10 juillet 2020

Netflix : les séries à voir du 10 au 16 juillet

Le vendredi 10 juillet

The Twelve : Douze citoyens ordinaires convoqués comme jurés dans un procès doivent décider du destin d'une directrice d'école très respectée accusée de deux meurtres.

Les aventures extraordinaires de Capitaine Superslip dans l’espace : Les meilleurs amis Georges et Harold entament une mystérieuse mission dans l'espace aux côtés de leurs camarades de classe et de leur directeur d'école tyrannique.

Le mercredi 15 juillet

Sombre désir : Un week-end fatidique déchaîne les passions et se termine en tragédie pour une femme mariée qui finit par s'interroger sur son entourage.

C'est déja disponible

Les Demoiselles du téléphone saison finale : Lorsque sa principale rivale se sert d'un camp de prisonniers pour se venger, Lidia et ses amis redoublent d'audace dans leur lutte contre le régime franquiste.

Ju-On Origins saison 1 : La série de films d'horreur japonais "Ju-On" était en fait basée sur des événements réels qui se sont produits pendant plus de 40 ans... et la vérité dépasse la fiction. Cette série est une origin story des films The Grudge. 

Stateless : Quatre étrangers se retrouvent coincés dans un centre de détention pour immigrés australien. Chaque personnage aborde les contradictions de la protection et du contrôle des frontières de son point de vue. Cette mini-série Netflix s’offre un joli casting (Cate Blanchett et Yvonne Strahovski en premier lieu).

The Mandalorian sur Disney+ : découvrez le clip de la BO

Déjà culte après seulement une saison de diffusion, l'excellente bande originale de The Mandalorian composée par Ludwig Göransson s'offre aujourd'hui un clip, dévoilé sur la chaîne Youtube de Disney+. En attendant la saison 2 (annoncée pour le mois d'octobre), on peut y voir le compositeur sur le plateau de la série jouer de tous les instruments qui lui ont permis de mettre en musique les aventures de Mando.

Pour en apprendre davantage sur l'élaboration de ces mélodies si particulières, au croisement entre partitions symphoniques et complaintes tribales, on vous conseille d'ailleurs d'aller jeter un oeil à la série documentaire Disney Les Making-of : The Mandalorian (également disponible sur Disney+) dédiée aux coulisses du show. Le septième épisode est entièrement consacré au travail de Göransson.

Nouveautés Disney+ du 10 au 16 juillet

Nouveaux épisodes de séries Originales :

Projet Héros Marvel – épisode 17 : Super-Salvador

Héros fidèles avec Bill Farmer - épisode 9 : Chiens d’avalanche et brigade de beagles

Dimanche en famille – épisode 36 : L'arbre généalogique Lilo et Stitch

Une Journée à Disney – épisode 32 : Marc Smith : responsable du story-board

Ajouts au catalogue :

Agent Carter – Saison 2

Eddie the Eagle

Les cités perdues d'Albert Lin – Saison 1

09 juillet 2020

Frankenweenie (Disney+) : quand Tim Burton déclare son amour au cinéma d'horreur

Avant de donner à Batman ses lettres de noblesses sur grand écran, de lancer un cavalier sans tête aux trousses de Johnny Depp ou de rendre à hommage vibrant à Ed Wood, c'est dans l'animation que Tim Burton a commencé sa carrière, avec une poignée de courts qui ont attiré l'attention de Disney sur lui. Peu en phase avec le ton des films auxquels il collabore, le futur réalisateur de Beetlejuice y connaît une expérience contrastée : si son travail sur Rox & Rouky (1981) se passe plutôt bien, ses concept arts pour Taram et le chaudron magique sont refusés quelques années plus tard. Ce qui n'empêche pas le studio de lui faire confiance en matière de mise en scène et de lui donner sa chance à plusieurs reprises.

