31 décembre 2024

Netflix : 10 nouveaux films à voir en janvier 2025

Les incontournables

Le 10 janvier : Ad Vitam

Guillaume Canet renoue avec le thriller en coproduisant et cosignant le scénario d'Ad Vitam avec Rodolphe Lauga et la collaboration de David Corona. Réalisé par Rodolphe Lauga, ce film raconte l'enquête de Franck Lazarev, qui cherche à retrouver sa femme Léo, kidnappée par un mystérieux groupe d'hommes armés, après avoir échappé à une tentative de meurtre.

Il est rattrapé par son passé d'ancien membre du GIGN et plongé dans une affaire d'état qui le dépasse. Guillaume Canet a suivi un entraînement intensif avec le GIGN pour incarner le rôle titre aux côtés de Stéphane Caillard, Nassim Lyes, Alexis Manenti et Zita Hanrot.

Le 17 janvier : Back in Action

Après 8 ans d'absence sur les plateaux, Cameron Diaz est de retour dans un film d'action au titre de circonstance : Back in Action (De retour à l'action, en français) de Seth Gordon (Comment tuer son boss ?, The Night Agent).

L'actrice et Jamie Foxx incarnent Emily et Matt, deux anciens agents de la CIA qui ont démissionné pour fonder une famille. Ils sont rattrapés malgré eux par l’espionnage lorsque leur couverture est démasquée…

Les temps forts

Le 3 janvier : Wallace & Gromit : La Palme de la vengeance

C'est le retour de Wallace & Gromit ! Ce duo culte de personnages en plasticine revient dans un tout nouveau film en stop-motion réalisé par Nick Park, le créateur de la série originale sur cet inventeur déjanté et maladroit et son chien.

Dans ce nouvel opus, intitulé Wallace & Gromit : La Palme de la vengeance, les craintes de Gromit de voir Wallace devenir trop dépendant de ses inventions se révèlent fondées lorsque Wallace invente un "smart" gnome qui commence à prendre des initiatives.

Lorsqu'il s'avère qu'une vieille connaissance en quête de vengeance pourrait être derrière tout ça, Gromit doit combattre des forces obscures et sauver son maître… ou Wallace pourrait bien ne plus jamais rien inventer !

Le 2 janvier : Le Chant du Loup (ajout catalogue)

Succès surprise de 2019 qui a réuni plus d’un million et demi de spectateurs dans les salles obscures, Le Chant du Loup est porté par un casting impressionnant, réunissant François Civil, Omar Sy, Mathieu Kassovitz et Reda Kateb. Ce premier long-métrage d’Antonin Baudry raconte l'histoire d'une Oreille d'or à bord d’un sous-marin nucléaire français. 

Réputé infaillible, il commet pourtant une erreur qui met l’équipage en danger de mort. Il veut retrouver la confiance de ses camarades mais sa quête les entraîne dans une situation encore plus dramatique.

Dans le monde de la dissuasion nucléaire et de la désinformation, ils se retrouvent tous pris au piège d’un engrenage incontrôlable.

Toutes les autres sorties du mois

Le 1er janvier : Pas de ma faute !

Le 1er janvier : Numéro 24

Le 1er janvier : Don’t Die: The Man Who Wants to Live Forever (film documentaire)

Le 1er janvier : Resident Evil: Vendetta (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Papi Sitter (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Nightmare Island (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Comme des bêtes et Comme des bêtes 2 (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Demain tout commence (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Restez sains et saufs, Ma (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Menteur, menteur (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Inside Man (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Bienvenue dans la jungle (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Sonic le film (ajout catalogue)

Le 1er janvier : Snatch (ajout catalogue)

Le 2 janvier : La vie selon Cunk

Le 3 janvier : Umjolo : C’est moi qui décide

Le 7 janvier : Night and Day (ajout catalogue)

Le 11 janvier : L'Exorciste : Dévotion (ajout catalogue)

Le 16 janvier : Jurassic World et Jurassic World: Fallen Kingdom (ajout catalogue)

Le 16 janvier : Retour vers le futur, Retour vers le futur II et Retour vers le futur III (ajout catalogue.

Le 16 janvier : Le temps d'un week-end (ajout catalogue)

Le 16 janvier : Rencontre avec Joe Black (ajout catalogue)

Le 18 janvier : Les Trolls 3 (ajout catalogue)

Le 22 janvier : La vie est un long fleuve tranquille (ajout catalogue)

Le 22 janvier : Le Bonheur Est Dans Le Pré (ajout catalogue)

Le 24 janvier : Au-delà des vagues

Le 30 janvier : Mille et un (ajout catalogue)

Le 31 janvier : Les Deux Hémisphères de Lucca 

Mort à 77 ans de l'acteur Angus McInnes

Les fans de Star Wars sont en deuil. L'acteur canadien Angus MacInnes nous a quittés le 23 décembre dernier à l'âge de 77 ans. Sa famille vient d'annoncer la triste nouvelle en cette veille de Nouvel An. Il avait notamment incarné le pilote Jon Vander, alias "Gold Leader", dans Un Nouvel espoir en 1977.

"C'est avec le cœur brisé que nous écrivons ceci à tous les fans d'Angus à travers le monde : Angus MacInnes, mari, père, grand-père, frère, oncle, ami et acteur bien-aimé est décédé le 23 décembre 2024. Il nous a quittés paisiblement, entouré de sa famille et de son amour", a déclaré sa famille dans un post sur Facebook.

"Pour Angus, les fans de Star Wars occupaient une place particulière dans son cœur. Il aimait vous rencontrer lors des conventions, écouter vos histoires et partager votre passion pour la saga. L'admiration et la passion des fans et de la communauté des conventions l'ont toujours humilié, ravi et honoré", a souligné la famille du défunt.

Né le 27 octobre 1947 à Windsor (Ontario), Angus MacInnes avait débuté sa carrière en 1975 avec un petit rôle dans Rollerball de Norman Jewison. En plus de son passage dans la franchise créée par George Lucas, on a pu voir Angus MacInnes dans Witness avec Harrison Ford, Captain Phillips avec Tom Hanks, le film de science-fiction Judge Dredd ou Hellboy de Guillermo del Toro. Il a aussi eu un petit rôle de portier dans Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick.

MacInnes était aussi apparu dans deux épisodes de la série culte Vikings en 2013 dans le rôle de Tostig. En 2016, il avait repris vocalement son rôle de Jon "Gold Leader" Vander dans Rogue One A Star Wars Story, réalisé par Gareth Edwards.

"Son travail a touché d'innombrables vies, et il était très fier de faire partie de ces histoires qui continuent de trouver un écho auprès des publics du monde entier. Angus était plus qu'un acteur, c'était une âme gentille, réfléchie et généreuse qui apportait chaleur et humour dans la vie de tous ceux qui l'ont connu. Il manquera beaucoup à sa famille, à ses amis et à ses collègues acteurs, mais aussi à ses fans du monde entier. Sa famille vous remercie tous", ont indiqué les proches du comédien.

Hulu : bande-annonce de la série Chad Powers, avec Glen Powell

En novembre dernier, on apprenait que John Krasinski avait été élu par le magazine People, l'homme le plus sexy de 2024. Mais dès le lendemain, le Daily Mail révélait que Glen Powell et Pedro Pascal avaient été suppliés d'accepter le titre mais l'ont décliné...

Et peut-être que la motivation de ce refus de Glen Powell s'explique par sa prochaine série : Chad Powers. La star de Top Gun : Maverick y incarne Russ Holliday, un ancien quarterback dont les dérapages ont ruiné la carrière universitaire. Pour se racheter, il se déguise en Chad Powers, un personnage créé de toutes pièces qui tente de s’intégrer dans une équipe de football en difficulté dans le Sud des États-Unis.

Le teaser dévoile l’acteur sous une perruque et des traits méconnaissables, annonçant fièrement : "J’ai quelque chose d’important qui arrive."

Ce changement d’apparence fait écho à l’épisode de l'émission Eli’s Places, où l’ex-joueur des New York Giants, Eli Manning, s’est déguisé pour infiltrer une équipe. Glen Powell, co-créateur et producteur exécutif avec Michael Waldron (Loki), a voulu revisiter cette idée en plongeant dans un univers comique, sur fond de rédemption sportive.

Dans un entretien avec The Hollywood Reporter en mai dernier, Powell a confié que ce rôle a été l’un des plus complexes de sa carrière. Il décrit son personnage comme "le pire type possible", caché sous le masque du "mec le plus sympathique du Sud". Un contraste comique qui a demandé une immersion totale de l’acteur.

Dans une déclaration commune avec Michael Waldron, Glen Powell a souligné son amour pour le football universitaire : "Quand on a vu Eli en Chad Powers, on a su que c’était la clé pour raconter une histoire drôle et captivante sur ce monde." Leur ambition ? Offrir une comédie dans le style de Ted Lasso, produite par Eli et Peyton Manning.

Chad Powers marque aussi un tournant dans la carrière de Glen Powell. Après le succès de la comédie romantique Anyone But You et du blockbuster Twisters, il s’attaque à un rôle radicalement différent qui prouve sa polyvalence. Avec un teaser intriguant et un casting prometteur, Chad Powers s’annonce comme une série à la fois drôle et touchante, offrant un autre regard sur les coulisses du football américain.

Chad Powers n'a pas encore de diffuseur officiel en France. Mais Hulu appartenant à Disney, tout porte à croire que la série sera disponible sur Disney+.

A voir sur Disney+ en janvier

Les incontournables

High Potential - Jeudi 23 janvier

Après le triomphe de HPI à la télévision française, les Américains s’emparent de cette série populaire et proposent leur version intitulée High Potential, à découvrir à partir du 23 janvier sur Disney+ !

Dans ce remake qui cartonne outre-Atlantique, l’actrice Kaitlin Olson (Philadelphia) reprend le rôle de la mère de famille brillante, initialement tenu par Audrey Fleurot. Grâce à son esprit aussi exceptionnel que fantasque, Morgan aide à résoudre un crime insoluble, et est engagée en tant que consultante pour travailler avec un détective chevronné, son exact opposé.

Daniel Sunjata, Javicia Leslie, Deniz Akdeniz et Judy Reyes complètent la distribution américaine de cette série qui réunit tous les ingrédients qui ont fait le succès de HPI.

Paradise - Mardi 28 janvier

Dan Fogelman, créateur de l’incontournable drame This Is Us, revient avec une nouvelle série, cette fois-ci dans un tout autre genre : un thriller haletant intitulé Paradise. En haut de l’affiche, on retrouve Sterling K. Brown, accompagné de James Marsden, Julianne Nicholson, Sarah Shahi et Nicole Brydon Bloom.

