09 janvier 2025

Donald et Melania Trump snobés aux obsèques de Jimmy Carter : cette vidéo qui crée des remous

Ce jeudi 9 janvier, Donald et Melania Trump ont assisté aux obsèques de Jimmy Carter à Washington. Après avoir salué son ancien vice-président Mike Pence, le futur locataire de la Maison Blanche a littéralement été ignoré par l’épouse de ce dernier.

Un ultime adieu. Le 29 décembre 2024, Jimmy Carter a rendu son dernier souffle à l’âge de 100 ans. À l’issue de cette triste nouvelle, un deuil national de six joursa été organisé en l’hommage du 39ème président des États-Unis. Après un temps de recueillement devant le Capitole de Géorgie, puis à Washington, les funérailles de l’époux de la regrettée Rosalynn Carter se sont déroulées ce jeudi 9 janvier. Dès lors, de nombreuses personnalités politiques n’ont pas hésité à faire le déplacement afin de rendre hommage à l’ancien locataire de la Maison blanche. Aux côtés d’environ 3.000 personnes, cinq présidents américains ont pris place dans l’édifice religieux. Après Barack Obama, George W. Bush, Joe Biden et Bill Clinton, Donald Trump est arrivé main dans la main avec son épouse Melania. Avant de s’installer au premier rang, celui qui sera bien investi à la tête du pays a pris le temps de saluer ses pairs. Si Mike Spence a accepté la poignée de main du magnat de l’immobilier, il en est tout autre pour son épouse Karen. Au moment où le père de Barron Trump s’est approché d’elle, la femme de l’ancien Vice-président l’a totalement ignoré, en témoigne une vidéo dévoilée par The Dailymail sur son compte X. Contrairement à son mari, cette dernière est restée assise et a à peine lancé un regard à Donald Trump. 

Il faut dire que leurs relations sont quelque peu tendues entre les deux clans.. En mars 2024, Mike Pence a catégoriquement refusé d’apporter son soutien à l’ex-mari d’Ivana Trump pendant sa campagne présidentielle. “Je ne peux pas, en bonne conscience, soutenir Donald Trump dans cette campagne”, justifiait le républicain à Fox News, accusant M. Trump de proposer “un programme qui est en contradiction avec le projet conservateur que [les républicains] mis en place durant quatre ans”, comme l’a rapporté Le Monde . Outre cette mésentente idéologique, l’assaut du Capitole en janvier 2021 a ébranlé l’entente entre les deux hommes. “Ce jour-là, M. Pence dirigeait, en tant que vice-président, la séance au Congrès, lors de laquelle les élus devaient certifier la victoire de Joe Biden à la présidentielle de 2020. M. Pence n’avait qu’un rôle protocolaire, mais M. Trump avait insisté pour qu’il refuse de valider l’élection du démocrate (...) Entrés par la force dans le Capitole, certains avaient appelé à ‘pendre’ M. Pence, qui avait dû se cacher à la hâte”, ont rappelé nos confrères. Par la suite, la candidature du gouverneur de l’Indiana aux primaires républicaines n’a fait que raviver les tensions. Le clap de fin des années de loyauté indéfectible.

Clara Luciani n’a “pas aimé être enceinte”

Au cours d’un entretien paru dans les pages du magazine Elle, ce jeudi 9 janvier, Clara Luciani s’est longuement épanchée sur sa vie privée. Questionnée sur sa précédente grossesse, l’artiste a révélé n’avoir pas aimé être enceinte.

Une expérience qui a laissé un mauvais souvenir… Au mois de septembre 2023, Clara Luciani a donné naissance à son premier enfant. Un petit garçon né de son idylle avec son époux, Alex Kapranos, et qui commence déjà à prononcer ses tout premiers mots. Mais voilà, si la chanteuse de 32 ans est une mère de famille très attentive aux besoins de son petit chérubin, elle n’a vraisemblablement pas gardé de bons et jolis souvenirs de sa grossesse. C’est du moins ce que la marraine de la dernière saison de la Star Academy a assuré ce jeudi 9 janvier, lors d’une interview accordée au magazine Elle.

