12 décembre 2024

Raiponce sera le prochain remake de Disney en live-action

Il y a eu Aladdin, Mulan, Le Roi Lion ou encore La Petite Sirène. Il y aura bientôt Blanche-Neige, Lilo & Stitch (en 2025) et puis Vaiana (en 2026). Et Disney n'a pas fini de faire des remakes en live-action de ses films d'animation. Le prochain sur la liste s'appelle Raiponce !

Le studio annonce avoir lancé le chantier d'un remake du classique sorti en 2010, version musicale de l’histoire des frères Grimm sur la princesse aux cheveux longs et magiques. Michael Gracey, réalisateur de The Greatest Showman avec Hugh Jackman, qui vient aussi de finir le biopic de Robbie Williams (Better Man), est en discussions pour réaliser cette version live, tandis que le scénario est écrit par Jennifer Kaytin Robinson (Thor : Love and Thunder).

Évidemment, toute la question est de savoir qui va jouer Raiponce à l'écran. Mandy Moore doublait la princesse emprisonnée en haut de sa tour à l'époque. Mais l'ex-pop star, passée depuis pas This is Us, a aujourd'hui 40 ans et il semble peu probable qu'elle soit retenue. Le casting est en cours.

Raiponce avait rapporté presque 600 millions de dollars au box-office mondial en 2010. Pour l'heure, le remake live n'a pas de date de sortie, mais sera certainement planifié pour arriver en 2027 au cinéma.

Jim Carrey a très envie de rejouer le Grinch... mais à une condition !

Il y a 25 ans, Jim Carrey gâchait Noël. La star de Dumb & Dumber se mettait dans la peau du Grinch, pour Ron Howard. Un film devenu culte, et qui est resté dans le coeur de l'acteur, qui confie aujourd'hui à ComicBook.com qu'il aimerait reprendre le personnage vert un jour. Mais à une seule condition : avec un maquillage numérique !

"Oh mon Dieu, vous savez... Si nous pouvions faire revenir le Grinch, ce serait formidable", dit-il avant de tempérer :

"Le truc, c’est que chaque jour, je devais passer par une tonne de maquillage. Et je pouvais à peine respirer. C’était un processus extrêmement atroce. J'avais les enfants en tête tout le temps. Je me disais : c'est pour les enfants... C’est pour les enfants... Mais maintenant, il existe la capture de mouvement et des choses comme ça. Si je faisais le Grinch aujourd'hui, je pourrais être plus libre de tourner en même d'autres choses en parallèle. Tout est possible dans ce monde."

Le Grinch avait obtenu trois nominations aux Oscars à l'époque et même remporté l’Oscar du maquillage et de la coiffure. Le film basé sur le livre du Dr Seuss (1957) avait été moyennement reçu mais rencontré un succès certain au box-office avec 350 millions de dollars de recettes dans le monde entier.

Ne dis rien : considéré comme l’un des meilleurs livres du 21ème siècle, son adaptation débarque aujourd’hui en France

C’est un pan de l’Histoire irlandaise qui se dévoile aujourd’hui dans Ne Dis Rien, une série que Disney+ vient d’ajouter à son catalogue. Basée sur le best-seller de Patrick Radden Keefe, sorti en 2018 et récemment classé au 19e rang des 100 meilleurs livres du XXIe siècle par le New York Times, cette production prend comme point de départ un fait divers : celui de la disparition en 1972 de Jean McConville. Cette mère célibataire de dix enfants a été enlevée chez elle à Belfast et n'a jamais été revue vivante.

Ce fait divers, qui a trouvé sa conclusion bien des années plus tard, ne sert que de “prétexte” à l’auteur et à la série pour faire un état des lieux politique du pays et de l’implication de l’Armée Républicaine Irlandaise (IRA) dans la mort et la disparition de nombreuses personnes, connues collectivement sous le nom de "disparus".

L’histoire, qui est donc inspirée de faits réels, est racontée du point de vue de Dolours Price (jouée par Maxine Peake et Lola Petticrew), ancienne membre de l’armée, qui explique face à un journaliste, comment elle s’est laissée embrigader dans un cercle de violences, elle qui militait pacifiquement pour les Catholiques.

