10 décembre 2024

Chris Evans revient pour Avengers : Doomsday

Après l'annonce du retour de Robert Downey Jr., ex- Iron Man de Marvel, dans le rôle de l'antagoniste Dr Fatalis dans les films Avengers : Doomsday et Avengers : Secret Wars, un autre super-héros iconique de l'écurie Marvel va faire son grand retour.

Chris Evans revient dans le Marvel Cinematic Universe pour Avengers : Doomsday, réalisé par Joe et Anthony Russo. Pour mémoire, le comédien était retourné dans le passé à la fin de Endgame et avait légué son bouclier à son ami Sam Wilson (Anthony Mackie). C'est d'ailleurs ce dernier qui incarne désormais Captain America dans le film à venir Brave New World , prévu le 12 février prochain dans nos salles.

À ce jour, on ignore encore si Chris Evans incarnera le super-héros au bouclier ou s'il reviendra uniquement en tant que Steve Rogers âgé - comme dans la scène finale d'Endgame - ou, à l'instar de Robert Downey Jr., dans un tout autre rôle. D'autant plus que selon Deadline, Anthony Mackie devrait également apparaître dans Doomsday, tout comme Sebastian Stan, aka l'ami de Steve, Bucky Barnes.

Evans a récemment fait un caméo dans Deadpool & Wolverine mais pas en tant que Captain America. Chris Evans incarnait en effet Johnny Storm, un personnage qu'il avait déjà joué en 2005 dans les films Les 4 Fantastiques. L'acteur américain devrait d'ailleurs rencontrer son remplaçant puisque les nouveaux Quatre Fantastiques - Pedro Pascal, Joseph Quinn, Vanessa Kirby et Ebon Moss-Bachrach - sont également annoncés au casting de Avengers : Doomsday, prévu dans nos salles le 29 avril 2026.

Au total, le long métrage des frères Russo devrait réunir 60 super-héros et super-héroïnes. Parmi lesquels pourraient d'ailleurs figurer Deadpool ! Après le succès de Deadpool & Wolverine, l'irrévérencieux Wade Wilson devrait réaliser son rêve et rejoindre les Avengers.

Lors de la rencontre organisée par Variety "Actors on Actors", Ryan Reynolds a confié à l'ex-Spider-Man Andrew Garfield que l'avenir de Deadpool serait probablement celui d'un personnage secondaire dans un autre film. "S'il revient, ce sera dans le film de quelqu'un d'autre." Deadpool pourrait donc bien prochainement débarquer dans les films Avengers.

Avec 1,3 milliard de dollars engrangés au box-office international, Deadpool & Wolverine est le film classé R le plus rentable de tous les temps. Un succès sur lequel Marvel va probablement vouloir capitaliser. Préparez-vous donc à un retour de Deadpool et Wolverine dans Doomsday et Secret Wars.

09 décembre 2024

Glenn Close évoque avec émotion la schizophrénie de son neveu qui vient de publier un roman abordant sa maladie

L’histoire a bouleversé Glenn Close qui savait trop bien ce dont parlait le roman coécrit par son neveu Calen Pick et sa sœur Jessie.

« J’ai eu le cœur serré parce que je savais que c’était très proche de ce qui s’était réellement passé », a confié l’actrice à People. « Cela m’a permis de mieux comprendre ce qu’ils ont tous vécu. »

Intitulé Silence You, le livre retrace, de façon romancée, la décompensation psychotique qu’a connue Calen à l’âge de 18 ans. Une crise qui a permis ensuite de mettre un nom sur ce qui, depuis des années, avait lentement provoqué un changement de personnalité chez ce jeune homme solaire et sans histoire.

Les premiers signes sont apparus quand Calen avait 15 ans. « Il se balançait sur le canapé et ses pupilles étaient énormes », se souvient Jessie Close. « Il regardait par les fenêtres en disant des choses comme "Cette personne m’observe", mais il n’y avait personne. »

Et lorsque cette crise psychotique a eu lieu, et qu’il a fallu faire interner l’adolescent, le diagnostic n’a pas tardé à tomber : Calen était atteint de schizophrénie.