En effet, lorsque nos confrères lui ont demandé si elle a apprécié être enceinte, Clara Luciani a rapidement répondu par la négative. "Franchement, non", a-t-elle fait savoir, catégorique. Pour cause, si elle pensait que la grossesse était une expérience positive, cela n’a visiblement pas été son cas. "Je n’ai pas eu une grossesse très compliquée, mais il y a des choses pas très sexy ni très arrangeantes, comme les brûlures d’estomac, les bas de contention…", a-t-elle ainsi listé. Avant de poursuivre, en toute transparence : "J’ai vraiment tout eu ! Et je n’ai pas envie de mentir."

Si Clara Luciani n’a pas apprécié être enceinte, elle a pourtant été séduite par ses nouvelles responsabilités de mère. "Parfois, je me réveille le matin et je me dis que ce n’est pas réel. Pourtant, ça fait treize mois quand même, je devrais être habituée. Il y a quelque chose de magique, j’ai encore du mal à y croire", s’est-elle étonnée dans les colonnes du magazine Elle.

Émerveillée par son rôle de mère, Clara Luciani n’hésite d’ailleurs pas à le faire savoir à son fils. "Je n’arrête pas de dire à mon fils que c’est incroyable qu’il existe ! Le matin, même s’il me réveille très tôt, dès que je l’entends, je cours jusqu’à sa chambre, trop heureuse. C’est assez inexplicable, c’est une sorte d’amour que je n’ai jamais connu", s’est-elle extasiée ensuite.

Jessica Alba et son mari Cash Warren divorcent après 17 ans d’union

Une histoire qui s’achève ? Le mercredi 8 janvier dernier, TMZ a révélé que Jessica Alba et Cash Warren se seraient séparés. D’après le média, le couple se dirigerait même vers le divorce après 17 ans de mariage. Une conclusion brutale pour cette idylle qui a commencé en mai 2008.

Rappelons que Jessica Alba, 43 ans, et Cash Warren, 45 ans, se sont rencontrés sur le tournage du film Les 4 Fantastiques, en 2004. Dans cette œuvre tirée de l’univers Marvel, l’actrice y joue le rôle de Sue Storm, la femme invisible. Quant à Cash Warren, il était l’assistant réalisateur du film. Le couple s’est ensuite fiancé en décembre 2007 avant de se marier lors d’une cérémonie discrète en Californie l’année suivante.

Ces informations concernant la séparation du couple sont une véritable surprise. Après tout, le couple a passé Thanksgiving ensemble avec leurs enfants, Honor, 16 ans, Haven, 13 ans, et Hayes, 7 ans. "Joyeux Thanksgiving de ma part, à vous et aux vôtres", avait d’ailleurs écrit l’actrice de Honey sur Instagram en légende d'une photo de famille.

En outre, la famille a également passé Noël ensemble. Evénement que Jessica Alba avait également immortalisé sur son compte Instagram. "Joyeuses fêtes de notre famille à la vôtre", avait-elle mis en légende d’une autre photo de famille postée sur son compte. En outre, Jessica Alba et Cash Warren ont fêté l’anniversaire de leur plus jeune enfant lors du réveillon du Nouvel An aux Universal Studios.

Malheureusement, les sources de TMZ n’ont pas encore révélé la raison de la rupture. De son côté, Page Six a tenté de contacter les représentants des deux stars afin d’avoir des commentaires. En attendant, le média a révélé des signes révélateurs d’une éventuelle rupture entre les tourtereaux.

En effet, sur les photos partagées par Jessica Alba pour l’anniversaire de Hayes, la main gauche de l’actrice était cachée. De son côté, on voit clairement l’annulaire gauche nu du producteur de cinéma sur deux des trois clichés. Selon de récentes observations des paparazzis, Jessica Alba aurait également été aperçue sans son alliance.

Ben Affleck évacué : sa maison de Los Angeles en flamme, il trouve refuge chez son ex Jennifer

Los Angeles est en proie aux flammes. Mardi 7 janvier, des incendies dévastateurs se sont déclenchés dans plusieurs quartiers de la ville, dont Pacific Palisades. Les vents violents et la sécheresse ont contribué à l’aggravation de la situation et le feu a rapidement progressé sur les collines. 