La série raconte le parcours de plusieurs de ces membres sur une large période, permettant aux spectateurs de comprendre les tenants et aboutissants du conflit nord-irlandais, une période que les Historiens appelleront "The Troubles".

On regretterait presque que Disney+ n’ait pas assez communiqué sur cette série auprès de ses abonnés tant elle mérite le coup d’oeil. Pour ceux qui ne connaîtraient rien de l’histoire de ce conflit armé, Ne dis rien offre un éclairage captivant et sans concession sur l’IRA : son mode de fonctionnement, ses méthodes et son dérive radicale. Surtout que la qualité de la photographie, le mode de narration (très littéraire) et le jeu des acteurs permettent de plonger la tête la première dans son univers.

Certains pourraient peut-être lui rapprocher de rendre son héroïne, Dolours Price et sa sœur Marian Price, trop attachantes aux regards des crimes qu’elles ont commis au sein de le l’Organisation et on peut comprendre.

Même si les deux femmes ont depuis fait leur mea culpa auprès des différentes familles qu’elles ont lésées - comme celle de Jean McConville - Ne dis rien nous montre surtout comment la prédominance d’un état sur un autre a pu faire autant de mal. Un sujet d’actualité dans une autre partie du monde…

American Psycho va revenir au cinéma avec Austin Butler dans le rôle du serial killer

C'est la nouvelle coqueluche d'Hollywood ! Austin Butler vient d'être choisi pour tenir le rôle de Patrick Bateman dans la nouvelle adaptation du roman de Bret Easton Ellis, American Psycho. Le comédien américain de 33 ans, vu dans Elvis, Dune 2 et The Bikeriders a été préféré à Jacob Elordi (Euphoria, Saltburn), également en lice pour tenir le rôle principal.

Mis en scène par Luca Guadagnino (Call me by your name, Challengers), le long métrage sera une nouvelle adaptation du célèbre roman plutôt qu'un remake du film culte de Mary Herron dans lequel Christian Bale tenait le rôle du serial killer.

Pour mémoire, le thriller se déroule au beau milieu des années Reagan et suit le parcours psychotique de Patrick Bateman, un golden boy misogyne, homophobe et raciste de Wall Street qui cache derrière son apparence superficielle et luxueuse une personnalité de psychopathe qui le pousse à commettre une série d’actes meurtriers inhumains.

Publié en 1991, le roman de Bret Easton Ellis a provoqué un scandale à sa sortie en raison de son extrême violence et a été censuré dans plusieurs pays. Malgré tout il s'est vendu à plusieurs millions d'exemplaires dans le monde. L'adaptation cinématographique sortie en 2000 a rapporté plus de 34 millions de dollars dans le monde pour un budget de 7 millions de $ et est aujourd'hui considéré comme un film culte.

Écrit par Scott Z. Burns (Contagion), ce nouveau film devrait entrer en tournage en 2025. Luca Guadagnino - dont le film Queer avec Daniel Craig n'a toujours pas de date de sortie en France - vient de terminer le tournage de After The Hunt avec Julia Roberts, Andrew Garfield et Ayo Edebiri. Il est également annoncé à la mise en scène de l'adaptation du comics DC Sgt. Rock avec Daniel Craig et de Chambres séparées avec Josh O'connor et Léa Seydoux.

Joan : une série biopic, avec Sophie Turner, inspirée d’une femme au destin hors normes

Dans Joan, Sophie Turner incarne Joan Hannington, une femme prête à tout pour offrir une vie meilleure à sa fille Kelly. Dans le Londres des années 1980, elle fuit un mari violent et se lance dans le crime pour survivre. Grâce à son intelligence et son audace, elle se transforme en voleuse de bijoux redoutée, endossant différentes identités et costumes pour mener des casses audacieux. Inspirée des mémoires de Joan Hannington, I Am What I Am, cette série raconte un parcours semé de dangers, où le glamour des années 80 côtoie la tension des braquages.

"C'est l'histoire d'une femme aventureuse. J’ai été attirée par la façon dont elle compartimentait sa vie, entre sa fille et ses crimes. Et puis, j'aimais aussi sa personnalité : son sens de l'humour, la façon dont elle parlait aux gens, le fait qu'elle ne se conformait pas aux normes sociales et ne laissait jamais un homme lui parler de haut," c'est ainsi que Sophie Turner parle de ce personnage qui l'amène à des années lumière de Sansa Stark.

