10 décembre 2025

Bientôt un biopic sur John Wayne ?

Après Charlie Chaplin ou Marylin Monroe, une autre figure mythique d’Hollywood pourrait avoir droit à son biopic. En effet, Deadline nous apprend aujourd'hui que le studio Teton Ridge Entertainment, spécialisé dans les contenus sur l’Ouest américain, vient de signer un contrat avec John Wayne Enterprises pour obtenir les droits exclusifs de la vie du plus célèbre des cow-boys de cinéma. Un accord qui concerne aussi bien le grand écran que la télévision et des programmes scriptés ou non.

Le deal étant tout frais, il est encore trop tôt pour savoir à quel genre d’oeuvres sur John Wayne les fans peuvent s’attendre mais une chose est sûre, le film ou la série qui en découlera sera bien renseigné. En effet, grâce à ce partenariat, Teton Ridge Entertainment aura accès à de très nombreuses archives personnelles de l’acteur de Rio Bravo et La Prisonnière du désert dont des lettres, journaux, photos et vidéos.

Ce futur biopic ou documentaire sera produit par Bill Gerber, déjà à l’oeuvre sur des succès tels que A Star is Born et Gran Torino, qui travaillera main dans la main avec Ethan Wayne, l’un des septs enfants de celui qui a marqué de son empreinte le monde du cinéma, et plus particulièrement le genre du western, dont il est l’icône incontestée, mais aussi celui des films de guerre.

"J'ai perdu mon père à 17 ans, un âge où un jeune homme a besoin d'une figure paternelle forte. Ce projet me permet d'approfondir ma connaissance des personnages qu'il incarnait à l'écran, ainsi que de l'homme qu'il était hors caméra : la masculinité incarnée, ancrée dans l'intégrité, le courage et une gentillesse authentique", a fait savoir Ethan Wayne, également acteur et qui a tourné deux fois avec son père quand il était enfant. Puis d’ajouter : "Il donne également à notre famille l'occasion de faire découvrir John Wayne à une nouvelle génération."

Car si l’acteur est toujours très populaire pour toute une génération, il y a effectivement fort à parier que les plus jeunes ne connaissent pas l’immense filmographie de celui qui est décédé en 1979 à l’âge de 72 ans après avoir fait rêver de grands espaces les spectateurs pendant six décennies.

Love Me Tender avec Vicky Krieps et Antoine Reinartz : l'adaptation de ce livre très remarqué arrive enfin au cinéma

Une fin d’été, Clémence annonce à son ex-mari qu’elle a des histoires d’amour avec des femmes. Sa vie bascule lorsqu'il lui retire la garde de son fils. Clémence va devoir lutter pour rester mère, femme, libre.

5 ans après la sortie du livre de Constance Debré, l'adaptation de Love Me Tender arrive au cinéma. Ce récit inspiré directement de la vie de l'autrice avait reçu un très bel accueil critique en France. Un livre uppercut, dont la radicalité avait marqué ses lecteurs, et connait désormais un rayonnement à l'international.

L'écriture et la mise en scène ont été confiées à Anna Cazenave Cambet. Et pour incarner le personnage de Constance Debré, renommé Constance, c'est l'actrice Vicky Krieps qui a été choisie. Rôle qui lui vaut une nomination de la meilleure actrice aux European Film Awards qui seront décernés le 17 janvier 2026 à Berlin. Love Me Tender version film a été sélectionné à Un Certain Regard à Cannes et de nombreux festivals depuis 6 mois. Nous avons rencontré Anna Cazenave Cambet et Vicky Krieps à Cannes.

"J'ai l'impression que c'est un personnage qui manquait dans mon paysage de cinéma. Quand je rencontre ce personnage [dans le livre de Constance Debré], il me fait du bien, en tant que femme, en tant que mère, en tant que personne queer. Je lis ce livre en me disant "tiens, c'est une voix qui me porte quelque part", explique Anna Cazenave Cambet, réalisatrice et scénariste.