Au total, plus de 30.000 personnes ont été contraintes d’évacuer leurs maisons. Parmi elles, de nombreuses célébrités. Le domicile de Leighton Meester et Adam Brody, la maison de vacances de Paris Hilton ou encore la résidence de Laeticia Hallyday ont été ravagés. D’autres personnalités comme Mark Hamill, Tom Hanks ou bien Ben Affleck ont également dû fuir.

Au lendemain du début des incendies, Ben Affleck a été forcé d’évacuer sa maison de Pacific Palisades. Selon TMC, il a été photographié quittant le quartier huppé au volant de sa voiture. L’interprète de Batman est apparu la mine déconfite, le bras par-dessus la fenêtre de son véhicule. 

D’après le média américain, Ben Affleck s’est immédiatement rendu chez son ex-femme, Jennifer Garner. Celui qui a été marié pendant dix ans à l’actrice a ainsi trouvé refuge chez elle. Une bonne manière de rester ensemble avec leurs trois enfants, Violet (19 ans), Fin (16 ans) et Samuel (12 ans). Toute la famille, qui n’aurait pas encore reçu l’ordre d’évacuer la zone, pourrait prochainement être amenée à quitter la propriété. 

L’incendie du quartier de Pacific Palisades est un vrai coup dur pour Ben Affleck. En effet, l’homme de 52 ans avait acquit sa propriété de Los Angeles en juillet 2024. La maison composée de cinq chambres et six salles de bains représentait un investissement de 20,5 millions de dollars pour l’acteur.

Cet achat faisait suite à son divorce avec Jennifer Lopez et devait donc lui permettre de démarrer une nouvelle vie. Pour le moment, aucune information n’a été dévoilée sur d’éventuels dégâts sur la maison de Ben Affleck. Les pompiers de Los Angeles tentent toujours de maîtriser les incendies dévastateurs.

2012 : le film catastrophe avait créé la panique parmi les spectateurs

Et si la fin du monde était pour 2012 ? Si aujourd’hui, on rigole de cette prophétie qui a fait rage au début des années 2000, à l’époque, c’était un tout autre sujet. Car selon le calendrier maya, le 21 décembre 2012 devait marquer la fin d’un cycle, et donc celui de la Terre.

Plusieurs chercheurs ont étudié les phénomènes qui ont été prédits et censés frapper la planète. Ils ont ainsi commenté plusieurs modifications terrestres possibles : changements cataclysmiques, inversion des pôles magnétiques, activité solaire hors norme, bouleversements climatiques et crise écologique…

Si tout cela n’est finalement pas arrivé, la prophétie maya s’est relevée être un formidable sujet de fiction dont s’est emparé Hollywood. En 2009, Roland Emmerich - spécialiste du genre à qui l’on doit notamment Independence Day et Le Jour d’après, réalise le film 2012. Et s’il n’est pas resté dans les annales - malgré des effets spéciaux particulièrement réussis - la campagne marketing qui a accompagné la sortie du film a beaucoup fait parler.

Columbia Pictures n’a pas fait les choses à moitié en faisant la promotion de 2012, jouant sur la peur réelle des gens pour les convaincre de venir en salles - et ça a fonctionné, le film a cartonné. Dans la première bande-annonce en langue US, dans laquelle on voit un tsunami balayer l’Himalaya, le spectateur est invité à aller chercher la vérité sur cette prophétie en ligne.

Les studios ont en parallèle lancé un “faux” site, "Institute for Human Continuity", sur lequel chacun pouvait trouver des conseils pour se préparer au mieux aux bouleversements qui allaient frapper la Terre en décembre 2012.

On pouvait également y lire que les scientifiques ont confirmé à 94% que la prophétie était réelle. Si certains ont compris qu’il ne s’agissait que d’une "blague", d’autres ont réellement paniqué en découvrant cette histoire de calendrier maya. Et la sortie du film au cinéma a continué d’alimenter cette paranoïa.