Créée par Anna Symon et réalisée par Richard Laxton, cette série en six épisodes explore les multiples facettes de Joan Hannington : mère dévouée, femme blessée et criminelle brillante. Aux côtés de Sophie Turner, le casting comprend Frank Dillane dans le rôle de Boisie, son complice et mentor, ainsi que Kirsty J. Curtis et Gershwyn Eustache Jr.

Après le succès mondial de Game of Thrones, Sophie Turner s’attaque ici à un rôle radicalement différent. Exit les intrigues médiévales de Westeros, place à un thriller urbain où la mode des années 80, les tensions sociales et le danger constant se mêlent dans un biopic certes convenu mais convaincant. Sophie Turner incarne une Joan tour à tour vulnérable et déterminée, jonglant entre ses crimes et son rôle de mère.

Avec Joan, Sophie Turner prouve qu’elle est bien plus que Sansa Stark. Loin des intrigues politiques et des batailles épiques, elle s’approprie le rôle d’une femme du quotidien propulsée dans l’illégalité. Joan Hannington est un personnage nuancé, à la fois héroïque et imparfait.

L'actrice s’est pleinement investie dans ce rôle, s’imprégnant de la musique, de la mode et des codes des années 80 : "J’ai écouté beaucoup de musique des années 80. Ma chanson préférée était Smalltown Boy de Bronski Beat. On l’écoutait en boucle. Quand je l’écouterai, elle me ramènera toujours à Joan."

Ce changement de registre est également marqué par une intensité émotionnelle et la charge de devoir interpréter une personne réelle. "J'étais terrifiée. J’espérais lui plaire," confie l'actrice. Mais tout s'est bien passé : "Mais au moment où Joan est entrée, elle a fondu en larmes. Nous n'avions pas prononcé un mot. Elle a juste dit 'C'est parfait' C'était très émouvant. Elle aimait la série et j’étais très touchée d'entendre l'émotion dans sa voix…" 

Avec son mélange de suspense, de drame et de glamour, Joan est une série qui montre une nouvelle facette de Sophie Turner, tout en s'inscrivant dans une certaine continuité avec Sansa Stark. Comme si cette dernière était l'aïeule de l'héroïne. On y découvrire une héroïne forte mais imparfaite, évoluant dans un monde où chaque choix a des conséquences.

On apprécie également la reconstitution soignée des années 80, entre costumes, décors et ambiance musicale. Ce voyage dans le temps, servi par des performances d’acteurs solides et une écriture soignée, livre le portrait d’une femme extraordinaire, au sens littéral du terme.

Joan, une série créée par Anna Symon avec Sophie Turner, Franke Dillane, Kirsty J. Curtis... Les jeudis à 21h50 sur OCS, deux épisodes par soirée et disponibles à la demande.

11 décembre 2024

Philippe Lellouche interdit de casinos !

Des milliers de Français souffrent d'une addiction, sans parler de leurs proches qui en subissent, souvent, les conséquences. Ainsi, Canal + a décidé de s'emparer de ce sujet douloureux en donnant la parole non pas à ses anonymes mais à des personnalités. Dans Demain, j’arrête !, quatre célébrités se livrent ainsi à cœur ouvert. Le mercredi 4 décembre, l'écrivain Christophe Tisson a ouvert le bal en évoquant ses problèmes avec l'alcool puis la danseuse étoile Marie-Agnès Gillot a parlé de son addiction à la cigarette. Ce 11 décembre, deux nouvelles personnalités racontent le mal qui les ronge. il s'agit d'Enora Malagré et de Philippe Lellouche.

Alors que l'animatrice évoquera sans filtre son besoin irrémédiable de manger du sucre, le comédien de 58 ans se livrera sur ses anciens problèmes de jeux. Grattage, casinos, jeux en ligne... Il est rapidement facile de se ruiner en tombant dans ce rouage. Ainsi, l'ex de Vanessa Demouy racontera qu'il y a près de vingt ans il jouait chaque soir et commençait à être assidu en journée. Sur un coup de tête, l'amateur de poker a pris la décision d'arrêter. "J’ai décidé de me faire interdire de casinos" confie-t-il.