La série se déroule dans une communauté paisible habitée par certaines des personnalités les plus en vue de la planète. Mais leur tranquillité explose lorsqu'un meurtre choquant est commis et qu'une enquête aux enjeux considérables se met en place. Les trois premiers épisodes seront disponibles le 28 janvier, les suivants seront diffusés à un rythme hebdomadaire.

Les temps forts

Les Simpson, saison 36 - Vendredi 3 janvier

Après avoir fêté Noël avec un double épisode spécial toujours disponible sur Disney+, la famille animée la plus célèbre du petit écran revient en ce début d’année avec de nouveaux épisodes. Comme chaque saison, les stars seront nombreuses à rendre visite à Homer et aux habitants de Springfield : John Cena, Tom Hanks, Joel McHale, Conan O'Brien, Seth Rogen, Danny DeVito, Richard E. Grant, Glenn Close, Kerry Washington…

 Indiana Jones et le cadran de la destinée - Vendredi 3 janvier

Sorti au cinéma en 2023, Indiana Jones et le cadran de la destinée marque le grand retour de l’acteur Harrison Ford dans le rôle de l’inoubliable héros archéologue. Réalisé par James Mangold (Walk the Line), le long-métrage réunit à l’écran Phoebe Waller-Bridge, Mads Mikkelsen, Antonio Banderas, John Rhys-Davies et le jeune Français Ethann Isidore. Une ultime aventure riche en rebondissements pour démarrer l’année sur les chapeaux de roues.

Station 19, saison 7 - Mercredi 8 janvier

Clap de fin pour Station 19, la série dérivée de Grey’s Anatomy, à l’issue de sa 7e saison. Découvrez dès le 8 janvier ce que ces ultimes épisodes réservent à Andy, Ben et tous les autres membres de la fameuse station 19, composée de quelques-uns des plus courageux secouristes de la ville de Seattle !

Chair de Poule : Disparitions - Vendredi 10 janvier

Pas besoin d’attendre Halloween pour frissonner de peur devant une inquiétante série d’horreur. En ce début d’année, la série Chair de Poule, adaptée des célèbres romans de R. L. Stine, est de retour pour une 2e saison. Les huit épisodes mettent en scène une nouvelle intrigue principale et de nouveaux personnages, notamment incarnés par David Schwimmer et Ana Ortiz.

Paddington 1 & 2 - Vendredi 24 janvier

Démarrez l’année avec une petite dose de mignonnerie grâce à l’adorable ours Paddington dont les adaptations cinématographiques signées Paul King ont su charmer les spectateurs grâce à leur héros attachant, aussi doux que touchant. Avant de découvrir Paddington au Pérou, le 3e opus de la saga, au cinéma le 5 février prochain, les deux premiers films sont à voir ou revoir sur Disney+.

Les autres sorties du mois

Vendredi 3 janvier :

Disney Junior Ariel, saison 1 - série d’animation

Tsunami 2004 : La vague mortelle - série documentaire

Vendredi 10 janvier :

Waverly Place : Les Nouveaux Sorciers - série fantastique

Mercredi 15 janvier :

Tracker, saison 2 - série thriller

1001 vraies pattes, saison 2 - série documentaire

Mercredi 22 janvier :

Whiskey On The Rocks - série comique

Spidey et ses amis extraordinaires, saison 3 - série d’animation

Démasqué - série thriller

Vendredi 24 janvier :

Garde Partagée - série comique

Mercredi 29 janvier :

Your Friendly Neighborhood Spider Man, saison 1 - série d’animation

30 décembre 2024

Mort de l'actrice Linda Lavin à l'âge de 87 ans

Linda Lavin, chanteuse et actrice qui a partagé sa carrière entre les planches de Broadway et les plateaux de tournage, est morte. La comédienne, vue dans des séries à succès comme Newport Beach, The Good Wife et, plus récemment, Derrière la façade, a été emportée à Los Angeles dimanche 29 décembre par un cancer du poumon récemment diagnostiqué, selon The Hollywood Reporter. Elle avait 87 ans.

Née le 15 octobre 1937 à Portland, dans le Maine, elle étudie le théâtre à l'université avant de partir tenter sa chance à New York. Elle décroche sa première pièce quelques mois plus tard. Rapidement repérée par Hal Prince, producteur de légende, elle voit sa carrière décoller au début des années 1960.

En soixante ans, Linda Lavin a accumulé six nominations aux Tony Awards, les Oscars du théâtre, dont une victoire en 1987 avec la statuette de la meilleure actrice dans une pièce pour Broadway Bound.

Mais c'est grâce à un rôle télévisé qu'elle est devenue une star outre-Atlantique: entre 1976 et 1985, elle a tenu le rôle-titre de la sitcom Alice. Inédite en France, elle lui a valu une nomination de meilleure actrice aux Emmy Awards en 1976 (les Oscars de la télé) et deux victoires aux Golden Globes.

Elle s'est également illustrée au cinéma à plusieurs reprises; elle a donné la réplique à Jennifer Lopez dans Le Plan B en 2010, puis à Robert De Niro et Anne Hathaway dans Le Nouveau stagiaire en 2015.

À la télévision, elle a multiplié les rôles secondaires et récurrents dans des séries à succès. On l'a vue dans Les Anges du bonheur, Les Soprano, New York, section criminelle, Newport Beach, The Good Wife ou encore Santa Clarita Diet. Cette année, elle est apparue dans la série Derrière la façade, aux côtés de Lisa Kudrow, sortie sur Netflix il y a deux semaines.

Sofia Vergara : exit Los Angeles, l’actrice débarque à Paris

Un an et demi après son divorce d'avec Joe Manganiello, Sofia Vergara prend ses distances avec Hollywood. Ces derniers jours, la ravissante brune a débarqué à Paris pour les fêtes de fin d'année. L'actrice qui a passé Noël avec son fils, Manolo Gonzales Vergara, fils de son premier mari Joe Gonzales, est en France pour le Nouvel An.

Elle a assisté à l'anniversaire d'Anastasia Soare, fondatrice de la marque de cosmétique Anastasia Beverly Hills, ce 29 décembre 2024. À 52 ans, elle compte parmi les meilleures amies de la femme d'affaires.

Et Anastasia Soare a le mérite de lui avoir redonné le sourire, après une année 2024 forcément un peu difficile. Après 7 ans de mariage avec Joe Manganiello, Sofia Vergara a dû tirer un trait sur leur histoire d'amour. Il voulait des enfants, elle n'en voulait plus.

Comme elle l'avait confié en janvier 2024 à El Pais, Sofia Vergara n'avait pas pour projet d'être "une vieille maman". Surtout quand elle s'apprête "à devenir grand-mère".

Libre, la star avait alors confié : "Je suis bientôt ménopausée, c’est l’évolution naturelle des choses. Quand mon fils deviendra père, qu’il me laisse le bébé quelque temps, et après je le lui redonne et je poursuis ma vie, c’est ce que je dois faire". Et c'est ce qu'elle a fait ces derniers jours, dans la capitale.

Ce week-end, des fans ont également croisé Sofia Vergara dans le quartier huppé de Saint-Germain des Près, devant l'entrée du Bon Marché. Elle faisait surement des emplettes pour son amie Anastasia Soare.

Sofia Vergara a également partagé il y a quelques jours son programme depuis qu'elle est arrivée en France, et il consiste à "manger et se promener". L'héroïne de la série Netflix "Griselda" a tenu parole sur ses deux points. Dans ses photos souvenir, on la voit baver devant un croissant, poser aux côtés d'une statue de Napoléon, et se promener sur les quais de Seine.

L'actrice a également fait une halte pour faire la fête à l'hôtel Costes ainsi que dans un appartement de la capitale. Un voyage qu'elle n'oubliera pas de si tôt.

Canal+ : les prix des abonnements vont augmenter !

L'arrêt de C8 à la fin du mois de février 2025 ne sera pas la seule mauvaise nouvelle pour le groupe Canal +, dans les prochains mois. À partir de janvier 2025, Canal + va devenir Canal +++. En effet, les tarifs de toutes les offres vont augmenter, comme l'a expliqué la direction.

Et ce, sans aucune nouveauté au catalogue, pour le justifier. Et pour cause, les abonnés n'auront plus accès aux chaînes et contenus Disney ainsi que la plateforme Disney+, ni au Pass Press qui permettait de consulter la presse à volonté.

La nouvelle grille tarifaire sera celle-ci : D'abord, Canal+ standard : passe de 27,99 € à 29,99 € par mois. Ensuite, Canal+ (-26 ans) : augmente de 13,99 € à 15,99 €. En plus, C+ Ciné Séries : grimpe de 39,99 € à 41,99 €. Par ailleurs, C+ Ciné Séries (-26 ans) : passe de 19,99 € à 22,49 €, soit une hausse plus significative.

Mais aussi, C+ Sport : de 45,99 € à 47,99 € par mois. Et bien sur, C+ Sport (-26 ans) : ajusté à 24,99 € au lieu de 22,99 €. Enfin, C+ Friends & Family : passe de 79,99 € à 81,99 €, devenant l’une des formules les plus coûteuses du catalogue.

Mais que se passe-t-il du côté de la chaîne cryptée ? Alors qu'elle vient tout juste de célébrer ses 40 ans, en d'entrer en bourse à Londres, Canal + a également annoncé qu'elle claquait la porte de la TNT, début décembre 2024.

Dans un communiqué, le groupe de télévision de Vincent Bolloré avait ainsi expliqué que ses chaînes de la TNT payante, à savoir Canal+, Canal+ Cinéma, Canal+ Sport et Planète, ne seraient bientôt plus disponible à cet endroit. Une réaction à la décision de l'Arcom de juillet 2024, de couper le signal de C8, en raison de multiples infractions à ses obligations déontologiques, notamment liées aux controverses générées par l'émission "Touche pas à mon poste" de Cyril Hanouna.

Chez les journalistes de "Comment ça marche", on parle de "plusieurs facteurs économiques" pour expliquer ces nouveaux tarifs. D'abord, l'inflation, avec la hausse de la TVA passée de 10% à 20% en 2022, mais aussi l'entrée en Bourse récente du groupe.

Du côté de Canal+, la communication parle d'une volonté de continuer à offrir "la meilleure expérience possible" aux clients. Ces derniers paieront-ils le prix fort pour voir, ou se désabonneront-ils pour préférer Prime ou Netlifx ? Affaire à suivre.