Au point de pousser la NASA à intervenir. L’agence américaine a commencé à recevoir de nombreux emails de personnes inquiètes : “L’agence reçoit tant de questions de gens terrifiés à propos de la fin du monde en 2012 que nous avons dû créer un site spécialement dédié à briser ce mythe. C’est une décision sans précédent”, avait déclaré Donald Yeomans, alors spécialiste en dynamisme des systèmes solaires à la NASA.

Fort heureusement, cette histoire s’est rapidement tassée et l’humanité a survécu à 2012. Depuis, le long-métrage de Roland Emmerich a été considéré par la NASA comme “le film de science-fiction le plus idiot jamais imaginé”. Et ça, c’est très fort.

Reacher : bande-annonce de la saison 3, avec Alan Ritchson

Il est (déjà) de retour ! Le héros fétiche de la plateforme Prime Video incarné par Alan Ritchson revient dès le 20 février prochain, avec la diffusion de la saison 3 de la série Reacher.

L’adaptation des romans de Lee Child (qui ont déjà inspiré les films Jack Reacher avec Tom Cruise) jouit d’une immense popularité auprès des téléspectateurs, comme en témoigne sa note sur AlloCiné de 4 sur 5 !

Cette nouvelle saison suit l’enquête menée sur les activités d’une société d’import / export qui collabore avec un ancien ennemi laissé pour mort par Reacher. Cette réapparition va plonger ce dernier dans son passé, et faire ressurgir de douloureux souvenirs. La saison 3 verra aussi Alan Ritchson faire figure de poids plume face à un colosse comme adversaire.

Toujours placée sous le signe de l’humour et de l’action, la troisième saison de Reacher risque bien de ne pas décevoir ses fans. Rappelons que le succès rencontré par le programme sur Prime Video a poussé la plateforme d’Amazon à mettre en développement un spin-off centré sur l’acolyte de Reacher, Frances Neagley (incarnée par Maria Sten).

Peu connu du grand public il y a encore quelques années, Alan Ritchson est devenu l’un des "Monsieur Muscle" les plus en vogue d’Hollywood. Apparu dans la franchise Fast & Furious et dans Le Ministère de la Sale Guerre avec Henry Cavill, l’acteur américain tourne actuellement un film de Noël aux côtés d’Arnold Schwarzenegger également produit par Amazon.

La saison 3 de Reacher est à retrouver dès le 20 février prochain en exclusivité sur Prime Video.

Florence Pugh dit qu'elle ne pourrait plus accepter de rôle à la Midsommar

En 2023, Florence Pugh expliquait s'être "auto-maltraitée" pour Midsommar, d'Ari Aster, acclamé à l'été 2019. Si elle ne remettait pas en doute le talent de son réalisateur, elle racontait avoir mal vécu le tournage de son thriller horrifique, dans lequel elle incarne Dani, une jeune femme qui s'effondre psychologiquement suite à la mort de sa sœur. Espérant que son petit-ami pourra l'aider dans son deuil, elle accepte de le suivre jusqu'en Suède, avec quelques amis. Là-bas, ils se retrouvent invités à une fête néo-païenne, qui, sans en dire trop, va tourner au cauchemar.

Invitée au podcast Reign with Josh Smith, Pugh vient d'expliquer qu'il était peu probable qu'elle accepte de nouveau un rôle comme celui de Dani. Réputée pour être un "bourreau de travail", qui enchaîne les tournages, elle raconte avoir "appris à se protéger au fil des ans", et Midsommar a en quelque sort servi de déclencheur à son envie de prendre davantage soin d'elle, aussi bien en tant qu'actrice qu'en tant que femme, révèle la star de L'Amour au présent, actuellement au cinéma.

"Il y a eu des rôles pour lesquels j'ai trop donné, et cela m'a brisée pendant un long moment, confie-t-elle. Comme lorsque j'ai joué dans Midsommar, j'ai vraiment eu l'impression de m'être fait du mal. A cause des endroits où je me suis laissée aller pour ce film. Naturellement, après ce genre d'expérience, on devrait se dire : 'Bon, je ne peux pas refaire ça, c'était trop.' Mais quand je revois cette performance, je suis vraiment fière de ce que j'ai fait. Je suis fière de ce qui est sorti de moi, donc je ne le regrette pas. Mais, oui, il y a certainement des choses que vous devez respecter en vous-même."

