Découvrez Pathé home et son catalogue composé de milliers de films !

L’hiver approche et avec lui le froid saisonnier qui vous donne envie de rester au chaud sous un plaid ? Fort heureusement, une solution existe pour occuper et réunir toute la famille !

Leader historique de l’exploitation cinématographique en France, implanté dans plusieurs pays du monde entier, Pathé est présent sur l’intégralité du territoire métropolitain avec plus de 128 salles de cinéma. Aujourd’hui, Pathé vous donne rendez-vous… directement dans votre salon, avec Pathé Home !

Plateforme consacrée intégralement au cinéma, sans abonnement ni publicité, Pathé Home vous propose de découvrir des milliers de films dès 3 à 4 mois seulement après leur sortie en salle : Dune, deuxième partie, Vice-Versa 2 ou encore Un p’tit truc en plus, autant de succès de l’année 2024 d’ores et déjà disponibles à l’achat ou à la location sur cette plateforme made in France.

Éternels indécis, Pathé Home vient à votre rescousse ! En effet, la plateforme facilite votre décision en vous proposant de partir à la découverte de ses cycles et sélections thématiques, adaptés à tous les profils : si des collections de films musicaux, de thrillers et d’œuvres de science-fiction sont bien sûr disponibles, la plateforme va plus loin et vous propose même des sélections de films basées sur leur durée, notamment une collection de programmes de moins de 1h30 ultra efficace ! Et bien sûr, ce n’est pas tout : retrouvez également les collections de fin d’année telles que “L’enfer des repas de famille”, “Les films qui font la fête”, “Let is snow!” ou encore “Les pépites de 2024”.

Inscrivez-vous gratuitement sur Pathé Home ou connectez-vous avec votre compte Pathé existant pour découvrir dès maintenant une offre 100% cinéma depuis le confort de votre salon !

Artus à cœur ouvert sur sa sexualité

Il est devenu un acteur reconnu par ses pairs. Avec le film Un p’tit truc en plus, Artus a réussi à propulser sa carrière d’humoriste sur le grand écran. Et il n’est pas prêt de s’arrêter là, puisqu’il sera à l’affiche de long-métrage d’Antoine Chevrollier, La pampa, dans lequel il va incarner le rôle d’un homosexuel. Dans le cadre de la promotion de ce projet, Artus a donné une interview au magazine Têtu.

Le compagnon de Sarah est alors revenu sur sa vie sexuelle. “J’ai toujours été très ouvert là-dessus. Je suis hétéro, mais j’ai expérimenté beaucoup de choses sexuellement, sans jamais me mettre de barrières, et j’ai déjà eu des relations avec des mecs”. Artus qui se dit hétérosexuel, ne ferme tout de même pas la porte à une expérience avec les hommes : “Peut-être que je me trompe, et qu’un jour j’aurai le coup de foudre pour un gars”. 

Toutefois, Artus se dit très amoureux de son épouse Sarah, épousée en juin 2024. Dans cet entretien, l’humoriste décrit sa femme comme “psychopathe du rangement”. Mais entre les deux tourtereaux, le début de leur relation n’a pas été si facile : “A notre rencontre en 2016, cela a été compliqué. J’étais pacsé, elle était mariée” confiait-il au Figaro. 

Si aujourd’hui, ils ne se sentent pas prêts à avoir un enfant, les deux tourtereaux ont une vie bien remplie :  “Les copains ont toujours droit à une attention délicate. C’est le petit truc en plus de la maison : entre une Orientale qui a grandi au milieu des grandes tables improvisées et Artus, ancien chef cuisinier, la table est conviviale.”

Artus se dit très heureux avec sa compagne : “Sarah est une femme de l’ombre, lui est dans la lumière. Il ne range jamais ses affaires, elle est maniaque. Elle lui apporte un cadre, lui une forme de folie”, précisent nos confrères du Figaro. “Artus essaye de garder les pieds sur terre. L’équilibre familial et amical est important”, avait indiqué Sarah. “Il ne nous manque que des enfants, des petites choses qui courent”, confirme le comédien.

