Rambo : le prochain film pourrait être très différent

Du changement à prévoir pour la franchise Rambo ! Comme on le sait depuis quelques mois, un nouvel acteur a été choisi pour reprendre le rôle iconique longtemps dévolu à Sylvester Stallone. Noah Centineo, 29 ans, s'apprête à prendre la relève pour ce préquel de la saga en 5 films Rambo. L’acteur s’est fait connaître du public avec les romances À tous les garçons que j'ai aimés et Sierra Burgess Is a Loser sur Netflix. Mais ce n'est pas le seul changement annoncé.

Comme le révèle le site Dexerto (via DarkHorizons), la tonalité du film pourrait être assez différente. Le réalisateur Jalmari Helander, qui sera aux commandes de ce nouvel opus, a indiqué : "Ce ne sera pas aussi sombre que les deux derniers Rambo… Ce sera davantage tourné vers l'aventure, et j’espère inspirer une nouvelle génération d’enfants de 10 ans à aller jouer à Rambo dans la forêt. On verra bien comment cela évolue." Le projet est actuellement en phase de pré-production. Le tournage doit commencer en janvier 2026.

Comme le rappelle DarkHorizons, les films précédents de la franchise Rambo étaient tous violents, mais leurs tons variaient énormément. Alors que First Blood était un film presque mélancolique et poignant, les films suivant sont passés à un patriotisme et un militarisme triomphants, avant de devenir des drames beaucoup plus sombres dans les 4ème et 5ème volets.

Pour rappel, les cinq films Rambo ont généré 800 millions de dollars dans le monde et un nouvel épisode pourrait permettre à la franchise de dépasser la barre du milliard de dollars. Le dernier volet, Rambo: Last Blood, produit par Millennium et Sly, avait rapporté 92 millions de dollars au box-office mondial.

L’intrigue n’a pas encore été dévoilée. On sait néanmoins qu’elle suivra le jeune John Rambo pendant la guerre du Vietnam et devrait ainsi revenir sur la formation du personnage, mettant en lumière les événements qui ont forgé sa personnalité.

Ce projet encore sans titre sera basé sur un scénario de Rory Haines et Sohrab Noshirvani, à qui l’on doit notamment celui de Black Adam, dans lequel Noah Centineo jouait le super-héros Atom Smasher.

Sylvester Stallone serait jusqu'ici tenu informé de l'avancée du projet et a été averti du recrutement de Noah Centineo, mais il ne serait a priori pas impliqué directement dans ce nouveau Rambo.

Et si le projet se concrétise, on imagine bien l’acteur qui est aujourd’hui la star de la série Tulsa King rencontrer le jeune homme pour lui donner quelques conseils, surtout qu’il a par le passé déjà partagé son envie de voir un film sur la jeunesse du personnage.

"J'ai toujours pensé à Rambo quand il avait 16 ou 17 ans – j'espère qu'ils feront un préquel – c'était la meilleure personne qu'on pouvait trouver. Il était le capitaine de l'équipe, le garçon le plus populaire de l'école, un super athlète. Il était comme Jim Thorpe, et c'est la guerre qui l'a changé. Si vous l'aviez vu avant, il était comme le garçon parfait", avait-il ainsi déclaré à Screen Rant en 2019.

En octobre 2023, lors d’une conférence au Festival de Toronto, Stallone avait été interrogé sur un éventuel nouvel épisode de la franchise, conclue en 2019 avec Rambo: Last Blood. Il avait alors exprimé son envie de tourner la page : "Je pourrais en avoir fini avec Rambo. Il a fait beaucoup de choses. Même si les studios veulent en faire un autre… contre quoi je vais me battre ? L’arthrite ?"

En attendant Rambo, c’est dans un autre film d’action que l’on pourra retrouver Noah Centineo : l'adaptation de Street Fighter avec Jason Momoa au casting attendue en salle en 2026.

