07 août 2020

K 2000 : la série culte adaptée au cinéma par James Wan

K 2000 sera bientôt de retour... sur grand écran ! Selon Deadline, Spyglass Media Group, qui produit notamment Scream 5, dont le tournage va bientôt démarrer, développe actuellement une adaptation cinématographique de la série culte des années 80 créée par Glen A. Larson et portée par David Hasselhoff. Ce film Knight Rider (titre de la série en version originale) sera écrit par TJ Fixman, un scénariste qui vient du jeu vidéo, où il a travaillé notamment sur Ratchet & Clank et Resistance: Fall of Man, et sera produit par James Wan (Aquaman, Saw, Conjuring) et Michael Clear via la société Atomic Monster.

L'intrigue de cette adaptation est pour le moment tenue secrète mais, toujours selon Deadline, le long métrage devrait être une revisite moderne de la série qui en conservera le ton "antisystème". Diffusée de 1982 à 1986, le temps de quatre saisons, sur NBC, K 2000 suivait les aventures de Michael Knight, un justicier travaillant pour le compte de la mystérieuse organisation F.L.E.G. (Fondation pour la Loi et le Gouvernement) dont la mission était de combattre le crime et les injustices au volant de KITT, sa voiture intelligente et indestructible. La série a donné naissance à plusieurs suites et adaptations à la télévision, dont K 2000 : La Nouvelle arme en 1991, un téléfilm toujours emmené par David Hasselhoff, et un remake porté par Justin Bruening (Grey's Anatomy, Sweet Magnolias), intitulé Le Retour de K 2000, qui a été annulé au bout d'une saison en 2009. Mais c'est la première fois qu'elle connaîtra les honneurs du grand écran.

Avec ce nouveau projet, James Wan confirme qu'il est bel et bien l'un des réalisateurs-producteurs les plus prolifiques d'Hollywood. Notamment aux commandes en tant que producteur du prochain Mortal Kombat réalisé par Simon McQuoid, mais aussi d'une adaptation de Salem's Lot de Stephen King et de Spirale : L'héritage de Saw, il est récemment revenu derrière la caméra pour mettre en boîte le film d'horreur Malignant et devrait prochainement réaliser le second volet d'Aquaman.

Hugh Jackman : ce choc familial qui a marqué son enfance

À 51 ans, Hugh Jackman est un acteur mondialement reconnu. Si depuis de nombreuses années, il peut compter sur le soutien et l'amour de ses fans, il a manqué pendant son enfance de la présence d'une mère. En effet, cette dernière a quitté son père lorsqu'il n'avait que huit ans. Dans un entretien accordé à Public, la star de la saga X-Men a accepté de revenir sur cet épisode douloureux : "Un matin, ma mère m'a dit au revoir, en me souhaitant une bonne journée à l'école. De retour à la maison, avec mes deux frères et mes deux sœurs, on s'est aperçus qu'elle avait plié bagage. Ce n'est que le lendemain que nous avons eu des nouvelles : par télégramme, elle nous annonçait qu'elle nous quittait pour s'installer en Angleterre."

Cadet d'une fratrie de cinq enfants, Hugh Jackman est très proche de son père, à qui il voue une réelle admiration : "Pendant des mois, j'ai vu mon père souffrir en silence, prier pour qu'elle revienne. Il aurait pu s'effondrer, mais non. Il s'est occupé de nous tout seul et il s'est défoncé pour nous payer de bonnes écoles." Ainsi, le comédien est diplômé en journalisme. Il explique : "Mon père m'avait demandé de faire des études : acteur n'était pour lui pas un métier, mais un hobby." Avec un seul salaire et six bouches à nourrir, le frigo n'était pas toujours plein. Hugh Jackman se souvient : "Mon père n'avait qu'une idée en tête : que nous recevions la meilleure éducation. Une grosse partie de son salaire partait là-dedans." Alors, la star est restée loin des soirées hollywoodiennes et n'a cessé de travailler : "Voir mon père travailler si dur m'a vacciné contre les pétages de plombs. Il était célibataire, bossait sans relâche : j'aurais été ingrat de lui causer des misères."