Ainsi, il n’a pas hésité à se confier à cœur ouvert sur sa vie sexuelle. Comme à son habitude, Artus a répondu franchement aux questions sur son intimité. 

Bruce Willis dans "un état très stable" : Demi Moore donne des nouvelles de son ex-mari

La vie de Bruce Willis a pris une tournure à laquelle ses fans ne s'attendaient clairement pas. L'ancienne gloire des films d'action américains, devenue culte grâce à son rôle de John McClane dans la saga Die Hard, a disparu de la circulation en 2022. Et pour cause : l'acteur est atteint d’une démence fronto-temporale, annoncée par sa famille au monde entier. "Bruce abandonne cette carrière qui a tant compté pour lui. C’est une période vraiment difficile pour notre famille et nous apprécions beaucoup votre amour, votre compassion et votre soutien" pouvaient lire les fans dans un communiqué. Depuis, son épouse Emma Hemming Willis et ses filles dévoilent régulièrement des clichés et vidéos de l'acteur pour montrer que malgré la maladie, il profite toujours de ses proches pour les occasions spéciales.

Bruce Willis est également resté très proche de Demi Moore, son épouse de 1987 à 2000 et mère de ses trois filles Rumer, Tallulah et Scout. Cette dernière, encore très active à Hollywood, profite de ses passages dans les médias américains pour donner quelques nouvelles de l'évolution de l'état de santé de son ex-mari, comme sur le tapis rouge du Festival International du film des Hamptons en octobre dernier.

En pleine promotion de son nouveau film The Substance (avec Margaret Qualley et Dennis Quaid), l'actrice de 62 ans était l'invitée de la célèbre journaliste Christiane Amanpour sur CNN ce jeudi. Elle n'a pas échappé à une question sur Bruce Willis : "Il est dans un état très stable. Je l’ai déjà dit, mais je le pense sincèrement, il est très important pour tous ceux qui sont confrontés à cette situation d’aller les voir là. Et c’est de là que naissent l’amour et la joie. Je veux dire que c’est évidemment très difficile, et ce n’est pas ce que je souhaiterais à qui que ce soit" a-t-elle expliqué à l'animatrice. Reste à savoir si ces nouvelles rassureront les fans après l'inquiétante dernière sortie de l'acteur.

L'héritage de Jean-Loup Dabadie, un traumatisme pour sa fille

"Les membres et correspondants de l'Académie des beaux-arts ont appris avec une grande tristesse la disparition de leur confrère Jean-Loup Dabadie, de l'Académie française, grand amoureux et talentueux serviteur des arts et de la culture", publiait la vénérable institution dans un communiqué paru peu après la mort de l'homme disparu à l'âge de 81 ans.

Marié à plusieurs reprises, le scénariste et romancier laissait alors derrière lui trois enfants nés de mère différentes. Fille de sa première union, Clémentine, aujourd'hui productrice de télévision, se souvient d'une relation "merveilleuse" avec son père. "En plus je suis sa seule fille, donc j’avais un statut assez particulier dans la fratrie. Je l’adorais", s'est-elle récemment confiée au micro de Faustine Bollaert sur le plateau de Ça commence aujourd’hui.

Sur France 2, Clémentine Dabadie décrit "une famille joyeuse, rieuse et aimante" avant la mort du patriarche. L'ouverture du testament n'a malheureusement pas resserré les liens au sein du clan. "On a reçu chacun par mail le testament en même temps. Et là, ça a été extrêmement violent parce que notre père ne s’adressait pas à nous. Nous n’étions même pas cités dans ce testament où il protégeait notre belle-mère", explique a seule et unique fille de Jean-Loup Dabadie.

Elle poursuit : "Comme dans toutes les histoires de succession qui se passent mal ce sont des histoires d’amour trahies, donc quand on se prend un testament comme ça en pleine figure, on se dit : 'Mais est-ce qu’il nous aimait ?' On se pose la question". Déshéritée, Clémentine Dabadie précise finalement que sa belle-mère "a l’usufruit de tous ses biens" jusqu'à ce qu'elle rende son dernier souffle.