Elle ajoute : "Pour autant, c'est un personnage loin de moi, à plein d'endroits. Mais c'est une voix qui manquait. J'avais l'impression que mes dernières images de mère, autrice, libre que j'avais, c'était Duras, Sagan... Ca remontait quand même ! Disons que quand je lis Love Me Tender, il y a des questions qui sont posées, et qui me semblent être capitales. Elle lève le voile sur certains tabous. Je crois que toute femme qui a un enfant, qui projette d'en avoir, ou qui a été l'enfant d'une femme sait que quand on devient mère, ça vient avec tout un tas d'injonctions et d'exigences vis-à-vis de nous. C'est un personnage qu'il était important de porter à l'écran."

Love Me Tender se pose comme une adaptation assez libre du livre publié chez Flammarion, avec un personnage moins radical, plus doux, et tendant vers quelque chose de plus romantique que dans le livre. Est-ce une volonté de rendre le personnage un peu plus aimable, plus rond ?

"Ce n'est pas quelque chose que j'ai conscientisé", nous répond Anna Cazenave Cambet. "J'ai une tendresse infinie pour le personnage dans le livre.

Et de se remémorer les remarques qui lui ont été faites au moment de lancer le projet : "Quand j'aborde l'adaptation, tout le monde me disait : 'elle est tellement dure, ce livre est tellement dur', et je suis même un peu étonnée. C'est parce qu'on n'a pas l'habitude de voir une feOn m'avait dit : 'mais comment on peut s'identifier à elle ?' 'Et si jamais on n'a pas d'empathie ?' Qu'est-ce que c'est que cette obsession de l'empathie chez les femmes ? C'est vraiment une obsession sur la question du féminin, parce que des personnages de mecs absolument antipathiques, qu'on suit pendant deux heures faire des trucs dingues, buter tout le monde, et on dit waouh cet acteur est incroyable, coucher avec des prostituées, les traiter mal, ça pose problème à personne !"

A l'inverse des premiers avis sur ce projet, Anna Cazenave Cambet considère qu'il s'agit d'"un personnage très universel, qui parle aux hommes, qui parle aux jeunes pères, qui parle aux femmes âgées".

Vicky Krieps complète : "Je crois que le spectateur est presque remerciant de personnages comme ça. Le spectateur a envie qu'on laisse un peu d'espace d'interpréter, de trouver de la douceur dans quelque chose qui semble dur, et se faire sa propre idée. Comme si la trajectoire des femmes devait toujours être expliquée. On n'a pas le droit de ne pas être compris."

Dans son approche du rôle de Clémence, Vicky Krieps nous confie ne pas avoir eu le temps de se lancer dans une préparation physique particulière. Néanmoins, la préparation d'un rôle va au-delà de cela pour elle. "Pour moi, le plus important, c'est que je ressens, c'est plutôt quelque chose d'intuitif. Je ne peux pas l'expliquer, c'est là ou ce n'est pas là. (...) Je suis cette intuition un peu yeux fermés. On a comme un instinct du corps."

Elle poursuit : "Anna Cazenave Cambet me raconte dans quel monde se trouve le personnage. Quel est son style ? Qui sont les gens qui l'entourent ? J'entends tout ça. Et il y a une réponse intuitive de mon corps qui prend forme. J'aurais vraiment bien aimé m'entraîner, mais je n'ai pas pu. J'ai essayé de copier, mais par l'intérieur, l'énergie d'une femme qui nage parce qu'elle a toute cette colère, parce que c'est le seul endroit où elle peut lâcher, parce qu'il faut s'entraîner pour survivre un peu. Toutes ces choses m'informent."

Après De l'or pour les chiens, Love Me Tender est le second long métrage d'Anna Cazenave Cambet. Ces deux films ont en commun d'avoir une vraie réflexion sur la place laissée à l'intimité, et en particulier comment le sexe est filmé.

"Je me pose la question des scènes d'intimité depuis que j'ai commencé à faire du cinéma. Qu'est-ce que veut dire la scène ? Qu'est-ce qu'elle raconte de plus ? A quel moment elle vient nourrir le personnage ? Que ça ne réponde pas juste à une envie esthétique. Il est important pour moi que les scènes d'intimité soient des scènes narratives, qu'elles viennent nous raconter quelque chose sur les personnages. C'est capital pour moi. Ensuite, il y a l'enjeu de filmer ici une sexualité entre femmes. Je m'attachais à ce que ce soit une sexualité, où le consentement soit très souvent renouvelé. On va raconter une sexualité qui est quand même érotique, mais qui est dans une forme de jeu, de consentement. C'est quelque chose qui m'intéresse dans le travail".