Il signe alors deux courts métrages qui se distinguent pour leurs qualités esthétiques et narratives tout autant pour leur aspect personnel : Vincent (1982), histoire animée en stop-motion d'une jeune garçon aux cheveux hirsutes qui, comme Tim Burton, a grandi en regardant des films d'horreur et rêve d'être Vincent Price, star des années 60 qui joue ici les narrateurs et que le cinéaste dirigera dans Edward aux mains d'argent avant sa mort ; et Frankenweenie, récit en prises de vues réelles qui revisite l'un des films cultes du réalisateur, Frankenstein, et raconte comme un enfant sème la pagaille dans le voisinage en ressuscitant son chien mort. Porté par Shelley Duvall, Daniel Stern et l'une des stars montantes de l'époque, Barret Oliver (L'Histoire sans fin), le film devait être projeté en avant-programme lors de la ressortie de Pinocchio en 1984. Mais les projections-test en ont décidé autrement.

Au vu du nombre d'enfants bouleversés par le court métrage malgré son happy end, les studios Disney claquent la porte au nez de Tim Burton, coupable d'avoir gaspillé leurs ressources pour donner naissance à un film bien trop effrayant pour leur cible familiale. Le réalisateur est alors embauché par la Warner, et apprend quelques années plus tard, et à sa grande surprise, que Frankenweenie a été projeté en Australie lors de séances de Brisby et le Secret de Nimh. Car, malgré leur colère, ses anciens patrons ne l'ont pas mis à la poubelle et une version censurée est même éditée en VHS, pour surfer sur la notoriété acquise par leur ancien poulain. Et il faut attendre le début des années 90 pour que les choses s'arrangent, puisque le réalisateur renoue avec eux pour produire et superviser L'Étrange Noël de M. Jack, dont il a imaginé l'histoire et les personnages (l'un d'eux, le chien Spot, apparaît même sur une pierre tombale dans le générique de Frankenweenie). Un long métrage couronné de succès et qui, au moment de sa première exploitation en vidéo, est accompagné de Vincent en guise de bonus. Et c'est tout.

Mais ça n'est que partie remise, car une version non-censurée de Frankenweenie est présente sur l'édition DVD de L'Étrange Noël de M. Jack, premier pas vers une réconciliation en bonne et due forme. En 2007, le réalisateur est annoncé aux commandes de deux projets estampillés Disney : une adaptation d'Alice au pays des merveilles qui devait alors être en performance capture come Le Pôle Express ; et un long métrage adapté de Frankenweenie, animé image par image avant d'être projeté en 3D. Réalisé au sein des studios de la banlieue de Londres qui ont notamment vu naître ses Noces funèbres ou encore le Fantastic Mr. Fox de Wes Anderson, ce dernier sort dans les salles mondiales à l'automne 2012, et sonne comme une petite revanche et une seconde chance pour son auteur, qui parvient à imposer le noir et blanc et surtout le stop-motion qu'il avait dû sacrifier au profit des prises de vues réelles pendant les années 80, pour des questions de budget.

Contrairement à L'Étrange Noël de M. Jack, signé Henry Selick, ou aux Noces funèbres, co-réalisé avec Mike Johnson, le cinéaste est donc le seul maître à bord de ce triple-retour aux sources. Soit la relecture animée et en noir et blanc du court dans lequel il revisitait le Frankenstein de 1931. Un long métrage qui, comme il l'a plus d'une fois avoué, lui apportait du réconfort quand il était enfant, lui le marginal qui ne se sentait pas à sa place dans la banlieue américaine qu'il a plus d'une fois égratignée sur les écrans, et notamment dans Edward aux mains d'argent, sa version personnelle de… Frankenstein. Co-écrit par Tim Burton et Leonard Ripps, scénariste de l'original, auxquels se joint John August (Big Fish, Charlie et la chocolaterie…), le Frankenweenie de 2012 part du même postulat que son modèle : dévasté par la mort soudaine de son chien Sparky, le jeune Victor Frankenstein décide de faire honneur à son nom et se sert de la science pour tenter de ressusciter celui qui était son meilleur ami. Sans se douter un instant des conséquences que son expérience aura sur son entourage.

