17 novembre 2025

Olivia Rodrigo fustige l’administration Trump pour avoir utilisé une de ses chansons dans une vidéo anti-immigration

Olivia Rodrigo n’est pas près de lâcher le morceau. L’interprète de Drivers License a vertement critiqué l’administration Trump après la publication, le 4 novembre dernier, d’une vidéo du Département de la Sécurité intérieure et de la Maison-Blanche utilisant sa chanson All-American Bitch.

La vidéo, qui montre des agents de l’ICE, la désormais célèbre police de l’immigration américaine, procédant à des arrestations d’immigrés, va jusqu’à encourager « l’auto-déportation ». Inutile de dire que la star de 22 ans n’a pas tardé à laisser exploser sa colère.

« N’utilisez plus jamais mes chansons pour promouvoir votre propagande raciste et haineuse », a écrit Olivia Rodrigo en commentaire de la publication, avant de supprimer son message.

La musique a finalement été retirée de la vidéo, mais l’affaire n’en est pas restée là.

Le Département de la Sécurité intérieure a depuis répliqué dans un communiqué publié le 7 novembre. « L’Amérique est reconnaissante envers les agents fédéraux. Nous suggérons à Mme Rodrigo de les remercier pour leur service, et non de minimiser leur sacrifice », peut-on lire dans cette déclaration relayée par USA Today.

Une réponse qui, évidemment, a dû ulcérer Olivia Rodrigo qui rejoint ainsi une longue liste d’artistes ayant vu le camp trumpiste utiliser leurs œuvres à leur insu.

Matt Pokora révèle le « traumatisme » qui a forgé sa carrière

L’heure est aux confidences pour Matt Pokora. L’interprète de Tombé a remonté le fil de sa carrière lors de son passage dans l’émission Un Dimanche à la campagne ce week-end, acceptant de s’ouvrir sur le « traumatisme » et les difficultés qu’il a pu rencontrer à ses débuts. Tout d’abord, le jeune Matthieu Tota, de son vrai nom, s’imaginait devenir footballeur. Mais un « match d’essai raté » devant un « recruteur » après des vacances en Italie avec sa mère, où il ne s’est pas bien préparé, a eu raison de ses ambitions sportives.

« Ça a été un traumatisme pour moi, car je n’étais pas prêt le jour où il fallait », a-t-il avoué. Hors de question de reproduire la même erreur quelques années plus tard, lors de son passage dans le télécrochet Popstars, qu’il remporte en 2003 avec son ancien groupe Linkup, et tout au long de sa vie professionnelle. « Maintenant je m’entraîne tout le temps, même quand je ne suis pas en tournée. Je m’en veux énormément », a-t-il confié.

Cette « leçon » n’a toutefois pas empêché l’artiste de 40 ans de goûter à la saveur amère de l’échec alors que sa carrière de chanteur avait si bien débuté. Après deux albums solos auréolés de gloire après la séparation de Linkup en 2004, Matt Pokora a proposé un premier album en anglais, MP3, qui n’a pas rencontré « le succès escompté en France ». Un constat qui a « déstabilisé » le chanteur.

« Je me dis : Comment on peut passer aussi vite de tout à "il faut qu’on annule des salles en France" parce qu’on ne remplissait pas », s’est-il alors questionné, comme l’a relevé Télé-Loisirs.

Le père de famille et époux de Christina Milian aurait même été évincé des « émissions de télé » et événements musicaux, comme « la Fête de la musique », où il n’avait autrefois aucun mal à se faire une place, et aurait essuyé des pronostics accablants de la part de certaines radios pour qui sa carrière était « finie ». « Je me dis que ce métier n’a pas de mémoire et surtout, j’apprends la leçon et je me dis qu’il faut que je reparte et que je réécrive en français », a-t-il expliqué, l’air résolu. « Ça rend humble et maintenant, il va falloir retrousser ses manches et aller reconquérir le public. »

C’est finalement au travers d’autres albums, de l’ascension des réseaux sociaux comme YouTube, où « c’est le public qui décide », et de son passage dans Danse avec les stars en 2011 que Matt Pokora a trouvé son salut. L’émission lui aurait tout particulièrement permis d’établir un « lien affectif avec le public », qui a découvert « un mec simple » travaillant « dur pour être performant ».