Sydney Sweeney réagit à l'échec de son dernier film

Coup dur pour Sydney Sweeney. L'actrice américaine incarne l'ancienne boxeuse Christy Martin, véritable légende dans sa discipline, dans le biopic qui lui est consacré réalisé par David Michôd (Fury). Avec ce rôle physique, la star espérait concourir pour la saison des prix. Hélas, le lancement du film n'a pas été à la hauteur des attentes.

Sorti dans les salles américaines le 7 novembre dernier, Christy a seulement récolté 1,3 million de dollars lors de son premier week-end d'exploitation au box-office. Le biopic signe l'un des plus faibles démarrages de l'histoire pour un film distribué dans plus de 2000 salles.

Sur son compte Instagram officiel, la comédienne a pris la parole pour dissiper les critiques : "Je suis fière du film réalisé par David. Fière de l'histoire que nous avons racontée. Fière d'avoir représenté une personne aussi forte et résiliente que Christy Martin. Cette expérience a été l'un des plus grands honneurs de ma vie."

Elle poursuit : "Ce film est un symbole de survie, de courage et d'espoir. Grâce à nos campagnes, nous avons contribué à sensibiliser le public au sort des victimes de violence conjugale. Nous avons tous participé à ce film avec la conviction que l'histoire de Christy pouvait sauver des vies."

"Si ce film permet à ne serait-ce qu'une seule femme d'avoir le courage de faire le premier pas pour se protéger, alors nous aurons réussi, ajoute-t-elle. Alors oui, je suis fière. Pourquoi ? Parce qu'on ne fait pas toujours de l'art pour les chiffres, mais pour l'impact. Et Christy a été le projet le plus marquant de ma vie."

Loin d'être catastrophique, l'accueil critique, plutôt mitigié, a certainement joué un rôle dans l'échec du film. De nombreux professionnels reprochent notamment au biopic sa superficialité.

The Young People : Nicole Kidman de retour dans un film d'horreur avec le réalisateur Osgood Perkins

Voilà une rencontre que l'on avait pas vu venir. Très prolifique, Nicole Kidman a choisi le réalisateur Osgood Perkins (Longlegs, The Monkey) pour son prochain film. L'actrice australienne, oscarisée en 2003 pour The Hours, rejoint le casting de The Young People dont le tournage a déjà démarré.

Comme d'habitude avec Osgood Perkins, on ne sait que très peu de choses sur ce projet si ce n'est que les deux rôles principaux seront tenus par Lola Tung - star de la série phénomène L'été où je suis devenue jolie - et Nico Parker (Dumbo, Dragons).

Nicole Kidman n'est pas une grande habituée du genre horrifique, mêmes s'il ne s'agit pas de sa première fois. Elle tenait, en 2001, le rôle central du film Les Autres d'Alejandro Amenábar. Elle y incarnait une mère isolée avec ses deux enfants dans un grand manoir pendant la Seconde Guerre et menacée par des esprits.

En 2017, elle revient dans le genre avec Mise à mort du cerf sacré du Grec Yórgos Lánthimos, film dans lequel elle donne la réplique à Colin Farell.

Sur X, les cinéphiles ne cachent pas leur excitation à l'idée de retrouver la star dans l'univers singulier d'Osgood Perkins :

"Le concept de voir Nicole Kidman dans un film d'Osgood Perkins."

"PAUSE, NICOLE KIDMAN ET OSGOOD PERKINS"

"Nicole Kidman dans de l'horreur et c'est réalisé par Osgood Perkins"

Le réalisateur prépare actuellement la sortie de son nouveau film, L’Élue, dont la sortie est attendue en France pour le 10 décembre prochain.

Le synopsis se présente ainsi : "Liz et Malcolm partent pour un week-end romantique dans un chalet coupé du monde. Lorsque Malcolm doit retourner précipitamment en ville pour son travail, Liz se retrouve isolée, confrontée à une présence maléfique qui révèle les terrifiants secrets du chalet."

Moi, c'est Eddie : Eddie Murphy revient sur sa carrière dans un documentaire Netflix

Quiconque a grandi à l’époque des vidéoclubs a forcément croisé au moins une fois la route d’Eddie Murphy. Véritable légende du stand-up américain, il est ensuite devenu l’une des plus grandes stars du cinéma grâce à ses films mêlant humour et action : le diptyque 48 heures puis la saga Le Flic de Beverly Hills.