Aujourd’hui, après des années de traitement et de thérapie, le jeune homme a trouvé son équilibre. Marié à Meg, une instructrice d’équitation thérapeutique, il se consacre à la peinture, une passion qui ne l’a jamais quitté. « Peut-être que c’est juste une question de me comprendre moi-même, c’est le voyage dans lequel je suis », confie le neveu de Glenn Close.

Angelina Jolie préférerait que personne ne fasse de biopic sur elle

Alors même qu’elle interprète la légendaire Maria Callas dans le prochain film de Pablo Larraín, Angelina Jolie a des sentiments mitigés concernant les biopics. Ou plutôt elle a un problème à l’idée qu’on puisse un jour en réaliser un qui lui serait consacré.

« Quand vous êtes une personnalité publique, vous êtes consciente d’à quel point vous détesteriez que quelqu’un interprète votre vie ou pense la comprendre », a confié l’actrice au Times. « Alors espérons qu’il n’y en aura pas sur la mienne. »

Malheureusement pour Angelina Jolie, son parcours a tout du parfait biopic hollywoodien. Actrice, réalisatrice, ambassadrice de la paix pour les Nations Unies, la star, à la vie sentimentale mouvementée notamment après son divorce de Brad Pitt, est également mère de six enfants.

Alors peut-être qu’un jour ou l’autre, Pablo Larraín, qui a déjà fait le portrait de Jackie Kennedy et Lady Diana, ajoutera celui d’Angelina à son tableau de chasse !

Katie Holmes s’énerve comme jamais après une rumeur sur sa fille Suri

Elle a formé l’un des couples les plus prisés d’Hollywood, Katie Holmes était devenue la compagne de Tom Cruise en 2005. L’inoubliable Joey dans la série Dawson faisait alors la une des magazines, au bras du célèbre acteur, de 16 ans son aîné. Un an plus tard, c’est en Italie qu’ils décidaient de se marier, quelques mois après avoir accueilli leur fille prénommée Suri. Un conte de fée qui s’est terminé en 2012, lorsque Katie Holmes a demandé le divorce, citant des "différends irréconciliables."

L'actrice américaine avait obtenu la garde exclusive de Suri. A l’époque, la fortune du héros de Top Gun était évaluée à un peu plus de 275 millions de dollars. Des années après cette séparation hautement médiatisée, Katie Holmes sort de sa réserve pour dénoncer la rumeur.

En effet, le 5 décembre, le Daily Mail affirmait que Suri Cruise était devenue millionnaire le jour de ses 18 ans, célébrés le 18 avril dernier. La jeune étudiante aurait eu accès à un fonds fiduciaire "subtantiel", établi par Tom Cuise qui a voulu lui assurer une sécurité financière à sa majorité, même si les liens sont coupés depuis plusieurs années entre le père et la fille. Le fruit d’un accord signé au moment du divorce de deux stars.

"Le reste de l'argent lui sera disponible lorsqu'elle aura atteint la trentaine. Le fonds fiduciaire a été soigneusement conçu pour qu'elle ne reçoive pas tout l'argent d'un coup et ne se sente pas dépassée", a expliqué une source au tabloïd. Et Katie Homes ne serait pas en reste puisqu'elle aurait fait de même. Mais cette dernière a vivement démenti cette information.

Sur son compte Instagram, Katie Holmes a fait deux publications remarquées ce dimanche 8 décembre. Dans la première, l’actrice cite William Shakespeare  qui a dit "Ne croyez pas tout ce que vous lisez sur Internet."

Dans le second post, elle publie une capture d'écran de l'article qu'elle pointe du doigt, assortie d’un commentaire : "Complètement faux. Daily Mail, vous pouvez arrêter d'inventer des choses. Assez", a-t-elle commenté. Sous le feu des critiques pendant de longues années, Katie Holmes a souvent laissé passer les rumeurs à son sujet. Mais visiblement, là, c’en était trop pour la mère de famille, bien décidée à faire taire les ragots !