Le réalisateur de Nos plus belles vacances ajoute alors : "Cinq ans d’interdiction incompressible. Et finalement j’ai tenu quinze ans. Une désintoxication brutale qui m’a très certainement protégé des conséquences du jeu excessif". Pour se faire interdire de jeux, il est est possible de le faire directement en ligne via un site dédié. Cette interdiction dure trois ans et est reconductible tacitement. Toutefois, cette interdiction ne permet pas d'interdire ceux qui sont addict' aux jeux de grattage.

A bien y réfléchir, il est vrai qu'il est est impossible de trouver un film où l'on retrouve Philippe et Gilles côté à côte. Invité d'"Un dimanche à la campagne" sur France 2, le papa de quatre enfants a raconté que, très proches et tous les deux passionnés par le cinéma, les deux frères rêvaient d'en faire leur métier mais leur père s'est montré très dur à ce sujet : "Mon père était très inquiet car ses deux fils voulaient être saltimbanques. Régulièrement, il nous convoquait dans son bureau pour essayer de nous expliquer qu'il faudrait mieux qu'on rentre à la poste : 'Vous allez faire ça sinon vous allez finir clochards' a-t-il déclaré à Frédéric Lopez.

Enfin, celui qui sillonne les routes de France avec son premier seul en scène intitulé Stand Alone était l'invité de la matinale de RTL le lundi 25 novembre et est revenu sur cette passion commune avec son frère de six ans son cadet. Jouer ensemble ? Ils n'en n'ont "pas eu l'occasion". "Ce n'est pas du tout une volonté. On s'entend très bien avec mon frère, on se fait des commentaires l'un et l'autre sur ce qu'on fabrique. Mais en même temps ce serait difficile de nous faire jouer autre chose que deux frères", a confié le compagnon de Vanessa Boisjean. Claude Lelouch (qui n'a aucune parenté avec eux, ndlr) "y a pensé, il pense que ce serait magnifique. Peut-être que ça arrivera, j'espère" a conclu l'ex animateur de "Top Gear."

Patrick Fiori, absent à la réouverture de Notre-Dame, s’explique

Une semaine après la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris, à laquelle il a choisi de ne pas assister malgré l’invitation d’Emmanuel Macron, le Pape François sera en visite en Corse.

Bien que les deux hommes soient sur le point de se retrouver à Ajaccio, le récent refus du chef de l'Église catholique a révélé des tensions sous-jacentes entre le Vatican et l’Élysée.

"ll a exprimé son souhait d’aller en Corse, ce n’est pas contre Paris ! Ce n’est pas le choix d’un évêque contre un autre, d’une ville contre une autre, c’est la liberté du pape, sa volonté", a cependant confié le cardinal Bustillo dans les colonnes du Figaro.

Le souverain pontife, qui célébrera ses 88 ans le 17 décembre, est particulièrement attendu à l'occasion du congrès sur la "religiosité populaire Méditerranée". Cette visite revêt un caractère historique, puisqu’il s’agit de la toute première fois qu’un Pape se rend sur l’île de Beauté.

Pour l'occasion, la Corse a mis les petits plats dans les grands en prévoyant un concert exceptionnel au cours duquel les chanteuses Jenifer et Alizée ainsi que le chanteur Patrick Fiori devraient se produire.

Invité sur les ondes de RTL ce mercredi 11 décembre 2024, l'interprète du titre Le chant est libre, a longuement évoqué ce rendez-vous. Il en a également profité pour clarifier les raisons de sa propre absence à la réouverture de Notre-Dame de Paris.

"Je voudrais juste rectifier un tout petit truc parce qu'il y a plein de gens qui me demandent pourquoi je n'ai pas chanté pour Notre-Dame. J'ai été invité, mais j'étais en concert à Boulazac. Du coup, comme j'étais à Boulazac et que je n'ai pas pu faire Notre-Dame de Paris", a-t-il confié avant d'avouer avoir été "béni puisque le cardinal d'Ajaccio, François Bustillo, m'a appelé lorsque j'étais au Zénith de Saint-Étienne et il m'a dit : 'Patrick, le Pape aimerait que tu chantes pour lui'."

