16 août 2024

La série The Gentlemen est renouvelée par Netflix pour une saison 2

Après plusieurs semaines d’un suspense insoutenable, Netflix annonce officiellement une saison 2 pour The Gentlemen. Sa nouvelle série à succès est l’adaptation du long métrage éponyme signé Guy Ritchie.

Sortie en 2020 au cinéma, ce film réunissait notamment à son casting Matthew McConaughey et Colin Farrell, dans une intrigue mettant en scène les cartels de la drogue de Londres.

Désormais considéré comme l'un des meilleurs films du réalisateur de Snatch et des Sherlock Holmes avec Robert Downey Jr., The Gentlemen a fait l'objet cette année d'une adaptation en une série Netflix. Tandis que le cinéaste anglais a signé la mise en scène des premiers épisodes, le casting du film n’a en revanche pas rempilé dans ce projet conçu comme une suite directe du long métrage.

Le rôle principal de l’adaptation télévisée a été confié à Theo James. L’acteur de 39 ans prête à cette occasion ses traits à Eddie Horniman, un ancien soldat héritant du duché de son père, mais également des dettes de son frère aîné. Très vite, Eddie va se retrouver malgré lui impliqué dans l’univers impitoyable des trafiquants de drogue…

La distribution comprend également des "gueules" emblématiques du cinéma britannique, notamment Ray Winstone et l’ancien footballeur Vinnie Jones, ainsi que le spécialiste des rôles de méchant : Giancarlo Esposito (Breaking Bad). Pour la touche féminine, Kaya Scodelario joue la fille d'un gros trafiquant avec qui Eddie doit composer tant bien que mal.

Énorme succès dès son lancement sur Netflix le 7 mars dernier, The Gentlemen a reçu un accueil favorable auprès des critiques. Le public semble avoir également apprécié le programme, comme en témoigne la note spectateurs de la série avec une moyenne de 4,2 sur 5 sur AlloCiné. La saison 1 s’achevant sur une fin ouverte, nombreux étaient les internautes à réclamer une suite. C’est désormais chose faite !

Mort de l'actrice Gena Rowlands à l'âge de 94 ans

Avec John Cassavetes, elle avait écrit quelques-unes des plus belles pages du cinéma américain. Pour lui, elle avait été Une femme sous influence et Gloria... Gena Rowlands nous a quittés ce mercredi 14 août, à l'âge de 94 ans. Elle souffrait depuis 5 ans de la maladie d'Alzheimer, un mal que ses proches avaient rendue publique en juin dernier.

Fille d'un sénateur du Wisconsin, Gena Rowlands, très tôt passionnée par le théâtre, prend des cours de comédie à l'American Academy of Dramatic Arts. Venu assister à une représentation, un ancien étudiant la remarque : John Cassavetes, alors jeune acteur lui aussi. Gena Rowlands épouse en 1954 celui qui deviendra l'un des chefs de file du cinéma indépendant américain.

La comédienne, qui fait ses débuts à Broadway dans Sept ans de réflexion, triomphe dans la pièce Middle of the night aux côtés d'Edward G. Robinson et participe à plusieurs séries télévisées, avant de trouver son premier rôle au cinéma dans L'Amour coûte cher en 1958. Elle sera bientôt la partenaire de Kirk Douglas (dans Seuls sont les indomptés en 62) et de Sinatra (dans Tony Rome est dangereux), mais, très vite, ce sont ses prestations dans les films de son mari qui retiennent l'attention. Figurante dans Shadows, elle tient un rôle plus conséquent dans le mélo Un enfant attend, film de studio impersonnel.