Love Me Tender est au cinéma ce mercredi 10 décembre.mme comme ça. Si c'était un homme, il n'y aurait aucun problème.

09 décembre 2025

Justin Theroux et Nicole Brydon Bloom vont être parents pour la première fois

Justin Theroux a retrouvé le sourire depuis son divorce avec Jennifer Aniston. Quelques années après s'être séparé de la star de The Morning Show, qui vit aujourd'hui une belle histoire d'amour avec Jim Curtis, l'acteur, vu récemment dans Beetlejuice Beetlejuice, a échangé ses vœux avec sa nouvelle compagne, Nicole Brydon Bloom, de 23 ans sa cadette, au Mexique. Après avoir été photographiés en train d'échanger un baiser lors d'un rendez-vous romantique, le couple d'acteurs a fait sa première apparition publique sur le tapis rouge des Oscars Vanity Fair en mars 2024. Si peu de détails sur leur cérémonie de mariage ont été dévoilés, Justin Theroux avait néanmoins fait des confidences concernant sa demande en mariage à sa bien-aimée. "Bien sûr, j'étais nerveux à l'idée de faire ma demande. Après tout, c'est une question, la réponse n'est donc pas garantie. Mais c'était merveilleux", confiait-il dans les pages du Times.

Quelques mois après s'être unis en présence de leurs proches, Justin Theroux et Nicole Brydon Bloom attendent un heureux événement. Le magazine américain People a confirmé ce mardi 9 décembre que les jeunes mariés vont devenir parents pour la première fois. Une nouvelle qui survient après que l'actrice américaine a fait une apparition remarquée sur le tapis rouge de la saison 2 de Fallout. Aux bras de son époux, elle a laissé apparaître son ventre déjà bien arrondi en portant une somptueuse robe longue à sequins marron qui lui allait à ravir. Une tenue hyper près du corps qui ne laissait que très peu de place au doute.

Nicole Brydon Bloom n'est pas aussi célèbre que Jennifer Aniston, mais elle est loin d'être une inconnue du petit écran. Fille du regretté journaliste américain David Bloom, l'actrice de 31 ans a commencé sa carrière en apparaissant dans The Affair et New York, Unité spéciale. Après The Gilded Age et We Were The Lucky Ones, elle s'est véritablement fait connaître en tenant l'un des rôles principaux de la série Paradise, dont la saison 2 arrive dès février prochain sur la plateforme Hulu.

Critiqué sur la propreté de sa cuisine, Elton John enfile des gants de ménage pour prouver le contraire

Elton John voulait partager l’esprit des fêtes en postant une vidéo sur Instagram dans laquelle son tube Step Into Christmas surgissait dès qu’il ouvrait un meuble de sa cuisine, pour montrer à quel point son titre de 1974 l’obsédait à l’approche des fêtes de fin d’année. Et pourtant, c’est une volée de bois vert qu’a reçue le chanteur, lui qui était plutôt habité par l’esprit de Noël.

En effet, certains ont trouvé l’état de propreté de sa cuisine plutôt douteux. Et cela a choqué Sir Elton, qui, ni une ni deux, s’est retroussé les manches pour enfiler ses plus beaux gants de ménage, roses, brodés de plumes rouges et décorés de notes de saison, vidéo à l’appui. Le musicien s’est ensuite attelé à restaurer sa dignité dans un second message sur Instagram.

« Bonjour à tous, c’est Elton John qui vous parle », a commencé la star de 78 ans, qui semblait encore vexée par les insinuations concernant son hygiène. « Il y a quelques semaines, j’ai fait des vidéos dans cette cuisine pour montrer à quel point Step Into Christmas me rendait fou. »

Encore sous le choc, il précise dans une première vidéo qu’« une grande partie des réactions étaient négatives et concernaient la saleté de (s) on four », notamment la porte de l’équipement. Assurant qu’il n’y avait « rien de sale » chez lui, Elton John a alors voulu prouver en images quel genre de fée du logis il était.

