31 mars 2025

Laura Felpin révèle souffrir d’un cancer de la thyroïde

Laura Felpin doit « faire attention » à elle, et pour cause : l’actrice souffre d’un cancer de la thyroïde dont elle a été informée quelques heures avant la première, le mois dernier, de la seconde saison de la série Bref 2, dans laquelle elle incarne Billie. Quelques semaines plus tôt, la jeune femme subissait une opération pour un nodule, qui lui a laissé une « cicatrice badass de ouf », comme elle l’a récemment confié au magazine GQ.

Mais l’humoriste se veut rassurante : elle est « très bien prise en charge par la médecine ». « Je fais face à une forme d’épuisement. Je dois faire attention à moi. Ça déprime beaucoup d’être fatiguée », admet-elle « avec un détachement qu’on sent mûri », selon la publication. Et si cette révélation inquiétante n’a pas manqué de marquer un tournant dans la conversation, Laura Felpin rappelle que « la santé » fait partie de la vie et qu’elle mérite, selon elle, d’être évoquée en toute transparence.

« Tout le monde veut préserver le secret autour de la santé, mais je pense que c’est important d’en parler publiquement, a-t-elle affirmé. Pour moi, ça fait partie de la vie. Je peux dire aux gens que c’est difficile pour moi. Dès lors qu’on commence à se cacher, entre nous, ça crée quelque chose de pas très sain ». D’autant plus que le sujet lui permet au passage de partager son « admiration » pour le personnel médical l’accompagnant dans la maladie : « Je suis tombée en admiration devant le personnel hospitalier. Ce sont des gens qui vous accompagnent incroyablement bien ».

Philosophe, la comédienne n’a d’autre choix face à cette adversité que de reconnaître que certains défis nous rappellent la « grande fragilité » de « tout ce qui nous entoure ». « La vie, c’est aussi la maladie, le burn-out ou la dépression, constate-t-elle. On dit toujours que l’hiver existe pour nous rappeler que l’été est là. On oscille ainsi entre des moments très intenses qui nous font comprendre que tout ce qui nous entoure est d’une grande fragilité ». Laura Felpin sera aussi à l’affiche du film L’amour, c’est surcoté, de Mourad Winter, dont la sortie est prévue en avril.

Will Poulter révèle souffrir de TOC et raconte l’impact sur son quotidien

Will Poulter n’a que trop longtemps gardé le silence sur ses troubles obsessionnels compulsifs. Invité du podcast Happy Place, l’acteur révélé dans Les Miller, une famille en herbe, a livré un témoignage poignant sur son quotidien avec cette maladie.

Diagnostiqué vers l’âge de 14 ans, il souffrait déjà de pensées intrusives bien avant. « Je me souviens de cette voix dans ma tête qui me disait que si je ne marchais pas sur certaines dalles en rentrant chez mes parents, quelque chose de terrible allait leur arriver », a-t-il confié au micro de Fearne Cotton.

« J’ai eu la chance d’avoir accès à la thérapie durant mon adolescence, a encore confié Will Poulter. Mais jusqu’au diagnostic, je pensais être totalement seul avec cette maladie - ou pas même une maladie à l’époque, mais avec cette façon de penser, avec ce cerveau défectueux. J’avais tellement peur. »

Une solitude qui continue de le hanter puisque, malgré son ouverture sur le sujet, il constate que même lorsqu’il en parle à quelqu’un souffrant des mêmes troubles que lui, cette personne a tendance à penser « oui, mais pas comme moi ».

La carrière de Kathy Bates a changé depuis qu’elle a perdu du poids et elle s’en réjouit

Pour Kathy Bates, la perte de poids est une véritable renaissance professionnelle. Et ce n’est pas parce qu’être plus mince lui apporterait plus de rôles en se fondant dans les diktats hollywoodiens, mais bien parce que le surpoids pesait sur sa santé.