Une Rolex collector volée chez Keanu Reeves à Los Angeles retrouvée par la police… au Chili

Une montre dont le propriétaire fait peu de doute a été retrouvée samedi au Chili. L’acteur Keanu Reeves avait été victime d’un cambriolage dans sa maison de Los Angeles en décembre 2023. Plusieurs montres de luxe et des bijoux avaient alors été dérobés. Un exemplaire unique du modèle Submariner de Rolex faisait partie du butin, rapporte le HuffPost. La gravure suivante y avait été ajoutée : « 2021, JW4, Merci, The John Wick Five ».

L’objet avait été offert en remerciement aux cascadeurs avec lesquels Keanu Reeves avait travaillé sur le tournage de John Wick : Chapitre 4. Sa valeur avait été estimée à 9.000 dollars, soit un peu plus de 8.600 euros. La montre volée a été découverte lors d’une opération de la police chilienne organisée avec le concours des autorités américaines. Quatre maisons ont été perquisitionnées, ce qui a permis de mettre la main sur plusieurs bijoux et montres de valeur.

Selon la police citée par CNN Chili, trois montres appartenant à Keanu Reeves ont ainsi été saisies. Un homme de 21 ans a été interpellé. Il est notamment soupçonné d’être impliqué dans plusieurs vols locaux. Reste que ce cambriolage n’était pas une première pour la star hollywoodienne, qui avait déjà été victime de deux effractions en trois jours en 2014.

Gwyneth Paltrow alimente des théories du complot sur les morceaux les plus écoutés par Spotify Wrapped

Gwyneth Paltrow se joint aux complotistes. L’actrice et fondatrice de la marque de bien-être Goop n’a pas caché sa déception après avoir découvert la rétrospective de fin d’année de son compte Spotify sur les morceaux et artistes qu’elle aurait le plus écoutés en 2024. Lors d’une session de questions/réponses pour Goop, la star de Shakespeare in Love a récemment exprimé ses doutes sur le tri effectué par la plateforme d’écoute.

« Mes données n’étaient pas exactes », a-t-elle lancé. « J’ai (parfois) écouté João Gilberto, comme lors de dîners, mais il est indiqué comme mon artiste numéro un. C’est impossible parce que je l’ai écouté quelques fois, mais pas assez pour justifier cette place ». La star de 52 ans n’est pas la première à remettre en question ce système de collection et classement de données, appelé Spotify Wrapped.

Les résultats de ce système, largement commenté chaque année sur les réseaux sociaux avec le hashtag #SpotifyWrapped, ont suscité plusieurs commentaires et théories du complot sur la viabilité de l’exploitation de données de la plateforme. Sans surprise, la pop star Taylor Swift a été désignée au début du mois la « Global Top Artist » de 2024 après avoir cumulé plus de 26 milliards d’écoutes, selon la plateforme. Un résultat que certains contestent.

Plus tôt dans l’année, plusieurs internautes se sont plaints de la diffusion en « autoplay » par leur algorithme des morceaux de Sabrina Carpenter, en particulier son dernier grand succès Espresso, alors que la chanteuse et son style pop ne figuraient pas dans leurs préférences. Un événement qui en a amené certains à s’interroger sur les motivations de la plateforme et à alimenter les spéculations sur le véritable succès de certains artistes poussés par des stratagèmes de marketing, comme l’a relevé NME.

Peaky Blinders : le film Netflix ne sera pas la fin !

Voilà une nouvelle inattendue et qui devrait ravir tous les fans de Peaky Blinders ! Le créateur de la célèbre série britannique, Steven Knight, a confirmé lors d’une interview à la radio du Times que la production du film était terminée avant les fêtes de fin d'année, nous rapporte Deadline.

Cependant, aucune date de sortie précise n’a été communiquée pour l'instant. D’après les propos de Steven Knight, on devine que ce sera dans environ un an. Ce projet très attendu marque le retour de Cillian Murphy dans son rôle emblématique de Tommy Shelby, accompagné d’un casting prestigieux incluant Rebecca Ferguson, Barry Keoghan et Tim Roth.

Mais ce film n’est pas conçu comme un point final. Steven Knight a été clair sur ce point : Le film arrive, mais ce ne sera pas la fin. Il laisse entendre que l’univers de Peaky Blinders pourrait s’étendre davantage : "Le film sort et ce ne sera pas la fin". S'agira-t-il d'autres films, d'une autre série ou de la suite en série ?

Mais Steven Knight s'était confié un peu plus en détails il y a quelques jours à Paris Match. Il avait alors révélé s'intéresser à une nouvelle génération, après la Seconde Guerre mondiale.

L’intrigue de la série, qui s’est achevée en avril 2022 après six saisons, suit la famille Shelby dans les années 1920, au cœur de l’Angleterre industrielle et gangstérisée. Le film, quant à lui, se situe toujours en Angleterre, mais durant la Seconde Guerre mondiale. Ce changement d’époque promet de nouveaux enjeux narratifs tout en conservant l’essence du récit initial.

Les détails de l'intrigue du film Netflix (produit en association avec la BBC) sont cependant gardés secrets. En attendant de découvrir les films, les six saisons de Peaky Blinders sont disponibles sur Netflix.

Mort à 83 ans du réalisateur Charles Shyer

Charles Shyer, connu pour avoir mis en scène les comédies culte Le père de la mariée 1 et 2 dans les années 1990, nous a quittés vendredi 27 décembre à l'âge de 83 ans. C'est sa fille, Hallie Meyers-Shyer, qui a annoncé la triste nouvelle aux médias américains.

Après des études à l'UCLA et des débuts comme assistant réalisateur et directeur de production, Charles Shyer s'oriente vers l'écriture. Scénariste pour plusieurs séries télévisées, dont Happy Days, il débute dans le cinéma en signant plusieurs scripts dont celui d'En route vers le sud (1978), réalisé par Jack Nicholson.

En 1980, l'association professionnelle avec sa compagne Nancy Meyers marque un tournant dans la carrière de Charles Shyer. Ils écrivent et produisent La Bidasse, avec Goldie Hawn, Nancy Meyers accompagnant ensuite son mari sur nombre de ses réalisations, de la comédie dramatique Divorce à Hollywood (1984) aux productions plus familiales que sont Baby Boom (1987) et Le Père de la mariée (1991).

Spécialisé dans la comédie, genre qui lui fera notamment diriger Julia Roberts (Les Complices, 1994) et Jude Law (Irrésistible Alfie, 2004), Charles Shyer est aussi capable de tout autre chose, en témoigne la réalisation du drame historique L'Affaire du collier (2001), porté par Hilary Swank.

Cependant, il restera indissociable des deux comédies culte que sont Le père de la mariée 1 et 2, sorties en 1992 et 1996 en France. Emmenées par Steve Martin, Diane Keaton et Kimberly Williams-Paisley, les deux oeuvres ont marqué les années 1990. Elles ont connu un succès phénoménal, récoltant 165 millions de dollars de recettes mondiales.

Pour rappel, le premier volet nous présente George Banks, incarné par Steve Martin. Ce dernier s'écroule quand sa fille de 22 ans, Annie, lui annonce son mariage avec Brian MacKenzie. C'est à contre-coeur que ce "papa poule" donne son consentement. Mais le jour de la cérémonie, George ne peut que se réjouir du bonheur de sa fille.

Dans le second épisode, nous retrouvons donc sa fille mariée. George croit enfin avoir trouvé la tranquillité quand celle-ci annonce qu'elle attend un enfant. Ne pouvant se faire à l'idée d'être grand-père à son âge, George veut prouver qu'il est encore jeune. Prêt à tout, il va jusqu'à se teindre les cheveux et vendre sa maison familiale pour vivre une autre vie.

Si vous voulez (re)voir ces comédies mémorables, elles sont disponibles sur la plateforme Disney+.

Nosferatu : la scène la plus intense du film racontée par Lily-Rose Depp

Elle est la grande surprise de Nosferatu. Dans le film de Robert Eggers, Lily-Rose Depp donne tout. Elle incarne une jeune femme promise à un bel avenir mais tourmentée par le spectre du monstre. Monstre qui entretient une véritable obsession pour elle. L'actrice donne corps aux scènes les plus marquantes du film.

Parmi elles, une scène de transe assez inoubliable - qui n'est pas sans rappeler Isabelle Adjani dans Possession d'Andrzej Zulawski. Pour AlloCiné, Lily-Rose Depp revient sur les coulisses de ce moment particulièrement fort.

"C'est vrai que c'était intense physiquement et émotionnellement c'est sûr, reconnaît-elle. La scène, celle qui a été le plus dure pour moi, arrive vers la fin du film entre mon mari et moi. C'est une séquence très engageante. Elle était difficile parce que c'était ma deuxième journée de tournage."

"Une fois cette scène terminée, j'étais contente qu'elle soit derrière moi, ajoute-t-elle. Mais ça m'a permise d'être totalement dans l'ambiance du film et dans la peau du personnage. Tu n'as plus besoin de chercher le ton, tu y es quoi ! C'était la scène qui me faisait peur depuis le début donc c'est pour cette raison qu'elle a été tournée le plus vite possible."

Lily-Rose Depp ajoute : "Puis elle est compliquée techniquement. C'est un plan-séquence pour la plupart de la scène et il fallait trouver la bonne émotion, la bonne physiqualité, on a essayé plein de trucs différents. Donc pour en arriver là, oui, ça a demandé beaucoup de travail."

29 décembre 2024

L’ancien président américain Jimmy Carter est mort à l’âge de 100 ans

Un ancien agriculteur est mort ce dimanche 29 décembre à Plains en Géorgie, a annoncé sa fondation. Il était né dans la même ville il y a un siècle. Dans l’intervalle, James Earl Carter Jr., dit Jimmy Carter, aura délaissé ses cultures d’arachide pour présider les Etats-Unis de 1977 à 1981. Une présidence exercée en pleine guerre froide, au milieu de tourments géopolitiques majeurs, confrontée à une fragilisation de l’économie mondiale, et finalement sanctionnée d’une défaite au moment de briguer une réélection.

Si Jimmy Carter a passé les cinquante années suivantes à travailler dans l’humanitaire, il lègue avant tout à la postérité l’un des mandats présidentiels les plus controversés de l’histoire américaine, entre succès diplomatiques éclatants, déflagrations stratégiques, et échecs politiques cinglants. BFMTV.com revient sur la trajectoire et la carrière d’une personnalité qui aura sans doute moins réussi sa présidence que sa vie d’après.