La comédienne ne rejette pas la faute sur le réalisateur Ari Aster, loin de là. L'an dernier, déjà, elle l'avait qualifié de "personne très particulière, dans le sens d'un génie fou" auprès du New York Times. Elle avoue cependant ne pas avoir passé un très bon moment sur ce tournage :

"Nous avons tourné dans un champ très chaud, dans trois langues différentes, et je ne dirais donc pas que tout cela a été agréable. D'ailleurs, cela ne devrait pas être le cas. Pourquoi la réalisation d'un tel film serait-elle agréable ?"

Des propos qui complètent ses révélation du précédent podcast, Off Menu, au cours duquel elle s'était longuement penchée sur cette expérience intense, et les enseignements qu'elle en avait tiré :

"Quand j’ai tourné ce film, j’étais extrêmement absorbée par Dani, et c’est quelque chose que je n’avais vécu avec aucun de mes précédents rôles. Je n'avais jamais eu à jouer quelqu'un qui souffrait autant, donc je me suis mise dans des situations vraiment merdiques que d'autres acteurs n'ont peut-être pas eu besoin de faire, j'imaginais les pires choses. (…) Chaque jour, le contenu du film devenait de plus en plus étrange et difficile à mettre en œuvre. Pour être dans l'état d'esprit de Dani, je me mettais dans la tête des idées très sombres. Je pense qu'à la fin, je me suis très certainement malmenée afin d'obtenir cette performance."

Au cours de cet entretien, elle révélait aussi avoir trop vite enchaîné avec un autre projet : Les Filles du docteur March de Greta Gerwig, et avoir été submergée par ce changement plus que radical, ne parvenant pas à laisser le personnage de Midsommar derrière elle.

"Je me rappelle avoir regardé par le hublot de l'avion et avoir ressenti une immense culpabilité, parce que j'avais l'impression d'avoir laissé Dani en détresse émotionnelle dans ce champ. C'était vraiment particulier. Je n'avais jamais ressenti ça auparavant... Évidemment, il s'agit probablement d'un phénomène psychologique où je me suis sentie coupable pour ce que je m'étais infligée. Mais j’ai vraiment eu la sensation (…) d’avoir créé ce personnage pour finalement l’abandonner et partir faire un autre film..."

Companion : bande-annonce avec Jack Quaid et Sophie Thatcher

Drew Hancock (My Dead Ex et Suburgatory) présente cette semaine la bande-annonce de son premier long, Companion. L'équipe de producteurs derrière Barbare, Raphael Margules, J.D. Lifshitz, Zach Cregger et Roy Lee, a été conquis par son histoire de robot pas comme les autres. Comme on peut le constater dans la vidéo, Sophie Thatcher (Yellowjackets, Heretic), incarne une androïde qui n'a même pas conscience d'être une IA. Quand elle comprend que son petit-ami "parfait" (Jack Quaid de The Boys) lui veut du mal, elle reprend sa "vie" en mains... et se retourne violemment contre lui.

Lukas Gage (Smile 2), Megan Suri (Mes premières fois), Harvey Guillén (What We Do in the Shadows) et Rupert Friend (Asteroid City) complètent le casting de cette production horrifique à découvrir dans les salles françaises via New Line/Warner Bros. à partir du 29 janvier. L'équipe décrypte ses enjeux juste en dessous de la vidéo :

La bande-annonce n'en montre-t-elle pas trop ? "Absolument pas, répond Jack Quaid à Entertainment Weekly. Personnellement, je n'ai vu venir aucun des rebondissements à la lecture du scénario, qui est l'un des meilleurs que j'aie jamais lus, d'ailleurs. Notez que ce n'est pas nécessairement un film qui repose sur une grande révélation, mais plutôt sur plusieurs petits twists, toujours rafraichissants."

