Bande-annonce d'Elvis, le film de Baz Luhrmann sur le King

9 ans après avoir adapté sur grand écran Gatsby le magnifique de F. Scott Fitzgerald, Baz Luhrmann revient avec un biopic consacré à Elvis Presley.

La long-métrage événement raconte la vie et l'œuvre musicale du King à travers le prisme de ses rapports complexes avec son mystérieux manager, le colonel Tom Parker. Le film explore leurs relations sur une vingtaine d'années, de l'ascension du chanteur à son statut de star inégalé, sur fond de bouleversements culturels et de la découverte par l'Amérique de la fin de l'innocence.

C'est Austin Butler, 30 ans, qui incarne le chanteur au célèbre déhanché. Sa ressemblance avec le roi du rock est d'ailleurs assez troublante.

Ce dernier débute dans la musique et le mannequinat alors qu'il n'a que 13 ans. Il débute devant les caméras de télévision pour les séries destinées aux adolescents : Ned : comment survivre aux études ?, Hannah Montana, Zoey 101, ou encore iCarly.

En 2014 il est choisi pour incarner le premier amour de Carrie Bradshaw dans The Carrie Diaries, le prequel de Sex and the City. Le comédien intègre ensuite la ligue des assassins de la série Arrow où il interprète Chase et poursuit avec un rôle de premier plan dans l'adaptation télévisée des best-sellers d'heroic fantasy de Terry Brooks, Les Chroniques de Shannara.

En 2019 il décroche un petit rôle dans le film de Quentin Tarantino Once Upon a Time… in Hollywood et enchaîne avec le tournage d'Elvis. Un rôle qui lui sied à merveille quand on voit les premières images.

Le jeune homme fait ici face à un Tom Hanks méconnaissable dans le rôle du manager Tom Parker.  Il donne également la réplique à Olivia DeJonge, qui incarne Priscilla Presley, Helen Thomson, Luke Bracey, Richard Roxburgh ou encore David Wenham

Elvis sera visible dans nos salles obscures dès le 22 juin. 

Gérard Darmon, jamais primé aux César, sans filtre : « Ça me fait chier »

Deux fois nommé, jamais primé. C’est en quelques mots l’histoire de Gérard Darmon avec les César. Interviewé ce jeudi 17 février dans les colonnes du dernier numéro de Paris Match, l’acteur de 73 ans a confié son ressenti face à cette célèbre récompense à laquelle il n’a jamais eu droit, malgré deux nominations, en 1987 et en 2003. Pour les films 37°2 le matin puis Astérix et Obélix : mission Cléopâtre, il a effectivement manqué de peu le trophée du meilleur acteur dans un second rôle. "Ça vous énerve ?", a demandé Paris Match. "Sur le moment, ça me fait chier, oui", a répondu cash le comédien, actuellement à l’affiche de la pièce Une situation délicate, au théâtre des Nouveautés à Paris jusqu’au 30 avril.

"Pour Astérix, tout le monde voulait que Jamel l’obtienne. Mais c’était évident que, si nous étions deux acteurs du même film nommés dans deux catégories différentes, il ne l’aurait pas. Et c'est ce qui s'est passé. Ils l'ont filé à Bernard Le Coq... comme son nom l’indique", a raconté l’ami d’Éric Dupond-Moretti. Pour d’autres films, l’acteur, dont le petit fils a pris la relève, a regretté de ne pas avoir été nommé du tout. "Quand pour Les Princes de Tony Gatlif, ils nomment celle qui joue ma femme, une Andalouse qui a deux scènes et demie, et que moi rien du tout, j’ai les boules", a cité en exemple l'artiste, qui s'est récemment pris le bec avec Edwy Plenel.

S’il s’est agacé de n’avoir jamais remporté de César, Gérard Darmon a émis la même déception quant à sa carrière de comédien sur les planches. "Quand, en 1997, je joue au théâtre Le Roman de Lulu avec Sandrine Kiberlain, la pièce a huit nominations aux Molière. Et rien pour moi", a-t-il indiqué, avant de se remettre en question. "Je finis par me dire que le métier m’envoie des messages quand même... Mon attitude envers la profession était mal perçue, on me disait arrogant, agressif avec les critiques", a évoqué le partenaire de Jonathan Cohen dans la série Family Business. "J’aime la vérité, peut-être trop parfois", a-t-il alors précisé, avant d’estimer s’être aujourd’hui assagi : "Mais j’ai appris depuis à contourner, alors que plus jeune, je pouvais être plus frontal."