Jimmy Carter est un homme simple : l’endroit où il a choisi de s’éteindre entouré des siens est aussi le lieu où tout a commencé. Il voit le jour à Plains, en Géorgie, le 1er octobre 1924, dans une famille d’agriculteurs. D’agriculteurs particulièrement pieux : baptistes pour être précis. Une foi qui est la première trame de son existence et sans doute la principale. “C’était un des facteurs majeurs de sa vie. C’était un homme de foi. Il a même enseigné aux Sunday Schools et ce, jusqu’à récemment”, synthétise auprès de BFMTV.com Amy Porter, porte-parole de l’antenne du Parti démocrate en France. L’historienne Françoise Coste, professeure de civilisation américaine à l’Université Toulouse Jean-Jaurès plussoie: “Son christianisme est une éthique de vie, de charité”.

Mais si Jimmy Carter ne se satisfait pas de la vie terrestre, il ne se tourne pas non plus vers les cieux. Jeune homme, il se dirige plutôt vers la mer et rejoint l’Académie navale en 1943. Il en sort avec les honneurs trois ans plus tard, au moment même où il épouse Rosalynn qui restera sa femme jusqu’à sa mort et lui donne quatre enfants. Il sert alors sept ans comme scientifique à bord des sous-marins nucléaires. “C’est l’un des présidents les plus diplômés à avoir jamais été élus, et dans l’ingénierie nucléaire, le secteur le plus en pointe”, note Françoise Coste.

La mort de son père en 1953 le ramène sur le chemin du pays natal, où il reprend la ferme familiale et ses champs de cacahuètes. Dix ans plus tard, le quadragénaire démocrate devient sénateur de l’Etat de Géorgie, conservant son fauteuil jusqu’en 1967. En 1970, il s’empare même du poste de gouverneur, fonction qu’il occupe jusqu’en 1975.

Son ambition lui fabrique un autre rêve, plus grandiose encore. Il postule alors à la nomination du Parti démocrate à la présidentielle de 1976. On n’attend pas grand-chose de ce provincial que les médias connaissent mal, et qui ne connaît personne à Washington. On a tort. Il l’emporte et devient le 39e président des Etats-Unis. “J’avais 20 ans en 1976, et c’était la première fois que je votais pour le président. J’étais étudiante à Paris, j’ai donc voté par correspondance”, sourit Amy Porter. Jimmy Carter gagne toutefois d’extrême justesse une élection qu’on dit promise au prétendant démocrate, et face à un sortant républicain, Gerald Ford, qui ne convainc pourtant pas grand-monde et se présente très affaibli politiquement.

Si Gerald Ford est si faible et si peu estimé, c’est que non seulement il n’a jamais été élu président, mais ne figurait même pas sur le ticket lors du scrutin précédent. Il a seulement remplacé successivement le vice-président Spiro Agnew puis le président Richard Nixon, acculés l’un après l’autre à la démission à cause de l’affaire du Watergate.

Ce scandale est la première piste pour expliquer la victoire atypique de Jimmy Carter à l’automne 1976, deux ans à peine après qu’il a éclaté. “Il a davantage été élu par rejet de Richard Nixon que par adhésion”, confirme Françoise Coste, qui ajoute: “C’est le dégagisme de l’époque”. Le traumatisme de la guerre du Vietnam, mal refermé par la paix signée en 1975 qui consacre la première défaite militaire de la superpuissance américaine, favorise encore l’ascension de Jimmy Carter. On veut changer d’air, se détourner d’un sérail discrédité. Et dire ainsi sa défiance à Washington.

“Il est un peu sorti de nulle part, c’est-à-dire d’une Géorgie dont tout le monde se fichait à l’époque: c’était le Sud profond, pas connectée aux élites”, dépeint Françoise Coste. Jimmy Carter est d’ailleurs le premier sudiste à parvenir au sommet de l’Etat depuis la défaite des confédérés à l’issue de la guerre de Sécession.

Au-delà de cette question régionale et historique, Jimmy Carter se prévaut d’une qualité supplémentaire aux yeux de l’électorat américain. Ce piètre orateur n’est pas un orgueilleux. “C’est son humilité qui l’a caractérisé toute sa vie”, garantit Amy Porter.

Le charme opère jusqu’à un certain point. Car la réalité politique des Etats-Unis ne cadrant pas tout à fait avec le Monsieur Smith au Sénat de Frank Capra – film dans lequel un élu idéaliste triomphe des vicissitudes du Capitole – la machine Carter ne va pas tarder à se gripper.

“Il n’avait pas les codes, pas de relais dans le Parti. Il avait un côté poisson hors de son bocal, un outsider s’entourant d’outsider… jusqu’à son chef de cabinet qui était son meilleur ami de Géorgie. Or, Washington est une gigantesque machine bureaucratique”, souligne Françoise Coste, autrice notamment de La présidence des États-Unis de Franklin Roosevelt à George W. Bush.

Les relations entre le président et le Congrès sont chaotiques. Et même son parti se bouche un peu le nez, du moins ses caciques. “Il ne s’est jamais bien entendu avec les leaders du Parti au Congrès”, note l’universitaire. La porte-parole des démocrates en France admet elle-même que “tout le monde”, les cadres de sa formation politique compris, “se moquait de lui”, allant jusqu’à l’appeler “the peanut farmer”, soit le producteur de cacahuètes.

Son lien avec son socle électoral se distend lui aussi. Les temps sont troublés, et l’ex-sous-marinier n’est peut-être pas le bon capitaine. Ses concitoyens toisent ce président parfois décrit comme trop analytique, trop humble, voire trop croyant. En effet, la méfiance est telle autour de lui que même son rapport à la religion est mal vu dans certains cercles de ces États-Unis pourtant si chrétiens. «C’est le premier président évangélique revendiqué, donc tenant d’un christianisme de gauche qui a pratiquement disparu aujourd’hui. Et donc ça aussi c’est vu comme plouc», précise Françoise Coste.

Et à l’extérieur des frontières, le tableau est pour le moins nuancé. Certes, Amy Porter plaide pour qu’on n’oublie ni sa restitution du canal de Panama à celui-ci, et surtout la conclusion des accords de Camp David en 1978, soulignant que “faire la paix entre l’Egypte et Israël n’avait rien d’évident”. Mais la militante démocrate regrette bientôt, comme une concession aux détracteurs de Jimmy Carter: “Mais ne retient que la fin de son mandat”.

La fin de son mandat, c’est essentiellement la révolution islamique qui renverse le régime dictatorial du Shah en Iran pour le remplacer par la férule, au moins aussi violente et autoritaire, de l’ayatollah Khomeiny.

Il y a pire du côté de Téhéran. Après la révolution islamique, 52 civils et diplomates américains se retrouvent cloîtrés dans l’ambassade américaine par une foule d’étudiants partisans de l’ayatollah Khomeiny. La séquestration dure du 4 novembre au 20 janvier 1981. Un dossier qui “ mine de l’intérieur” Jimmy Carter selon Françoise Coste qui juge que “personne n’aurait fait mieux dans la circonstance”.

C’est d’ailleurs son administration qui parvient à un accord permettant la libération des ressortissants américains, et le règlement de cette “crise des otages”. Peu importe: cet élargissement n’est pas mis à son crédit. En effet, Jimmy Carter vient alors d’échouer à prolonger son bail à la Maison Blanche.

D’errements en maladresses au plan national, face à une forte inflation, à un chômage qui grimpe, démuni devant une désindustrialisation qui prend un tour sévère et une économie secouée par les chocs pétroliers, Jimmy Carter commence à avoir une tête de mauvais souvenir. Son teint terne, ses cernes qui s’étendent dans un visage qui ne cherche plus à sourire sont raccord avec le (res)sentiment populaire. C'est un sortant essoré qui lance sa campagne de 1980. Et face à lui, le charismatique et optimiste candidat républicain Ronald Reagan. Non seulement celui-ci bat celui-là mais ce n’est pas une défaite. C’est un désastre. Il n’a plus qu’à rentrer chez lui, à Plains.

Dernier clou dans son cercueil politique : les Iraniens poussent le vice jusqu’à libérer leurs otages douze minutes après l’investiture effective de Ronald Reagan. “C’était l’ultime pied-de-nez”, observe Amy Porter. Jimmy Carter peut de toutes façons tomber la montre, car la suite s’annonce longue. Jimmy Carter fait figure de paria et lors de la décennie suivante, on rencontre peu de démocrates pour se réclamer de lui.

L'avantage après un tel camouflet international et un tel signal de l'électorat, c'est qu'on n'a plus de question à se poser. Il ne songera jamais à reconquérir le Bureau ovale, où cet homme simple mais pas exempt de paradoxes et de fascination pour la pop culture des seventies avait fait défiler les rockstars, de son ami Elvis Presley à Bob Dylan, en passant par les Allman Brothers.

Sans regret selon Françoise Coste: "Il avait une vie familiale très épanouie, heureuse avec sa femme, il était nourri par sa foi, en bons termes avec ses enfants. Il n’avait plus besoin de la présidence pour son bonheur". Tout juste la professeure remarque-t-elle qu'il aurait encore pu faire un très bon secrétaire d'Etat vu son goût pour la diplomatie. “Il a fait des missions diplomatiques pour plusieurs présidences, il s’est notamment rendu en Corée du Nord. Mais il ne faut peut-être pas négliger une chose: il ne cherchait pas de rôle car il n’en voulait pas!” fait valoir Amy Porter.

Qu'à cela ne tienne, Jimmy Carter s'ouvre à sa manière une fenêtre sur le monde. Au cours des années 1980, il crée la Fondation Carter, qui promeut les droits de l'Homme, puis embrasse la cause de l'ONG Habitat for Humanity, qui construit des logements pour les déshérités. “Les gens se souviendront de son après-présidence remarquable. On peut avoir une opinion négative de son mandat mais personne ne dirait du mal de l’action qui a suivi. Il a réécrit son histoire”, développe Amy Porter.

Des activités que Jimmy Carter mène de front durant les dernières décennies et lui valent une ultime consécration: le prix Nobel de la paix. Cette onction internationale, décernée entre deux guerres du Golfe qu'il désapprouve l'une comme l'autre sans pouvoir bien sûr les empêcher et dans la foulée de l'effondrement des tours jumelles, se couvrirait presque, cependant, d'une patine ironique.

Il puise peut-être sa consolation ailleurs. Ses tournées humanitaires et l'âge avançant - avec son cortège de maladies, d'accidents, de déclin et de remords médiatiques d'une presse qui ne l'a pas épargné avant de s'attacher au personnage - Jimmy Carter regagne une certaine popularité auprès des Américains.”Il s’est réconcilié avec la gauche”, célèbre en premier lieu Amy Porter qui affirme même que ce retour en grâce s’étend au-delà de sa seule famille politique.