Lily Allen explique pourquoi elle a attendu sept ans avant de sortir un nouvel album

Àquelque chose malheur est bon ; voilà ce que pourrait être le motto de Lily Allen. La chanteuse et actrice a sorti en octobre dernier son nouvel album, West End Girl, le premier en sept ans après No Shame. Entre-temps, tout ce qu’elle écrivait « était nul », a-t-elle récemment justifié auprès du magazine Interview. « J’avais l’impression d’être en panne d’inspiration, mais en réalité, je pense que je savais simplement que quelque chose n’allait pas. »

Ce quelque chose pourrait être sa relation avec son mari David Harbour, dont l’artiste s’est séparée l’an dernier. Dans son septième album studio, elle évoque en plusieurs tubes une relation libre qui aurait tourné au vinaigre. « Je m’efforce toujours de dire la vérité dans mon art, donc je suppose que je savais inconsciemment que quelque chose n’allait pas dans ma vie personnelle », a-t-elle concédé à la publication.

La star de 40 ans estime ne pas avoir pu, pendant un temps, « s’aventurer de façon créative » sur ce terrain-là, sans quoi « tout se serait effondré. » Lily Allen assure pourtant avoir écrit près d’une centaine de chansons au cours des quatre ou cinq dernières années. Mais c’est la fin de son mariage avec l’acteur de Stranger Things qui aurait sonné le retour de sa « voix authentique ».

« Je ne dirais pas que j’avais honte (de ma musique), mais je n’étais pas satisfaite de ce que j’avais fait au point de vouloir le partager avec mes proches, sans parler du reste du monde », a-t-elle expliqué. « Alors que lorsque j’ai commencé à écrire cet album, je me suis immédiatement dit : "Je tiens quelque chose" », a-t-elle ajouté, estimant finalement que « le chagrin d’amour est un putain de cadeau ».

David Harbour, qui a commencé à fréquenter la chanteuse en 2019 et l’a épousée l’année suivante, est à l’affiche de la dernière saison de Stranger Things, dont la diffusion sur Netflix commencera le 26 novembre. Entre les rumeurs de conflit avec Millie Bobby Brown et le nouvel album explosif de Lily Allen, la promotion s’annonce tendue pour l’interprète du chef de police Jim Hopper.

Miss France : Le bilan amer d’Angélique Angarni-Filopon un an après son sacre

L’heure est au bilan pour Angélique Angarni-Filopon. Dans trois semaines, Miss France 2025 rendra sa couronne. Alors qu’elle accompagne les candidates, dont sa future remplaçante, chez elle en Martinique pour les préparer à l’élection à venir, la reine de beauté s’est confiée à Paris Match. Et comme si les critiques reçues au sujet de son âge, 34 ans au moment de son sacre, ne suffisaient pas, la reine de beauté a essuyé de nouveaux commentaires, sur son poids cette fois, à la suite de son arrivée à Fort-de-France, alors qu’elle dansait avec les candidates.

Ainsi, c’est avec une touche d’amertume qu’elle s’apprête à tourner la page d’une année de règne. « Si ça se trouve, la prochaine ralliera tout le monde. Moi j’ai essayé, ça n’a pas marché », a constaté l’ancienne hôtesse de l’air auprès de la publication.

Son passage n’aura toutefois pas été vain ; Angélique Angarni-Filopon a demandé qu’un moment d’échange sur le cyberharcèlement soit ajouté au programme de la formation des miss. L’occasion de partager certains commentaires reçus, pour préparer les candidates aux attaques en ligne dont elles sont souvent la cible.

« Ça les a choquées et j’ai essuyé quelques larmes, car elles ne s’attendaient pas à ça », a-t-elle raconté. « Mais j’ai un devoir de vérité. » La société Miss France aurait même pris des mesures inédites, mettant temporairement en pause ses activités de représentation, face à des menaces de mort que la miss aurait reçues après avoir refusé de s’exprimer sur l’attentat de Charlie Hebdo.