Selon Clémentine Dabadie, la succession de son père ne serait pas "colossale comme celle des Hallyday ou des Delon". La somme s'élèverait néanmoins à "plusieurs centaines de milliers d’euros". La productrice ne peut se résoudre à renoncer à cet argent qu'elle souhaite pouvoir léguer à sa fille de 34 ans. Seulement, l'administration fiscale lui demande une garantie pour payer les droits de succession à la mort de celle qui en a actuellement l'usufruit.

"Comme mes frères habitent à l’étranger, l’administration fiscale va au plus près et au plus vite. Ils ont pris ma petite maison dont je suis propriétaire avec ma fille, qui est aujourd’hui hypothéquée comme garantie pour les droits de succession avec des intérêts à payer tous les ans", déplore Clémentine Dabadie.

Philippe Bouvard : cet héritage colossal qu’il va laisser à ses enfants

La fin d'une époque. Philippe Bouvard, qui fête ses 95 ans ce jeudi 6 décembre 2024, tirera bientôt sa révérence. "J'ai pris la décision, mais peu à peu, de me retirer, de dire au revoir ou de dire adieu. Mais enfin, c'était déjà fait", a-t-il annoncé au micro de nos confrères de RTL.

L'heure des adieux a sonné pour celui qui fut très longtemps l'animateur phare de la station : "J'aimerais dire [aux auditeurs] que j'ai eu avec eux des liens privilégiés. Alors, j'ai eu des liens privilégiés et des liens que crée la voix et que ne crée pas toujours la lecture". Philippe Bouvard quittera les ondes à partir du mois de janvier 2025, après une soixantaine d'années consacrée à la radio.

Philippe Bouvard ne se cache pas de mener un train de vie dispendieux. Ces dernières années l'ont vu malgré tout se séparer de plusieurs de ses biens. L'ex-animateur des Grosses Têtes a ainsi renoncé à son hôtel particulier situé en plein centre de Paris, mais aussi à sa Rolls Royce Corniche, en plus de mettre aux enchères plusieurs bouteilles de grand cru, de très nombreux livres et meubles.

Il n'est cependant pas question de dilapider son patrimoine avant de mourir. D'après le média Purepeople, le père de famille "laissera tout de même un héritage de plusieurs millions d'euros à ses deux filles, Dominique (née en 1954) et Nathalie (née en 1964), ses quatre petits-enfants et ses deux arrière-petits-enfants".

Dans un entretien accordé à Mireille Dumas pour Paris Match en 2019, Philippe Bouvard évoquait l'expérience compliquée de la paternité. "J'ai sûrement raté beaucoup de choses. J'essaye d'être un meilleur grand-père que je n'ai été un père, confiait-il à sa consoeur. Je suis en train de devenir patriarche grâce à mes arrière-petits-enfants. C'est très agréable. Deux filles, quatre petits-enfants et deux arrière-petits-enfants, ça fait une belle tablée."

Les deux filles de Philippe Bouvard, journalistes comme leur peur, ont donné chacune naissance à des garçons. Dominique est la mère d'une petite fratrie, Hugo, Théo et Lancelot. Sa soeur Nathalie n'a eu qu'un seul enfant prénommé Hadrien.

Pascal Bataille : atteint d’un cancer, l’animateur évoque ses séquelles

Pascal Bataille a pris la parole pour annoncer une triste nouvelle ce vendredi 6 décembre. Dans une vidéo partagée sur son compte instagram, il a révélé être atteint d'un cancer. "Les amis, j’ai une vérité importante à vous dire. Je suis atteint d’un cancer du poumon, mais je vais en guérir parce que ça se soigne de mieux en mieux !" a-t-il déclaré. Quelques heures plus tard, c’est dans l’émission Ca commence aujourd’hui qu’il a accepté de témoigner. Pascal Bataille évoque tout d’abord ses séquelles, indiquant : “J’ai un peu perdu mes cheveux mais sinon ça va”. De quoi rassurer les fans et proches de l'animateur.