"C’était le bon mec au mauvais endroit et au mauvais moment", soupire Françoise Coste qui retient le souvenir d'"un président malchanceux, maladroit". "Maladroit parce qu’il n’a jamais admis qu’il n’avait pas les codes et n’a rien fait pour les acquérir", dit-elle. Mais de saluer: "Un président avant-gardiste, le premier à parler de l’après-pétrole, dès 1979". "Il avait 40 ans d’avance, c’était son côté ingénieur", affirme de surcroît l'historienne: "Il a même mis des panneaux solaires sur les toits de la Maison blanche". "La première décision de Ronald Reagan a d’ailleurs été de les enlever", ajoute-t-elle.

Visionnaire, peut-être, sous certains aspects, Jimmy Carter semble aussi le dernier des Mohicans à d'autres regards. Ainsi, il n'a pas voulu monnayer son séjour à Washington, à capitaliser sur son expérience internationale en facturant des millions de dollars pour quelques conférences.

Il en deviendrait tentant d’en faire le parent pauvre de la politique américaine… "Disons qu’il est resté middle class", pondère Françoise Coste: "Mais il n'y en a pas beaucoup des présidents américains qui soient restés de la classe moyenne après leur présidence".

Les Etats-Unis ont donc perdu l'un des représentants de leur classe moyenne, et Plains son plus célèbre producteur de cacahuètes.

Taylor Swift fait un don de 250.000 dollars au Kansas City Educational Center

Taylor Swift a fait un don conséquent à Operation Breakthrough, un centre éducatif qui œuvre à l’amélioration des conditions d’apprentissage des enfants de Kansas City. En guise de remerciement, l’organisation a publié une vidéo touchante sur X où les enfants du centre expriment leur gratitude envers l’interprète de Shake It Off.

« Merci Taylor, on t’aime tous », déclare notamment un petit garçon arborant un bonnet des Kansas City Chiefs.

Operation Breakthrough est une association particulièrement chère à Travis Kelce, le petit ami de la pop star, qui la soutient activement. Grâce aux dons du joueur des Chiefs et d’autres bienfaiteurs, l’organisation accompagne près de 400 élèves chaque année et a pu ouvrir dix unités pédagogiques pour enseigner une vingtaine de compétences professionnelles aux étudiants.

Un impact concret que le don de Taylor Swift ne manquera pas de renforcer.

You va bientôt s'arrêter sur Netflix

Bye Bye, You. Netflix a confirmé que sa série avec Penn Badgley en tueur en série reviendra pour une cinquième et ultime saison en 2025. Dont on découvre cette semaine les posters "teasers" remplis de clins d'oeil et d'indices. Vous pouvez compter sur "des adieux mortels", s'amusent ses créateurs en accroche. "Trésors coupables", peut-on lire sur le deuxième visuel, un jeu de mots avec l'expression "guilty pleasure/plaisir coupable".

"Joe Goldberg revient à New York pour vivre paisiblement... jusqu'à ce que sa vie parfaite soit menacée par les fantômes de son passé et ses propres désirs obscurs", prévient le synopsis officiel de la dernière saison.

Netflix continue clairement de jouer avec "les fantômes de son passé" sur ces images qui font référence à de nombreuses personnes - à la fois mortes et vivantes- qui ont croisé le chemin de Joe au fil des saisons. On reconnaît, en vrac : Guinevere Beck (Elizabeth Lail), Love Quinn (Victoria Pedretti), Tom Lockwood (Greg Kinnear), Marienne Bellamy (Tati Gabrielle), Benjamin "Benji" Ashby III (Lou Taylor Pucci), Delilah Alves (Carmela Zumbado), Malcolm Harding (Stephen Hagan), Adam Pratt (Lukas Gage) et le Dr Nicky (John Stamos).

Badgley a terminé le tournage de la dernière saison en août, après une quatrième saison de YOU délocalisée à Londres. Joe sera donc de retour à New York pour cette dernière intrigue initialement annoncée fin 2024 sur la plateforme. Les fans devront finalement patienter jusqu'en 2025 pour savoir comment finit son histoire... "Allez, hop, Joyeux Noël !", s'amuse le CM français du service de streaming. Le show sera-t-il prêt dès le début de l'année prochaine ?

Black Doves, avec Keira Knightley et Ben Whishaw, aura une saison 2

C’est sur les réseaux sociaux que Netflix a annoncé la nouvelle : Black Doves aura droit à une saison 2, darlings -pour parler comme Sam (Ben Whishaw), tueur à gages et fidèle allié d’Helen (Keira Knightley, également productrice), elle-même membre des "colombes noires", un réseau d’espionnage qui vend ses services aux plus offrants.

La première saison de Black Doves (six épisodes sur Netflix) a donc connu un succès public suffisant pour valider la mise en chantier de sa suite. La série a été créée par Joe Barton (scénariste du sympathique film d’horreur The Ritual) et ses trois premiers épisodes ont été réalisés par Alex Gabassi (The Crown, Raised by Wolves). Black Doves nous plongeait dans une intrigue complexe entre la Chine, la CIA, l’underworld des tueurs et des mafieux, et le gouvernement anglais, le tout dans l’ambiance Londres à Noël…

Pas encore de date de sortie prévue pour Black Doves saison 2, qui ne devrait pas voir le jour avant 2026. Aura-t-elle seulement encore lieu à Noël ? A suivre.

Ernest Cole, photographe ou le sacrifice d'un exilé sud-africain reconstitué par le cinéaste Raoul Peck

L'apartheid l'a éloigné de l'Afrique du Sud, son pays. Mais le photographe Ernest Cole, auteur du célèbre House of Boundage (La Maison des servitudes, 1967) qui a dénoncé le régime ségrégationniste sud-africain, a toujours voulu rentrer chez lui. C'est ce que raconte Raoul Peck dans son dernier documentaire, Ernest Cole, photographe, en salles le 25 décembre 2024. En s'appuyant sur la découverte en 2017 de plus de 60 000 photos et négatifs de l'artiste dans une banque suédoise, Peck construit un puissant et magistral récit photographique à la première personne. 

Autodidacte qui a découvert la photographie à la fin des années 1950, Ernest Cole décide de documenter la vie quotidienne en Afrique du Sud à la manière de Cartier-Bresson dans The People of Moscow. Mais y vivre, c'est être le témoin d'un régime ségrégationniste où les Noirs sont traités comme des sous-hommes sur leurs terres. Au fur et à mesure, Cole amasse les preuves de l'inhumanité qui se déploie dans son pays. Les risques pris le contraignent, par exemple, à photographier en marchant. Dans le collimateur du régime, il finira par s'exiler en 1966. Cole s'installe alors aux États-Unis.

Comme il l'avait fait pour l'écrivain et militant afro-américain James Baldwin en utilisant ses mots pour faire son portrait dans I Am Not Your Negro, Raoul Peck recourt ici aux photos d'Ernest Cole, notamment celles dont on ignorait l'existence. Le cinéaste exploite parfaitement certaines des séries du photographe dont on imagine qu'elles ont été pensées dans cette optique. Les deux artistes, à des années d'intervalle, démontrent que la mise en scène est la clé quand on tient un objectif, peu importe que l'image soit fixe ou dynamique.

En noir et blanc, en couleur, photos d'anonymes et d'Ernest Cole permettent à Raoul Peck de reconstituer le parcours erratique de l'artiste sud-africain avec des témoignages et des archives. Dans ces dernières, on découvre le quotidien des gens, la vie politique en Afrique du Sud et en Amérique, Nelson Mandela, des hommes politiques sud-africains ou étrangers et des visages de la lutte pour les droits civiques aux États-Unis. C'est aussi une histoire de l'Amérique des années 1970-1980 que le photographe, un temps tombé aux oubliettes, a écrit avec ses clichés.

Aux États-Unis, où Cole pensait avoir échappé à la ségrégation, il est confronté une fois de plus à la situation peu enviable des Noirs. Son reportage photo sur les Afro-Américains dans les campagnes du Sud fait apparaître un autre visage de l'Amérique, celui où il craint d'être tué alors qu'en Afrique du Sud, il ne craignait que d'être arrêté. Cette terre de liberté, comme le montrent ses clichés de couples mixtes – impensable en Afrique du Sud –, devient le théâtre de toutes les déconvenues, y compris celle de l'exil.

"J'ai le mal du pays et je ne peux pas y retourner", confie le narrateur Ernest Cole à qui Raoul Peck prête sa voix en français. L'artiste sud-africain se raconte aussi avec ses mots puisés dans ses écrits et les témoignages recueillis par Peck. Ils renvoient au mal du pays qui a tué beaucoup de ses compatriotes venus, comme lui, se réfugier aux États-Unis. Une douleur que certains ont su surmonter comme Miriam Makeba. La chanteuse a aussi dénoncé l'apartheid sur toutes les scènes du monde et aux Nations unies.

Ernest Cole, photographe rappelle l'attentisme de la communauté internationale vis-à-vis de l'Afrique du Sud. Par exemple, quand, au milieu des années 1980, on débat encore des sanctions à infliger à un pays qui oblige la majorité de ses citoyens à porter un "passeport de référence" autour du cou, comme des bêtes, pour espérer circuler en toute quiétude. À l'époque, les Noirs sont assimilés à des marchandises quand un panneau indique "non-europeans and goods" (non-européens et marchandises) sur cette "terre de signes" que l'Afrique du Sud a été pendant l'apartheid. Un système alors décrit par le Premier ministre Hendrik Verwoerd comme "une politique de bon voisinage". Son assassinat lancera la carrière de Cole aux États-Unis : l'actualité avait donné une plus-value à ses photos que le magazine Stern avait rejetées avant de changer d'avis.

En Afrique, en Europe, notamment en Suède où il se rend la première fois en 1968, ou en Amérique, la ségrégation raciale poursuit Ernest Cole comme une mauvaise odeur qui colle à la peau. "L'homme total ne vit pas qu'une seule expérience", a dit le photographe, comme un slogan pour résister. Le documentaire de Raoul Peck est une réflexion inattendue sur les tourments de l'exil au travers du portrait de l'un de ceux qui, en Afrique du Sud, s'est levé contre l'apartheid.

