04 septembre 2020

Annie Cordy : pourquoi elle n'a jamais eu d'enfants

Elle était l'une des chanteuses les plus célèbres de la variété française. Ce 4 septembre, Annie Cordy s'est éteinte à l'âge de 92 ans. Si l'artiste a été amoureuse trois fois dans sa vie, et a eu un grand amour, il n'empêche qu'Annie Cordy n'a jamais eu d'enfants. Il faut dire que la vie de mère de famille et de saltimbanque ne sont pas vraiment faciles à coordonner. Mais si Annie Cordy n'a pas eu d'enfants, ce n'est pas par choix...

L'interprète de "Tata Yoyo" n'a jamais eu d'enfants, car elle ne pouvait pas. Une confidence qu'Annie Cordy avait révélé dans les colonnes de L'Express, à l'occasion d'une interview avec le journaliste Cristophe Carrière. Ce dernier lui avait demandé : "Comment se fait-il, chère Annie, notre grand-mère à tous, que vous n'ayez pas d'enfants ?". Une réponse à laquelle elle avait répondu : "Parce que je pouvais pas en avoir, pardi ! Vous pensez bien que si j'en avais eu, je ne les aurais pas jetés ! De toute façon, avec Nono [son mari Bruno décédé en 1989, ndlr], on n'a pas eu le temps de regretter. On était tout le temps partis !", avait-elle confié.

Pourtant, Annie Cordy était loin d'être seule puisqu'elle avait à ses côtés sa nièce Mimi, qui était à la fois sa manageuse et sa confidente. Une belle relation sur laquelle la chanteuse nonagénaire s'était confiée dans Ici Paris, en 2015. "Avec ma nièce Mimi, la fille de ma sœur [Jeanne, la grande sœur d'Annie Cordy, ndlr], c'est l'amour total, on se complète. J'ai une chance inouïe, ça fait douze ans qu'elle vit avec moi, que je me repose sur elle. J'ai quelqu'un à côté de moi sur qui je peux compter, j'ai une fin de vie exceptionnelle. J'ai vendu mon appartement parisien et on a décidé de s'installer toutes les deux à Cannes", avait-elle expliqué, faisant référence à une maison qu'elle a achetée dans les années 1970. "Sortir, me balader avec mes deux chiens, en tenue de jogging, c'est très chouette ! Je suis très heureuse de ma nouvelle vie", avait-elle ajouté, rapporte Purepeople.

Mort d'Annie Cordy à 92 ans

Annie Cordy, de son vrai nom Léonie Cooreman, commence la danse à l'âge de huit ans et prend des cours de solfège et de piano. Très vite, elle participe à des radio crochets, des concours et fait ses débuts au cabaret le "Boeuf sur le toit" à Bruxelles. Elle est alors remarquée par le directeur artistique du Lido, et est engagée, en 1950, comme meneuse de revue. Dès 1952, elle signe un contrat avec Pathé Marconi, et remporte à Deauville le prix "Maurice Chevallier". Tout en continuant l'opérette, Annie Cordy enregistre ses premiers succès musicaux (Fleur de papillon, Léon, ...).

Elle fait ses débuts en tant qu'actrice en 1953, avec la comédie de Sacha Guitry, Si Versailles m'était conté..., puis tourne aux côtés de Bourvil en 1954 dans Poisson d'avril. Sa carrière sur grand écran est alors lancée. Mais Annie Cordy n'oublie pas pour autant son premier amour : la chanson, puisqu'elle passe en 1955 en vedette à l'Olympia et reçoit le Grand Prix de l'Académie Charles Cros pour la chanson Oh Bessie !. Durant toute sa carrière cette artiste complète alterne cinéma, chanson et scènes (Opérette, théâtre,..). Elle conjugue d'ailleurs parfaitement cinéma et chanson puisqu'elle joue dans de nombreuses comédies musicales notamment Le Chanteur de Mexico aux côtés de Luis Mariano et Bourvil. Mais loin de se contenter d'être présente sur tous les fronts, Annie Cordy s'internationalise, puisqu'en 1956, elle se produit en Allemagne, en Angleterre, à New York, à Rio de Janeiro, puis à Cuba, Mexico, et Porto Rico.