Faustine Bollaert a pour habitude de recevoir des invités à qui elle donne ouvertement la parole. Elle débute en affirmant que c'est Pascal Bataille qui a contacté l’émission pour y participer. “J’ai envie de dire que je suis atteint depuis 3 mois d’un cancer du poumon”, a-t-il lancé avant de poursuivre :  “J’ai eu envie de venir en parler chez vous Faustine parce que j’avais envie de faire passer, au-delà de ma petite histoire personnelle, un certain nombre de messages”. En racontant son quotidien, Pascal Bataille veut rappeler l’importance de faire très attention à sa santé puisque tout peut basculer du jour au lendemain. 

Venir parler publiquement de son cancer est un choix de Pascal Bataille. “Ça me tient à cœur car, quand  on anime Il n’y a que la vérité qui compte, c’est difficile de ne pas être celui qui, le premier, donne l’exemple”, a-t-il confié. L’animateur précise par la suite que le cancer est une “maladie honteuse qui touche beaucoup de gens” avant d’ajouter : “Il y en a des plus ou moins graves et j’ai envie d’en parler parce que je pense qu’il faut porter un message d'optimisme, de positivité”. Souffrir d’un cancer peut faire très peur et Pascal Bataille confie avoir conscience qu’il est très bien entouré. “J’ai un moral du tonnerre”, assure-t-il. 

Grâce au soutien de ses proches, Pascal Bataille est prêt à se battre contre cette maladie. “Je supporte bien le traitement” , fait-il savoir avant d'ajouter : “Je veux faire un peu de judo avec cette maladie aussi : je veux, au travers de ce qui m’arrive, pouvoir porter un message sur cette cause qui me tient à cœur : la maladie de Charcot”.  Si le mot “cancer” est assez tabou, Pascal Bataille ne souhaite pas ne pas pouvoir s’exprimer librement. Il a conscience qu’il existe des formes très agressives avec une issue dramatique mais il souhaite rester positif. “Moi je suis sûr que ça va aller” , a-t-il déclaré.  

Face à Faustine Bollaert, Pascal Bataille a opté pour la transparence. Il évoque ensuite son traitement, expliquant avoir un “protocole qui mêle l’immunothérapie, une nouvelle technique qui marche bien et la chimiothérapie classique”. Les séances sont assez intenses et elles “durent cinq heures. Je suis assis dans un fauteuil au milieu de plein d’autres gens qui vivent la même mésaventure que moi, parfois dans des états malheureusement beaucoup plus dramatiques”, a-t-il affirmé. Ce traitement est très intense, avec trois séances espacées de trois semaines chacune. Toutefois, Pascal Bataille affirme bien le supporter. 

Les traitements contre le cancer peuvent être très lourds et l'animateur a conscience de la chance qu’il a de pouvoir le suivre sans trop de difficultés. “Je le supporte très bien, c’est un privilège, c'est une chance”, a-t-il déclaré avant de révéler : “J’ai échappé aux effets secondaires”. Il explique également que c’est grâce à la médecine qu’il ne souffre pas de ce traitement. Pascal Bataille mentionne des “médicaments qui m’ont permis de n’avoir aucun effet secondaire” et ainsi se concentrer pleinement sur sa chimiothérapie.

Amber Heard attend un deuxième enfant

Amber Heard s’apprête à voir son cocon familial s’agrandir. Un représentant de l’actrice de 38 ans a confirmé à People qu’elle attendait son deuxième enfant.

« Il est encore très tôt dans la grossesse, donc vous comprendrez que nous ne voulons pas entrer dans les détails à ce stade », a précisé son porte-parole, tout en admettant que la star d’Aquaman et sa fille de 3 ans et demi, Oonah Paige, étaient « ravies » par la nouvelle.

Amber Heard a accueilli le 8 avril 2021 la fillette, qui serait née par mère porteuse. La comédienne a choisi de ne révéler la naissance sur les réseaux sociaux que trois mois plus tard, expliquant dans son post qu’elle avait « choisi il y a quatre ans plus tôt » selon ses « propres termes » en tant que maman solo.