Cole n'a jamais douté que son pays serait libre un jour. Sa foi, partagée par nombre de ses compatriotes, a payé. Leur sacrifice en valait la peine et peut-être que ce constat apaise enfin leur douleur outre-tombe. Ernest Levi Tsoloane Kole, né le 21 mars 1940 à Pretoria, est mort à 49 ans à New York d'un cancer du pancréas, quelques jours après la libération de Nelson Mandela le 11 février 1990. Madiba, comme les Sud-Africains l'appelaient, est devenu le premier président noir de la nation arc-en-ciel.

Nosferatu : 5000 rats dans une seule scène !

Il n'existe pas de film Nosferatu sans une scène de rats. Ils signent l'arrivée du monstre dans la ville et la propagation de la peste. Dans la dernière version à ce jour, signée Robert Eggers, l'équipe s'est surpassée en important plus de 5 000 rats ! "Le nombre ne cesse d'augmenter, s'amuse le réalisateur en interview avec AlloCiné. Je crois avoir entendu Nicholas Hoult dire qu'il y avait 8 000."

Le cinéaste révèle que seulement 200 d'entre eux ont été formés pour les besoins du film. "Mais vous avez besoin de beaucoup de rats pour créer un effet de masse." Le résultat sur grand écran est impressionnant et à quoi de faire frissonner.

Robert Eggers poursuit : "De nombreux plans sont composés de vrais rats, même si dans la scène de la chapelle, nous avons mis un millier de rats au premier plan du cadre et nous avons rajouter les rats en arrière-plan grâce à des scans 3D." Cette technique est également utilisée pour les décors. De vraies maisons ont été construites sur plusieurs mètres mais les prolongements de rues ont été créés avec des effets numériques.

Pour le réalisateur, la présence des rats permet aussi de rendre le reconstruction historique plus réaliste. Néanmoins, cette utilisation n'est pas au goût de tout le monde. L'association de défense pour les animaux, PETA, s'est insurgée contre la production du film, l'accusant de perpétuer les clichés sur les rats.

"Un humain n'est pas plus susceptible d'être blessé ou tué par un rat dans la vraie vie que par un vampire, écrit l'organisme dans un communiqué disponible sur le site internet. Les fausses représentations de ces animaux comme des signes avant-coureurs de la mort privent les spectateurs de les voir comme les individus intelligents, sociaux et affectueux qu'ils sont."

PETA ajoute : "Les seuls "nuisibles" dont les cinéphiles doivent se préoccuper sont les réalisateurs qui soumettent les animaux au chaos et à la confusion d’un plateau de tournage, et PETA encourage tout le monde à voir au-delà de ces stéréotypes honteux et à accorder aux rats le respect qu’ils méritent."

Pas de panique : le générique de fin de Nosferatu rappelle bien qu'aucun animal n'a été blessé pendant le tournage.

28 décembre 2024

Mort du rappeur OG Maco à 32 ans : l’artiste américain succombe à une blessure par balle

Le monde de la musique perd l’un de ses jeunes talents. Si ce nom ne vous dit rien, OG Maco (de son vrai nom Benedict Chiajulam Ihesiba Jr.), était l’un des rappeurs les plus prometteurs de la scène musicale américaine. Ce jeune homme, originaire d'Atlanta, en Géorgie, est surtout connu pour son single U Guessed It, sorti en 2014. Ce titre était devenu rapidement viral sur les réseaux sociaux. Deux ans après la sortie de son tube, il avait malheureusement été impliqué dans un accident de voiture. Il avait continué par la suite à travailler sur de nouveaux opus bien qu’il ait souffert d’une fracture au crâne et d’une blessure au niveau d'une vertèbre.

Plus tard, il révélait être atteint d’une fasciite nécrosante, une maladie de peau “mangeuse de chair” comme il le qualifiait sur les réseaux sociaux. Un trouble qui le faisait énormément souffrir au quotidien. "Il y a eu plusieurs jours où j'ai eu envie de mourir” alertait-il à ce sujet auprès de Complex. Quelques années plus tard, OG Maco est mort à l’âge de 32 ans. C’est sa famille qui a annoncé la tragique nouvelle aux fans de l’artiste ce vendredi 27 décembre 2024. "C'est avec le cœur lourd que nous vous annonçons la mort de notre Ben adoré, que le monde connaît sous le nom d’OG Maco”, ont écrit les proches de l’artiste via un communiqué.

"À travers sa musique, sa passion et son esprit déterminé, il a touché de nombreuses vies et laissé une empreinte qui perdure”, peut-on également lire sur le document. Le rappeur avait été pris en charge à l’hôpital il y a quelques semaines après avoir reçu une blessure par balle à la tête comme nous l’informent les médias étrangers. Le New York Post précise que le rappeur se serait tiré lui-même dessus. Un drame dont les origines restent floues.

Mort de l'actrice Olivia Hussey à l'âge de 73 ans

Née en 1951 à Buenos Aires, en Argentine, Olivia Hussey était une actrice britannique connue pour son rôle emblématique de Juliette dans l'adaptation cinématographique de "Roméo et Juliette" de Franco Zeffirelli en 1968. À seulement 15 ans, elle décroche ce rôle qui la propulse immédiatement au rang de star internationale. Sa performance lui vaut de nombreux éloges ainsi qu'un Golden Globe. Après "Roméo et Juliette", Olivia Hussey continue de jouer dans divers films et séries télévisées. Elle incarne notamment la Vierge Marie dans "Jésus de Nazareth" (1977), également réalisé par Franco Zeffirelli. Elle apparaît aussi dans des films d'horreur tels que "Black Christmas" (1974) et "Psycho IV: The Beginning" (1990).

Malgré des hauts et des bas dans sa carrière, Olivia Hussey reste une figure marquante du cinéma des années 1960 et 1970. Sa beauté et son talent ont longtemps captivé les cinéphiles du monde entier. En parallèle de sa carrière d'actrice, elle a rédigé son autobiographie intitulée "The Girl on the Balcony", dans laquelle elle a partagé des anecdotes personnelles et professionnelles. Elle a eu deux fils et une fille, issus de trois relations différentes : Alexander, Maximilian et India. Ce vendredi 27 décembre, la famille de l'actrice a annoncé une bien triste nouvelle sur Instagram. "C'est avec une profonde tristesse que nous annonçons le décès d'Olivia Hussey Eisley, qui s'est éteinte paisiblement à domicile entourée de ses proches le 27 décembre", a-t-on pu lire.

Dans ce message plein de tristesse, les proches de la comédienne ont ajouté : "Olivia était une personne remarquable dont la chaleur, la sagesse et la pure gentillesse ont touché la vie de tous ceux qui la connaissaient. Née le 17 avril 1951 à Buenos Aires, en Argentine, Olivia a vécu une vie pleine de passion, d'amour et de dévouement pour les arts, la spiritualité et la bienveillance envers les animaux". La comédienne laisse donc derrière elle ses trois enfants mais aussi "son mari depuis 35 ans David Glen Eisley, et son petit-fils Greyson, ainsi qu'un héritage d'amour qui sera à jamais chéri dans nos cœurs".

"Alors que nous pleurons cette immense perte, nous célébrons également l'impact durable d'Olivia sur nos vies et dans l'industrie. Nous vous remercions pour vos pensées et prières en cette période difficile et demandons de respecter notre intimité alors que nous pleurons la perte d'une âme vraiment spéciale", a conclu la famille.

Mort de l'acteur Geoffrey Deuel à l'âge de 81 ans

Geoffrey Deuel était un acteur américain connu pour ses rôles dans plusieurs séries et films emblématiques des années 1960 et 1970. L'acteur est décédé à l’âge de 81 ans. Sa femme, Jacqueline Deuel, a annoncé cette triste nouvelle au Hollywood Reporter, précisant que l’acteur s’est éteint après un long combat contre une maladie pulmonaire obstructive chronique. Né le 17 janvier 1943, il est le frère de Pete Deuel, également acteur, célèbre pour son rôle dans la série Alias Smith and Jones. Ce n’est qu’en 1971 que Geoffrey et Pete Deuel partagent pour la première fois l’écran, se donnant la réplique dans la série Les règles du jeu (The Name of the Game). La mort tragique de son frère la même année avait profondément bouleversé Geoffrey Deuel. "On ne se remet jamais d’un choc comme celui-là", avait-il confié en 2018.

Geoffrey Deuel a débuté sa carrière en 1965, suivant les traces de son frère à Hollywood. Il obtient son premier rôle en 1966, apparaissant dans un épisode de la série 12 O'Clock High. Parmi ses rôles les plus mémorables figure celui de Billy the Kid dans le film Chisum (1970), où il partage l’écran avec John Wayne. Il est également apparu dans de nombreuses séries télévisées populaires de l’époque, telles que Mannix, La planète des singes, L'homme de fer, Les Rues de San Francisco, Bonanza, Mission Impossible. Geoffrey Deuel a joué dans l’un des plus grands succès de la télévision américaine, Les Feux de l’amour de 1973 à 1977, où il incarne le personnage de Dave Campbell, un policier de la ville de Genoa.

 Dans les années 1980, Geoffrey Deuel s’est tourné vers le théâtre, se produisant dans des spectacles à Ybor City en Floride. Par la suite, il a repris ses études et obtenu un master à l’Université de Floride du Sud. Il a ensuite trouvé une nouvelle vocation en devenant enseignant suppléant, un rôle qu’il a exercé avec dévouement pendant de nombreuses années. Son dernier rôle au cinéma date de 2001 dans le film 108 Stitches. Geoffrey Deuel laisse dans le deuil sa sœur ainsi que son épouse Jacqueline, avec qui il partageait une vie de couple depuis quarante ans.

Dayle Haddon : l'actrice et mannequin retrouvée morte dans d'étranges circonstances

Actrice et mannequin canadienne reconnue pour sa carrière prolifique et son influence dans les années 1970 et 1980, Dayle Haddon a collaboré avec de nombreuses marques de beauté de son vivant comme Revlon, Max Factor, Estée Lauder ou encore L’Oréal, dont elle a été égérie pendant plus de 10 ans. Elle a commencé sa carrière dans le mannequinat et est rapidement devenue une figure emblématique des campagnes publicitaires de grandes marques de cosmétiques et de mode. Parallèlement à sa carrière de mannequin, celle qui a fait plusieurs fois la couverture des magazines Elle, Vogue ou encore Cosmopolitan, s'est également illustrée en tant qu'actrice.

Elle a joué dans plusieurs films et séries télévisées, et a travaillé aux côtés de grands noms du cinéma. Parmi ses œuvres notables, on compte des apparitions dans des films tels que "The World's Greatest Athlete" (1973) et "Cycle Vixens" (1978). Au-delà de ses succès professionnels, Dayle Haddon est également connue pour son engagement humanitaire. Elle a fondé WomenOne, une organisation à but non lucratif dédiée à l'éducation des filles dans le monde. Son travail humanitaire lui a valu une reconnaissance internationale, et a montré son dévouement pour améliorer les conditions de vie des femmes et des filles défavorisées. Le mannequin est décédé vendredi 27 décembre à l'âge de 76 ans après ce qui a tout l'air d'un empoisonnement au monoxyde de carbone.