A la fin des années cinquante, Annie Cordy enchaîne les opérettes et les films avec Tabarin de Richard Pottier (1958), Cigarettes, whisky et petites pépées de Maurice Regamey (1959), Ces dames s'en mêlent, en 1964, marque le début de sa collaboration avec le réalisateur Raoul André. Avec Le Passager de la pluie de René Clément, Annie Cordy montre que celle qu'on surnomme la "rigolote" sait émouvoir. Ce qu'elle confirme d'ailleurs dans Le Chat aux côtés de Jean Gabin et Simone Signoret ou dans Rue haute, réalisé par André Ernotte en 1976, pour lequel elle remporte l'Award de la meilleure comédienne. Annie Cordy s'illustre aussi bien dans des comédies musicales que dans des drames.

Pour autant, cette grande dame du music-hall ne délaisse pas la chanson puisqu'elle enregistre en 1974 La bonne du Curé qui se vend à 1 million 800 000 exemplaires, et Tata Yoyo vendu à 1 million d'exemplaires. Avec 6000 galas à son actif, plus de 600 chansons enregistrées, 2 dessins animés doublés (Pocahontas, une légende indienne et Frère des ours), 40 films de cinéma, sans parler des séries télévisées (Orages d'été, Avis de Tempête, Le Tuteur,...) et des téléfilms (L'Avare, Madame Sans-Gêne,...) dans lesquelles elle apparaît, Annie Cordy est une artiste complète qui a su évoluer avec son temps. En 1998, elle a fêté ses 50 ans de carrière et continue de nous étonner par son dynamisme et son enthousiasme. En 2006, elle est à l'affiche du film de Richard Bohringer, C'est beau une ville la nuit, et l'année suivante, dans le film de Laurent Achard, Le Dernier des fous.

A 80 ans passés, Annie Cordy poursuit sa carrière au cinéma et à la télévision, avec des apparitions dans de nombreux films (Le crime est notre affaire, Disco, Le Dernier Diamant) et téléfilms (Je retourne chez ma mère). Elle est en 2014 à l'affiche de Les Souvenirs, troisième long-métrage de Jean-Paul Rouve. La comédienne y interprète la grand-mère touchante de Romain, qui, fatiguée que l'on décide tout pour elle, s'échappe de sa maison de retraite. Elle décède le 4 septembre 2020, à l'âge de 92 ans, quasiment deux années jour pour jour après sa dernière apparition à l'écran, dans le téléfilm Illétré.

Deauville et ses cabines de plage mythiques : d'où vient la tradition des noms de stars ?

Créée vers 1860 par le Duc de Morny, demi-frère de l'empereur Napoléon III, la station balnéaire de Deauville, située en Normandie sur la côte de nacre, possède depuis le début des années 1920 ses célèbres Planches face à la mer. Un lieu de promenade prisé, où il faut voir et être vu. Une promenade indissociable de ses non moins célèbres cabines de plage, qui ont vu le jour au même moment, dans cette France des Années Folles qui voue une passion au culte du corps et au grand air.

Si Claude Lelouch a immortalisé les lieux et marqué la mémoire cinéphilique en tournant ici une superbe scène de retrouvailles amoureuses dans Un homme et une femme, au point d'ailleurs que la ville donnera le nom du cinéaste à la place devant les Bains situés au tout début des Planches, l'heure n'est pas encore à la fameuse tradition des noms de stars hollywoodiennes inscrits sur les cabines de plages.

Né en 1975, le Festival du cinéma américain, qui ouvre sa 46e édition ce 4 septembre, attendra 1987 pour voir naître ce qui est désormais devenu un rituel. Alors maire de la ville, Anne d'Ornano a l’idée d’inscrire les noms des acteurs et réalisateurs sur les lices qui bordent la promenade, à qui le festival a rendu hommage. Chaque année, le même rituel : quatre ou cinq stars américaines viennent prendre la pose devant les photographes, pour inaugurer la cabine de plage à leur nom. Si les inaugurations ne furent pas toujours faites en présence des intéressés, les talents honorés font systématiquement acte de présence depuis 2010.