Après avoir aspergé la vitre de spray nettoyant, le chanteur, habillée d’un ensemble Gucci peu commun pour faire le ménage, frotte énergiquement la vitre de l’appareil ménager. « Regardez, la vitre de mon four est la plus propre de Windsor », lâche en levant les yeux au ciel la star, qui a été anoblie en 1998 par la reine Élisabeth II.

Adriana Karembeu adopte encore une nouvelle coupe de cheveux encore plus courte

Adriana Karembeu a illuminé Paris lors du Make-A-Wish Gala, ce lundi 8 décembre 2025.

L'ex-mannequin et animatrice s'est en effet présentée sur le tapis rouge dans un look à la fois minimaliste et percutant : un costume blanc immaculé, parfaitement coupé, sous lequel elle portait un haut noir seconde peau.

Aux pieds, une paire d'escarpins noirs affûtés complétait la silhouette. Mais si la tenue a suscité l'enthousiasme des fashionistas, c'est surtout sa coiffure qui a déclenché une véritable déflagration sur les réseaux.

Il y a quelques semaines à peine, Adriana Karembeu surprenait en disant adieu à sa longue chevelure blonde, quasi emblématique.

Cette fois, elle est allée encore plus loin puisqu'elle arbore désormais une coupe à la garçonne, très courte, qui ressemble beaucoup à celle d'Ève Gilles. Rappelons que Miss France 2024 a largement contribué à remettre le court boyish sur le devant de la scène.

Résultat ? Le visage d'Adriana Karembeu est mis en valeur, tout comme ses pommettes sculptées et son allure est résolument moderne. Manque de chance... ce look ne fait pas l'unanimité.

D'un côté, les internautes applaudissent ce vent de fraîcheur et estiment qu'elle n'a jamais été aussi charismatique : "Ça lui va super bien", "Très jolie", "Très élégante avec cette coiffure".

De l'autre, quelques fans jugent cette coupe vieillissante : "Beaucoup plus belle avec les cheveux longs", "Coupe pas du tout jolie", "C'est dommage qu'elle ait coupé les cheveux elle était si jolie avec les cheveux longs".

Adriana Karembeu, fidèle à elle-même, semble parfaitement assumer. Sûre, lumineuse, et visiblement ravie de casser les codes.

Depuis plusieurs mois, Adriana Karembeu et Marc Lavoine filent le parfait amour. Les deux personnalités ont d'ailleurs multiplié les apparitions publiques.

Lara Fabian : le témoignage choc qui brise le silence sur ses troubles alimentaires

Quand le rideau se lève, les projecteurs brillent, les applaudissements fusent… Mais parfois, derrière le glamour et la scène, se cachent des souffrances profondes. Pour Lara Fabian, le succès n’a pas toujours rimé avec apaisement. À l’aube de sa carrière internationale, la chanteuse confie avoir vécu des années dramatiques, marquées par des troubles alimentaires sévères.

Elle raconte, qu’à un moment donné, elle ne mangeait qu’”une pomme par semaine”. Ce régime extrême illustre la violence des diktats de minceur imposés dans le show-business. Car ce n’est pas seulement une confession glaçante : c’est aussi un récit de résilience. Aujourd’hui, à 55 ans, l’histoire de Lara Fabian rappelle combien la santé mentale et physique mérite d’être respectée, même au prix de la vérité.

Au début des années 1990, Lara Fabian monte en puissance. Mais ce succès fulgurant s’accompagne d’une pression insupportable sur l’image du corps. Dans un monde de strass, de tailles 0 et de “beaux standards”, elle ne se sent pas à la hauteur. Elle évoque des vêtements qui ne vont pas, des remarques humiliantes… Et, un sentiment d’inadéquation permanent.

Petit à petit, le rapport à l’alimentation se dégrade : restriction drastique, déni, culpabilité. À un moment donné, elle mange à peine. Parfois “une pomme par semaine”, prise en sept quartiers pour “survivre”. La pression mentale, l’obsession du contrôle, le besoin de plaire… Tout se mêle et l’entraîne vers une spirale destructrice. Elle décrit des nuits entières de vomissements, des journées à peine vivables et un corps épuisé jusqu’à l’extrême.