Elle a été retrouvée morte dans une chambre au deuxième étage d'une dépendance de la maison de sa fille, la journaliste Ryan Haddon et de son mari, l'acteur Marc Blucas, située en Pennsylvanie. "La lumière éclatante qu'était Dayle s'est atténuée dans ce monde terrestre, brillant quelque part aussi intensément que jamais là où c'est le plus nécessaire, je n'en doute pas", a écrit sa fille. Et de poursuivre son hommage à sa regrettée maman : "Elle était une femme puissante, mais douce et attentive à tous. Profondément créative et curieuse, dotée d'une beauté intérieure et extérieure. Toujours gentille et attentionnée".

Les premiers secours ont été appelés sur les lieux peu après 6h30 vendredi 27 décembre après avoir reçu des rapports concernant un homme de 76 ans inconscient au rez-de-chaussée de la dépendance, a indiqué le département de police de Solebury Township. L'homme non identifié a été transporté dans un hôpital à proximité avant que les secouristes n'apprennent que la femme, plus tard identifiée comme Dayle Haddon, était encore à l'intérieur… Le mannequin a été découvert à l'intérieur et déclaré mort sur les lieux. Les pompiers volontaires de New Hope Eagle ont détecté un "niveau élevé de monoxyde de carbone" sur la propriété. Deux ambulanciers ont même été hospitalisés en raison de l'exposition au gaz toxique et un policier a été traité sur place pour des blessures. Tous les trois sont dans un état stable, a précisé le département de police. Selon CBS News, il pourrait s'agir du dysfonctionnement d'un appareil de chauffage qui aurait donc dégagé des niveaux élevés de monoxyde de carbone.

Mort de Maggie Smith : cet hommage que s'apprête à rendre les producteurs de Downton Abbey à l'actrice

L’actrice britannique Maggie Smith, légendaire interprète de la comtesse douairière Violet Crawley dans Downton Abbey, est décédée le 27 décembre dernier, à l’âge de 89 ans. Selon un communiqué de sa famille, elle "s'est éteinte paisiblement" entourée de ses proches. Maggie Smith, lauréate de deux Oscars, a marqué le cinéma et le théâtre de son talent inégalé. Sa carrière s’étend sur plus de sept décennies, durant lesquelles elle a conquis le cœur des spectateurs à travers des œuvres aussi variées que Harry Potter, où le campe le personnage du professeur McGonagall, Une chambre avec vue ou encore ses multiples interprétations sur les scènes londoniennes.

Face à cette perte, les créateurs de Downton Abbey ont décidé de rendre hommage à leur star dans le prochain opus de la saga cinématographique, Downton Abbey 3 qui sortira en septembre 2025. Le film, qui était déjà en développement avant la disparition de l’actrice, réécrira certains aspects du scénario afin de saluer la mémoire de Maggie Smith.

Ce choix témoigne de l’importance qu’avait l’actrice dans l’univers de la série. Son personnage, à la fois piquant et profondément humain, était un pilier de l’histoire. "Le fait que Maggie Smith soit elle-même décédée depuis, a ajouté une dimension émouvante à l'histoire que nous aurions prévue de toute façon. Les acteurs et l'équipe de Downton Abbey lui vouent un immense respect qui se retrouvera dans le prochain film," a déclaré le producteur, Gareth Neame, dans une interview à TV Line.

Dans Downton Abbey 3, les fans peuvent s’attendre à un hommage empreint de respect et d’émotion. Julian Fellowes, créateur de la série, aurait déclaré que ce film sera non seulement une continuation de l’histoire, mais également une lettre d’amour à l’actrice qui a tant contribué au succès de la franchise. Ce dernier opus pourrait ainsi inclure des flashbacks ou des moments dédiés à Violet Crawley, rappelant tout ce qu’elle représentait pour la famille Crawley et les spectateurs.

Happy Gilmore 2 : premier teaser avec Adam Sandler

Une suite à Happy Gilmore ! Vous l’aviez réclamée ? Comment ça "non" ? Pour la petite histoire, Happy Gilmore est directement sorti en DVD chez nous en septembre 1999 sous le titre Termina Golf (sic). Aux USA, le film était sorti en février 1996 et avait connu un certain succès public, confirmant que son acteur/scénariste Adam Sandler était en passe (après Billy Madison en 1995) de devenir une valeur sûre au box-office. C’était donc l’histoire d’Happy Gilmore, un joueur de hockey sur glace passé au golf pour sauver la maison de la grand-mère des griffes des huissiers… En 1998, il marquera le cinéma américain avec les hits consécutifs de Waterboy et Wedding Singer : le reste, comme on dit, appartient à l’Histoire.

Voici donc, près de trente ans (ouille) plus tard, Happy Gilmore 2 (et non pas Termina Golf 2 : le jugement dernier, ce qui est scandaleux), qui sortira directement sur Netflix, où Sandler est une valeur sûre : son Murder Mystery y a été un gros carton, tout comme Uncut Gems des frères Safdie. D’ailleurs, Benny Safdie tiendra un petit rôle dans ce Happy Gilmore 2… tout comme Ben Stiller (déjà en caméo dans le film de 1996) et Margaret Qualley, histoire de convaincre les derniers réfractaires.

The Batman : la suite sortira finalement en octobre 2027

Il faudra encore patienter pour voir la suite de The Batman sur grand écran. Warner vient en effet d’annoncer que The Batman : Part II entrera en production fin 2025, et sortira aux Etats-Unis le 1er octobre 2027. Sa date de sortie initiale, le 2 octobre 2026, sera désormais occupée par un autre film très attendu : le nouveau film d’Alejandro G. Iñárritu avec Tom Cruise, pour l’instant sans titre (il s’agirait d’une fresque sur "l’homme le plus puissant du monde", c’est vague).

The Batman : Part II sortira donc cinq ans après The Batman -un an de plus que l’écart entre The Dark Knight et The Dark Knight Rises, s’il faut faire des comparaisons. Robert Pattinson sera toujours le Chevalier noir, et Matt Reeves sera également derrière la caméra.

Warner a également fait un autre échange de dates, entre Mickey 17 de Bong Joon-ho (aussi avec Pattinson) et le film de vampires Sinners de Ryan Coogler avec Michael B. Jordan. Le premier sortira le 7 mars 2025, tandis que le second sera là pour le 18 avril de la même année. Et ensuite ? Et bien, ce sera Superman de James Gunn en juillet, voyons !

27 décembre 2024

Billie Eilish dévoile ses produits préférés dans un tutoriel qui fait le buzz sur TikTok

Actuellement en tournée pour soutenir son album nominé aux Grammy Awards Hit Me Hard And Soft, Billie Eilish, vient de révéler les produits de beauté qu'elle affectionne. Plus précisément les produits de beauté qu'elle utilise pour se sublimer, juste avant de monter sur scène.

Celle qui enflammera la scène de l'Accor Arena en juin 2025 à Paris, a partagé son petit tutoriel sur TikTok… et la vidéo fait déjà le buzz auprès des internautes qui ont été surpris de voir qu'elle se maquille toute seule chaque soir.

Parmi ses marques fétiches : Milk Makeup, Nars, Maybelline ou encore Revlon. De quoi engendrer près de 7 millions de likes et plus de 70.000 commentaires.

Billie Eilish commence son tutoriel par souligner ses grands yeux bleus, d'un subtil trait de liner marron. Pour cela, elle utilise l'emblématique crayon de la marque Maybelline. Réputé pour sa couleur résistante à l'eau et au frottement, il tient jusqu'à 36 heures et offre une application simple et précise.

Pour prolonger son trait de liner sans se louper, la chanteuse de 22 ans utilise un fard brun de la palette de fards à paupières Master Mattes de la marque Makeup by Mario.

La chanteuse utilise ensuite l'incontournable anti-cernes de la marque Nars disponible en 28 teintes, pour camoufler ses imperfections situées autour du menton, puis prend le soin de fixer le tout avec l'indispensable poudre fixatrice de la marque Laura Mercier.

Pour accentuer ses taches de rousseur naturelle, Billie Eilish qui d'ailleurs est blonde de naissance, utilise une encre à sourcils semi-permanente de la marque Revlon.

Enfin, pour habiller ses pommettes, elle applique avec soin, le blush en gelée, devenu viral sur les réseaux sociaux, de la marque Milk Makeup. Ultra-pigmenté, ce fard à joues permet de rehausser subtilement et d'apporter une jolie touche rose, très en vogue en ce moment.

Manon Marsault "noie" ses enfants, les internautes choqués

Depuis l’émergence de TikTok, de nombreuses trends ont vu le jour. Ces "tendances" ont pour but de pousser les utilisateurs du réseau social à la suivre et se lancer des challenges. Mais il arrive que les trends soient dangereuses pour la santé et parfois même mettre la vie des internautes qui la suivent en danger. Si Manon Marsault n’a pas mis la vie de ses enfants en danger, nombre d’utilisateurs du réseau social l’ont récemment taclée malgré tout.

Mais pour quelle raison la compagne de Julien Tanti a-t-elle fait l’objet de nombreuses critiques ? Car celle-ci a souhaité suivre la trend "qui est le plus". Un "jeu", qui consiste à poser différentes questions telles que "qui est le plus sage ?", "qui est la plus amicale ?", ou encore "qui est le plus doué à l’école / au collège ?". La personne désignée doit alors plonger sa tête dans de l’eau.

Amusée par cette tendance, Manon Marsault a donc souhaité s’exécuter en compagnie de ses enfants. De fait, l’ex-candidate de téléréalité a publié une vidéo TikTok dans laquelle nous la retrouvons avec Tiago et Angelina et deux saladiers remplis d’eau. 

Son compagnon, Julien Tanti, s’occupe de la voix off et posent les questions à sa femme et sa progéniture. "Qui est le plus chiant", "qui est le plus jaloux", ou encore "qui est le meilleur en mathématiques" demande le Marseillais. Sa compagne plonge alors à deux reprises la tête de sa petite fille dans un des saladiers remplis d’eau avant de plonger celle de son petit garçon pour la question au sujet des maths.

Alors que les enfants semblent beaucoup s’amuser, les internautes ont tout de même violemment taclé Manon Marsault et Julien Tanti. Pour beaucoup, il est inconcevable d’effectuer cette trend avec des enfants.