Et c'est ensuite que les choses changent et que le long métrage prend de plus en plus d'ampleur. Certes, le budget n'est "que" de 39 millions de dollars, ce qui peut paraître ridicule à côté d'un opus comme Rebelle de Pixar, sorti la même année, et qui en a coûté 185. Mais c'est trente-neuf fois le montant de la somme allouée à l'original. Et on sent que c'est suffisant pour que Tim Burton s'éclate avec, et qu'il peut enfin donner vie au film qu'il avait en tête à l'époque, en multipliant les références à sa propre filmographie (de Sleepy Hollow à Edward aux mains d'argent en passant par Batman) ainsi qu'à tout un pan du cinéma d'horreur classique : un personnage s'appelle Van Helsing, comme la némésis de Dracula ; un autre possède l'apparence de Boris Karloff dans Frankenstein alors qu'une tortue s'appelle Shelley, en hommage à l'auteure du livre dont celui-ci s'inspire ; et Christopher Lee, que le cinéaste a dirigé à plusieurs reprises, apparaît dans la télé des parents du héros, grâce à un extrait du Cauchemar de Dracula. Sans oublier le final.

C'est en effet dans sa seconde moitié que le long métrage se différencie le plus de son modèle. Dans la version de 2012, les expériences de Victor inspirent ses camarades de classe, et il n'est d'ailleurs pas difficile de faire un parallèle avec la situation de Tim Burton, devenu un réalisateur adulé que beaucoup ont tenté de copier, là où il était un marginal trois décennies plus tôt, avec un univers bien trop sombre pour les studios Disney qui l'employaient alors. Toujours est-il que, comme le héros de film d'animation, les autres enfants décident eux aussi de ressusciter leur défunt animal de compagnie, ce qui nous offre un climax aux allures de foire aux monstres, et des clins-d'œil à foison, puisque les créatures renvoient au Loup-Garou, à la Momie à La Fiancée de Frankenstein (déjà évoqué dans le court) ou encore à Godzilla, comme si l'enfance et le panthéon personnel du cinéaste s'animaient sur grand écran. De la même manière que dans Mars Attacks !, Pee-Wee Big Adventure ou certaines scènes de Batman et sa suite, le cinéaste se livre à un véritable jeu de massacre avec l'énergie d'un sale gosse que l'on imagine jubiler à l'idée de pouvoir semer la zizanie pour le compte d'un employeur qui l'avait mis à la porte trente ans plus tôt.

Une décision que les studios Disney ont sans doute regrettée et les retrouvailles ont pris des allures de retour du fils prodigue. Avec, à la clé, un gros succès (Alice au pays des merveilles et son milliard de dollars de recettes en 2010), une relecture de Dumbo dans laquelle Tim Burton envoie quelques petites piques à l'empire de son patron via le méchant incarné par Michael Keaton et son parc d'attractions, et ce Frankenweenie. Sans atteindre les sommets du box-office (81,5 millions de dollars de recettes dans le monde, contre 118 pour Les Nocès funèbres sept ans plus tôt), le résultat est burtonien en diable et ce à tous les niveaux.

Sur le plan visuel déjà, avec l'animation en stop-motion qui a nécessité quelques deux cents marionnettes (dont dix-huit pour le héros et quinze pour son chien Sparky), le noir et blanc qui lui permet de renvoyer un peu plus facilement vers l'expressionnisme allemand et ses angles inquiétants qu'il chérit tant, ou les références évoquées plus haut. Et sur le fond, le long métrage met en scène l'enfant que le cinéaste rêvait d'être, cet amoureux du cinéma d'horreur qui voulait créer des monstres. Ce qui lui a d'ailleurs plus réussi qu'à Victor, comme le prouve notamment cet opus attachant et réjouissant, bourré de détails et qui, s'il pourra impressionner les plus jeunes, reste destiné à toute la famille. Et contrairement à l'original, également disponible sur Disney+, celui-ci n'a pas été caché ou censuré pendant de nombreuses années.

The Crown : la série Netflix aura finalement droit à une saison 6 !

Alors que Peter Morgan, le créateur de The Crown, avait annoncé en janvier dernier que la cinquième saison de la série royale serait la dernière, Netflix vient d’annoncer le renouvellement du show britannique pour une sixième et dernière saison ! La plateforme a partagé la bonne nouvelle sur Twitter et les fans de la série royale imaginent déjà des intrigues incluant le prince Harry et Meghan Markle.