Présente au PaleyFest, un festival mettant à l’honneur les productions du petit écran, l’actrice oscarisée est revenue sur cette transformation qui lui permet aujourd’hui de tenir le premier rôle dans le reboot de Matlock.

« Quand j’étais en surpoids, comme dans Harry’s Law, je devais m’asseoir entre chaque prise, c’était affreux », a-t-elle confié à People. « J’ai honte de m’être infligé ça, pour être honnête. »

Une situation qui a commencé à changer en 2017 quand un diagnostic de diabète de type 2 l’a poussée à prendre sa santé en main.

Grâce à des changements de style de vie, puis un traitement à l’Ozempic, Kathy Bates savoure aujourd’hui sa nouvelle forme physique et son souffle revenu.

« Je peux bouger, je peux respirer, je peux m’amuser, je n’ai plus mal », s’est-elle enthousiasmée. « Je me fatigue et je réalise que je suis une vieille dame, mais même les jeunes se fatiguent. C’est une expérience magnifique. »

Et Kathy Bates de conclure : « Je ne m’attendais pas à vivre ça à mon âge, au crépuscule de ma carrière. »

Denzel Washington refuse de se considérer comme « un acteur hollywoodien »

Denzel Washington n’aime pas qu’on lui colle des étiquettes. Lors d’une interview accordée à Sunday Morning pour la promotion d’une mise en scène d’Othello dans laquelle il donne la réplique à Jake Gyllenhaal, l’acteur a bondi quand le journaliste a évoqué l’arrivée d'« acteurs hollywoodiens » à Broadway.

« Quelle est la définition d’un "acteur hollywoodien" ? », a alors rétorqué Denzel Washington. « Moi, je viens de Mount Vernon, alors je suis un "acteur de Mount Vernon". Je ne sais pas ce que "Hollywood" veut dire. »

« Je suis un acteur de théâtre qui fait du cinéma. Ce n’est pas l’inverse, a encore asséné Denzel Washington. Le cinéma est le médium des cinéastes. Quand tu es acteur, tu tournes, puis tu t’en vas, les cinéastes montent, ajoutent la musique et font tout le reste. Le théâtre, c’est le médium des acteurs. Le rideau se lève et tu es seul. Personne ne peut t’aider. »

Une déclaration qui prend d’autant plus de sens que Denzel Washington avoue ressentir avec Othello, sa sixième pièce à Broadway, des frissons qu’il n’avait pas éprouvés depuis « le siècle dernier ».

Justin Bieber admet avoir du mal à gérer ses accès de colère mais y travaille

Justin Bieber fait preuve d’une rare franchise ! L’interprète de Ghost s’est livré à cœur ouvert sur les réseaux sociaux, partageant avec ses fans ses difficultés à gérer ses émotions.

« J’ai des problèmes de gestion de la colère aussi, mais je veux grandir et ne pas réagir autant », a admis le chanteur de 31 ans, accompagnant son message d’un émoji désabusé.

Une confession qui survient dans un contexte d’inquiétude grandissante pour sa santé mentale et physique, l’artiste ayant partagé plusieurs images de lui dans des moments de vulnérabilité ou en train de fumer tout seul ou avec de la compagnie.

Un combat contre lui-mêmJustin Bieber semble également en pleine remise en question concernant son authenticité. « Je pense que je me déteste parfois quand je sens que je commence à devenir inauthentique », a-t-il confié dans un autre message accompagnant une vidéo où on le voit jouer de la musique. « Je me rappelle ensuite qu’on nous fait tous croire qu’on n’est pas assez bien, mais je déteste quand même quand je me change pour plaire aux autres. »

Des mots forts qui ont été salués par ses fans, heureux de voir leur idole faire preuve d’autant d’honnêteté. « Lorsque tu crées, tu es dans ton élément et tu vis ta vérité absolue, c’est magique à voir ! », a écrit un internaute. « On a hâte de te voir revenir Justin », a commenté un autre.