« Je comprends maintenant à quel point il est radical pour nous, en tant que femmes, de penser à l’une des parties les plus fondamentales de notre destin de cette manière », a-t-elle ajouté dans la légende d’une photo la montrant allongée avec son bébé sur le ventre. « J’espère que nous arriverons à un point où il sera normal de ne pas vouloir une bague pour avoir un berceau. »

La star partage de temps en temps un aperçu de son quotidien de maman, tout en prenant soin de ne pas dévoiler le visage de sa fille. Amber Heard a notamment posté des clichés en compagnie d’Oonah Paige bébé, se qualifiant elle-même de « maman et papa » et de « mère multitâche », et de la fillette lors des célébrations de ses un an, en 2022.

Que de bonnes nouvelles, donc, pour l’actrice après la conclusion en 2022 de sa bataille judiciaire ultra médiatisée de plusieurs années contre son ex-mari, Johnny Depp. À l’issue du procès aux Etats-Unis pour diffamation, les anciens époux ont conclu un accord. Depuis, l’actrice se dit encore affectée par les critiques négatives de l’opinion publique, qui a majoritairement penché en faveur de la star de Pirates des Caraïbes. Tant et si bien qu’elle a emménagé en 2022 à Madrid, en Espagne, pour échapper au « chaos » laissé par les procès.

Une opération réussie, puisque la star vit « sa meilleure vie en Espagne avec sa fille », selon les propos du réalisateur de Conor Allyn recueillis par People.

Découvrez quand sera diffusée la saison 2 de 1923

Dans quelques semaines, Yellowstone nous dévoilera les deux derniers épisodes de sa saison 5, qui pourraient également être les tout derniers de la série. Que les fans se rassurent, il ne s’agit pourtant pas de l’arrêt de la franchise western dont de nouveaux spin-offs verront le jour au cours des prochaines années.

Deux préquels sont d'ores et déjà sortis : 1883 et 1923. Cette seconde itération de Yellowstone s’apprête à faire son grand retour. La série portée par Harrison Ford et Helen Mirren suit l’histoire de Jacob Dutton, l’arrière-grand-oncle de John Dutton (Kevin Costner). La première saison du programme avait vu le ranch faire l’objet de nombreuses convoitises.

Après une attaque, Jacob Dutton a été grièvement blessé, et sa vie n’a pu être sauvée que grâce à l’intervention de son épouse Cara. Très affaibli, ce dernier ne peut désormais compter que sur l’aide de son neveu Spencer Dutton (Brandon Sklenar), mais celui-ci occupe le métier de chasseur d’animaux sauvages en Afrique.

En route vers le Montana, Spencer a entamé un long périple avec son épouse Alexandra (Julia Schlaepfer). À la fin de la saison 1, une première escale les a vus débarquer à Naples, en Italie. Le chemin est donc encore long, avant de retrouver les paysages montagneux qui entourent le Yellowstone.

Deux courts spots publicitaires de la saison 2 de 1923 ont été dévoilés. Des images très prometteuses, qui nous révèlent par ailleurs la date de diffusion de ces nouveaux épisodes. Le préquel de Yellowstone fera donc son grand retour dès le 23 février prochain sur Paramount+,.

À l'aube de l'Amérique : bande-annonce

Les westerns ont le vent en poupe. Le succès rencontré par Yellowstone a en effet remis au goût du jour ce genre considéré il y a encore peu comme totalement dépassé. Depuis, toutes les plateformes cherchent à produire leur propre western, afin de capitaliser sur cet engouement inattendu.

Il y a quelques semaines, Netflix a dévoilé sa série Territory conçue comme un Yellowstone australien. Mais alors que l’avenir du programme demeure incertain (une saison 2 n’a pas encore été annoncée), voilà que la plateforme nous dévoile sa toute nouvelle production, cette fois-ci un western parfaitement américain.