Lily-Rose Depp remercie ses parents Vanessa Paradis et Johnny Depp pour lui avoir fait vivre une enfance « cool »

Enfant de stars, la belle vie ? Pas toujours si facile, si l’on en croit Lily-Rose Depp, qui a longtemps partagé son quotidien entre la France et les États-Unis, entre sa mère Vanessa Paradis et son père Johnny Depp, qui se sont séparés lorsqu’elle avait 12 ans.

« Il y a eu des moments où je me disais : “Je veux être à l’école avec mes amis” », a ainsi expliqué l’actrice, au cours d’un entretien avec Natalie Portman pour le magazine Interview.

Mais les petits soucis ne sont rien à côté de la reconnaissance qu’elle leur porte pour lui avoir fait vivre des choses incroyables. « Non seulement parce que j’ai beaucoup voyagé, grâce à mes parents qui devaient m’emmener partout, mais aussi parce que je vois maintenant tout le travail qu’ils ont accompli pour s’assurer que mon frère et moi ayons une vie cool dans ces endroits qui n’étaient pas notre foyer », reconnaît-elle.

Et les parents avaient une recette pour assurer du fun à leurs enfants où qu’ils soient : « Ils ont veillé à ce que nous ayons toujours quelque chose d’amusant à faire le week-end et un parc où jouer. » De fait, si la jeune femme a appris quelque chose, c’est bien l’adaptabilité. « Ma famille est française, donc quand je suis avec eux, je me sens 100 % française, et quand je suis avec la famille de mon père, je me dis : “On est tous Kentuckiens” » constate-t-elle.

À l’image de ses parents, la jeune femme a voulu être à son tour « cool » aux yeux de son petit frère Jack, 22 ans, en acceptant un rôle dans Nosferatu, le film d’épouvante de Robert Eggers qui sortira à Noël. Et pour cause, son frère et elle étaient « tous les deux obsédés par Dracula » durant leur enfance. Au point que le fils de Vanessa Paradis et Johnny Depp « avait l’habitude de se déguiser en Dracula pour aller à l’école ».

C’est donc pour que son frère la trouve « cool » que l’actrice de The Idol a endossé le personnage tourmenté d’Ellen Hunter. Comme quoi chez les Paradis/Depp, on a la cool attitude dans le sang.

Anaïs Grangerac : l’animatrice fait une confidence très intime sur son mari sur TF1

L'heure était à la confidence pour Anaïs Grangerac. Sur le plateau de "Bonjour ! La matinale" de TF1, l'animatrice s'est laissée aller à quelques indiscrétions sur sa vie privée. En effet, en pleine chronique de Benjamin Muller sur ces séniors qui vivent séparément et plus heureux, la jeune femme a balancé une petite confidence intime sur son mari Damien. "Selon une étude, pour vivre heureux en couple après 60 ans, il faut vivre chacun chez soi (...) Au minimum chacun sa chambre mais idéalement chacun sa maison." a-t-il fait savoir aux téléspectateurs.

Il n'en fallait pas moins pour faire réagir l'équipe autour de la table. "C'est horrible, je trouve que c'est la fin d'un mythe : pour le meilleur et pour le pire après tout." a déclaré Bruce Toussaint.  "C'est l'inverse, c'est pas horrible, c'est fantastique, pour le meilleur et pour le meilleur (...) Ces séniors choisissent de vivre séparément pour éviter quoi ? Les petits disputes quotidiennes (...) exemple : les taches ménagères (...) le ronflement." a répondu Benjamin Muller.

C'est là qu'Anaïs Grangerac est rentrée en jeu. "Justement... mon mari ronfle." a-t-elle confié. Benjamin Muller a alors expliqué que cette tendance était moins fréquente chez les personnes de 30 ans. "Le ronflement nous gêne mais on s'en accomode. On est plus tolérants." "Moi je fais ça, allez va, ça réveille" a ensuite déclaré Anaïs Grangerac, en poussant de la main le chroniqueur pour illustrer ses propos.