Découverte à Vancouver de l’enregistrement d’une audition des Beatles datant de 1962

Rob Frith a fait une découverte qui va ravir les fans des Beatles ! Le propriétaire du magasin de disques Neptoon Records à Vancouver, au Canada, est tombé sur une bande qu’il croyait être un simple enregistrement pirate, avant de comprendre qu’il s’agissait d’une copie directe de l’audition du groupe aux studios Decca le 1er janvier 1962.

« Je pensais que c’était juste une compilation de bootlegs », a-t-il confié à CBC. « Mais après l’avoir écoutée, on aurait dit que les Beatles étaient dans la pièce tellement la qualité était incroyable. »

Cette bande de 15 chansons, enregistrée alors que Pete Best était encore batteur du groupe, a une histoire étonnante. C’est Jack Herschorn, ancien propriétaire du label Mushroom Records, qui l’avait ramenée de Londres dans les années 1970. Cependant, il avait refusé de la commercialiser par souci d’éthique.

Rob Frith, quant à lui, ne compte pas vendre ce petit trésor, sauf si Paul McCartney vient le lui réclamer en personne. En attendant, il se dit prêt à en faire une copie pour Decca si le label souhaite la publier officiellement.

Après avoir gravi l’Everest, Inoxtag va s’attaquer à un nouveau sommet

La montagne, ça vous gagne. Et ça n’est pas le youtubeur Inoxtag qui contredira ce slogan publicitaire, lui qui, après avoir gravi l’Everest (et en avoir tiré un documentaire à succès), a annoncé qu’il s’élancerait, mardi 1er avril 2025, dans l’ascension de la mythique aiguille des Drus (Haute-Savoie).

« Je pars à la montagne dans deux jours pour faire un projet qu’on a envie de faire depuis l’Everest », a-t-il indiqué dans un court message publié dimanche 30 mars en story Instagram. « Il y a une bonne fenêtre vidéo », poursuit-il, expliquant que le voyage durerait « huit jours environ » et qu’il serait accompagné de son guide Mathis Dumas.

« Ça commence à être le printemps, il commence à faire beau. J’ai hâte de retourner à la montagne », ajoute le jeune homme de 23 ans. Et du beau temps, il va en falloir car l’Aiguille du Dru, le sommet qu’Inoxtag s’apprête à gravir, culmine à 3.750 mètres et ne possède pas de « corde fixe » (qui facilite la progression dans les passages délicats), précise Le Parisien.

Pour rappel, Kaizen – le film qu’Inoxtag a réalisé pour documenter son ascension de l’Everest – totalise désormais près de 42 millions de vues depuis sa première diffusion, en septembre 2024. Et les sept autres vidéos qu’il a publiées en 2024 comptent aussi plusieurs millions de vues.

Devenir Marilyn : soirée spéciale Marilyn Monroe sur Arte

2022 marquait les 60 ans de la disparition de Marilyn Monroe. Un triste anniversaire, qui avait remis la star plus que jamais aux devants de la scène. Arte avait alors partagé un documentaire captivant sur sa carrière intitulé Devenir Marilyn. Il reviendra ce soir après Les Hommes préfèrent les blondes, l'un des succès de la star.

En 1953, Howard Hawks a mis en scène Marilyn Jane Russell et Charles Coburn dans ce film musical appelé à devenir culte : depuis sa sortie, il n'a cessé d'être cité, recyclé par la pop culture, de Moulin Rouge !, de Baz Luhrmann, aux clips de Madonna.

Michèle Dominici, qui avait déjà signé un documentaire féministe captivant pour la chaîne (L'histoire oubliée des femmes au foyer), raconte ensuite comment, à 12 ans, l'adolescente a découvert qu'elle en faisait 17 et qu'elle attirait le regard des hommes.

Rêvant de devenir actrice, cette enfant abandonnée, déjà terriblement lucide, va peu à peu se transformer en une autre personne. Norma Jeane s'effacera petit à petit, au rythme des photos de mode, puis des teintures blondes et de douloureuses opérations chirurgicales, laissant place à Marilyn, qui elle, deviendra un mythe. Un fantasme masculin indétrônable.