Le réalisateur insiste de son côté sur l'aspect novateur de son concept, assurant qu'il ne copie pas les succès récents de M3GAN, par exemple :

"On a voulu montrer au public qu'il s'agissait d'un film sur un robot, tout en trouvant un moyen de faire comprendre qu'il ne s'agit pas 'd'un autre film de robot', vous voyez ? Il serait tellement facile de dire : 'ça ressemble à M3GAN' ou 'c'est comme le film de Megan Fox (Subservience)'. Ce n'est pas un film de robots comme les autres : ce n'est pas l'I.A. qui a mal tourné, c'est l'I.A. qui fait ce qui est juste. On a voulu montrer tout de suite que ce serait différent. Notre film ne commence vraiment qu'à partir de cette révélation. C'est une réflexion sur la découverte de soi et, c'est aussi un film de rupture, qui parle d'une femme trouvant autonomie en se découvrant elle-même."

Les deux comédiens principaux ont vite adhéré au concept de Companion, expliquent-ils au média américain. Jack Quaid qualifie son personnage, Josh, de "vraie tête de noeud", et il dit avoir hâte de voir le public le détester :

"Un film de moindre importance aurait probablement fait de mon personnage le protagoniste et d'Iris l'antagoniste qui devient folle, un truc dans le genre, où Josh aurait dû sauver la situation... Alors que là, j'aime que ce film soit une version un peu plus réaliste où Josh fait tout cela pour des raisons très égoïstes. J'adore le fait que le personnage le plus humain soit finalement le robot dans cette histoire - c'est un retournement de situation très cool au sein de ce genre de films."

"Il s'agit clairement d'une relation très codépendante et toxique, et elle ne le sait pas, explique Sophie Thatcher à propos de son personnage à elle. Iris s'est vraiment perdue dans cette relation, elle ne sait pas vraiment qui elle est. En plus, elle a tellement envie de plaire qu'elle ne sait même pas ce qu'elle veut. Je pense que c'est un sentiment très humain. Dans une relation, on peut être aveuglé par la réalité parce qu'on est tellement amoureux de la personne. Je veux dire qu'elle a été programmée pour être comme ça, c'est plus fort qu'elle."

L'actrice raconte enfin sa "journée la plus folle" sur le plateau :

"Elle est dans la bande-annonce, c'est celle où l'on me traîne dans la boue... il y a eu tellement de journées folles sur ce film, j'aurais pu en choisir d'autres, mais celle-ci était quand même compliquée à tourner. Être couverte de boue, ça peut être un peu dégradant, mais aussi très fort, et étrangement, je commence à en avoir l'habitude (rires) - elle vient de tourner ce genre de séquence pour Heretic, avec Hugh Grant, ndlr. Je crois que presque tous mes projets sont des films de sang et de boue, et je dois dire que sur ce point, celui-ci est encore plus fort que les autres. La quantité de sang que j'avais sur moi dépassait toutes les précédentes. Je ne pense pas que l'on puisse aller beaucoup plus loin que cela..."

Le thriller anglais Vigil est de retour ce soir sur Arte pour sa saison 2

Il y a deux ans, en janvier 2022, Arte lançait la diffusion de Vigil, une série policière haletante portée par Suranne Jones (Gentleman Jack) et Rose Leslie (Game of Thrones). Ce thriller unique en son genre suivait Amy Silva, une inspectrice qui devait résoudre un meurtre mystérieux à bord du sous-marin nucléaire HMS Vigil.

Cependant, au fil de son enquête, elle découvrait qu’elle n'avait peut-être pas seulement affaire à une simple overdose. Elle se retrouvait alors au cœur d’un conflit entre la police locale, la Royal Navy et les services de renseignement britanniques.

Si la première saison de Vigil offrait une fin satisfaisante aux téléspectateurs, l’enquête étant bouclée dans le dernier épisode, la BBC a tout de même décidé d’offrir une seconde saison à la série, qui débarque donc ce jeudi 9 janvier à 20h55 sur Arte.