Alcoolisé, Thierry Olive a été victime d'un accident de la route

En 2012, lors de sa participation à la septième saison de L'amour est dans le pré, Thierry Olive avait égayé les téléspectateurs par sa bonne humeur communicative et son franc-parler. Pendant plusieurs semaines, les adeptes de l'émission présentée par Karine Le Marchand avaient pu suivre son amour naissant avec Anne, qu'il a depuis épousée. Mais ces dernières années, l'ancien protégé d'M6 fait plus parler de lui pour ses frasques que pour ses coups d'éclat...

Un an plus tôt, c'est pour une vive altercation avec un de ses voisins que Thierry Olive avait fait son retour sur le devant de la scène médiatique. Invité dans Touche pas à mon poste, il avait expliqué avoir été agressé à la hache par ce dernier. "Il est venu et il m’a dit qu’il avait à me parler. Un farfelu ! A mon avis, il a dû voir les émissions de L’amour est dans le pré qui commençaient lundi. Moi c’était samedi. Il s’est ramené en courant, en me disant : 'Je vais te faire ton affaire'. Et il levait la hache", avait raconté l'agriculteur à Cyril Hanouna.

Plutôt discret depuis cette sombre affaire, Thierry Olive se retrouve de nouveau évoqué dans la presse en ce début d'année 2022. La raison ? Selon les informations de La Manche Libre, il aurait été victime d'un accident de voiture le 11 février dernier. L'agriculteur de 53 ans aurait fait une sortie de route avec sa camionnette qui tractait une remorque remplie de bois de chauffage sur la Départementale 53, axe qui relie Montcuit à Marigny. Toujours selon le journal, il était alcoolisé au moment des faits et aurait "refusé le dépistage".

Refusant d'obtempérer, Thierry Olive aurait nécessité pas moins de neuf sapeurs-pompiers pour l'emmener à l'hôpital Mémorial Saint-Lô. Le compagnon d'Anne aurait en effet été légèrement blessé dans le choc. Là-bas, "des signes d'ivresse manifeste" auraient été constatés. De son côté, Thierry Olive a expliqué au journal La Manche libre qu'il s'était "endormi au volant", qu'il avait bu "cinq ou six bières" et plaide un "manque d'attention".

BioShock : Le film inspiré du jeu vidéo se fera finalement sur Netflix

Netflix vient d'annoncer sur les réseaux sociaux la mise en chantier d'une adaptation de BioShock, le jeu vidéo à succès de 2007 qui plonge le joueur dans la ville de Rapture, engloutie sous les eaux et remplie de dangereux ennemis. Un univers steampunk et horrifique particulièrement riche, dont Hollywood rêve de tirer un film depuis plus d'une décennie. Variety livre plus de détails : le site de streaming s'associe à 2K et Take-Two Interactive pour ce projet qui sera co-produit par Vertigo Entertainment (qui a soutenu Le Cercle, The Grudge, Dark Water et plus récemment Death Note ou Ca). L'article ne livre en revanche pas de nom de scénariste ou de réalisateur pour l'instant. Aucune mention de Gore Verbinski, qui a un temps planché sur un projet similaire pour Universal -et qui avait signé le remake de The Ring pour Vertigo, en 2002. Il semble pour l'instant occupé par un autre projet de la plateforme : porter à l'écran Sandkings, de George R.R. Martin.

C'était en 2007, après la sortie de Pirates des Caraïbes 3. Le metteur en scène avait réussi à boucler sa trilogie épique dans les temps pour Disney, et ce malgré des conditions de fabrication compliquées, et de nombreux effets-spéciaux à créer en post-production. Epuisé, mais intéressé par l'univers de BioShock, il a planché pendant plusieurs mois sur une adaptation. Finalement, le studio a pris peur en voyant son budget prendre de l'ampleur, et a abandonné cette idée deux ans plus tard. Verbinski s'est alors attaqué à Rango, son western animé. 

Pour respecter l'ambiance sombre du jeu, il aurait fallu sortir le blockbuster en R-Rated (déconseillé aux moins de 17 ans non accompagnés d'un adulte), ce qui aurait potentiellement limité ses recettes au box-office, et cela a participé à effrayer Universal.  Notez que la firme a aussi abandonné l'adaptation des Montagnes hallucinées, de Lovecraft, par Guillermo del Toro pour la même raison et ce malgré la présence de la superstar Tom Cruise au casting... et le cinéaste tente depuis de le relancer sur Netflix !

En étant produite par Netflix, l'adaptation de BioShock pourra être conçue pour les adultes sans craindre de passer inaperçue : la plateforme produit régulièrement des séries et films déconseillés au mineurs, comme récemment l'adaptation des comics Sandman, de Neil Gaiman. Strauss Zelnick, à la tête de Take-Two Interactive a d'ailleurs souligné cette qualité dans le communiqué : "Netflix fait partie des meilleurs raconteurs d'histoire du moment, et des plus avant-gardistes. Nous sommes ravis de partager avec eux notre vision de la franchise Bioshock et notre implication, tant elle est adorée par des millions de fans dans le monde." Le jeu vidéo a effectivement connu un joli succès, qui lui a permis d'être décliné : sa suite directe est sortie en 2010 et trois ans plus tard, BioSchock Infinite racontait une autre histoire, située dans une citée colombienne en 1912, et non plus à Rapture dans les années 1960.

Bande-annonce de The Contractor, avec Chris Pine

Après Wonder Woman 1984, Chris Pine revient dans un tout autre genre de projet. Dans The Contractor, il jouera James Harper, viré des Marines, qui rejoint organisation paramilitaire pour pouvoir payer ses factures. Envoyé en Pologne avec une équipe d'élite dans le cadre d'une mission visant à enquêter sur une menace mystérieuse, il finit seul et traqué au beau milieu de l'Europe de l'Est. Il va devoir se battre pour rester en vie assez longtemps afin découvrir les raisons de ceux qui l'ont trahi.

Le nouveau thriller de Tarik Saleh (l’excellent Le Caire Confidentiel) promet son lot de gunfights et de mercenaires qui ne savent plus vers qui se tourner. Au casting, on retrouvera également Kiefer Sutherland, Ben Foster et Gillian Jacobs.

The Contractor sortira le 1er avril aux États-Unis, dans quelques salles et en VOD. Il n’a pour l’instant pas de date de sortie française précise, même si le 30 mars est avancé par IMDB.

Kamikaze le 16 mars sur Canal+

Kamikaze est prête à tout rafler sur son passage ! Présentée lors de la dernière édition du festival Séries Mania, cette toute première série européenne de la plateforme HBO Max débarque enfin pour tous les téléspectateurs français. Ces derniers vont pouvoir découvrir la pépite danoise à partir du 16 mars sur Canal+ et sur myCANAL.

Créée par Johanne Algren, Kamikaze promet de vous surprendre, bouleverser, émouvoir et même faire rire. Traitant du deuil dans tous ses états, les 8 épisodes dressent le portrait de Julie (Marie Reuther). A 18 ans, cette jeune fille riche et populaire voit sa vie basculer lorsque ses parents et son frère meurent dans un tragique accident d’avion.

Désormais livrée à elle-même et en quête de sens, elle va s’embarquer dans un voyage dangereux, l’emmenant de son Danemark natal à d’autres destinations qui vont lui faire repousser ses limites physiques et psychologiques.

Reposant en grande partie sur les épaules de son héroïne principale et radicale, lauréate du prix d’interprétation féminine à Séries Mania, Kamikaze dévoile aussi une identité visuelle forte et explosive. Une série palpitante et qui traite du passage à l’âge adulte avec une grande liberté de ton, à retrouver sur Canal+ et myCANAL le 16 mars prochain, et à découvrir dès maintenant à travers sa bande-annonce.

Star Wars : la voix de John Wayne est dans le film

Visage carré, mâchoire serrée, posture virile, il a incarné le héros sans peur et sans reproches de l'âge d'or Hollywood. John Wayne, surnommé The Duke, fut l'acteur icône et fétiche des cinéastes Howard Hawks et John Ford, presque toujours l'archétype du cow-boy téméraire investit par la volonté de faire triompher la loi.

Du coup, on est un peu à des années lumières - c'est le cas de le dire- d'associer un tel acteur à une saga comme Star Wars. Et pourtant. Car figurez-vous que l'acteur fait un caméo dans le premier volet de la trilogie originale de George Lucas. Oui oui, vous avez bien lu ! Certes, il s'agit d'un caméo vocal, mais tout de même !

L'anecdote fut d'ailleurs révélée par le légendaire Designer sonore de la saga, Ben Burtt, lors d'une convention Star Wars il y a quelques années de cela. Le plus amusant, si l'on ose dire, c'est que le Duke n'a même pas signé pour le rôle en question.

Burtt glisse une anecdote à propos de la création du personnage baptisé Garindan. Si vous vous souvenez bien d'Un nouvel espoir, c'est lui qui prend en filature Luke et Obi-Wan dans les rues de Mos Eisley, avant de prévenir les troupes de l'Empire. Son faciès est étonnant d'ailleurs, rappellant les fameux masques de thériaque portés par les médecins de la peste au XVIIe siècle.

"J'ai toujours voulu faire un homme insecte – nous n'avions pas vraiment d'homme insecte jusqu'à Poggle le bref [des épisodes II et III]. Nous avions ce personnage qui ressemblait un peu à un moustique du premier Star Wars [Garindan donc] pour lequel nous avions besoin d'un son. Et je me demandais [...] comment j'avais fait – parce que je garde des notes et des cassettes – et j'ai découvert que c'était un bourdonnement électronique qui était sorti de mon synthétiseur et qui avait été déclenché par une voix humaine" raconte Burtt.

Et il ajoute : "Je l'ai écouté et j'ai réalisé que c'était John Wayne - j'avais trouvé quelques lignes en boucle dans les poubelles du studio qui avaient été jetées. Donc, le bourdonnement a été déclenché par un dialogue comme "D'accord, qu'est-ce que tu fais dans cette ville" ou quelque chose comme ça."

Si la contribution de John Wayne à Star Wars est donc bien involontaire, la séquence et l'anecdote restent bien savoureuses. Sans oublier le fait que George Lucas est un grand fan du Duke. On imagine donc que cette contribution même involontaire n'a pas été forcément pour lui déplaire.

Toy Story 2 : totalement effacé, le film a été sauvé par une employée en congé maternité

C'est en 1998, durant la production de Toy Story 2, qu'a eu lieu cette invraisemblable mésaventure, ainsi que nous le confiait le réalisateur et vétéran du studio Lee Unkrich (Toy Story 3, Coco) en interview.

A cette époque, Pixar en est encore à tâtonner sur la scène de l'animation, et même si le premier Toy Story (bientôt suivi par 1001 Pattes) a laissé tout le monde bouche bée, les studios restent fragiles et sont encore attendus au tournant.

Avec leur troisième long métrage - une nouvelle aventure consacrée aux jouets d'Andy - ils comptent frapper encore plus fort et asseoir leur réputation auprès du grand public.

Mais alors que les travaux avancent et que Toy Story 2 se dessine peu à peu, l'un des employés du studio commet l'ultime boulette : en tapant accidentellement une mauvaise ligne de code dans l'ordinateur, il constate que les serveurs sont en train de s'effacer... et avec eux une énorme partie du film. 

L'espace de quelques heures - qui ont certainement dû sembler une éternité aux animateurs du studio - la récupération des données semble totalement impossible car - comble de malchance - les sauvegardes n'ont pas fonctionné correctement. Plusieurs centaines d'heures de travail acharné sont peut-être parties aux oubliettes, Toy Story 2 va probablement manquer son rendez-vous avec le public, et il y a fort à parier que le studio aura beaucoup de mal à se remettre d'un coup pareil. 

Fort heureusement, ainsi que nous l'a également raconté Lee Unkrich, Toy Story 2 a finalement été sauvé par une employée du studio, la directrice technique Galyn Susman :

"Une femme qui faisait partie de l'équipe technique du film était partie en congé maternité, et elle avait avec elle une copie de tout le film sur un ordinateur local qu'elle avait à la maison pour travailler dessus", raconte Unkrich. "Quand cela s'est passé, elle s'est souvenu qu'elle avait cela. Ils sont donc allé chez elle et ils ont récupéré l'ordinateur. Le film entier, qui était censé sortir plusieurs mois plus tard. Donc ça nous a sauvé la mise."

Après de longues procédures monopolisant la quasi-intégralité des équipes Pixar, les données ont ainsi pu être récupérées. Mais les jouets d'Andy n'étaient pas encore au bout de leur peine. Ainsi qu'on peut le lire dans un article de thenextweb.com (où Oren Jacob, ex-directeur technique chez Pixar, évoque cette histoire), Toy Story 2 a malgré tout subi d'importantes modifications par la suite. D'ordre scénaristique, cette fois, et non plus liées à des problèmes techniques.

En effet, John Lasseter et les autres fondateurs du studio, mécontents du chemin que prenait le film, ont considérablement remanié le projet moins d'un an avant sa sortie en salles, obligeant leurs équipes à réaliser un véritable sprint pour revoir leur copie en 9 mois seulement. Le 22 novembre 1999, date de sortie de Toy Story 2 aux Etats-Unis, Woody et Buzz ont finalement pu faire leur grand retour dans les salles obscures en temps et en heure... après bien des péripéties entre les mains de leurs créateurs.

Quant à Galyn Susman, dont on peut évidemment considérer qu'elle a non seulement sauvé Toy Story 2, mais aussi indirectement les studios (qui ne se seraient sans doute jamais remis d'un tel accident), elle officie encore aujourd'hui chez Pixar, et sera notamment la productrice de Buzz l'éclair, attendu dans nos salles le 22 juin prochain. 

Rupert Grint, M. Night Shyamalan

Rupert Grint vient d'être engagé par M. Night Shyamalan pour jouer dans son prochain thriller Knock at the Cabin. Les deux hommes collaborent déjà sur la série Servant produite par Shyamalan et dans laquelle le comédien incarne Julian Pearce.

L'interprète de Ron donnera la réplique à Dave Bautista (Les Gardiens de la Galaxie) qui tient le rôle principal et Nikki Amuka-Bird, déjà apparue dans Old, le précédent film du réalisateur de Sixième Sens.

Écrit et réalisé par M. Night Shyamalan, Knock at the Cabin doit sortir dans nos salles obscures le 1er février 2023. Comme d'habitude avec les projets du cinéaste, aucune information n'a filtré sur l'histoire de ce thriller. 

Le long-métrage marquera ainsi le retour de Rupert Grint au cinéma puisque ce dernier n'est pas apparu sur grand écran depuis Moonwalkers en 2016. Un film qui était d'ailleurs passé relativement inaperçu. 

L'acteur britannique n'a en revanche pas chômé puisqu'il est apparu au casting des séries Snatch, Sick note, ABC contre Poirot et bien entendu Servant dontt la troisième saison est d'ailleurs disponible depuis le 21 janvier sur Apple +.

Les fans d'Harry Potter retrouveront Rupert Grint et ses complices Daniel Radcliffe et Emma Watson dans l'émission spéciale Harry Potter : Retour à Poudlard, diffusée le vendredi 11 mars à partir de 21h10 sur TF1.

The Last of Us : la série ne sera pas diffusée cette année

Officiellement commandée en novembre 2020, l’adaptation télévisée du jeu vidéo The Last Of Us par HBO se fait attendre. Actuellement en tournage au Canada, la série créée, écrite et produite par Craig Mazin (Chernobyl) et Neil Druckmann, à qui l’on doit la franchise vidéoludique, promet des étincelles au vu des images de tournage qui ont été dévoilées.

Pedro Pascal et Bella Ramsey, deux anciens de Game of Thrones ont été choisis pour incarner Joel et Ellie, le duo principal lancé dans un road trip dangereux de Joel et Ellie à travers les États-Unis ravagés par une pandémie provoquée par un champignon. Outre l’équipe technique prestigieuse appelée pour mettre en boîte la série, les fans seront ravis de savoir que le compositeur argentin Gustavo Santaolalla, qui a réalisé la bande-originale des deux jeux, signera la musique de la série.

Mais les aficionados devront prendre leur mal en patience avant de pouvoir découvrir The Last Of Us sur leur petit écran. Dans une récente interview pour Deadline, Casey Bloys, le directeur des programmes de HBO et HBO Max, a expliqué que la série ne sera pas prête pour cette année :

"La série ne sera pas diffusée en 2022, ils tournent toujours au Canada. J'imagine que vous la verrez en 2023. Craig [Mazin] a fait Chernobyl pour nous, c'est un scénariste et réalisateur fantastique. Ce que j'ai vu a l'air incroyable, donc je suis ravi, mais ce ne sera pas en 2022."

Casey Bloys n'en dit pas plus mais on imagine que HBO mise gros sur cette adaptation et que l'équipe de production veut prendre son temps pour livrer aux fans une série à la hauteur de leurs attentes. Par ailleurs, Pedro Pascal est aussi occupé par le tournage de la saison 3 de The Mandalorian, ce qui doit compliquer les agendas.

Une chose est sûre, il faudra attendre 2023 avant de se plonger dans l’univers de la série post-apocalyptique, que certaines personnes verraient bien être le nouveau Game of Thrones pour HBO. Mais Casey Bloys réfute cette idée de vouloir chercher son nouveau mastodonte sériel à la hauteur de l’adaptation des livres de George R.R. Martin :

"Il n'y a pas de nouveau Game of Thrones. Je suis à ce poste depuis assez longtemps pour avoir entendu ‘Quel est le nouveau Sopranos’, ‘Quel est le nouveau Game of Thrones’, et maintenant ‘Quel est le nouveau Succession’. Il n'y a pas de nouveau Game of Thrones."