes. Et j’ai tourné ça en octobre-novembre 2022 !", expiquait l’actrice. 

L’an dernier, elle était aussi à l’affiche d’un petit film belge, TKT, où elle incarnait la mère d’un enfant victime de harcèlement scolaire. Ce qui restera son dernier rôle. 

La disparition d’Emilie Dequenne est un choc pour le cinéma francophone. Sur les réseaux sociaux, les messages et les hommages se multiplient. "Et puis merde... Dieu, tu es bien difficile pardonner en ce moment. Force aux siens, sa famille. Son talent et sa gentillesse manqueront tant !", écrit Alex Lutz. Tandis que que Leila Bekhti salue une "grande dame, grande âme, grande actrice, une reine". "J’aimais ton coeur si rare, tu vas me manquer."