Pour rappel, Anaïs Grangerac et son mari Damien Noël, un coach sportif. Mariés depuis le 29 août 2018, ils sont en couple depuis 2013. Fous amoureux, ils ont même donné naissance à une petite fille. Cette dernière prénommée Mila a pointé le bout de son nez le 8 novembre 2021. Très discrète sur sa vie privée, la mère de famille partage toutefois quelques moments de vie sur son compte Instagram. 

Bande-annonce de Par Amour, avec Cécile de France

Sarah (Cécile de France), 40 ans, doit jongler avec ses deux fils de 6 et 9 ans et un mari souvent absent. Le burn out guette et un jour, l’aîné disparaît sur la plage. Sarah le retrouve de longues minutes plus tard, trempé et mutique. Désormais obsédé par le contact de l’eau, il croit entendre des extraterrestres dès qu’il plonge la tête dans son bain… 

Elise Otzenberger (Lune de miel) réalise ce drame influencé par Steven Spielberg (époque Rencontres du troisième type et E.T.) et Jeff Nichols (époque Take Shelter et Midnight Special) où une mère ira jusqu’au bout pour soutenir son fils. Présenté en ouverture du dernier festival de La Roche-sur-Yon, Par Amour sortira le 15 janvier au cinéma.

Pour la saison 3, Reacher va tomber sur beaucoup plus costaud que lui

On peut toujours compter sur lui pour jouer des muscles, mais cette fois il va tomber sur un os… À l’occasion du Comic Con Experience (CCXP) qui s’est déroulé au Brésil durant le week-end, Prime Video en a profité pour dévoiler les premières images de la saison 3 de Reacher.

Bien sûr, Alan Ritchson reprend le rôle de Jack Reacher et retrouve aussi Maria Sten (Frances Neagley) – son alliée qui aura droit à son propre spin-off. Tous deux étaient présents lors de cette présentation, accompagnés de Lee Child, l’auteur des romans.

Lors du CCXP, la plateforme de streaming d’Amazon a révélé que la saison 3 comporterait – comme les saisons précédentes – 8 épisodes dont les 3 premiers seront disponibles dès le 20 février 2025. Les épisodes suivants seront diffusés chaque semaine jusqu'au 27 mars.

Il a été annoncé plus tôt cette année que Reacher avait reçu un renouvellement anticipé pour une quatrième saison dont le tournage commencera en 2025.

Basée sur le roman Ne pardonne jamais de Lee Child, la saison 3 plonge Reacher tombe au cœur d'une vaste entreprise criminelle alors qu’il essaie de sauver un informateur sous couverture de la DEA, dont le temps est compté. Il découvre alors un monde de secret et de violence, et se retrouve confronté à des affaires non réglées de son propre passé.

Mais dans ce bref teaser, on le voit surtout affronter un antagoniste – annoncé déjà depuis un moment – beaucoup plus costaud que lui. La différence de taille est impressionnante et même Reacher lui-même en est stupéfait. "Il fait deux fois ma taille", dit-il au téléphone à Neagley après qu’on l’a vu se prendre une belle volée.

Rendez-vous le 20 février pour voir comment Reacher va se défaire d’un tel colosse.

Star Trek: Section 31, avec Michelle Yeoh, dévoile de nouvelles images

Quand elle n’est pas au pays d’Oz à pousser la chansonnette, Michelle Yeoh donne quelques coups bien placés dans Section 31. Ce téléfilm de science-fiction, qui fait office de spin-off à Star Trek : Discovery, se dévoile dans une bande-annonce XXL qui permet de rencontrer l’équipage complet de l'impératrice Philippa Georgiou.

Cette dernière est contactée par Starfleet pour rejoindre une division secrète chargée de protéger la Fédération des planètes unies. Un rôle à contre-mesure pour la mère de cœur de Michael Burnham (Sonequa Martin-Green).