Le déclic arrive quand la santé flanche. À 41 kg, à bout de souffle, elle subit une crise cardiaque, un véritable électrochoc. Mais c’est aussi le moment où elle comprend qu’elle ne peut plus continuer ainsi. Elle décide alors de se battre, non plus pour son image, mais pour vivre, pour peut-être un jour pour s’aimer.

Avec le temps, la musique, l’amour, la parole, elle se reconstruit. Lara Fabian confie aujourd’hui qu’elle est devenue “une femme humaine, très humaine”, avec ses forces et ses fragilités. Tout au long de son parcours, elle ose parler, exposer ses blessures, comme un message d’espoir à celles et ceux qui vivent le même calvaire.

Pour Leonardo DiCaprio, l’intelligence artificielle ne peut créer de « l’art authentique » pour une raison précise

leonardo DiCaprio ne fait pas partie des défenseurs de l’intelligence artificielle (IA). L’acteur de 51 ans est même inquiet pour les travailleurs « talentueux et expérimentés » qui risquent de perdre leur emploi dans l’industrie du cinéma en raison de l’utilisation de l’IA, même si cette prouesse technologique peut servir « d’outil complémentaire » à un « jeune réalisateur » proposant « quelque chose que l’on n’a jamais vu auparavant ».

Pour autant, la star d’Inception est catégorique : toute production faite à partir de l’IA ne peut être définie comme de l’art.

« Je pense que tout ce qui peut être considéré comme de l’art authentique doit provenir de l’être humain », a-t-il estimé lors d’un entretien avec le magazine Time, qui l’a nommé « Artiste de l’année ». Pour soutenir son analyse, le comédien a donné comme exemple des vidéos ou reprises musicales générées par l’IA et partagées sur Internet, où leur succès est limité.

« N’avez-vous jamais entendu ces chansons qui sont des mashups absolument géniaux, et vous vous dites : "Oh mon Dieu, c’est Michael Jackson qui reprend The Weeknd", ou "C’est du funk tiré de la chanson Bonita Applebum de A Tribe Called Quest, interprété avec une voix soul à la Al Green, et c’est génial" », a-t-il énoncé. « Vous vous dites : "Cool". Mais passé les 15 minutes de gloire, ça se dissipe ensuite dans l’éther des autres déchets d’Internet. Il n’y a pas d’ancrage. Il n’y a pas d’humanité, aussi génial que ce soit. »

Leonardo DiCaprio, dont le dernier film, Une bataille après l’autre, est arrivé en tête des nominations des prochains Golden Globes, pense aussi que le cinéma n’est pas au bout de ses surprises en matière d’« innovations ». De son côté, l’acteur préconise une « philosophie simple » pour perdurer et rester épanoui dans son travail. « Ne vous exposez et n’agissez que lorsque vous avez quelque chose à dire ou à montrer. Sinon, disparaissez autant que possible », a-t-il recommandé, estimant devoir sa « longue carrière » au fait « de ne pas être sous les feux de la rampe ».

L’IA continue d’être un sujet polémique à Hollywood, où certaines sociétés profitent des avantages à coûts réduits de cet outil, tandis que des artistes, comme le réalisateur James Cameron, ont choisi de l’observer de près et d’en faire une utilisation prudente. Plus tôt dans l’année, une actrice générée à partir de l’IA, Tilly Norwood, a provoqué une vague d’indignation parmi ses pairs de chair et d’os. Le syndicat des acteurs SAG-AFTRA a dénoncé une création basée sur des « performances volées […] compromettant le travail » des acteurs et « dévalorisant le talent artistique humain ».

Élie Semoun répond aux « méchants » qui le critiquent pour avoir eu un enfant à 60 ans

e 28 août, Élie Semoun annonçait être à nouveau papa, 30 ans après son fils Antoine, fruit de son union passée avec Annie Florence Jeannesson. Dans l’émission YouTube Boum Boum, il a rendu hommage à la mère de son petit garçon âgé de quelques mois, Aude Fraineau, et a fait part de ses doutes quand il a été question de devenir « papa à 60 balais ».