La série policière avait en effet rencontré un franc succès outre-Manche en réunissant presque 12 millions de téléspectateurs. La chaîne anglaise a donc réussi à convaincre le créateur Tom Edge, ainsi que les deux actrices principales, Suranne Jones et Rose Leslie, de rempiler pour une seconde salve d’épisodes.

Mais cette fois-ci, Vigil opère un changement de décors. Fini les couloirs étroits du sous-marin nucléaire HMS Vigil, les deux enquêtrices s’infiltrent cette fois dans les rangs hostiles de la Royal Air Force.

Quand un prototype de drone de combat de l’armée de l’air est compromis et tue plusieurs soldats lors d’une démonstration en Ecosse, l’équipe d’Amy Silva est chargée de retrouver l’auteur du crime. Elle se rend à la base aérienne commune d'Al-Shawka, dans le royaume de Wudyan, un allié controversé du golfe Persique, et découvre une conspiration plus vaste liée à la collaboration du régime actuel avec le gouvernement britannique et des entreprises privées pour le développement de drones.

Dans un interview accordée à Arte, Tom Edge, le créateur de Vigil, a expliqué qu’il voulait mettre les drones au coeur de cette saison 2, car c’est pour lui ce qui fera la différence dans les prochaines guerres.

“J’ai mené des recherches sur les conflits frontaliers, les guerres civiles, le commerce des armes, notamment au Moyen-Orient. Le développement des drones de guerre a retenu mon attention car il s’agit de l’armement du futur”, a-t-il ainsi confié.

“Maniables, polyvalents, ils sont utilisés par l’armée et la police, notamment pour la surveillance. Équipés de caméras, ils réalisent, pour un coût infime, le travail de l’infanterie en lui évitant des pertes humaines."

"Je venais de terminer l’écriture de l’intrigue lorsque la Russie a envahi l’Ukraine. Ce que j’avais spéculé se déroulait sous mes yeux, avec l’usage de drones de plus en plus sophistiqués.” Cette nouvelle saison a donc une histoire qui est plus que jamais d’actualité.

Retrouvez les épisodes inédits de la saison 2 de Vigil les jeudis 9 et 16 janvier à partir de 20h55 sur Arte. Les épisodes seront ensuite disponibles jusqu’au 1er avril sur la plateforme arte.tv.

Abou Sangaré, héros de L'Histoire de Souleymane, obtient un titre de séjour

L'Histoire de Souleymane a été l'un des succès public et critique surprise de cet automne. Le film a dépassé les 500 000 entrées et a valu à son acteur principal, Abou Sangaré, plusieurs récompenses (meilleur acteur Un Certain Regard 2024 au Festival de Cannes, et aux European Film Awards).

Dans ce film, Abou Sangaré, acteur non professionnel, repéré grâce à un casting sauvage, joue le rôle d'un livreur sans papiers. Le jeune Guinéen, habitant à Amiens, était lui-même en situation irrégulière.

La production du film a informé les médias, dont AlloCiné, qu'Abou Sangaré avait été régularisé. "Aujourd’hui 8 janvier 2025, Monsieur Abou Sangaré a reçu un titre de séjour à la Préfecture d’Amiens. Il s’agit d’un titre de séjour salarié d’un an valable jusqu’au 10 décembre 2025. Sangaré avait déposé une demande le 10 octobre dernier, après une proposition de réexamen de sa situation par la Préfecture." La production nous indique qu'Abou Sangaré allait commencer un travail dans un garage en Picardie.

Pour mémoire, presque tous les acteurs du film sont des non-professionnels, qui n'avaient aucune expérience de jeu. Avec Aline Dalbis, Boris Lojkine a réalisé un long casting sauvage, arpentant les rues de Paris à la rencontre des livreurs. "Nous avons plongé dans la communauté guinéenne et c’est finalement à Amiens, par l’intermédiaire d’une association, que nous avons rencontré Abou Sangare, un jeune de 23 ans arrivé en France sept ans auparavant, alors qu’il était encore mineur. Son visage, sa parole, l’intensité de sa présence à la caméra nous ont d’emblée saisis. C’était lui", indiquait le réalisateur Boris Lojkine au moment de la promotion du film.