Et de poursuivre : "Il a appelé d'autres chanteurs et chanteuses insulaires. Le Pape a vu des choses de moi, de nous, et il a choisi".

Le 15 décembre prochain Patrick Fiori devrait donc chanter Terra Corsa. Et pour l'heure, il semble aborder cette échéance avec une sérénité totale, sans la moindre trace de stress : "Je suis à fond, mais je pense que devant le fait accompli, j'aurai une grande pensée pour les miens et ceux qui ne sont plus là."

Nicolas Hulot réclame des millions à TF1

Pendant huit ans, les téléspectateurs de TF1 ont pu suivre l’émission Ushuaïa, le magazine de l’extrême, présentée par Nicolas Hulot. En plus de ce programme, le militant écologiste, qui a fait face à la justice, a également présenté Ushuaïa Nature, de 1998 à 2012.

Néanmoins, son contrat avec la chaîne a pris fin quelque temps après. Et selon L’Informé, celui qui a également été ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires de France, a fait le choix de récemment attaquer la Une. 

En 1993, TF1 "concède l’exploitation commerciale de la marque à l’Oréal pour des déodorants et des gels douche". Selon L’informé, Nicolas Hulot n’aurait jamais été mis au courant de ce projet.

"Il n’y avait pas d’antécédent. Ça n’existait pas une émission dont le titre devienne une marque commerciale. Ça a été un peu la méthode TF1… À l’époque, ça m’a beaucoup contrarié. Ça a même donné lieu à un moment assez désagréable entre Patrick Le Lay et moi", lâchait l’animateur et militant en interview. 

Avant de poursuivre, dans un autre entretien : "J’ai essayé de m’opposer à l’exploitation de produits dérivés sous cette marque, parce que j’avais créé un univers audiovisuel qui n’avait pas vocation à devenir une marque commerciale. Mais je n’avais pas d’arguments juridiques pour m’y opposer."

Finalement, un an plus tard, L’Informé indique que les deux parties trouvent un accord. La Une doit reverser 25 % des recettes brutes à Nicolas Hulot. Cela lui permettant "d’encaisser plusieurs centaines de milliers d’euros par an, qui atterrissent dans sa société personnelle Eole Conseil". Mais, toujours selon nos confrères, TF1 aurait fait le choix de ne pas reconduire le contrat l’an dernier.

La raison ? La chaîne l’a justifiée "en lui expliquant que le texte de 1994 intéresse l’animateur en contrepartie de l’utilisation de la notoriété apportée par Nicolas Hulot à la marque Ushuaïa". L’ex-animateur de la chaîne aurait alors prévenu TF1 que les royalties rémunèrent sa "contribution passée à la notoriété de la marque". De fait, pour lui, le contrait doit en effet se poursuivre "tant que les produits Ushuaïa de L’Oréal feront l’objet d’une exploitation commerciale".

Pour TF1, l’ex-ministre n’aurait aucun droit sur l’exploitation du nom. De fait, elle accuse son ancien employé de tenter d’"usurper le droit de propriété de TF1 sur la marque". Le tribunal de commerce, dans le premier jugement rendu estime que "TF1 ne démontre pas en quoi la société de Nicolas Hulot tenterait d’usurper la notoriété ou la propriété de la marque". 

"Les motivations détaillées dans la lettre de résiliation de 2022 sont de toute autre nature : ancienneté du contrat, arrêt des émissions Ushuaïa sur TF1 depuis 2012, investissements consentis par TF1 pour la promotion de la marque, etc. Dans cette lettre de résiliation, aucune référence directe ou indirecte n’est faite à la validité ou à la propriété de la marque Ushuaïa", ajoute le jugement. La chaîne aurait donc fait appel de cette décision d’après les informations de L’Informé. 

Vianney bouleversé par sa propre prestation lors de la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris

Vianney en est encore tout est ému ! Le chanteur est revenu sur son interprétation du tube de Leonard Cohen, Hallelujah, lors de la réouverture de Notre-Dame de Paris samedi dernier. S’il a donné « une adaptation française libre » du texte plutôt qu’une traduction de la chanson de l’artiste canadien, Vianney a néanmoins manqué de vocabulaire pour exprimer son émotion après coup. « Un jour, quand j’aurai les mots, je vous raconterai combien ce moment m’a bouleversé », a-t-il écrit sur Instagram.