Sa carrière connaît ensuite un creux à partir des années 2000, sans pour autant entamer son immense popularité. Ici et là, Eddie Murphy parvient toujours à surprendre son public, comme en 2006 avec Dreamgirls — qui lui a valu une nomination aux Oscars — ou encore grâce à son inoubliable doublage de l’Âne dans la saga d’animation Shrek.

Si la carrière d’Eddie Murphy n’a aucun secret pour ses fans et les cinéphiles, sa vie privée demeure en revanche bien plus mystérieuse. L’acteur américain a donc accepté d’ouvrir les portes de sa maison aux caméras de Netflix pour se livrer comme jamais dans un documentaire événement, intitulé Moi, c’est Eddie.

L’occasion pour lui de revenir sur son parcours, ses plus grands succès, mais aussi sur son retrait des écrans et sur la place centrale qu’occupe désormais sa famille. De nombreuses personnalités témoignent dans le documentaire, notamment Jamie Foxx, le producteur Jeffrey Katzenberg (souvent crédité de l’avoir "découvert" et lancé au cinéma), ainsi que les humoristes Jerry Seinfeld et Pete Davidson.

Ce nouveau projet confirme l’intérêt de Netflix pour les documentaires biographiques consacrés aux plus grandes stars d’Hollywood. Après ceux sur Sylvester Stallone et Arnold Schwarzenegger, la plateforme a aussi rencontré un grand succès avec ses séries documentaires dédiées à David Beckham puis à son épouse Victoria.

Notons d’ailleurs que Netflix collabore depuis plusieurs années avec Eddie Murphy. La plateforme a notamment produit le biopic Dolemite Is My Name (nommé aux Golden Globes pour le Meilleur Film et le Meilleur Acteur), la comédie You People, et plus récemment le quatrième volet des aventures du Flic de Beverly Hills.

Le documentaire Moi, c’est Eddie consacré à Eddie Murphy est à découvrir dès à présent, en exclusivité sur Netflix.

L'actrice Sally Kirkland hospitalisée en soins palliatifs

Sally Kirkland, icône hollywoodienne récompensée et connue pour son rôle marquant dans "Anna", a été hospitalisée et placée en soins palliatifs à Palm Springs suite à une série de problèmes de santé qui se sont aggravés ces derniers mois. Sa situation, confirmée par son représentant, fait suite à un diagnostic de démence annoncé l’an dernier et à plusieurs chutes ayant entraîné des fractures.

Comme le précise le magazine Page Six, l'actrice s'est à plusieurs reprises brisé le cou, le poignet et la hanche. Les proches de la star de 84 ans, ont également donné des détails sur la dégradation de son état de santé : après des interventions et des hospitalisations répétées, Sally Kirkland a enchaîné des infections "potentiellement mortelles". Une situation critique qui a contraint ses amis à lancer une cagnotte en ligne pour couvrir les frais médicaux non pris en charge.

La page GoFundMe, ouverte par des amis et anciens collaborateurs, explique que des erreurs de placement financier et des changements d’assurance ont réduit ses ressources personnelles, rendant nécessaire l’appel à la générosité publique. Son ami et ancien élève Cody Galloway est resté à ses côtés pour la soutenir dans cette terrible épreuve.

Fans et collègues ont été nombreux à réagir, rappelant la carrière foisonnante de l’actrice. Pour rappel, née à New York en 1941, Sally Kirkland est la fille de Sally Kirkland Sr., célèbre rédactrice de mode chez Vogue puis Life. Après des débuts off-Broadway dans les années 60, elle s’est fait connaître au cinéma et à la télévision. Elle cumule plus de 200 rôles à l’écran. Son rôle-phare reste celui d’"Anna" (1987), qui lui a valu un Golden Globe et une nomination à l’Oscar. Parallèlement, elle a enseigné le métier d’actrice et dirigé des master-classes, témoignant de son attachement à sa profession et à la transmission.