Mais à quel prix ? C'est la question que pose ce documentaire, dont la puissance vient surtout des mots forts de la jeune femme, illustrés par des images d'archives de l'époque, mais aussi parfois d'extraits de films plus récents qui démontrent l'impact encore important qu'a eu le parcours de cette actrice à Hollywood.

Devenir Marilyn sera visible gratuitement sur Arte.TV jusqu'en juin 2025.

Mort de l'acteur Bruce Glover à 92 ans

La saga James Bond est en deuil. L'Américain Bruce Glover, célèbre pour avoir incarné le méchant Mr. Wint dans Les Diamants sont éternels, est mort le 12 mars dernier à l'âge de 92 ans. Une triste nouvelle annoncée sur son compte Instagram par son fils Crispin, lui-même acteur et connu pour avoir joué George McFly dans le premier film de la trilogie Retour vers le futur.

Dans Les Diamants sont éternels, sorti en salles en 1971, Bruce Glover formait avec Mr. Kidd (Putter Smith) un binôme d'assassins homosexuels employés par Ernst Stavro Blofeld (Charles Gray), leader de l'organisation secrète du SPECTRE. Un duo extravagant qui sera tué par l'agent 007 (Sean Connery) lors de combats spectaculaires sur un paquebot de croisière.

Dans une interview accordée en 2019 à un blog, Bruce Glover avait évoqué son expérience sur Les Diamants sont éternels. "Le réalisateur Guy Hamilton était très ouvert à chacune de mes idées et une grande partie du succès de l'humour de ce film vient de moi. C'était mes idées", déclarait-il pas peu fier.

"À la fin, quand Sean Connery fait ce truc grossier en donnant à mon personnage son dernier grand moment sexuel (007 lui met une bombe entre les jambes avant de le jeter par-dessus bord, ndlr), c'est le moment le plus drôle du film", conclut l'acteur. "Je me souviens avoir eu des compliments de la part de Roger Moore qui disait que c'était le moment le plus drôle de tous les James Bond. Ça fait plaisir."

Si son rôle de bad-guy dans Les Diamants sont éternels est le moment le plus important de sa carrière, Bruce Glover possède d'autres jolies lignes à son CV. Le comédien s'est ainsi illustré au cinéma dans le Chinatown de Roman Polanski et Le Bagarreur de Walter Hill. Et pour la télévision, le natif de Chicago est notamment apparu aux génériques de Mission: Impossible, L'Homme qui valait trois milliards ou encore Shérif, fais-moi peur, séries particulièrement populaires.

Mort à 86 ans du réalisayeur Yves Boisset

Le réalisateur française Yves Boisset nous a quittés le lundi 31 mars à l'âge de 86 ans, a annoncé sa famille à l'AFP.

Passionné par le septième art, le jeune Yves Boisset commence par écrire des critiques sur ce sujet, puis collabore avec Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon sur l’ouvrage "Vingt ans de cinéma américain". Parallèlement, il se familiarise avec les plateaux de tournages en côtoyant de grands metteurs en scène - tels Yves Ciampi, Sergio Leone, Jean-Pierre Melville et Claude Sautet - par le biais du poste d’assistant réalisateur.

C’est en 1968 qu’il saute le pas en réalisant Coplan sauve sa peau, petite série B centrée sur les aventures de l’espion Francis Coplan, un personnage qu’il connaît bien puisqu’il était assistant réalisateur, un an auparavant, sur Coplan ouvre le feu à Mexico de l’Italien Riccardo Freda.

L’une des constantes principales de sa carrière réside dans son engouement à dénoncer, via le cinéma, certaines des injustices les plus criantes de notre société. La décennie 1970 constitue non seulement la période la plus prolifique de sa carrière - il réalise 10 films pour le cinéma durant ces années, dont plusieurs succès tant critiques que commerciaux - mais également celle caractérisant le plus son engagement idéologique que l’on pourrait qualifier schématiquement comme étant "de gauche". Pour Yves Boisset, le cinéma ne sert pas seulement à divertir, mais doit être perçu comme un moyen de pointer du doigt les maux d’une société.