"Fin août, quand on apprend les noms des stars à qui le festival rendra hommage, on appelle une entreprise pour qu'elle vienne les inscrire" expliquait en 2015 à Ouest France Delphine Barré, la responsable de la communication de la municipalité. L'occasion de rafraîchir la peinture de noms qui ont subi "la pluie, le vent, les tags..." et de reléguer les "vieux" noms fraîchement repeints en bout de promenade, où il restait quelques places libres, afin de libérer une place plus centrale aux nouveaux venus. "Chaque année, j'en repeins entre dix et vingt. Des abîmés et des nouveaux", confiait dans le même article Sébastien Guilbert, salarié de l'entreprise trouvillaise Lettres et décors, en charge de ces travaux; ajoutant : "il y a 25 ans, je peignais les lettres à la main, aujourd'hui, j'applique un pochoir avec le nom de la personne pour peindre plus vite".

Depuis le temps qu'existe cette tradition, et à raison d'environ cinq noms inscrits chaque année sur un total de 450 cabines, la place va inexorablement finir par manquer. D'autant qu'il n'est pas question d'effacer les noms des stars, mis à part, cas exceptionnel, celui d'Harvey Weinstein, emporté par l'affaire qui porte son nom. "On tient une liste et on vérifie régulièrement qu'aucun nom ne manque" assurait en 2015 la chargée de communication de la municipalité. Pourtant, en 2017, il ne restait semble-t-il que... Deux cabines disponibles. Dès lors, que faire ? Inscrire deux noms plutôt qu'un seul ? Contactée par nos soins, l'équipe municipale n'a pas répondu à notre sollicitation. A l'heure où nous écrivons ces lignes, nous ignorons la décision qui a été prise.

Destroyer sur Canal+ : la stupéfiante métamorphose de Nicole Kidman en policière déchue

Réalisé par Karyn Kusama (Girlfight), Destroyer est porté par une Nicole Kidman méconnaissable. L'actrice incarne Erin Bell, une détective de la police de Los Angeles ayant jadis infiltré un gang de braqueurs. Cette mission s'étant terminée de manière tragique, elle a, petit à petit, sombré. Des années plus tard, Erin est une femme détruite et isolée qui tente sans succès de renouer contact avec sa fille qu’elle a trop longtemps délaissée.

Lorsque le chef de la bande (campé par le glaçant Toby Kebbell) qu'elle a connue dans le passé refait surface, elle va reprendre l’enquête pour comprendre les événements qui ont conduit au drame et ainsi apaiser ses démons intérieurs...

Pour être crédible dans ce rôle de femme blessée, Nicole Kidman s'est métamorphosée physiquement : visage terne, yeux cernés, peau abîmée et cheveux grisonnants, l'ex-femme de Tom Cruise apparaît, à l'instar d'une Charlize Theron dans Monster (2003), métamorphosée. Un look en parfaite adéquation avec l’état psychologique d'Erin Bell : son faciès reflète le passage du temps et ses regrets, tout comme sa consommation frénétique d'alcool et de cigarettes.

C’est le chef maquilleur Bill Corso qui s'est chargé de maquiller l'actrice. Par le passé, il a exercé son talent sur divers films, dont Foxcatcher emmené par un Steve Carell inquiétant en milliardaire excentrique. "Quand Bill a commencé à composer le style d’Erin Bell, j’ai compris à quel point elle était brisée et désespérée. Il fallait que je la rende autant authentique à l’intérieur qu’à l’extérieur. Non seulement sur ma peau, mais dans ma silhouette, ma façon de me déplacer", raconte Nicole Kidman.

L'un des objectifs a été de marquer le contraste entre son physique du présent et du passé. Dans les séquences de flashback, Erin Bell possède un teint frais, de légères taches de rousseur ainsi qu'une sorte d’éclat. En revanche, dans les scènes qui se déroulent dans le présent, Bill Corso a utilisé des prothèses pour donner à l’héroïne des taches de soleil et accentuer ses cernes. Le chef maquilleur a également fait en sorte que l'on remarque que le nez d'Erin a été brisé.

La réalisatrice Karyn Kusama explique : "Quand on la voit dans les flashbacks au cours des événements qui ont eu lieu dix-sept ans auparavant, on est encore plus frappé par son déclin. Bill Corso a créé les rides de son visage à l’aide de pointillés qui tirent la peau et tracent des rides de vieillesse. Nicole Kidman détestait rester assise dans le fauteuil de maquillage, mais Bill Corso a réussi à réduire la séance à quarante ou quarante-cinq minutes. C’était aussi long de retirer le maquillage que de l’appliquer."