Cassavetes offrira ensuite à son égérie de beaux personnages de femmes décalées et généreuses, qui permettent à l'actrice de développer un jeu très physique, avec un art consommé de la démesure. Prostituée dans Faces, puis compagne d'un Seymour Cassel beatnik dans Ainsi va l'amour, Gena Rowlands incarne Mabel, mère de famille au bord de la folie dans Une femme sous influence, rôle pour lequel elle reçoit le Golden Globe de la Meilleure actrice, et une nomination à l'Oscar. Elle se glisse également dans la peau d'une comédienne alcoolique dans Opening Night (prix d'interprétation à Berlin), puis d'une détective attendrie par un enfant dans Gloria, un film de commande qui sera le plus gros succès du couple, et vaudra à l'actrice une seconde nomination aux Oscars. En 1983, Cassavetes et Rowlands incarnent un frère et une soeur aux rapports passionnels dans Torrents d'amour, leur dernier film en commun, récompensé d'un Ours d'or à Berlin.

Si Gena Rowlands tourne presque exclusivement dans les films de son mari, jusqu'à la mort de celui-ci en 1989, on la retrouve dès 1988 dans Une autre femme, de Woody Allen, dans lequel elle est un professeur de philosophie en pleine crise existentielle. Passagère du taxi conduit par Winona Ryder dans Night on Earth de Jarmusch, elle est la tante exubérante du jeune héros de La Bible de neon de Terence Davies, en 1995. L'année suivante, elle tourne Décroche les étoiles sous la direction de son fils Nick Cassavetes, aux côtés de Gérard Depardieu, qui, en distribuant en France plusieurs films de John Cassavetes en 1992, contribue à la redécouverte du cinéaste et de son actrice-fétiche, devenue un modèle pour la jeune génération de comédiennes.

La collaboration de Gena Rowlands avec son fils s'avère fructueuse puisqu'elle figure également au casting de She's so Lovely, où elle partage l'affiche avec le couple Penn (Robin et Sean) l'année suivante. Spécialiste de la promotion de premier film, l'actrice participe ainsi à la première réalisation de Forest Whitaker en 1998 intitulée Ainsi va la vie. Cette année-là est riche en films pour la femme de John Cassavetes mais ses principaux rôles suivants (Les Puissants ou La Carte du coeur) s'inscrivent dans des productions qui ne rencontrent pas forcément le succès escompté.

Son travail avec des réalisateurs "confidentiels" est une vraie marque de fabrique et l'actrice perpétue inexorablement cette vocation. C'est ainsi qu'on la voit successivement chez Mira Nair (Debby Miller, une fille du New Jersey) en 2002 puis sous la direction de D.J. Caruso et Iain Softley respectivement pour Taking lives et La Porte des secrets. Le cinéma étant définitivement une affaire de famille chez les Cassavetes, Rowlands participe une nouvelle fois aux films de ses enfants Nick (N'oublie jamais en 2004, Yellow en 2012), et Zoe dont la carrière débute en 2008 avec son film Broken English.

L'anime Rick et Morty revient sous une forme inédite

Cela avait tout d’un canular, et pourtant l’anime japonais Rick et Morty va bel et bien voir le jour ! La série s’apprête à faire ses grands débuts sur Adult Swim, alors que tout laissait penser à une énième blague en provenance des scénaristes du programme irrévérencieux.

Au fil de ses six saisons, les épisodes de Rick et Morty ont rendu de nombreux hommages à la culture populaire japonaise, ainsi qu’à travers un cycle de six courts métrages diffusés entre 2020 et 2021. Mais la série va faire un pas supplémentaire via la diffusion de cette nouvelle production confiée au réalisateur japonais Takashi Sano.

L’anime japonais sera indépendant de la série. Des intrigues du programme original seront reprises, mais des nouvelles histoires inédites seront également proposées ; les épisodes reprendront la trame de la série, à savoir les aventures d’un scientifique fou – Rick Sanchez – et de son petit-fils Morty Smith.

Rick et Morty : l’Anime sera doté d’un générique d’ouverture d’ores et déjà révélé au public. La musique intitulée Love is Entropy est une collaboration de l’interprète japonaise OC (du groupe Code of Zero) et du musicien Cameron Earnshow, spécialisé dans la musique métal.