Comme le rapporte TheWrap, Peter Morgan a finalement décidé de suivre son plan initial : "Quand nous avons entamé les discussions sur les intrigues de la saison 5, il nous est vite apparu que nous devions revenir au plan d’origine et faire six saisons, pour rendre justice à la richesse et à la complexité de l’histoire".

En attendant, les équipes terminent la production de la saison 4, portée par Olivia Colman, après Claire Foy en saisons 1 et 2, et qui mettra en scène le prince Charles, Lady Di et Margaret Thatcher. C’est ensuite l’actrice Imelda Staunton, connue pour son rôle impitoyable de Dolores Ombrage dans le cinquième volet d’Harry Potter, qui reprendra le rôle de la reine Elisabeth II.

The Resident saison 3 : une date pour les inédits sur Warner TV

En avril dernier, TF1 a profité du confinement pour lancer sur son antenne The Resident, sa nouvelle série médicale, en remplacement de Grey’s Anatomy, qui, faute de doublage, ne pouvait plus être diffusée. Face à son succès, la Une avait même fait le choix d’enchaîner avec la saison 2 avant d’interrompre la diffusion à l’issue des épisodes 9 et 10, laissant les fans en plein suspense après les noces de Devon et le retour de Hunter Lane.

Même si de nombreuses personnes ont découvert la série sur TF1, The Resident n’était pourtant pas inédite en France. Depuis février 2019, c’est Warner TV, une chaîne câblée, qui en a l’exclusivité, et a ainsi diffusé les deux premières saisons. Bonne nouvelle pour les abonnés : la chaîne vient d’annoncer que la saison 3 sera diffusée tous les mardis à partir du 1er septembre à 20h55.

Pour rappel, The Resident suit la Dr Conrad Hawkins, incarné par Matt Czuchry, un jeune médecin charismatique du Chastain Memorial à Atlanta, qui doit jongler entre un patron manquant d'éthique et le bien-être de ses patients. Il est accompagné du Dr Devon Pravesh (Manish Dayal), un jeune interne fraîchement diplômé et Nic Nevin (Emily VanCamp), une infirmière de l'hôpital.

A noter que la série a d’ores et déjà été renouvelée pour une saison 4, qui devrait arriver en 2021 sur la Fox.

Charmed : une chaîne française et une date pour le reboot

Lancé outre-Atlantique durant l'automne 2018, le reboot de Charmed reste encore inédit sur nos écrans. Un fait qui ne sera bientôt plus avéré... Non, la série ne sera pas diffusée sur M6 comme la version originale à l'époque dans la Trilogie du samedi. C'est Syfy qui programmera la série en France. 

Cette version remise au goût du jour concoctée par Jessica O'Toole et Amy Rardin permet de faire renaître le Pouvoir des trois au sein d'un nouveau trio. Encore un peu de patience avant de faire la connaissance des soeurs Vera/Vaughn. La diffusion débutera au cours de la rentrée prochaine.

Ce Charmed 2.0 est porté par Melonie Diaz (Gringo), Madeleine Mantock (Into the Badlands) et Sarah Jeffery (Shades of Blue), les trois protagonistes qui se partagent l'affiche. Comme dans la version originale, Mel, Maggie et Macy découvrent, après la mort de leur mère, qu'elles sont les descendantes d'une lignée de sorcières. Au fil des épisodes, les jeunes femmes devront se serrer les coudes pour combattre les démons et faire face aux multiples dangers, tout en mettant à mal le patriarcat. Les frangines ont pour l'heure à leur actif pas moins de deux saisons et une 3ème a été commandée par la chaîne américaine CW.

En attendant l'arrivée de la série sur Syfy, les adeptes du genre peuvent se tourner vers la version originale de Charmed avec Shannen Doherty, Holly Marie Combs et Alyssa Milano actuellement rediffusée en quotidienne sur 6ter. 

Dark (Netflix) : ce qu'il y a à savoir de la prochaine série horrifique

Après avoir signé un deal d'exclusivité avec Netflix pour leurs prochains projets en 2018, les créateurs de la série allemande Dark, Baran Bo Odar et Jantje Friese, annonçaient les détails de leur première née issue de ce partenariat il y a deux ans. Qualifiée de thriller horrifique, 1899, va à nouveau nous faire voyager dans le temps, comme son titre l'indique. Son synopsis semble refermer bien des secrets et on n'en attendait pas moins d'eux !