L’artiste n’en déclare pas moins son admiration pour la cathédrale parisienne. Il met également en valeur ceux qui l’ont sauvée des flammes et restaurée. « Nous sommes si petits face à Elle, à ces pompiers qui l’ont sauvée, et aux artisans qui ont permis cette renaissance », a-t-il ajouté en référence aux soldats du feu qui se sont battus contre les flammes pendant des heures en 2019, et aux plus de 2000 artisans qui ont ensuite uni leurs forces pour redonner à l’emblématique cathédrale son lustre dans le délai de cinq ans fixés par la présidence de la République.

Vianney, en chemise noire et jean indigo, guitare à la main, a chanté dans la cathédrale, accompagné par l’orchestre philharmonique de Radio France. Reconnaissant envers ceux qui l’ont épaulé dans ce moment intense, le chanteur a remercié Gustavo Dudamel, le chef d’orchestre vénézuélien, « pour son ouverture et son écoute hors du commun », son « ami » le musicien, compositeur et arrangeur Clément Ducol « pour son arrangement de cordes ». Bien entendu, la puissance invitante, le diocèse de Paris, n’est pas oubliée.

Si, en raison de la tempête qui balayait la France, une partie des festivités se sont tenues à l’intérieur du bâtiment sacré et non pas sur le parvis, elles ont été une grande réussite, saluée par le monde entier. De grands noms de la musique classique et des stars de la pop internationale, outre Vianney, ont enchanté ce moment, diffusé en direct par Radio France et France Télévisions. Pharrell Williams a aussi créé la surprise en enregistrant la veille son tube « Happy » à l’extérieur de l’édifice avec une chorale gospel de soixante-dix personnes.

50 Cent envoie une pique à Jay-Z, accusé d’avoir violé une fille mineure en 2000

50 Cent n’a pu s’empêcher d’envoyer une pique à l’égard de Jay-Z. L’époux de Beyoncé s’est rendu lundi à l’avant-première du nouveau film Disney Mufasa : Le Roi Lion, accompagné de sa femme et de leur fille de 12 ans, Blue Ivy. Or la veille, le rappeur de 55 ans était visé avec P. Diddy par une plainte pour agression sexuelle sur une jeune fille de 13 ans en 2000, lors d’une soirée après les MTV VMAs.

Jay-Z, de son vrai nom Shawn Carter, nie les faits qui lui sont reprochés, mais 50 Cent a critiqué le chanteur et sa famille face à leur rapide apparition publique après les accusations.

« Jay dit qu’ils l’ont accusé d’avoir "violé" une gamine, tout le monde s’habille on va voir Mufasa LOL », a-t-il lancé, avec un jeu de mots entre « rape » (qui signifie violer en anglais) et la musique rap, en légende d’une photo de Jay-Z et ses proches à l’avant-première, où la mère de Beyoncé, Tina Knowles, était aussi présente.

Le rappeur d’In Da Club, de son vrai nom Curtis Jackson, a supprimé la publication depuis. Sa remarque est néanmoins peu surprenante. Le musicien a aussi attaqué P. Diddy depuis son arrestation en septembre et les nombreuses plaintes d’agression et trafic sexuels le visant. La star de 49 ans travaille d’ailleurs sur un documentaire Netflix qui racontera la chute de son rival, et a envoyé plusieurs piques sur les réseaux sociaux en rapport aux faits énoncés par l’enquête sur le rappeur dans l’attente de son procès en mai prochain.

Jay-Z, lui invite la plaignante, qui est restée anonyme, à révéler son identité. Expliquant avoir « un code de l’honneur très strict », le rappeur a accusé l’avocat de la plaignante de vouloir « exploiter les gens à des fins personnelles ». Il l’a par ailleurs mis au défi de porter l’affaire au pénal, et non au civil. La présence de ses proches à l’avant-première de la suite du premier remake du Roi Lion, sorti en 2019, était justifiée par les rôles de Beyoncé et sa fille dans le film. La chanteuse de Crazy in Love y incarne la lionne Nala et Blue Ivy Carter joue Kiara, fille de Nala et Simba.