Tout comme Sally Kirkland, une autre grande figure d’Hollywood fait face à la même épreuve : Bruce Willis, diagnostiqué en 2023 avec une démence frontotemporale. Les deux stars, bien que de générations différentes, partagent aujourd’hui une réalité douloureuse – celle d’une maladie qui bouleverse autant les patients que leurs proches. Le cas de Bruce Willis, soutenu sans relâche par sa famille et notamment par son ex-épouse Demi Moore et leurs filles, a mis en lumière la nécessité d’un accompagnement médical et émotionnel constant.

Orelsan victime d’une arnaque

Visage emblématique de la scène musicale française depuis déjà prêt de deux décennies. Orelsan possède une actualité particulièrement chargée en ce moment. En effet, le célèbre rappeur originaire de Normandie est la tête d'affiche d'un long-métrage baptisé Yoroï. Actuellement projeté au cinéma. En parallèle, il a également sorti un nouvel album.

Dans le cadre de la promotion de son film et de son nouveau disque. Orelsan enchaîne les apparitions dans les médias. Récemment, il a accordé une interview au créateur de contenu Joyca. Au cours de leur entretien, celui qui formait le groupe baptisé les Casseurs Flowteurs avec son ancien acolyte Gringe a révélé avoir été victime d'une arnaque.

"J'ai fait un truc fou, je pensais que ça ne m'arriverait jamais. Je me suis fait avoir par les SMS, ils te font croire qu'un livreur est passé. Mon facteur a mon numéro de téléphone. Je ne l'ai pas enregistré, j'étais en speed. Je n'ai pas fait gaffe et j'ai rentré ma carte bleue sur le site. Pourtant, j'écoute des podcasts de hackers, je vois les trucs", a premièrement expliqué Orelsan.

"Je me suis fait avoir comme une Mamie de 70 ans. Ils avaient mis le vrai point relais à côté de chez moi, j'ai répondu. Il fallait payer. J'aurais dû me douter, jamais ça n'arrive. J'attendais un colis, je ne voulais pas le rater. J'ai annulé ma carte de crédit et je n'ai plus de compte Spotify", a ensuite ajouté le rappeur. Orelsan a aussi récemment fait parler de lui pour son clash avec le champion du monde français Kylian Mbappé.

Dans l'un de ses récents titre. Orelsan chante notamment : "Tu vas faire couler ta ville comme les Mbappé". Exprimant ainsi son mécontentement face à la gestion du club de football de sa ville natale (le SM Caen, ndlr). Dont le joueur du Real Madrid est l'actionnaire majoritaire. Ce dernier lui avait alors répondu assez sèchement en publiant un message sur X.

"T’es le bienvenu pour ‘sauver’ la ville que tu aimes tant Orelsan. PS : Le mec a fait que nous supplier pour entrer avec 1% sans payer parce qu’il a pas un rond mais pour avoir la bonne image du petit gars de Normandie", a ainsi écrit Kylian Mbappé. "J'en parle pas pour l'instant. Je préfère réfléchir que réagir à chaud. Je préfère garder mes réponses quand elles seront maîtrisées. Dans un bon cadre", a finalement conclu le rappeur.

Line Renaud : infidèle pendant 15 ans ? Elle répond sans filtre

À 97 ans, Line Renaud continue de se livrer avec la même sincérité qu’à ses débuts. Dans une longue interview accordée à La Tribune Dimanche le 9 novembre, la chanteuse revient sur les grandes étapes de sa vie. Celle qui a fait don de ses archives personnelles à l’État en mai dernier évoque avec tendresse son mari et mentor, Loulou Gasté, mais aussi un autre homme qui a profondément marqué son existence : son amant Nate Jacobson.

Rencontré dans les années 1960 alors qu’elle se produisait à Las Vegas, Nate Jacobson fut l’un des grands amours de Line Renaud. “Ah, Nate… Au début des années 1960, pendant mes années à Las Vegas, Loulou a dû rentrer en France. Un soir au Monte Carlo à Vegas, je croise un homme assis avec une femme et je me dis : Je vais avoir une aventure avec lui.” raconte-t-elle sans détour.