Par ailleurs, pour rendre Erin Bell crédible au niveau de ses actions, Nicole Kidman a dû apprendre à tirer, à se battre et à se comporter comme quelqu’un qui est à la fois prédateur et proie : "Elle voit le monde à travers les yeux d'un être qui est menacé en permanence. Erin sait tout de suite si elle doit protéger ou attaquer. C’était nouveau pour moi et je voulais que cela soit crédible et juste. Ça m’a pris du temps, mais j’ai fini par adopter une démarche différente, une attitude différente."

Britney Spears : sa dernière tentative pour se débarrasser de l'emprise de son père

Britney Spears a 38 ans, elle travaille depuis l'âge de 8 ans, elle est mère de deux enfants, mais ne peut toujours pas disposer de son argent en 2020. Si son père a enfin démissionné de son rôle pour raisons de santé, c'est dorénavant une certaine Jodi Montgomery qui a le pouvoir sur sa fortune. Heureusement cette dernière se dit dédiée à "protéger contre toute forme d'abus physique ou financier" les personnes victimes de contentieux familiaux.

Cependant cette décision a été prolongée par un juge de Los Angeles jusqu'en février 2021 ! Britney Spears aura moins obtenu que sa sœur Jaime Lynn Spears "personne idéale pour prendre des décisions financières" devienne sa cuatrice lit-on sur eonline. Sa sœur étant en effet "loyale et protectrice de Britney" comme l'a rapporté la source d'eonline, on se se demande pourquoi elle ne reprend pas dès maintenant le rôle de son père. L'homme est resté aux commandes de son argent pendant dix ans et s'est au passage rémunéré 100 000 dollars pour le faire !

L'avocat de Britney Spears s'est exprimé sur les propos tenus par Jamie Spears au sujet du mouvement #FreeBritney, lancé sur les réseaux sociaux par ses fans qui réclament son indépendance financière. Ses propos sont la "conséquence prévisible de ses efforts pour minimiser le nombre d'informations sur l'affaire". Il faut dire que Jamie Spears a de bonnes raisons de sortir la carte du "complot" car il est notamment accusé par la chanteuse de violence sur l'un de ses fils, Sean Preston. "Britney elle-même est opposée avec véhémence aux efforts de Jamie Spears pour décrédibiliser le mouvement de soutien" précise l'avocat Samuel D. Ingham III qui a assuré que la chanteuse "accueille à bras ouverts et apprécie le soutien de ses nombreux fans." Pendant ce temps-là, résiliente Britney tourne sur elle-même dans la grande pièce où elle filme ses publications de danse qu'elle partage sur Instagram... comme Elsa la reine des neiges. Cet été, pas de yacht pour Brit Brit !...

Charles Dumont victime d'une arnaque sur l'autoroute

L'ancien compositeur d'Édith Piaf victime d'un vol sur l'autoroute. Charles Dumont rentrait de vacances avec sa compagne, assis sur le siège passager de sa voiture de la marque Jaguar lorsqu'un véhicule Volvo leur a fait de longs appels de phares. "Une voiture nous a doublés à toute vitesse, puis a ralenti devant nous, nous avons freiné, elle s'est rangée à notre hauteur sur la voie gauche et n'arrêtait pas de nous faire des appels de phare", a raconté Charles Dumont, 91 ans, à La Dépêche du Midi. Les passagers de la Volvo indiquent au couple avoir vu du liquide s'écouler sous le châssis. Après vérification, Charles Dumont et sa compagne constatent que tout va bien et reprennent la route.

Ce n'est que plus tard, au moment de s'arrêter à une station-service pour faire le plein de carburant, que Charles Dumont et sa compagne se sont aperçus que la sacoche e Charle Duont dans laquelle se trouvait avait disparu !

A l'intérieur, la somme de 1500 euros en liquide, une carte bancaire, des papiers d'identité, une paire de solaires et un stylo Montblanc, cadeau de sa compagne. Charles Dumont présume que sa sacoche a été volée au moment où il est sorti de l'habitacle pour vérifier si sa voiture était réellement en panne. Dépité, l'ancien collaborateur d'Edith Piaf, pour qui il a composé 32 titres, a porté plainte. "C'est idiot et terrible, si on n'avait été prévenus, on ne se serait jamais arrêtés."