Si le comédien pourrait parler de son père pendant des heures, c'est pour le site américain Hollywood Reporter qu'il avait confié l'année dernière que le départ de sa mère avait fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui : "Ma mère nous a abandonnés pour retourner vivre en Angleterre. J'ai vraiment été traumatisé par son départ, mais c'était surtout très embarrassant vis-à-vis des autres. Divorcer n'était pas quelque chose d'aussi commun qu'aujourd'hui. Enfin, ce n'était pas si inhabituel, mais le fait que ce soit ma mère qui quitte homme et enfants, l'était davantage aux yeux des gens. Je me souviens de ce sentiment et il m'a changé, il a beaucoup participé à l'homme que je suis devenu." Alors que cette dernière ne revenait leur rendre visite qu'une fois par an, il explique : "J'ai compris que la vie ce n'était pas du Disney. Qu'il n'y avait pas forcément toujours des fins heureuses." Alors qu'il a fondé sa propre famille avec son épouse, Debbie-Lee Furness, le comédien est cependant plus heureux que jamais !

Chiara Mastroianni : ce trésor de Catherine Deneuve qui a égayé son enfance

"Chez nous, il y avait une boîte aux trésors extraordinaire, un petit cahier, hyper bien fait, très ludique, avec des centaines de titres répertoriés, classés par numéro...", se souvient Chiara Mastroianni dans les pages du ELLE du 7 août. Celle qui vient de remporter le prix de la meilleure actrice pour son rôle au festival du film de Cabourg, a livré des détails sur son enfance rythmée par une passion pour le cinéma transmise par sa mère, Catherine Deneuve. "Cela correspondait aux centaines de cassettes VHS qu'elle avait enregistrées elle-même : des films qui passaient au "Ciné-Club", au "Cinéma de minuit" sur les chaînes publiques, qui en diffusaient alors beaucoup plus. Une vraie cinémathèque privée, avec des pépites, c'était très formateur", poursuit-elle.

Pour Catherine Deneuve et Marcelo Mastroianni, le cinéma était plus qu'un métier. "On ne parlait pas de leur travail, ou alors comme ça, mais des films à vous, de ceux qu'on avait vus. Et puis le cinéma justifiait beaucoup de choses, sur le mode de "tu peux te coucher plus tard exceptionnellement", ça marchait.", explique-t-elle.

Dans ce même entretien, l'actrice de 48 ans, s'est confiée sur ses premiers émois cinématographiques. "Un Dracula ! mais attention, celui avec Béla Lugosi (1931)...", raconte-t-elle avant de poursuivre que sa mère "adorait les films de vampires, elle était assez attachée à l'idée de me les faire découvrir. Ça n'avait rien à voir avec les trucs gores d'aujourd'hui, mais la simplicité n'empêche pas la frayeur. Je garde un souvenir de peur et d'excitation." Pour ce qui est de l'émotion, elle se souvient ne pas avoir pu regarder Bambi jusqu'à la fin et avoir pleuré pour E.T au cinéma avec ses parents. Ces derniers se seraient d'ailleurs pris la tête car "lui ne supportait pas de me vois dans cet état de tristesse absolue. Alors qu'elle en était convaincue : c'est normal de pleurer au cinéma".

Pixar : un festival virtuel pour fêter les 25 ans de Toy Story

En 1995 débarquaient dans les salles obscures les futurs héros iconiques Buzz et Woody dans le tout premier long-métrage d'animation en images de synthèse de l'Histoire : Toy Story. 25 ans plus tard, Pixar met à l'honneur ce film révolutionnaire lors de La Fête Pixar, un festival virtuel qui devrait réjouir tous les amateurs français du studio.

Dès le 9 août prochain et jusqu'à la fin du mois, cet évènement inédit vous permettra de replonger dans l'univers de Toy Story grâce au film et ses courts-métrages dérivés disponibles sur Disney+. Des séances hebdomadaires de visionnages collectif sur la page Facebook Disney-Pixar des oeuvres emblématiques de la firme tels que Cars (16 août), Vice Versa (23 août) et Les Indestructibles (30 août), ainsi que des quiz et des concours pour remporter des goodies, vous permettront de vivre pleinement le Festival depuis chez vous.