Intitulée À l’aube de l’Amérique, cette mini-série nous plonge dans les origines de l’Ouest américain. Le créateur du programme n’est autre que Mark L. Smith, le scénariste du film The Revenant. L’ambiance monochromatique et les paysages enneigés de la série ne sont d’ailleurs pas sans rappeler l’esthétique crépusculaire du long métrage porté par Leonardo DiCaprio.

La distribution d’À l’aube de l’Amérique réunit notamment Taylor Kitsch (John Carter), Dane DeHaan (Chronicle), Betty Gilpin (GLOW) ou encore Jai Courtney (Suicide Squad). Les épisodes sont réalisés par Peter Berg, connu du grand public pour ses blockbusters (Du sang et des larmes, Hancock) mais également comme créateur de la série Friday Night Lights.

Le synopsis officiel du programme est le suivant : "C’est l’Amérique en 1857. L'ordre est renversé, la souffrance omniprésente, et l'innocence ainsi que la tranquillité perdent la bataille face à la haine et à la peur. La paix est devenue une minorité qui s'amenuise, et rares sont ceux qui possèdent la grâce — encore moins nombreux sont ceux qui connaissent la compassion.

Il n'existe aucun refuge sûr dans ces terres brutales, et un seul objectif compte : survivre. À l’aube de l’Amérique est une fiction qui explore la rencontre violente entre la culture, la religion et les communautés, alors que des hommes et des femmes luttent et meurent pour conserver ou contrôler cette terre."

La mini-série À l’aube de l’Amérique est à retrouver dès le 9 janvier prochain en exclusivité sur Netflix.

Mike Myers n'a pas compris tout de suite qu'il s'apprêtait à jouer dans Shrek

Au début des années 2000, alors que l'animation en images de synthèse balbutiait encore et que les génies des studios Pixar venaient de prendre le monde entier par surprise en dévoilant leur époustouflant Toy Story, leurs concurrents de chez Dreamworks s'apprêtaient à contre-attaquer avec leur meilleure carte.

Un détournement animé des contes de fées façon Disney avec comme protagonistes un âne parlant et surtout... un énorme ogre vert ! Personne ne pouvait s'en douter à cette époque-là, mais Shrek allait devenir l'une des sagas les plus lucratives de l'Histoire de l'animation, et un véritable fleuron des studios Dreamworks.

En France, on est habitués à entendre la voix d'Alain Chabat lorsqu'on s'aventure dans le royaume de Fort Fort Lointain, mais c'est le comédien Mike Myers (notamment célèbre pour la trilogie Austin Powers) qui le double dans la version originale du film.

Ainsi qu'il l'a récemment révélé au micro de Vulture, Myers s'est d'ailleurs vu proposer le rôle de Shrek dans des circonstances bien particulières, et pour le moins surprenantes :

"Je suis allé à l'avant-première de Il faut sauver le soldat Ryan, et Jeffrey Katzenberg [ndlr : l'un des fondateurs de Dreamworks] est venu me voir après le film dans le hall avec ses filles, qui se sont mises à faire la danse d'Austin Powers. Je sortais d'un film tellement intense, et j'étais en larmes parce que mes parents avaient connu la Seconde Guerre Mondiale, j'étais en état de choc, et puis elles m'ont fait la danse et je leur ai dit 'Ouais, c'est super.'"

C'est pourtant au terme de cette rencontre plutôt incongrue que Jeffrey Katzenberg a fait à Mike Myers l'une des offres les plus importantes de toute sa carrière. Le comédien raconte :

"Il m'a dit 'Mike, est-ce que tu aimerais faire un film d'animation ?', et j'ai répondu, 'Bien sûr !' Il m'a dit qu'ils étaient en train d'en préparer un, et que ça s'appelait Shrek. Je lui ai dit, 'C'est le pire titre que j'ai entendu de toute ma vie. Ca ressemble au son qu'on fait après avoir vu trop de Molson Canadians [ndlr : une marque de bière canadienne]. Il m'a proposé de venir et de voir ce que ça donnait. J'ai vu le film, et j'ai aimé le fait qu'il tourne en dérision les contes de fées. J'ai trouvé que c'était vraiment, vraiment intelligent."