05 février 2022

Netflix : bande-annonce de Sans répit, avec Franck Gastambide

Si ces dernières années, Franck Gastambide s’est surtout consacré à sa série dans le monde du rap, Validé, il a récemment mis de côté sa casquette de metteur en scène afin de tourner dans la première réalisation du directeur de la photographie Régis Blondeau, Sans répit.

Les premières images de ce thriller d’action attendu sur Netflix le 25 février prochain montre le comédien dans la peau d’un lieutenant faisant l'objet d'une enquête pour corruption. Sa vie bascule encore plus quand il se rend en pleine nuit aux funérailles de sa mère. En voulant éviter un chien sur le route, il percute accidentellement un homme et le tue sur le coup.

Paniqué, il décide de cacher le corps. Croyant être tiré d'affaires, il se retrouve embarqué dans une spirale infernale, quand l'enquête sur l'individu disparu est confiée à un de ses collègues, et qu'un mystérieux témoin tente de le faire chanter...

Remake du polar coréen Hard Day signé Kim Seong-hun (Tunnel, Kingdom) et passé par la Quinzaine des réalisateurs en 2014, Sans répit s’annonce comme un film sous haute tension avec également au casting Simon Abkarian, Michaël Abiteboul, Serge Hazanavicius, Tracy Gotoas et Jemima West.

Police de caractères sur France 3 : pourquoi Joffrey Platel a-t-il quitté la série ?

Ce samedi 5 février à partir de 21h10, France 3 va diffuser un épisode inédit de Police de Caractères, une série policière portée par Clémentine Célarié. Véritable succès sur la chaîne, les deux premiers épisodes, diffusés en 2020 et 2021, étaient parvenus à réunir pas moins de 5,3 millions de téléspectateurs.

Un succès qui avait donc convaincu la Trois de commander deux nouveaux volets qui vont continuer à suivre le tandem formé par la capitaine Louise Poquelin, une flic non conventionnelle, et le capitaine Etienne de Beaumont, un aristocrate coincé.

Intitulé “Cadavre exquis”, cet épisode inédit voit Louise Poquelin enquêter sur la mort d’un ancien flic reconverti en auteur de polar, tué par un clef USB… Autant dire que Romy, la belle et discrète éditrice de la victime, qui a une légère tendance à mentir par omission, se retrouve dans le collimateur de la police.

De Louise surtout, Étienne de Beaumont étant tombé en admiration devant cette femme à la fois si forte et si fragile… L’affaire s’avère complexe, et les enquêteurs doivent comprendre avant tout ce qui était visé : l’ancien flic, l’auteur à succès ou le « serial » séducteur ?

Pour ce nouvel épisode, il y a cependant un changement de taille puisque ce n’est plus Joffrey Platel qui incarne de Beaumont, mais Xavier Robic, un acteur vu dans La Promesse ou encore Tropiques criminels.

Selon la chaîne, l’interprète de Bastien Laval dans Demain nous appartient n’était pas disponible aux dates de tournage prévues par la production, qui a donc décidé de tourner sans lui et de le remplacer par un autre comédien.

Mais que les fans se rassurent, le personnage restera égal à lui-même. Lors d’une interview accordée à Télé 7 Jours, Xavier Robic a en effet précisé que les auteurs n’ont pas fait de modification sur son personnage. “Il reste tel quel, coincé, bien éduqué, héritier d’une aristocratie désargentée.” Il a cependant pris soin de s’approprier le personnage sur les recommandations de Gabriel Aghion, réalisateur de la série.

Bonne nouvelle pour les fans de la série, il ne faudra pas attendre un an avant de découvrir ce qui attend les personnages de Police de caractères, puisque France 2 diffuse dès samedi prochain à 21h10 un deuxième épisode inédit intitulé “Un loup dans la bergerie”. Les deux enquêteurs seront cette fois chargés de résoudre le meurtre d’un militant vegan ayant eu lieu lors d’une manifestation au sein d’une ferme agricole.

