Quatre mois après avoir donné naissance à son second enfant, Lilibet Diana, Meghan Markle évoque pour la première fois les difficultés qu'elle et le prince Harry rencontrent avec leurs progénitures, dans une lettre adressée à la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, rapportée par le Daily Express. Le temps de son récit, Meghan Markle se défait de son personnage royal pour plaider en faveur des congés payés pour les parents américains, étayant son propos en évoquant les difficultés d'être un parent moderne : "La mère ou le parent qui travaille est confronté au conflit suivant : être présent ou être payé. Le sacrifice de l'un ou l'autre a un coût élevé."
Si Meghan et Harry sont "comblés" par la naissance de Lilibet Diana, la duchesse admet qu'ils ont été "bouleversés" et "débordés" par l'arrivée de ce second enfant : "Comme tous les parents, nous étions très heureux. Comme beaucoup de parents, nous étions débordés. Comme moins de parents, nous n'avons pas été confrontés à la dure réalité, qui est de choisir entre passer ces premiers mois critiques avec notre bébé ou reprendre le travail." Bien consciente qu'ils sont privilégiés, Meghan Markle se sert de sa notoriété pour plaider la cause des parents américains. "Nous savions que nous pouvions la ramener à la maison. [...] Que nous n'aurions pas à faire des choix impossibles en matière de garde d'enfants, de travail et de soins médicaux, comme tant d'autres doivent le faire chaque jour", détaille-t-elle.
Si à la naissance d'Archie en 2019, Meghan et Harry se sont prêtés aux jeux des médias, en dévoilant le visage du petit garçon lors d'une conférence de presse officielle, ils ont décidé d'agir autrement pour leur petite fille. Depuis qu'ils se sont installés en Californie, les Sussex se font de plus en plus discrets. Et bien que les curieux attendent avec impatience un cliché de Lilibet Diana, Meghan et Harry préfèrent la préserver de l'agitation médiatique.
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