Jessica Hart attend son premier enfant

Certains l'annoncent avec un baby bump, d'autres avec une échographie, d'autres encore avec un petit doudou... elle a décidé de l'annoncer avec un test de grossesse. Jeudi 3 septembre, Jessica Hart a annoncé sa grossesse, sur les réseaux sociaux. L'ancien Ange Victoria's Secret devenue businesswoman est enceinte de son premier enfant, fruit de ses amours avec son compagnon James Kirkham. L'ex-pilote automobile connaît déjà bien les couches et les biberons, puisqu'il est le papa d'une petite fille prénommée Wren, issue d'une précédente relation.

Sur son compte Instagram, Jessica Hart a posté un selfie d'elle en train de tenir un test de grossesse positif, visiblement peu de temps après le saut du lit. "Je me suis réveillée comme ça", a-t-elle plaisanté au début de sa légende. Puis, la jeune femme de 34 ans en a profité pour y glisser une petite publicité : "Grâce à @firstresponsepregnancy j'ai pu confirmer (deux fois) que @jameskirkham et moi sommes officiellement enceintes. Nous sommes super super excités par cette superbe nouvelle, surtout en ce moment et au milieu de toutes ces nombreuses sombes infos dehors. Quelle bénédiction. Nous sommes incroyablement reconnaissants et heureux !", a-t-elle poursuivi.

Sur sa lancée, Jessica Hart a tenu à parler d'une cause qui lui tient à cœur : "Every Mom Counts". L'association a été créée par le top-model Christy Turlington, en 2010. "Cela me fait penser à toutes ces femmes qui s'apprêtent à devenir mères qui rencontrent des difficultés avec l'accès aux soins et aux médecins en ce moment", a-t-elle poursuivi, en invitant ses followers à faire des dons à l'organisme. "Je ne pourrais pas être plus heureuse que maintenant à cet instant où je partage cette nouvelle avec vous. Je vous aime tous", a conclu la future maman. Dans sa story, Jessica Hart a même partagé ses deux tests de grossesse positifs, plus fière que jamais d'attendre son premier enfant. Selon les informations du Daily Mail, l'ancien mannequin avait été repéré avec un petit baby bump, déjà, en mai dernier. Toute la petite famille qui vit à Los Angeles est donc sur le point de s'agrandir, d'ici quelques mois.

Alyssa Milano : cet inquiétant symptôme du Covid-19 qui ne disparaît pas

Alyssa Milano n'en a pas totalement terminé avec la Covid-19. Comme de très nombreuses personnes à travers le monde, l'actrice a révélé en août dernier avoir été testée positive au virus. Si le plus dur de la maladie est passé, Alyssa Milano est toujours victime de certains symptômes. En effet, elle rapporte encore des "palpitations cardiaques occasionnelles".

Dans un message publié sur Instagram, elle assure cependant qu'elle commence enfin à "se sentir mieux physiquement. Je continue à prendre une aspirine tous les 3 jours pour éclaircir mon sang, de l'huile de poisson, des vitamines D et C, B complexe et du zinc". Et la star de Charmed complète : "J'ai encore des palpitations cardiaques occasionnelles. J'oublie toujours mes mots (le pire absolu). Mais ce n'est pas aussi grave qu'il y a quelques semaines. Je me sens mieux. J'ai eu un scanner de mes poumons et une IRM cardiaque et les deux étaient normaux".

Alyssa Milano confie une autre crainte, celle de voir ses proches contaminés par la Covid-19 : "J'ai parfois très peur. Pas de tomber malade à nouveau mais de voir mes proches qui tombent malades. Je ne veux jamais qu'ils aient ce truc. C'est une bête. Alors je hésite entre être si reconnaissant et si terrifié. Reconnaissant que ce soit moi qui suis tombé malade et terrifié que mes amis ou ma famille soient malades".

Sur les réseaux sociaux, elle avait également alerté l'opinion publique sur la fiabilité des tests mis en place pour dépister le nouveau coronavirus. "Après avoir vécu les quatre derniers mois avec des symptômes persistants tels que des vertiges, des anomalies de l'estomac, des règles irrégulières, des palpitations cardiaques, un essoufflement, une absence de mémoire à court terme et un malaise général, je suis allé faire un test d'anticorps par prélèvement sanguin dans un laboratoire. J'étais positive pour les anticorps au Covid-19". Alyssa Milano avait donc tenu à sensibiliser sa communauté : "Je veux juste que vous sachiez que notre système de test est défectueux et que nous ne connaissons pas les vrais chiffres".