Et on comprend grâce à ces nouvelles images que le personnage joué par Michelle Yeoh n’aime pas utiliser les méthodes conventionnelles pour mener à bien sa mission.

C’est en 2018 que l’actrice malaisienne suggère l’idée de développer un projet dérivé centré sur Philippa Georgiou, un personnage qu’elle a adoré jouer dans la première saison de Star Trek Discovery.

Pensé tout d’abord comme une série de deux saisons, le programme a ensuite été retravaillé afin d’en faire un téléfilm : plus facile pour s’adapter au planning ultra chargé de la star de 62 ans.

Après plusieurs années de gestation, un tournage et une post-production de longue durée, Section 31 est enfin prêt. Et après 6 ans d'attente, on espère que le résultat sera à la hauteur.

Toutes les séries Star Trek attendues l'année prochaine

C’est d'ailleurs l’occasion pour la Paramount de développer un tout nouveau pan de Star Trek, cette franchise de science-fiction monumentale qui fêtera ses 60 ans d’existence en 2026.

La Section 31 est un service de renseignement secret régulièrement mentionné dans les séries et films Star Trek (dans Into Darkness en 2013 par exemple) mais jamais vraiment développé à l’écran.

Attendez-vous à beaucoup d’action, pas mal de fonds verts, une héroïne badass et très classe, et très probablement à quelques clins d’œil à d’autres programmes Star Trek qui se déroulent tous dans le même univers…

Rendez-vous le 24 janvier prochain sur Paramount+ donc.

Vous ne connaissez pas la vraie fin de King Kong, et elle est encore plus triste que dans les films

Une équipe de tournage filme un safari sur la mystérieuse île de Kong et découvre un gigantesque singe qu’elle finit par capturer. Le monstre est ramené à New York pour être présenté dans un cirque, mais il s’échappe dans la ville...

Vous avez évidemment reconnu l'histoire de King Kong, dont le premier jalon est sorti il y a déjà 91 ans. Réalisé par le duo Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper, le film est entré depuis au panthéon du cinéma, notamment grâce à ses effets spéciaux, révolutionnaires pour l'époque, créés par le légendaire Willis O'Brien, dont le travail sur Le monde perdu (1925) avait fait sensation.

Pourtant, King Kong fut recalé par l'Académie des Oscars, ce qui scandalisa le patron des studios RKO de l'époque, David O'Selznick, qui lui adressa une pétition pour que les mérites des deux réalisateurs soient reconnus à leur juste valeur. En vain...

Variantes nippones et suites mises de côté naturellement, l'histoire de King Kong est toujours la même, aussi puissante et émouvante, quelles que soient les nouvelles versions; y compris donc celle, formidable, de Peter Jackson.

Toujours aussi amoureux de sa conquête féminine qu'il manipule avec une grande délicatesse, protecteur féroce envers elle, le roi Kong finit hélas par être abattu par les militaires. Il faut avoir un coeur en granit pour ne pas verser sa larme sur le triste sort de cette créature légendaire, arrachée à son milieu naturel de son île, où elle est vénérée, pour devenir littéralement une bête de foire enchaînée pour le restant de ses jours.

Peu de temps avant la sortie du film de Peter Jackson en 2005, un roman, Kong : King of Skull Island, écrit par un auteur du nom de Joe Devito, est sorti aux Etats-Unis. Autorisé par le Cooper Estate, le fond qui gère l'héritage du film de 1933, ce nouveau roman fait à la fois office de préquelle et de suite au conte fantastique classique. Et révèle un post scriptum, absent des films, d'une tristesse infinie...

Après que Kong ait été abattu par l'armée et soit mort, son gigantesque cadavre a été récupéré et est devenu une exposition au Musée d'histoire naturelle, les clients payant le prix fort pour voir son squelette. Comme une cruelle et tragique ironie : même dans la mort, le monde n'en a pas fini avec lui - ses restes ne connaissent même pas le repos.