En ouverture de la Fête Pixar, Disney dévoile un visuel inédit réalisé lors de la production de Toy Story :

L'occasion parfaite pour les fans du monde entier, petits et grands, de retrouver leurs films préférés autour de diverses activités et d'en apprendre davantage sur l'histoire du studio au 21 Oscars. Une nouvelle gamme de produits - parmi lesquels la collection Alien Remix -  sera également mise en vente sur shopDisney.fr.

Et en attendant Soul, le prochain long-métrage d'animation du studio prévu le 25 novembre 2020, retrouvez un large catalogue de contenus Pixar sur Disney+, des grands classiques comme Le Monde de Nemo aux récents courts-métrages comme SparkShorts.

Les nouveautés Disney+ du 7 au 13 août

 Nouveaux épisodes de séries Originales :

Dimanche en famille – épisode 40 : Le pot à crayons Dingo (final)

Une Journée à Disney – épisode 36 : Ryan Meinerding : directeur de la création chez Marvel Studios

Pixar en vrai – épisode 8 : Wall-E : le stand BNL

Ajouts au catalogue :

Alex & Co – Saisons 1 à 3

Big Sur : Wild California

Mech-X4 – Saisons 1 & 2

Once Upon a Time – Saisons 1 à 3

Le Monde de Narnia : L'Odyssée du Passeur d'Aurore

Prince Harry et Meghan Markle : leur mission très discrète pour un changement radical

Nouvelle mission pour le prince Harry et Meghan Markle. Dans un article d'opinion pour le magazine économique américain Fast Company, on apprend que le couple s'est lancé un nouveau défi : repenser les réseaux sociaux pour qu'ils soient moins cruels. Le prince Harry a d'ailleurs déclaré que les médias sociaux, dans leur état actuel, n'étaient "pas bien". Selon lui, ces réseaux alimentaient une " crise de haine ". Pour en finir avec toute cette violence ingérable, il a demandé aux entreprises de repenser leur rôle lorsqu'elle accepte de faire de la publicité sur les plateformes numériques. Avec sa femme, ils ont donc passé les dernières semaines à travailler avec des chefs d'entreprise et des responsables de marketing sur cette problématique afin de se diriger vers un changement positif.

"Le paysage numérique n'est pas bien et des entreprises comme la vôtre ont la possibilité de reconsidérer leur rôle dans le financement et le soutien des plateformes en ligne qui ont contribué, alimenté et créé les conditions d'une crise de haine, d'une crise de santé et d'une crise de la vérité", a encore expliqué le frère du prince William. Il a ainsi demandé aux entreprises d'être plus "définie plus par la compassion que par la haine ; par la vérité au lieu de la désinformation ; par l'équité et l'inclusivité au lieu de l'injustice et de la peur ; par la parole libre, plutôt que militarisée." Une prise de position forte qui ne peut qu'être soutenue par Meghan Markle qui se bat depuis de nombreuses années contre les discriminations et toutes les formes de violences.

Cette campagne de réforme des réseaux sociaux a été lancée en juin 2020, en même temps que le lancement du mouvement Stop Hate for Profit. Elle a été gérée par une coalition d'organisations à but non lucratif qui a demandé aux entreprises d'arrêter leurs publicités sur Facebook afin d'obliger son PSG, Mark Zuckerberg, de s'attaquer plus efficacement aux discours de haine sur sa plateforme.

06 août 2020

Jean-Paul Belmondo : qui est son ex-compagne Carlos Sotto Mayor, dont il est très proche depuis quelques mois

Elle fut l'une de ses grandes amours. Pendant plusieurs années, Carlos Sotto Major a fait battre le cœur de Jean-Paul Belmondo. Tous les deux se sont rencontrés dans les 80, alors que l'acteur venait de se séparer de Laura Antonelli. Celui que l'on surnomme "Bebel" et la comédienne brésilienne se sont rencontrés grâce au film Le Marginal de Jacques Deray, dont ils ont partagé l'affiche, en 1983. Lui y incarnait un commissaire aux méthodes de voyou, et elle une prostituée qui s'acoquine avec un policier. Un long-métrage qui rencontra un beau succès, avec 5 millions d'entrées.