Des moments de doute dans lesquels Angélique Angarni-Filopon aurait bien pu raccrocher son écharpe. « Tu en viens à te demander si tu es une bonne personne, plus même qu’une bonne Miss France », a-t-elle admis. Si elle assure qu’elle n’a « jamais dit » vouloir arrêter, la trentenaire a cependant tiré la sonnette d’alarme, expliquant « que c’était beaucoup » pour elle, « malgré (s) on âge et (s) a maturité. »

« Je n’arrivais pas à pleurer, je ne comprenais pas trop ce qui se passait », a-t-elle admis. Heureusement, la Martinique est source d’apaisement pour la jeune femme. C’est là qu’elle a repris ses activités l’an dernier après sa pause forcée, et c’est là qu’elle signe les dernières semaines de son règne. « À chaque fois que je viens ici, il se passe un truc. Je relâche la pression, j’oublie tout. »

L'Ultime Round : Le film de boxe d'Orlando Bloom sortira en France sur Paramount+

Après sa présentation au festival de Toronto à la rentrée et une petite sortie (très) limitée dans les salles de cinéma américaines, le film de boxe d'Orlando Bloom ne passera pas par les salles chez nous.

La plateforme Paramount + diffusera en France L'Ultime Round (The Cut en VO) en streaming le 12 décembre prochain.

Le synopsis annonce : "­Des années après son dernier combat sur le ring, un boxeur itinérant se voit offrir de manière inattendue une dernière chance de remporter le titre. Dans l'espoir de retrouver sa gloire passée, il doit aller jusqu'à l'extrême pour perdre beaucoup de poids en un temps dangereusement court. Le film suit le boxeur dans sa préparation au combat, un entraînement exténuant et intense.  Cette pression risque de lui faire perdre pied et de l’éloigner de la réalité. Sous la houlette de sa partenaire et entraîneuse Caitlin, il se rend compte qu'il n'y arrivera pas. En désespoir de cause, il se laisse entraîner dans les méthodes risquées, sombres et désespérées de Boz, un spécialiste de l'ombre. Dans un sport qui l'a dévoré vivant, il est prêt à tout sacrifier pour gagner ou mourir en essayant."

Dans les images dévoilées, Orlando Bloom fait un boxeur usé, hanté par sa chute passée, qui tente un comeback aussi brutal que désespéré. Pour revenir au sommet, il se place sous la coupe d’un entraîneur impitoyable...

John Turturro fera le coach douteux, tantdis que Caitríona Balfe (Outlander) sera son épouse inquiète.

Mis en scène par Sean Ellis (Anthropoid, Metro Manila), L'Ultime Round est écrit par Justin Bull, d’après une histoire de Mark Lane.

Kong gronde dans le premier trailer de la saison 2 de Monarch - Legacy of Monsters

Le Monsterverse gronde à nouveau.

Apple TV vient de lever le voile sur le premier teaser de la saison 2 de Monarch : Legacy of Monsters, confirmant une suite déterminée à tout écraser sur son passage.

Dans la première saison, la série suivait un frère et une sœur lancés sur les traces d’une histoire familiale opaque, ouvrant une brèche vers Monarch, organisation secrète obsédée par les Titans. Leur enquête les menait jusqu’à l’officier Lee Shaw — incarné par Kurt Russell et son fils Wyatt Russel (à deux époques différentes) dont les secrets menaçaient l’équilibre déjà fragile de Monarch.

La saison 2 change d’échelle. Littéralement. Le destin de Monarch — et du monde — est désormais en jeu. Les héros comme leurs adversaires se retrouvent aspirés vers Skull Island, territoire sacré de King Kong, tandis qu’un village mystérieux émerge des profondeurs. Le passé revient hanter le présent, fissurant familles, alliances et loyautés. Et au loin… un choc des titans se rapproche.

Evidemment, Skull Island nous ramène directement à la franchise ciné : le Monsterverse de Legendary, lancé en 2014 avec Godzilla, a ensuite enchaîné Kong: Skull Island (2017), puis Godzilla II – Roi des Monstres (2019), Godzilla vs Kong (2021) et Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire, plus grand succès de la franchise. La suite, Godzilla x Kong: Supernova, est déjà attendue pour 2027.  Cet univers pèse plus de 2,5 milliards de dollars au box-office mondial.

Côté coulisses, Monarch : Legacy of Monsters est toujours pilotée par Joby Harold et Tory Tunnell (Safehouse Pictures), Chris Black, Jen Roskind, Matt Shakman, Andrew Colville, Lawrence Trilling — qui réalise quatre épisodes — ainsi que Toho Co., Ltd., gardien historique de Godzilla. Chris Black reprend également les commandes de showrunner.

 Cette nouvelle saison de Monarch : Legacy of Monsters comptera dix épisodes, avec un lancement fixé au vendredi 27 février 2026. La plateforme diffusera ensuite un épisode chaque semaine, jusqu’au vendredi 1er mai 2026.

Validé sur Canal+ : que vous réserve la saison 3 inédite ?