A l'aube du 20e siècle, les passagers européens d'un bateau en vogue vers le nouveau monde, entre Londres et New York, unis par leur espoir et leurs rêves d'une Terre promise, découvrent un navire fantôme à la dérive en pleine mer qui va transformer leur voyage en véritable cauchemar...

"Ce qui nous a vraiment plu dans cette idée, c'est le concept de faire une série vraiment Européenne puisqu'elle aura une distribution constituée de comédiens venant de plusieurs pays" ont ainsi déclaré le mari et la femme dans un communiqué. "En son coeur, il s'agit d'approfondir la question de ce qui nous unit et de ce qui nous divise, et comment la peur peut nous faire pencher vers la seconde option bien souvent" ont-ils poursuivi, ancrant la série dans des problématiques très actuelles. 

Du côté de la plateforme, on se réjouit du projet : "C'est un concept radicalement différent de celui de Dark et c'est la preuve, s'il en fallait une, que ces talents ont une grande créativité et une versatilité, ce qui nous rend extrêmement impatients d'entreprendre cette nouvelle aventure avec eux."  Si le tournage de 1899 n'a pas encore commencé, une sortie en 2021 semble envisageable à ce stade. 

Teaser de 30 jours max, de et avec Tarek Boudali

Trois ans après Epouse-moi mon pote, Tarek Boudali revient à la mise en scène avec la comédie 30 jours max. Dans le long-métrage, le comédien incarne Rayane, un jeune flic trouillard et maladroit qui découvre (à tort) qu'il ne lui reste plus que 30 jours à vivre. Il comprend que c'est sa dernière chance pour devenir un héros au sein de son commissariat et impressionner sa collègue Stéphanie. L’éternel craintif se transforme alors en véritable tête brûlée qui prendra tous les risques pour coincer un gros caïd de la drogue…

Côté casting, Tarek Boudali s'est entouré de ses fidèles amis de la bande à Fifi, Philippe Lacheau et Julien Arruti mais également de José Garcia et Vanessa Guide. Boudali cosigne le scénario avec Pierre Dudan (également coscénariste de Nicky Larson et Epouse-moi mon pote) et Grégory Boutboul (coscénariste d'Amis publics).

Epouse-moi mon pote avait été le 5ème plus gros succès français de 2017, avec près de 2,5 millions d'entrées enregistrées. 30 jours max sortira dans nos salles le 14 octobre.

Les Nouvelles aventures de Sabrina (Netflix) : la saison 4 sera la dernière

Clap de fin pour Les Nouvelles aventures de Sabrina ! Netflix vient d'annoncer que la quatrième saison de la série fantastique, emmenée par l'actrice Kiernan Shipka dans le rôle de la célèbre sorcière, serait la dernière, information rapportée par le site Deadline. Cette saison 4 est attendue à la fin de l'année sur la plateforme, qui promet "un final effrayant, sexy et surnaturel."

"Travailler sur les Nouvelles aventures de Sabrina a été un honneur incroyable dès le premier jour. Le casting, à commencer par Kiernan dans le rôle de la sorcière adolescente préférée du public, a été absolument génial. (...) On est impatients de faire découvrir la quatrième saison", déclare le showrunner Roberto Aguirre-Sacasa, qui a posté sur les réseaux sociaux un joli comparatif entre l'actrice principale et son personnage de Sabrina en mode comic-book.

De son côté, Kiernan Shipka se montre particulièrement enthousiaste à l'idée de faire découvrir aux fans la dernière saison des Nouvelles aventures de Sabrina. "Final Part Lets GOOO WITCHES!!!!!!!", s'exclame l'actrice américaine de 20 ans sur les réseaux sociaux, entourée de deux étranges créatures.

La série Les Nouvelles aventures de Sabrina, seconde adaptation en prises de vues réelles du célèbre comic-book de l'écurie Archie après Sabrina, l'apprentie sorcière, était initialement développée pour le compte de la CW. Le programme, qui s'inscrit au sein de l'univers partagé Riverdale, est diffusé sur la plateforme Netflix depuis fin 2018.