Spider-Man : Stan Lee aurait dû apparaître dans No Way Home

Et si Stan Lee était présent dans Spider-Man No Way Home et que personne ne l'avait remarqué ? Mais comment cela aurait-il pu être possible ? En effet, génial créateur de super-héros emblématiques Marvel est décédé en 2018, avant le tournage du 3ème épisode.

Pour trouver ce clin d'oeil bien dissimulé, il faut aller checher du côté du scénario du film, écrit par Chris McKenna et Erik Sommers. Comme le révèle le site TheDirect, le script avait prévu qu'un comédien ressemblant à Stan Lee devait apparaître dans la scène du café à la fin du film.

Après la mémorable séquence d'action réunissant les trois Spider-Man du multivers, Doctor Strange rétablissait l'ordre et tout le monde oubliait que Spider-Man était Peter Parker, y compris MJ. Meurtri, l'araignée sympa du quartier retournait voir sa dulcinée dans un café dans lequel elle travaille.

Dans le script original, il est indiqué qu'en arrivant dans l'établissement, Peter aperçoit MJ en train de discuter avec un client plutôt âgé ressemblant à Stan Lee. Comme on peut le voir dans la capture d'écran du scénario, le grand manitou de chez Marvel est clairement mentionné.

Finalement, ce clin d'oeil ne sera pas conservé par Jon Watts dans la version finale du film. Stan Lee en personne avait eu le temps de tourner quelques caméos avant son décès, apparaissant pour la dernière fois dans Avengers Endgame en 2019. 

Arthur Rambo : quel scandale médiatique a inspiré ce film ?

Après L'Atelier, sorti en 2017, Laurent Cantet est de retour derrière la caméra avec Arthur Rambo. Cette fois, le cinéaste nous présente le personnage de Karime, jeune écrivain engagé au succès annoncé.

Ce dernier avait alias sur les réseaux sociaux, Arthur Rambo, qui postait des messages haineux. La vie de Karim bascule le jour où ce passé est exhumé de Twitter.

Comme à son habitude, le metteur en scène est allé puiser dans une réalité sociale afin d'ancrer son film dans une brûlante actualité. Arthur Rambo est ainsi librement inspiré de l'affaire Mehdi Meklat, un scandale qui a éclaboussé le monde de l'édition en février 2017.

Mehdi Meklat est né le 18 avril 1992 à Clichy, dans le départements des Hauts-de-Seine). C'est un écrivain, réalisateur, blogueur et chroniqueur français. Dès l'âge de 16 ans, il rejoint le Bondy Blog avec son ami Badroudine Saïd Abdallah, devenant le porte-parole de la diversité ethnique et des quartiers sensibles.

Les deux jeunes hommes se font repérer par France Inter, qui leur offre une chronique, Comme on nous parle. Cette dernière est devenue A'Live durant la saison 2014-2015. Leur collaboration avec la célèbre radio prend fin en juin 2015.

Mehdi Meklat et Badroudine Saïd Abdallah co-écrivent ensuite un livre ensemble, Burn out, publié en 2015. Récit choc, il relate l'histoire tragique de Djamal, jeune chômeur qui s’est immolé devant une agence de Pôle Emploi à Nantes en 2013.

Devenu une icône des banlieues, le duo est invité sur tous les plateaux TV et font la une des magazines comme Télérama ou Les Inrocks. Il créé aussi des pastilles vidéos pour Arte et réalise même un documentaire nommé Quand il a fallu partir. Il était consacré à la barre Balzac de la cité des 4000 de La Courneuve, détruite pour insalubrité en 2011.

Chouchou des médias, le tandem Meklat / Abdallah connaissent une ascension fulgurante. Tout bascule le Le 17 février 2017. Mehdi Meklat est invité sur le plateau de La Grande Librairie sur France 5. Il doit y présenter son nouvel ouvrage Minute, toujours co-écrit avec son acolyte.