Leur idylle a doucement continué, puis les deux acteurs ont joué ensemble dans le film Joyeuses Pâques, adaptation de la pièce de Jean Poiret, sorti en 1984. Trois ans plus tard, en 1987, ils jouent de nouveau dans le film Le Solitaire, considéré comme le dernier film d'action de Jean-Paul Belmondo, qui se tournera ensuite vers le théâtre. Par ailleurs, c'est la belle Carlos Sotto Major, qui est aussi chanteuse, qui a interprété la chanson du générique du long-métrage. Trois films donc, et six années d'amour, lient Jean-Paul Belmondo et Carlos Sotto Major, qui avaient fini par se séparer à la fin des années 80.

Après leur séparation, les anciens tourtereaux étaient restés en bons termes, et le sont toujours. Ces derniers mois, l'acteur âgé de 87 ans a été aperçu à plusieurs reprises en compagnie de l'actrice et chanteuse brésilienne, elle âgée de 59 ans. Les deux amis ne cachent pas leur complicité sur leurs réseaux sociaux respectifs. Au mois de juillet dernier, tous les deux s'étaient rendus au Studio fragrances Galimard de Grasse, pour concocter un parfum, intitulé "Marginal", comme l'avaient fait savoir nos confrères de Nice-matin. Certainement en l'honneur du film qui les a fait se rencontrer, c'était il y a 37 ans.

Eva Longoria raconte comment elle a "failli mourir" lors de son dernier Festival de Cannes

Le dernier passage d'Eva Longoria sur la Croisette ne fut pas un excellent souvenir pour l'actrice. Alors qu'elle devait monter les marches du Festival de Cannes 2019, et réaliser dans la foulée son premier sport publicitaire pour la marque l'Oréal, la comédienne a rencontré un important souci de santé. L'ancienne tête d'affiche de la série Desperate Housewives a même confié avoir "failli mourrir sur la Croisette" dans une interview accordée au magazine Gala. En fait tout a commencé peu de temps après son arrivée dans le sud de la France.

"Juste après l'atterrissage, je suis allée faire un footing. Vers 18 heures, j'ai commencé à ne pas me sentir bien. Je me suis reposée, puis j'ai mangé, mais j'avais vraiment mal à l'estomac" explique Eva Longoria qui croyait tout simplement faire une intoxication alimentaire à ce moment-là. Malheureusement pour elle, le pire restait encore à venir. "Vers 3 heures du matin, j'ai demandé à mon garde du corps de me conduire aux urgences de l'hôpital. C'était une crise d'appendicite. Après l'opération, ils m'ont dit que je devais rester trois jours à l'hôpital. Mais il en était hors de question" a révélé la comédienne.

Refusant catégoriquement de renoncer à la montée des marche et d'annuler ses engagements, Eva Longoria a donc quitté l'hôpital. "Pour me laisser sortir, l'hôpital m'a demandé de signer une décharge et d'engager pendant quelques jours une infirmière qui reste à mes côtés pour m'apporter les soins nécessaires" indique l'actrice. Séjournant à l'Hôtel Martinez, Eva Longoria révèle avoir été placée "sous perfusion" et avoir pris des antibiotiques à ce moment-là.

Malgré son état de santé préoccupant, la comédienne s'est tout de même rendue à la montée des marches comme si de rien n'était. "Mais juste après je me suis effondrée" avoue-t-elle. "Le lendemain j'ai quand même tourné la publicité, puis j'ai passé les deux semaines suivantes clouée au lit pour récupérer" a poursuivi Eva Longoria, tout en reconnaissant que "ce n'était pas vraiment intelligent d'avoir agi ainsi".

Fantômas contre Scotland Yard sur TMC : pourquoi Jean Marais était-il jaloux de Louis de Funès ?

Après Fantômas (1964) et Fantômas se déchaîne (1965), un troisième opus voit le jour en mars 1967. Dans Fantômas contre Scotland Yard, le malfrat aux mille visages (Jean Marais) cherche à imposer aux riches (nobles mais aussi magnats de la pègre) un impôt sur le droit de vivre... Le commissaire Juve (Louis de Funès) tente à nouveau de l'arrêter.