Validé est de retour sur Canal+ ! Après un long moment d'absence, la série créée notamment par Franck Gastambide revient sur la chaîne cryptée pour une saison 3 inédite lundi 17 novembre 2025 dès 21h. Que vous réserve cette salve de huit épisodes très attendue par les fans ? Voici les premières infos...

Au début de cette nouvelle ère, William et Brahim ont fait d’Apash Music une vraie réussite. Le label vient justement de signer la dernière sensation musicale : le groupe Cobra, mené par Zak et Salif, un duo de jeunes rappeurs prêts à s’imposer dans le game.

Malgré ce succès, l’équilibre du label est en réalité plus fragile. Entre des accusations de fraude et le retour de vieux démons, Apash Music risque tout simplement de disparaître. Et lorsqu’une guerre d’égo éclate entre leurs deux nouvelles pépites, William et Brahim auront du mal à contenir une inévitable escalade de violence…

Au casting de la saison 3 de Validé, on retrouve Delil Ozhan dit "D2L", Heardley Stinvil dit "Yadley", Saïdou Camara, Brahim Bouhlel, Adel Bencherif, Alicia Hava, Lucille Guillaume, Bilal Darai, Johann Dionnet ou encore Franck Gastambide… Ce dernier participe également à l'écriture et à la réalisation.

David Diane, l'autre metteur en scène pour ses huit volets, déclare au sujet de ces prochaines aventures dans l'univers du rap : "Après la mort d’Apash et les compromissions de Lalpha, l’épilogue de ce troisième volet clôt un cycle."

"Avoir fait naître ces personnages à l’écran, les avoir vus grandir, m’a profondément attaché à eux. C’est avec cette forme de bienveillance que j’ai tenté de les accompagner jusqu’au bout de leur destin tragique, pour que cette chute, inévitable, résonne avec la puissance et l’émotion que mérite leur histoire."

La saison 3 de Validé c'est à partir de ce lundi 17 novembre à 21h sur Canal+. Deux épisodes seront diffusés par soirée.

La peluche la plus populaire de 2025 va avoir droit à son film

Bonne nouvelle pour les fans de Labubu ! Ces petites créatures poilues au sourire carnassier qui ont envahi les réseaux sociaux ces derniers mois, notamment TikTok où l’on peut voir de nombreux unboxing où des personnes découvrent quels modèles elles ont achetés (puisque les figurines sont vendues dans des boîtes surprises), pourraient devenir les héroïnes de leur propre film.

The Hollywood Reporter nous apprend en effet que Sony Pictures a acquis les droits de ces peluches dans l'espoir d’en faire un long-métrage qui lancerait une franchise. Le projet en est à ses balbutiements - le contrat a été signé la semaine dernière - et aucun réalisateur n’est encore annoncé. On ne sait pas non plus s’il s’agira d’un film d’animation ou en prises de vues réelles.

Créés en 2015 par l’illustrateur hongkongais-néerlandais Kasing Lung, les Labubu sont devenus un véritable phénomène de mode dans le monde entier dix ans plus tard. Notamment popularisés par des grandes stars telles que Lisa du groupe de K-pop Blackpink ou Rihanna et Dua Lipa, qui les ont toutes adoptés comme accessoires. Grâce à AlloCiné, Jeff Goldblum (bientôt à l'affiche de Wicked Partie 2) est lui aussi l'heureux propriétaire d'un Labubu :

Les bénéfices de Pop Mart, l'enseigne chinoise vendant ces poupées de toutes les couleurs, auraient bondi de 350% cette année selon l’article du Hollywood Reporter. Pas étonnant donc qu’un studio de cinéma s’intéresse à elles. Rappelons qu'en plus d’être le nom de la marque, Labubu est le nom de la peluche principale de la collection, mais il en existe d’autres dont Zimomo, Mokoko et Tycoco, qui pourraient également apparaître dans le futur film Sony.

Ce projet s’inscrit dans une grand tendance à Hollywood, celle de proposer des versions cinématographiques de toutes sortes de jouets (Barbie, avec le succès que l'on connaît, et prochainement Musclor ou encore les Polly Pocket et les Petits Poneys…) et même de jeux de société (Cluedo, Monopoly…) ! Il y en a donc pour tous les goûts.

Tom Cruise : enfin la récompense qui lui échappait depuis 35 ans !