Le jour même, des internautes exhument des réseaux sociaux des propos antisémites, homophobes, misogynes ou faisant notamment l'apologie du terrorisme. "Faites entrer Hitler pour tuer les juifs", "Qu'ils crèvent" (en évoquant les journalistes de Charlie Hebdo en 2014), "Je regrette Ben Laden, il aurait pu tout faire péter".

La polémique ne met pas longtemps à prendre une grande ampleur. Si Meklat efface ses tweets dans la précipitation, il est tout de même trop tard pour éteindre le feu du scandale. L'artiste Joann Sfar a notamment fait une capture d'écran des messages, dénonçant les propos du jeune écrivain.

Ce dernier, caché sous le pseudonyme de Marcelin Deschamps, a posté des horreurs sur les réseaux sociaux jusqu'en 2017. Acculé, l'ex chronique radio se défend maladroitement.

"Rien sur ce réseau social naissant n’était mis en œuvre pour arrêter les logorrhées numériques ignobles. Marcelin Deschamps était absolument immoral. Il était honteux, misogyne, antisémite, raciste, islamophobe et homophobe. Grisé par cette liberté infinie, Mehdi n’a pas su contrôler Marcelin", explique-t-il, déclarant aussi qu'il avait créé un "double maléfique."

Stoppé net dans son ascension, le natif de Clichy tente de faire un retour littéraire en 2018 avec Autopsie, vaine tentavie pour s'excuser et revenir sur le devant de la scène.

"De décembre 2010 à février 2017, entre mes dix-neuf et mes vingt-cinq ans, j'ai publié plus de cinquante mille tweets sur mon compte Twitter, sous le pseudonyme Marcelin Deschamps, sans jamais cacher que ce compte m'appartenait. En septembre 2016, je l'ai même repris sous mon vrai nom", confie-t-il dans ces pages.

"La plupart de mes tweets étaient  bêtes et méchants, d'autres drôles; une vingtaine d'entre eux infâmes, ignobles. Je m'en suis excusé dès le début de ce que la presse a appelé l'Affaire Meklat et j'implore à nouveau le pardon de tous ceux qui se sont sentis blessés ou meurtris par ces tweets.  Je regrette, bien plus encore que l'on ne peut m'en vouloir, de les avoir écrits", a-t-il martelé.

La polémique a fini par s'éteindre avec Mehdi Meklat, retombé depuis dans l'oubli. Son fantôme est ressuscité cette année dans Arthur Rambo, via Rabah Naït Oufella. Ce dernier campe Karim, sorte de double fictif de Mehdi.

"J’avais surtout du mal à recoller les morceaux, à me dire que ce gars intelligent et sensible avait pu écrire ça. Comment tout cela pouvait-il cohabiter dans un même esprit ?", questionne Laurent Cantet.

"Beaucoup de gens, journalistes, intellectuels, ont essayé d’analyser cela et j’ai eu le sentiment que ça tournait en rond. Ce besoin de comprendre passait inévitablement par du discours, qui de toute part voulait établir une vérité. Mais la dialectique a ses limites. J’avais l’impression que le discours, si construit soit-il, n’épuiserait jamais le mystère du personnage, ce qu’un film pouvait tenter de faire de manière plus sensible", précise le cinéaste.

"Je m'étais posé la question et je l'ai aussi posé à Laurent Cantet, à savoir est-ce qu'il fallait que je rencontre Mehdi Meklat pour comprendre le personnage et le calquer. La réponse a été non parce qu'on ne fait pas un film sur Mehdi Meklat. En réalité, on fait un film sur ce mécanisme qui est Twitter, où les réseaux sociaux en général, dans lesquels il faut, pour avoir des followers et accéder à cette lumière, soit être soit très drôle, soit très fort, très intelligent ou provocant", analyse Rabah Naït Oufella.