De cette rencontre est née une histoire aussi intense que secrète. “Ça a duré quinze ans ! Quinze ans de passion inoubliable avant qu’il ne succombe à un cancer.” confie-t-elle. Line Renaud reconnaît ne jamais en avoir parlé avec son mari Loulou Gasté même si elle pense “qu’il s’en doutait”. Loulou Gasté entretenait également une relation avec une danseuse du Crazy Horse.

Dans son autobiographie Et mes secrets aussi, publiée en 2013, elle évoquait déjà ce lien hors du commun. “Chaque fois que je l’ai retrouvé, à Las Vegas, New York, Paris, Venise ou ailleurs, ma réaction a été la même : Ce n’est pas un bel homme, il est autoritaire, colérique. Loulou le vaut cent mille fois. Je dois rompre immédiatement. Et puis Nate se mettait à parler. Et plus il parlait, plus mes bonnes résolutions fondaient.”

Line Renaud l’assure : malgré cette passion, elle n’a jamais voulu trahir son mariage. “À ses côtés, je me sentais désirée, une vraie femme. Nous étions très amoureux. Mais je lui ai toujours dit de ne pas divorcer pour moi car je ne quitterais jamais Loulou.” confie-t-elle à La Tribune Dimanche. Nate n’a pas écouté, mais Line Renaud est restée fidèle à son pacte.

Une fidélité qui résume toute la complexité de cette femme libre et entière. En septembre 2017, Las Vegas lui rendait d’ailleurs hommage en inaugurant une rue à son nom, “dans le carré d’or du Strip”, là où tout avait commencé.

Jean-Jacques Goldman sort de son silence médiatique pour une raison touchante

Légende du monde de la musique, Jean-Jacques Goldman préfère exister loin des projecteurs, c’est pourquoi il s’est retiré de la scène médiatique il y a déjà plusieurs années. Mais celui qui mène désormais une vie tranquille à l’abri des regards n’hésite pas à utiliser sa notoriété pour la bonne cause. On pense notamment à l’association des Restos du cœur, pour laquelle il a officié pendant près de 30 ans, mais aussi à l’organisation caritative Bleuet de France, dont il est devenu ambassadeur. 

Alors que l'œuvre vient en aide aux anciens combattants, aux victimes de guerre, aux veuves et aux orphelins, Jean-Jacques Goldman s’est exprimé dans une lettre partagée ce 11 novembre à l’occasion des commémorations de la guerre, mais aussi des attentats de Paris. En quelques lignes, l’artiste a salué le travail des forces armées. 

“Nous avons peut-être eu tendance à l'oublier, mais l'actualité nous le rappelle dramatiquement chaque jour. Il me semblait important de montrer notre reconnaissance envers nos armées, ses blessés et plus généralement avec toutes les forces de sécurité qui nous protègent au quotidien”, écrit Jean-Jacques Goldman après avoir indiqué : “Pas de paix sans gardien, ni liberté sans soldat”. Puis de conclure : “Je suis heureux et fier de pouvoir aider le Bleuet de France, qui accompagne ceux qui nous protègent et leurs familles”. 

En marge de cette lettre manuscrite sera dévoilé le clip de la chanson On sera là, que Jean-Jacques Goldman a composée pour les 100 ans du Bleuet de France. L’occasion de découvrir des images de l’artiste en en studio, aux côtés des chanteurs Eloïz et Yvard, interprètes de ce titre qu'ils avaient chanté lors du défilé du 14 Juillet. Un clip qui se présente comme un hommage "discret et puissant à ceux qui restent", victimes civiles et militaires des conflits armés, indique l'association Bleuet de France. 

Rosalía prône la culture du pardon plutôt que la cancel culture

Rosalía trouve la cancel culture bien « étrange ». La chanteuse de Berghain en a elle-même fait l’objet plus tôt cette année lorsqu’un styliste espagnol, Miguel Adrover, a refusé de concevoir une robe en raison de son absence de soutien public pour la Palestine face aux vagues de frappes israéliennes à Gaza après l’attaque du Hamas en octobre 2023. La jeune artiste avait par la suite expliqué au Monde qu’elle avait mis son téléphone sous silence pour se concentrer sur son quatrième album studio, Lux, sorti ce mois-ci.