La cinquième fois aura donc été la bonne pour Tom Cruise et les Oscars, avec une nuance de taille à apporter : s'il avait été nommé en tant qu'acteur pour Né un 4 juillet, Jerry Maguire puis Magnolia, et comme producteur l'année où Top Gun Maverick a concouru pour la statuette du Meilleur Film, c'est à titre honorifique qu'il a été récompensé ce dimanche 16 novembre à Los Angeles, pendant la cérémonie des Governors Awards.

Alors que le futur Oscar décerné aux cascadeurs entrera en application trop tard pour qu'elle puisse y prétendre grâce à Mission : Impossible - The Final Reckoning, la star a fait partie de la promotion honorifique de 2025, avec la choréraphe Debbie Allen (la série Fame) et le chef décorateur Wynn Thomas (Mars Attacks !, Da 5 Bloods), et a reçu le prix des mains d'Alejandro Gonzalez Inarritu, qui vient de le diriger dans le film sans titre attendu à l'automne prochain.

Et Tom Cruise en a profité, comme souvent, pour saluer la magie du 7ème Art : "Le cinéma me fait voyager dans le monde entier", a-t-il déclaré pendant son discours de remerciements. "Il m'aide à être sensible aux différences et à les respecter. Il me montre aussi notre humanité partagée, et à quel point nous nous ressemblons de beaucoup, beaucoup de manières. Peu importe d'où nous venons, dans cette salle de cinéma, nous rions ensemble, nous ressentons des choses ensemble, nous espérons ensemble, et c'est là que réside le pouvoir de cette forme d'art. Et c'est pour cela qu'il compte à ce point, qu'il compte autant pour moi. Faire des films n'est pas ce que je fais mais ce que je suis."

Salué, entre autres, par la Warner (avec qui il travaille activement depuis peu) sur les réseaux sociaux, Tom Cruise sera le 30 septembre 2026 à l'affiche du long métrage sans titre d'Alejandro Gonzalez Inarritu, qui semble avoir été écrit pour lui. Car il sera question de l'homme le plus puissant du monde qui tente de prouver qu'il est bien le sauveur de l'humanité en la protégeant du désastre dont il est à l'origine. Le Birdman de la star, en quelque sorte, qui pourrait bien lui valoir son deuxième Oscar... mais le premier en tant qu'acteur. Enfin !

Goodbye June : Kate Winslet réalise son premier film pour Netflix

C'est un film de Noël mais qu'on devine avec des larmes. La première bande-annonce de Goodbye June, la première réalisation de Kate Winslet, a été dévoilée la semaine dernière par Netflix. Rendez-vous est donné le 24 décembre sur Netflix pour découvrir les tribulations d'une famille dysfonctionnelle au Royaume-Uni pendant les fêtes de fin d'année.

"Le film se déroule juste avant Noël, quand la santé défaillante d'une mère plonge ses quatre enfants adultes et leur père exaspérant dans le chaos, les obligeant à affronter leurs relations dysfonctionnelles et un deuil imminent.", peut-on lire dans le synopsis.

"Mais June, cette mère à l'esprit acéré, orchestre son déclin comme elle l'entend : avec un humour mordant, une franchise déconcertante et beaucoup d'amour."

La bande-annonce donne aux fans un aperçu des scènes émouvantes et réconfortantes. "Je vous aime tous tellement. Mais je vous aime deux fois plus quand vous vous aimez les uns les autres", déclare June, le personnage incarné par Mirren.

Le casting prestigieux de Goodbye June comprend Helen Mirren, Toni Collette, Johnny Flynn, Andrea Riseborough, Timothy Spall et Kate Winslet elle-même. Le scénario du film a été écrit par le fils de Kate Winslet, Joe Anders, avec qui elle a récemment collaboré sur des projets tels que Lee et la saison 3 de la série I Am...

"Il s'agit de la condition humaine. J'espère que les gens se reconnaîtront dans les personnages. C'est un film sur la famille. Certaines des relations les plus compliquées dans la vie sont celles que nous entretenons avec les personnes que nous aimons le plus au monde, celles qui nous sont les plus proches, celles dont nous avons le plus besoin pour nous soutenir et prendre soin de nous", explique Kate Winslet à Tudum.

"Au Royaume-Uni, nous avons du mal à parler de la mort. Le pouvoir d'un bon adieu est de se rappeler de s'aimer les uns les autres dans le présent."

Kate Winslet assure également la production aux côtés de Kate Solomon.