04 février 2022

Scream 6 : la suite est officiellement lancée

Feu vert pour Scream 6 ! Après la sortie en France de Scream, le sixième volet de la franchise lancée par Wes Craven en 1996 est officiellement confirmé. Le tournage de ce nouveau film est d'ores et déjà prévu pour l'été 2022 et l'équipe derrière la caméra fait son retour, à savoir le duo de réalisateurs Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett, mais aussi les deux scénaristes, James Vanderbilt et Guy Busick.

"C'est la vraie vie ? Travailler une nouvelle fois avec nos amis sur une suite de Scream dépasse toutes nos espérances, se réjouissent les scénaristes dans un communiqué de presse. Nous sommes heureux de revenir jouer dans le bac à sable que Kevin et Wes ont créé. C'est, comme peut le dire Ghostface, un honneur." Une autre bonne nouvelle, le scénariste historique Kevin Williamson est également de retour en tant que producteur, poste qu'il occupait déjà sur le dernier film.

Pour le moment, aucune information n'affirme le retour des acteurs présents dans le précédent film - pour ceux qui ont survécu bien sûr. Mais de nouvelles annonces ne devraient pas tarder. 

Ce coup d'envoi n'est pas une grande surprise. Si la carrière du long métrage en France est un peu déçevante - c'est le seul opus de la saga à ne pas atteindre le million d'entrées -, le slasher cartonne dans le monde entier. Il a déjà rapporté plus de 100 millions de dollars à l'international, un score plus que honorable compte tenu du contexte actuel.

A voir sur Disney+ du 4 au 10 février

Disney+ Originals

Mercredi 9 février :

Le Livre de Boba Fett – saison 1, épisode 7 (final)

Marvel Studios Rassemblement : le making-of de Hawkeye

Les séries Star

Mercredi 9 février :

Snowdrop – saison 1, épisodes 1 et 2

The Big Leap – saison 1, épisode 11 (final)

Pam & Tommy – saison 1, épisode 4

Queens – saison 1, épisode 5

Big Sky – saison 2, épisode 6

Les Années coup de coeur – saison 1, épisode 8

Mixed-ish – saison 2, épisode 10

Ajouts au catalogue

Vendredi 4 février :

Mon père

Fantastic Mr. Fox

Mort sur le Nil

The Book of Manning

Mercredi 9 février :

American Housewife – saisons 1 à 5

La Bande à Picsou – saison 3

Nouveautés Prime Video du 4 au 10 février

Vendredi 4 février :

Reacher – Saison 1 – Amazon Original – 4 février

Des Soldats Et Des Ombres – Amazon Original – 4 février

Book of Love – Amazon Original – 4 février

Lundi 7 février :

Melrose Place – Saison 1 à 7 – 7 février

Endings, Beginnings – Amazon Exclusive – 7 février

J.J. Abrams : l'ombre d'Harrison Ford plane sur sa nouvelle série

C’est la nouvelle grande tendance à Hollywood : adapter des films en séries. Flashdance, Liaison Fatale, Grease… de nombreux projets sont d’ores et déjà en chantier. Le dernier en date concerne Présumé innocent, thriller politique de 1990 signé Alan J. Pakula et porté par Harrison Ford.

Aux commandes du programme, deux showrunners de renom : J.J. Abrams, qui poursuit son chemin à la télévision, et David E. Kelley, créateur de Big Little Lies et The Undoing. Cette série marque leur première collaboration.

Composée de huit épisodes, la fiction suivra la même trame que le film original : un célèbre procureur de Chicago est accusé du meurtre d’une jeune étudiante avec qui il entretenait une liaison. Avant d’être un long métrage, Présumé innocent est un roman écrit par Scott Turow. La fiction explorera divers thèmes, comme la sexualité, la politique, l'obsession et les limites de l’amour.

La distribution reste encore inconnue, mais la fiction sera diffusée sur la plateforme Apple TV+, qui propose une autre série adaptée d’un film avec Harrison Ford, The Mosquito Coast. Menée par Justin Theroux, celle-ci a, par ailleurs, été renouvelée pour une saison 2.