« Faire un enfant à cet âge-là, c’est un peu risqué » a-t-il admis. « Les méchants pourront dire que c’est très égoïste, je ne sais pas… j’en sais rien » a-t-il hésité, visiblement gêné. « Mais de toute façon, on ne peut pas parler de ce qu’on ne maîtrise pas, c’est-à-dire le temps qui passe et ce qui peut nous arriver demain ou après-demain ».

S’il a lui-même « beaucoup hésité », c’est « la détermination d’Aude » qui a fait tomber les derniers remparts. « C’est une maman parfaite, idéale », a-t-il assuré. « Je savais qu’elle allait être comme ça, donc ça m’a beaucoup rassuré ». Élie Semoun a consulté ses proches, qui l’ont « un petit peu influencé ». Mais « la vraie décision c’était entre elle et moi », a affirmé le comédien en tournée dans toute la France avec son spectacle Cactus.

Un choix qu’il ne regrette absolument pas, lui qui a déjà du mal à s’éloigner de son fils pour ses obligations professionnelles, et espère pouvoir profiter longtemps de ce « cadeau » de la vie, le deuxième après Antoine.

Protector : bande-annonce avec Milla Jovovich

La star de Resident Evil va remuer ciel et terre pour retrouver sa fille dans le nouveau film d’action Protector, dont la bande-annonce vient d’être dévoilée par Magenta Light Studios. Le film sortira en salles le 20 février 2026 aux Etats-Unis. Pas encore de date en France.

Elle jouera une militaire, vétéran de guerre, "qui pensait avoir laissé son passé violent derrière elle pour mener une vie paisible avec sa fille Chloe – jusqu’au jour où Chloe est enlevée par un réseau de trafic humain, entraînant Nikki dans le monde criminel de la ville. En traquant un syndicat impitoyable grâce à son entraînement militaire, Nikki attire l’attention de la police comme de l’armée, se hissant en tête de la liste des personnes les plus recherchées. Dans cette course contre la montre, elle devra réutiliser les compétences violentes qu’elle pensait avoir laissées derrière elle pour sauver sa fille."

Pour Milla Jovovich, ce Protector sera son premier film depuis In the Lost Lands (mars 2025).

Le casting réunit également Isabel Myers, qui jouera sa fille ainsi que Manny Montana, Michael Stahl-David, Lydia Hull, D.B. Sweeney, Chase E. Kim, Don Harvey, Gabriel Sloyer, Texas Battle, Arica Himmel et Matthew Modine.

Le film est réalisé par Adrian Grünberg sur un scénario de Bong-Seob Mun.

Changer l'eau des fleurs : Le nouveau film de Jean-Pierre Jeunet dévoile une première image avec Leïla Bekhti

Quatre ans après Big Bug, sa fantaisie Netflix pas vraiment bien accueillie, Jean-Pierre Jeunet est de retour dans les salles obscures.

Son nouveau film, Changer l'eau des fleurs, adaptation du roman à succès de Valérie Perrin, vendu à plus de 3 millions d'exemplaires dans le monde, dévoile aujourd'hui sa première photo via Studio Canal et met Leïla Bekhti dans la peau de Violette Toussaint, gardienne de cimetière dans une petite ville de Bourgogne.

Le tournage s'est achevé en France en septembre.

"Violette, la quarantaine, est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Son quotidien est rythmé par les confidences des personnes de passage ou habitués du lieu, qui viennent trouver un peu de réconfort dans sa loge. Un jour, elle reçoit la visite d'un policier, Julien Seul, venu déposer les cendres de sa mère sur la tombe de l'homme qu'elle aimait. Intrigué par l’histoire de Violette, dont le mari a disparu mystérieusement, peu de temps après leur arrivée au cimetière, il décide d’enquêter, faisant sans le vouloir remonter à la surface de douloureux souvenirs ainsi que des vérités salvatrices pour Violette" détaille le synopsis.

Matthias Schoenaerts sera aussi casting, avec également Melvil Poupaud ou encore Anouk Grinberg, Sergio Castellitto et Alban Lenoir.

Changer l'eau des fleurs, sortira exclusivement au cinéma en 2026. Pas encore de date de sortie précise.