Plusieurs films qu’il réalise témoignent de cette logique, dont la plupart sont inspirés de faits réels, renforçant ainsi la force de son propos : Un condé (1970) dresse un inquiétant portrait de la police, L'Attentat (1972) se centre sur l’étrange affaire Ben Barka, R.A.S. (1973) aborde la guerre d’Algérie en prenant parti contre les dirigeants militaires, Dupont Lajoie (1975) traite du racisme ordinaire le plus répugnant, et Le Juge Fayard dit le shériff (1977) s’insurge contre la corruption des systèmes politiques et judiciaires.

Variant les genres dans des œuvres qui n’ont, aujourd’hui, rien perdu de leur pertinence, le metteur en scène s’entoure également des plus grands comédiens du moment, de Jean Carmet à Patrick Dewaere, en passant par Annie Girardot, Bruno Cremer, Lino Ventura, Lee Marvin, ou Michel Bouquet.

Si Yves Boisset s’acharne à combattre les dysfonctionnements propres aux structures dirigeantes de la société française, sa vision du monde n’est cependant pas manichéenne. Pour preuve, il refuse de réaliser un film sur Mesrine - figure emblématique de l’insoumission aux pouvoirs en place - avec Jean-Paul Belmondo dans le rôle de l’ennemi public n°1, parce qu’il ne veut pas amoindrir le côté criminel de cet homme, chose qui lui est demandée. Son objectif est davantage de mettre en images des histoires ambiguës, en amenant le spectateur à se poser des questions.

Ses films étant pour chacun d’entre eux de redoutables pamphlets provocants et choquants, Yves Boisset doit se battre contre la censure : l’armée voyant d’un mauvais œil la réalisation de "R.A.S", des groupes d’extrême droite s’insurgeant contre le film "Dupont Lajoie" en ayant recours à la violence, Charles Pasqua - à l’époque secrétaire général du SAC (service d’action civile) - obligeant Boisset à retirer des passages dans Le "Juge Fayard dit le Shériff", etc. Les exemples de ce type sont nombreux. Mais dans la majorité des cas, Yves Boisset reconnaît que ces polémiques sont plutôt bénéfiques, puisqu’elles donnent envie aux spectateurs d’aller voir ses films.

A partir des années 1980, Yves Boisset connaît un succès moindre, ce qui ne l’empêche pas de donner forme à certaines œuvres ambitieuses, fidèles à ses principes. Après s’être attaqué à la pédophilie avec La Femme flic en 1980, il met en scène Allons z'enfants l’année suivante, d’après le roman éponyme de l’antimilitariste confirmé Yves Gibeau.

Le film est un échec commercial lors de sa sortie en salles, mais est considéré par son auteur comme le meilleur de sa carrière, ou du moins le plus personnel. Suit notamment Le Prix du danger (1983), film d’anticipation sur les dérives de la télé-réalité, par la suite plagié dans Running Man (1987), avec Arnold Schwarzenegger reprenant le rôle de Gérard Lanvin.

Un peu comme aux Etats-Unis où le Nouvel Hollywood a progressivement fait place au divertissement de masse, le public français tend à se lasser des films engagés vers la fin des années 1970. Yves Boisset commence à se tourner vers la télévision, pour s’y consacrer pleinement après La Tribu, son dernier film réalisé en 1991.

Même pour le petit écran, le cinéaste continue de traiter les sujets les plus forts - L'affaire Seznec (1993), L'Affaire Dreyfus (1995), Le Pantalon (1997), Jean Moulin (2002), L'Affaire Salengro (2009), 12 balles dans la peau pour Pierre Laval (2009) - à l’image de ses prises de position restées intactes. En 2011, il publie son autobiographie intitulée "La Vie est un choix", revenant sur les multiples péripéties de sa carrière.