Spider-Man : la super-héroïne Madame Web incarnée par Dakota Johnson ?

Il y a eu Venom. Il y aura Morbius. Et Kraven le Chasseur aiguise ses armes avant de sortir de l'ombre sous les traits d'Aaron Taylor-Johnson. Place maintenant à une super-héroïne dans l'univers de Sony lié à Spider-Man ! En projet depuis quelques années, le film Madame Web a peut-être trouvé son interprète en la personne de Dakota Johnson, en négociations pour le rôle selon Deadline.

Née en novembre 1980, dans le numéro 210 de "The Amazing Spider-Man", Cassandra Webb est un personnage atteint de myasthénie, maladie neuromusculaire auto-immune qui la rend aveugle et paralysée. Mais elle survit grâce à l'appareil de soutien conçu par son mari : une série de tubes en forme de toile d'araignée auxquels elle est reliée.

C'est depuis ce trône vital qu'elle peut aider Spider-Man, dont elle devient l'alliée et la protectrice, grâce à ses pouvoirs mentaux : télépathie, clairvoyance et capacité à prédire l'avenir. Elle peut notamment projeter ses pensées dans l'esprit d'autres personnes, mais également voir des événements passés et présents auxquels elle n'a pas forcément assisté.

Confié à S.J. Clarkson, un temps attachée au quatrième film de la saga Star Trek initiée par J.J. Abrams, Madame Web n'a pas encore de date de sortie. Mais le long métrage pourrait s'offrir les créneaux du 23 juin ou du 6 octobre 2023, d'ores et déjà réservés par Sony, qui va donc mettre une super-héroïne en lumière dans son univers étendu.

Mais comme pour Venom, la question de la présence de Spider-Man va se poser, puisque Madame Web est liée à l'Homme-Araignée dans les comic books. Le film pourrait également servir de tremplin pour Spider-Woman, pour qui Sony a aussi des projets, puisque Cassandra Web n'est autre que la grand-mère de Charlotte Witter, quatrième incarnation de la super-héroïne dans les comic books.

Yellowstone : une saison 5 officialisée pour la série avec Kevin Costner

Bonne nouvelle pour les fans de Yellowstone : le néo-western porté par Kevin Costner, Luke Grimes, et Kelly Reilly aura sans surprise droit à une saison 5 qui vient d'être officialisée par Paramount Network.

Lancée en 2018 devant un peu moins de 3 millions de téléspectateurs aux États-Unis, la série créée par Taylor Sheridan (Sicario) et John Linson (Sons of Anarchy) est devenue un vrai phénomène ces derniers mois.

Selon Deadline, le premier épisode de la saison 4 a en effet rassemblé 14 millions d'Américains au total en audience consolidée, tandis que le final, proposé le 2 janvier dernier sur Paramount Network, a atteint les 15 millions de téléspectateurs.

La saison 5 de Yellowstone, dont le tournage devrait débuter en mai, verra Jennifer Landon et Kathryn Kelly, qui interprètent respectivement Teeter et Emily, être promues régulières après avoir été introduites en saison 3 et 4 en tant que guests.

Les deux comédiennes rejoignent ainsi au casting principal Kevin Costner, Luke Grimes, Kelly Reilly, Wes Bentley, Cole Hauser, Kelsey Asbille, Brecken Merrill, Jefferson White, Forrie Smith, Denim Richards, Ian Bohen, Finn Little, Ryan Bingham et Gil Birmingham, qui rempileront tous pour ces nouveaux épisodes.

Yellowstone raconte les aventures de la famille Dutton qui possède dans le Montana le plus grand ranch des États-Unis, près du parc national de Yellowstone. Mené par le patriarche John, campé par Costner, le clan Dutton se bat contre les politiciens et promoteurs immobiliers afin d'éviter que l'on n'empiète sur ses terres.

En France, les deux premières saisons de la série sont disponibles en exclusivité sur Salto.