Le tournage de Fantômas contre Scotland Yard commence sept semaines après celui de La Grande Vadrouille, le 26 octobre 1966. Fort des succès du Gendarme de Saint-Tropez et du Corniaud, de Funès devient une star incontournable. Un statut qu'il n'a pas autant sur Fantômas se déchaîne et surtout Fantômas, dont la vedette est indéniablement Jean Marais.

Ayant parfaitement compris la situation, le metteur en scène André Hunebelle veut faire de Juve LE personnage central du film. Ainsi, il laisse de côté l'esprit James Bond et offre de nombreuses séquences comiques à de Funès... Au point d'éclipser Jean Marais : ses scènes, aussi secondaires que conventionnelles, s'effacent devant celles du commissaire.

Conséquence : la mésentente entre les deux comédiens, déjà palpable sur les deux précédents films, atteint ici son paroxysme. Et pour ne rien arranger, Jean Marais, à l'approche de la cinquantaine, a du mal à réaliser ses cascades (notamment celles à cheval).

L'actrice Mylène Demongeot, qui joue Hélène, avait expliqué : "Je pense que Jean Marais souffrait sur ce tournage. C'était un homme qui avait été tellement reconnu, tellement adulé. Mais comment lutter contre la force incroyable de de Funès ? Dès les répétitions, on pleurait de rire..." (Source : "Louis de Funès,  grimaces et gloire" de Bertrand Dicale)

Cette hiérarchie se retrouve au niveau des cachets. Si Marais touche plus que de Funès sur les deux premiers Fantômas, ce troisième volet voit la tendance s'inverser : l'interprète du commissaire Juve reçoit 500 000 francs et celui de Fantômas 400 000.

Fantômas contre Scotland Yard réalise pas loin de 3,5 millions d'entrées en France. Un score inférieur à celui du premier film (4,5 millions) et du second (4,2 millions). Un quatrième opus est tout de même prévu. Mais Jean Marais et Louis de Funès ne veulent pas se retrouver, d'autant plus que la franchise s'essouffle. Le projet est donc tout simplement enterré.

Marc Lavoine mariée à Line Papin : comment il lui a demandé sa main à trois reprises

Marc Lavoine n'est pas du genre à enchaîner les relations alors quand il décide de s'engager, il ne fait pas les choses à moitié et s'investit pleinement. Le 25 juillet 2020, Marc Lavoine épousait la nouvelle femme de sa vie lors d'une cérémonie en petit comité célébrée par Anne Hidalgo à la mairie du Ve arrondissement de Paris. Si aujourd'hui, l'interprète de Elle a les yeux revolvers peut dire fièrement que Line Papin est son épouse, il s'est assuré à plusieurs reprises de lui faire comprendre ses intentions.

Dans un entretien accordé à Paris Match qui a publié ce jeudi 6 août 2020 les premières photos du mariage de Marc Lavoine et de Line Papin, l'hebdomadaire rapporte que le chanteur a demandé la main de la romancière de 24 ans à trois reprises. "La première, dans un taxi parisien avec une bague. La deuxième, devant ses parents, en leur demandant sa main. La troisième pour ses 24 ans, le 30 décembre, en posant genou à terre devant tous ses amis", détaille Paris Match.

Pour Line Papin désormais Lavoine, le mariage n'est pas seulement un engagement administratif. La jeune femme pense que "se marier, c'est faire se rencontrer deux familles, avec leurs deux histoires fortes, et c'est aussi en fonder une". Et sur ce sujet, les deux tourtereaux sont d'accord. "Penser ma vie sans la voix de Line m'est devenu impossible. Officialiser notre union, c'est important, car il faut qu'on prenne notre place. Une amour, il s'excuse, finit par disparaître. Il faut accepter de dire : c'est nous, et ce n'est pas négociable. Nous avons des pages à écrire et elles passent par ce moment-là.", a confié Marc Lavoine. En ce qui concerne leur différence d'âge de 33 ans, le couple n'y pense pas. Line Papin confie même que "souvent l'impression d'être plus mature" et que lors de leur premier rendez-vous, "Ce n'était pas Marc Lavoine que j'avais en face de moi, mais un petit garçon timide et maladroit".