Or, Rosalía, qui a fini par condamner le conflit, ne voit pas en quoi « se blâmer les uns les autres » fera « avancer la cause de la liberté de la Palestine », comme l’a rapporté The Guardian. Lors d’un entretien avec le média britannique, la chanteuse a développé cette réflexion, pointant du doigt la cancel culture, ou culture de l’annulation, particulièrement présente dans les critiques qu’elle a pu observer sur les réseaux sociaux.

« Je vois beaucoup de cette cancel culture en général, sur Internet, pour tout le monde », a-t-elle relevé. « C’est toujours étrange pour moi. Je pense qu’il faut beaucoup plus de culture du pardon. » L’artiste affirme ainsi qu’elle ne condamnerait pas « un ami parce que nous pensons différemment ». « J’ai toujours l’impression d’avoir beaucoup à apprendre et j’essaie toujours de m’améliorer. Mais en même temps, j’aime beaucoup ce que (Roland) Barthes a dit (à propos) de "l’antihéros… qui peut supporter la contradiction sans honte" », a-t-elle poursuivi, soulignant les « contradictions » de tout un chacun. « Il est impossible de ne pas en avoir dans un monde aussi imparfait et contradictoire que celui dans lequel nous vivons ».

Ainsi, la priorité de Rosalía est de « rester connectée à sa mission », celle de « créer de la musique » avec « le plus d’amour possible ». Face aux autres critiques dont elle a pu faire l’objet au niveau de son art, Rosalía dit trouver sa force dans les figures féminines du passé et du présent qui l’inspirent, allant de « Jeanne d’Arc » à des « divas » comme « Cher ». « Elles prennent des coups et… perdurent », a-t-elle noté.

Tom Hanks explique pourquoi il ne revoit aucun de ses films

Adam Driver, Al Pacino, Helena Bonham Carter, Tom Hanks, Emma Stone, Jared Leto ou Megan Fox...toutes ces stars ont un point commun : elles ne revoient pas les films dans lesquels elles ont tournées! Si les actrices et acteurs sont souvent accusés de complaisance, certains d'entre eux ne souffrent pas de se revoir à l'écran après la première. A ce sujet, celui qui avait ému le monde entier dans Forrest Gump a déclaré : « Je ne regarde aucun de mes anciens films », au cours d'une interview pour le magazine Shortlist. En guise de pique à ceux qui auraient une tendance à développer un culte de la personnalité, il ajoute : « Je ne regarde pas mes propres performances, qui fait ça ? Ce serait de la folie. "

Celui qui s'est fait connaître pour ses rôles d'Américain moyen qui lui ont valu d'être comparé au légendaire James Stewart, a conservé un bon sens placide qui lui fait dire : "j'ai vu tous les films une fois, mais je n'ai pas besoin de les revoir, car ils ne changent pas. » Tous ? Pas tout à fait, car il admet à cette occasion qu'il revoit volontiers un film qui tient une place spéciale dans sa filmographie. « Le seul que je pourrais regarder avec beaucoup d'affection est un petit film que j'ai réalisé, That Thing You Do!, dans lequel je ne joue pas beaucoup. J'ai tellement aimé le faire que lorsque je le regarde aujourd'hui, cela me fait encore sourire. »

Le pitch de cette bluette inspirée par l'ascension fulgurante des Fab Four ? Dans les années 1960, Guy Patterson remplace au pied levé le batteur d'un groupe de rock. Résultat : le rock band est vite repéré par un manager et en avant le succès! Avec un casting qui réunit Charlize Theron et Chris Isaaken passant par un caméo Bryan Cranston, ce film rétro réalisé et co-scénarisé par l'acteur d'Arrête moi si tu peux a droit à sortir de sa jaquette une fois de temps de temps, et c'est déjà beaucoup.