Gwyneth Paltrow : pour fabriquer sa bougie, l'actrice a fait sentir son vagin à son personnel

Ses bougies se sont arrachées comme des petits pains. Il y a quelques semaines, Gwyneth Paltrow a fait son entrée aux rayons "senteurs de la maison" des supermarchés... avec une odeur pour le moins intime. Intitulé "This Smells Like My Vagina", la bougie promet (pour 75 euros) donc de sentir comme le vagin de la comédienne. "C'était vraiment drôle pour nous, mais aussi un peu punk rock. Je pense que les femmes, pour beaucoup d'entre nous, ont grandi en ressentant une certaine honte vis-à-vis de leur corps. C'est donc un peu une bougie subversive pour nous toutes", confiait-elle à la télévision pour tenter d'éteindre la polémique. Au départ, le site de Goop - sa marque - indiquait que l'idée de cette bougie était née d'une blague entre Gwyneth Paltrow et le parfumeur Douglas Little. Alors qu'ils cherchaient de nouvelles senteurs, elle se serait exclamée : "Oh ça sent comme mon vagin".

Et pour que cette bougie voit le jour, Gwyneth Paltrow n'a reculé devant rien. L'actrice a même demandé à ses employés d'être dévoués au processus de conception... puisqu'elle leur a fait sentir son vagin. "Pour l'équipe Goop, sentir le vagin de Gwyneth est devenu un jour basique au bureau, s'est amusé le responsable de la conception et du merchandising de la société dans les colonnes de Closer US. Elle est l'incarnation ultime de la marque, et cela signifie assurer son authenticité avec les produits." Mais pas de panique, cette bougie ne sent en réalité pas vraiment le vagin de Gwyneth Paltrow. A mois qu'il ne fleure bon le géranium, la bergamote aux agrumes, le cèdre, la rose de Damas et la graine d'ambrette... mais on en doute.

Le responsable a également révélé que le personnel de Goop essayait souvent des jouets sexuels au bureau. "Vous trouverez des membres du personnel assis à leur bureau avec un tas d'aiguilles au visage ou portant un collier vibrateur tout en discutant des jouets sexuels qui leur ont donné le meilleur orgasme ce week-end, a-t-il poursuivi. C'est l'environnement le plus hilarant, merveilleux et fou." Après avoir lancé avec succès sa première bougie, Gwyneth Paltrow a réitéré. Cette fois-ci, c'est l'odeur de ses orgasmes qu'elle promet de faire sentir ou plutôt la tarte au pamplemousse, le néroli, le cassis, le thé vert et enfin la rose turque. Et faut croire que ses idées de "controverse positive" plaisent puisque sa société pèse environ 250 millions de dollars, selon le magazine Fortune.

Bande-annonce de Mandibules

Jean-Gab et Manu, deux amis simples d’esprit, trouvent une mouche géante coincée dans le coffre d’une voiture et se mettent en tête de la dresser pour gagner de l’argent avec. Rien de plus normal dans l'univers farfelu de Quentin Dupieux.

Comme d'habitude avec le réalisateur français, Mandibules promet une galerie de personnages tous plus barrés les uns que les autres, en témoignent les premières images dévoilées aujourd'hui. A commencer par celui incarné par Adèle Exarchopoulos, qui montre ici une toute nouvelle facette de son talent dans le rôle d'Agnès, une jeune femme qui parle un peu fort depuis un accident de ski.

Face à elle, Quentin Dupieux réunit les deux comparses du Palmashow, David Marsais et Grégoire Ludig, deux ans après avoir dirigé ce dernier en solo dans Au Poste !. Et à en croire cette bande-annonce, le duo en nuque longue s'intègre parfaitement dans le monde absurde du metteur en scène. A noter également la présence au générique du rappeur belge Roméo Elvis, qui fait ici ses premiers pas en tant que comédien et semble plutôt bien s'en sortir.

Présenté hors compétition au festival de Venise, Mandibules est attendu dans les salles le 2 décembre.