"Ce jeu me choque pour des enfants", "alors le jeu est marrant mais pas avec des enfants dans de l'eau !!", "je ne vois vraiment pas ce qu’il y a de drôle là", "Avis perso je trouve ça dangereux ils sont petits encore", "c’est violent comme jeu", "les pauvres", "nonnnnn ! Une des méthodes de torture", ont pesté nombre d’utilisateurs de TikTok.

Heureusement pour Manon Marsault et son compagnon, d’autres abonnés ont souhaité les défendre en faisant remarquer que les enfants de la jeune maman semblent beaucoup s’amuser au cours de ce "jeu" avec leurs parents.  

Neymar papa pour la quatrième fois : Bruna Biancardi annonce sa grossesse et dévoile le sexe du bébé

Parmi les personnes les plus gâtées pour Noël, il y a indubitablement Neymar da Silva Santos Júnior dit Neymar Jr. En effet, le footballeur de 32 ans a reçu l’un des plus beaux cadeaux qui soient : la venue d’un bébé. Le jeudi 26 décembre dernier, la compagne du sportif, Bruna Biancardi a annoncé la bonne nouvelle sur Instagram

"Nous vivons dans une période si douce, et nous ne pouvions pas nous empêcher de vous faire part qu'IL a encore entendu nos demandes et confirmé nos plans !", a-t-elle écrit en légende à une vidéo du babyshower du quatrième enfant de Neymar. D’ailleurs, elle a également révélé le sexe en écrivant : "BIENVENUE FILLE" même si la poudre rose dans la vidéo laisse très peu de place aux doutes.

Dans sa légende parlant de "bons retours de la journée", Bruna Biancardi a exprimé sa joie de pouvoir agrandir en plus sa famille. "Que Dieu nous protège de tout mal. AMEN !", conclut-elle son message. Cette petite fille sera donc le deuxième enfant du couple et le quatrième enfant de Neymar.

Notons que l’ancien attaquant du PSG est déjà l’heureux père de Mavie, Davi Lucca et Helena. Celui qui est annoncé à l’Inter Miami a non seulement eu un beau cadeau, mais aussi le souvenir d’un Noël inoubliable en famille. Une excellente nouvelle qui viendra soigner ses nombreuses blessures sur le plan professionnel.

Si tous les passionnés connaissent Neymar Jr, sa compagne est pourtant une personne tout aussi connue. Bruna Biancardi est une mannequin et influenceuse de mode et beauté âgée de 30 ans. Elle a attiré les regards des fans de football, mais aussi des fans de Neymar en s’affichant pour la première fois avec la star en 2022. Le couple a été vu au Parc des Princes aux côtés de Neymar pour PSG-Brest.

Si à l’époque aucun des deux n’avait officialisé la relation, le couple se serait rencontré l’été 2021. A cette époque, lors des vacances de Neymar, le couple avait été photographié sur un yacht près d’Ibiza. Ce n’est qu’en avril 2022 que Neymar officialise sa relation avec Bruna Biancardi sur Instagram. Les tourtereaux ont accueilli leur première petite fille en octobre 2023.

La journaliste Virgilia Hess victime d’une vague d’antisémitisme après ses propos sur Hanouka

La fête de Hanouka, pilier du judaïsme, a débuté cette année le 25 décembre, en même temps que Noël, et se poursuivra jusqu’au 2 janvier. Pendant cette période, il est courant de consommer des mets frits, comme les beignets salés ou sucrés que Virgilia Hess avait montrés dans sa vidéo. La maman de Léna-Rose, diagnostiquée d’un cancer du sein en 2022 alors qu’elle était enceinte, a publié une story sur Instagram à l’occasion de cette fête juive. Une story qui lui vaut beaucoup de commentaires violents et antisémites.

Ce n’est pas la première fois que Virgilia Hess fait face à ce genre de violence. En mai dernier, après avoir réagi à une manifestation pro-Hamas à l’université de Columbia, elle avait déjà reçu des insultes antisémites. Elle avait alors confié sur X : "Je porte en moi le traumatisme ashkénaze de ma famille, victime de la Shoah, et, de fait, je suis toujours restée plutôt discrète sur ma religion, parfois presque cachée. Mais depuis le 7 octobre, je ne peux plus me taire. Je suis écœurée (le mot est faible) par la haine antisémite qui inonde le monde, notamment à Paris, ma ville natale, et à New York, où j’ai vécu cinq ans pour mes études."

Dans sa story Instagram, Virgilia Hess avait souhaité une bonne fête de Hanouka à ses abonnés avec ces mots : "Et Hanouka Sameah". Une intention chaleureuse qui a cependant attiré des commentaires odieux. Parmi les messages reçus, l’un d’eux disait : "Je ne savais pas que tu étais sioniste putain, en plus j’avais de la peine pour toi avec ton cancer. Tchao j’me désabonne sale génocidaire, tu peux crever de ton cancer."

Choquée, la journaliste de 34 ans a décidé de partager ces insultes publiquement pour dénoncer cette vague de haine. Sur X (anciennement Twitter), elle a écrit : "Voilà le genre de messages que l’on peut recevoir à l’aube de 2025 quand on poste une story de Hanouka sur Instagram (story que je repartage ici, pour que vous vous rendiez compte). Et encore j’ai corrigé les fautes d’orthographe et ne vous ai pas remis tous les drapeaux palestiniens qui s’ensuivaient. Triste France…"

Elodie Gossuin répond aux citriques incessantes sur son rôle de mère

Lors d'un entretien accordé à nos confrères de Purepeople, Elodie Gossuin déjà maman de quatre enfants, s'est livrée sur son désir de pouponner de nouveau. L'ex-Miss France a donné la vie deux fois à des jumeaux, fruit de ses amours avec son mari Bertrand Lacherie et celui-ci semble avoir eu sa dose. "Mon mec est plus âgé que moi et quand je l'ai évoqué plusieurs fois, lui, c'était non plusieurs fois", a-t-elle confié presque déçue. Puis d'ajouter : "J'ai longtemps songé à un cinquième bébé mais bon, je vais avoir 44 ans, je pense que biologiquement c'est encore possible". Sur le fait que Bertrand Lacherie soit réticent, Elodie Gossuin a apporté quelques précisions concernant la réponse négative de son conjoint.

"À chaque fois, il me répondait : 'Si tu veux mais avec un autre.‘ Et je n'ai pas trouvé d'autre père potentiel sinon j'aurais eu un cinquième enfant, voilà", a-t-elle plaisanté. L'ex-reine de beauté a d'ailleurs trouvé une manière de compenser son envie d'enfants, en adoptant des animaux. "On est heureux, c'est une jolie tribu, mais c'est pas parce qu'on est heureux qu'il faut s'enfermer comme ça, du coup en ce moment, je compense en adoptant plein d'animaux, j'ai encore adopté cinq poules, un lapin, bientôt un autre chien… Je compense, je fais des transferts", a expliqué l'animatrice.

Active sur les réseaux sociaux, Elodie Gossuin partage un peu de son quotidien avec ses abonnés et s'attire parfois les foudres des internautes. Agacée, elle a expliqué ce vendredi 27 décembre dans une interview accordée au Club de Noël sur Europe 1 qu'elle était une maman comme les autres. Si certains se sont demandés comment elle continuait à travailler alors qu'elle est maman de quatre enfants, la maman de Jules et Rose, et de Léonard et Joséphine a raconté : "Pendant un temps, le fait de me dire : 'Bah on comprend pas comment tu fais parce que tu souris tout le temps, tout va bien et alors, tu bosses beaucoup. Alors à mon avis, c'est parce que tu as quatre nounous à la maison, un cuisinier, un jardinier, que tu as jamais changé une couche de ta vie et que tu fais ta belle alors que tu leur fais même pas à manger'".

Et de reprendre : "Tu vois, j'ai reçu ce genre de messages et je pense que même si j'ai dit : 'Ouais, ok, c'est pas grave', inconsciemment, j'avais envie de dire je pense : mais n'imaginez surtout pas ça, je galère comme tout le monde. Et non, personne n'a jamais élevé mes enfants à ma place. Personne, jamais. J'ai pas une jeune fille au pair qui les couche et leur fait prendre leur bain, même tout petits, jamais de la vie. Moi, je voulais être maman pour partager ça justement". Voilà qui est dit !

Arthur : l'étonnante origine de son pseudonyme qu'il doit à Elie Semoun

En 40 ans de carrière à la radio et à la télévision, Arthur aura marqué l'histoire de sa profession. Outre ses nombreuses expériences en tant qu'animateur, des Enfants de la télé à Vendredi tout est permis en passant par À prendre ou à laisser, le mari de Mareva Galanter est également un producteur important du petit écran : avec la société Endemol d'abord, à l'origine de programmes cultes comme la Star Academy, puis avec Satisfaction, malgré l'échec du mastodonte District Z en 2021. Mais ces derniers mois, ce n'est pas tant pour son activité télévisuelle que pour ses prises de parole qu'Arthur a fait parler de lui. Et pour cause : il s'est fait le porte-parole d'un Etat d'Israël meurtri par les attaques du Hamas, s'attirant les foudres (et les menaces de mort) de nombreux internautes à chacune de ses publications au sujet du conflit au Proche-Orient.

C'est dans un contexte beaucoup plus léger que TF1, sa maison depuis plus de 30 ans, a tenu à lui rendre hommage hier soir avec la diffusion du documentaire Arthur, l'enfant de la télé. L'occasion de retracer la riche carrière d'Arthur, de son vrai nom Jacques Essebag, mais aussi de livrer quelques anecdotes sur sa vie. Le papa de Mavana a d'ailleurs expliqué d'où lui était venu ce pseudo qui lui colle à la peau depuis 50 ans : "Quand j’ai démarré à la radio, il y avait déjà un mec qui s’appelait Jacques, c’est mon vrai prénom, et donc on m’a demandé de choisir un prénom. À cette époque, il y avait une campagne d’affichage pour les caleçons Arthur. Il y avait une super blonde, elle avait un grand caleçon et dans son caleçon, face à elle, il y avait un petit gars. Je me suis dit : 'Ouah, c’est super Arthur'" raconte-t-il. Sauf que le petit garçon de la publicité n'était autre que... Elie Semoun, encore tout jeune à l'époque. "C’est devenu un ami, mon prénom, je le lui dois !" a-t-il ajouté en plaisantant. Reste à savoir si l'humoriste a gardé le privilège de l'appeler Jacques.

1234...1114Go to: