Kate Winslet a appris « à la dure » à se protéger pour prendre soin d’elle. La star a connu la gloire en 1997, après la sortie de Titanic, de James Cameron. A l’époque, comme elle l’explique dans Vogue, le body shaming était de mise dans la presse. Sa silhouette ne correspondait pas aux diktats des années 1990 et au début des années 2000, et les médias ne l’ont pas raté.
« Ce dont je me souviens de façon vivace, c’est quand j’ai fait Titanic et que j’ai été jetée en pâture au public. J’ai été choquée et horrifiée par la façon dont j’ai été vilipendée par les médias mainstream », a-t-elle confié au magazine.
L’actrice, aujourd’hui âgée de 47 ans, a été traumatisée au point de se cacher des paparazzi, non pas pour protéger sa vie privée, mais pour éviter d’avoir honte de son propre corps si des photos étaient publiées. Le body shaming n’a pas disparu vingt ans plus tard, mais il s’est déplacé.
Comme elle le note, la presse a « arrêté » de juger les corps, contrairement à une partie du public, qui se répand sur les réseaux sociaux. Plusieurs stars en ont fait les frais récemment, dont Léna Situations et Anna Biolay, lors du dernier Festival de Cannes. « Bien sûr, ce truc se passe sur les réseaux sociaux, chez les gens et lorsque le public partage ses opinions - certains ont juste des trucs merdiques à dire », a ajouté Kate Winslet.
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