Dix épisodes composent actuellement la série, et une saison 2 ne semble pas à l’ordre du jour. Cette série dérivée permettra aux fans de Rick et Morty de patienter avant la diffusion de la très attendue saison 8, repoussée à 2025 en raison de la grève des scénaristes.

Les sept saisons de Rick et Morty, et la série d’animation japonaise Rick et Morty, sont à retrouver en exclusivité sur Max.

13 août 2024

Halloween : vous n'en avez pas fini avec Michael Myers !

Film séminal du Slasher, Halloween de John Carpenter est devenu un classique absolu. Doté d'un budget d'à peine 325.000 dollars, le film rapporta plus de 70 millions de dollars dans le monde via sa sortie en salles.

L'oeuvre la plus rentable, et de loin, du metteur en scène. Depuis, la franchise a été plus que largement rincée, entre suites, prequel et reboot, au point qu'on y perd un peu son latin...

Boogeyman de légende, Michael Myers est évidemment increvable. Il reviendra donc encore, mais cette fois-ci sous la forme de non pas un mais deux jeux vidéo, selon les informations exclusives glanées par IGN.

Il faut dire que la dernière fois où la franchise est apparue dans un jeu vidéo remonte aux calendes grecques : un jeu vidéo Halloween est en effet sorti en 1983 sur la console Atari 2600.

Ces deux jeux seront développés sous les auspices du studio Boss Team Games, à qui l'on doit le jeu d'horreur Evil Dead et son gameplay asymétrique. On sait encore très peu de choses, si ce n'est que l'un des deux titres sera développé avec l'aide du puissant moteur de jeu Unreal Engine 5, et verra l'implication de John Carpenter lui-même.

"En tant que gros joueur moi-même, je suis ravi de contribuer à redonner vie à Michael Myers dans ce jeu, et j'espère vous faire vraiment peur" a commenté le master of horror, qui précise qu'il sera "intimement impliqué" dans le développement du jeu.

C'est en 1991 que le cinéaste s'est découvert une passion pour les jeux vidéo, en jouant avec son fils à Sonic sur Megadrive. Depuis, le virus ne l'a jamais quitté. La saga des jeux "Assassin's Creed" d'Ubisoft, la franchise des "Rayman", celle de "Silent Hill", les Survival Horror "Dead Space", "Bioshock", les pépites vidéoludiques du studio Naughty Dog – en particulier "The Last of us" que Carpenter élève au rang de classique instantané, le côté défouloir des jeux "Borderlands" et ses environnements post-Apo que n'aurait pas reniés son Snake Plissken de New York 1997…

Tous les jeux et types de jeux passent entre les mains expertes du réalisateur. "J'aimerais un jour créer un jeu vidéo" a-t-il même dit en 2013 dans une interview donnée au site spécialisé Giant Bomb.

En fait, il y a un précédent : Carpenter a en effet été associé à la production des cinématiques In Game du jeu d'horreur "F.E.A.R 3" sorti en 2011. Une contribution modeste. Tout comme celle prévue pour le jeu John Carpenter’s Toxic Commando annoncé en 2023; un FPS dont on imagine que l'implication du cinéaste s'est avant tout bornée à pitcher l'idée de départ.

Toujours est-il que l'amour est réciproque avec les studios, tant ceux-ci n'en finissent pas de citer Carpenter comme une influence majeure dans la création de l'univers de certains jeux.

Halle Berry revient sur ses blessures accumulées en tournant des films d'action

Le cinéma d’action, ce n’est pas une sinécure ! Et ce n’est pas Halle Berry qui viendra dire le contraire. L’actrice oscarisée, qui s’illustre depuis quelques années dans des films d'action, n'est pas étrangère aux blessures sur les plateaux de tournage. Au fil des ans, elle a accumulé une impressionnante liste de "cicatrices de guerre".

Lors d'une vidéo pour Netflix à l’occasion de la sortie de son film d’action The Union avec Mark Wahlberg, l'actrice a révélé une sacrée collection de coups, fractures et autres lésions. Elle a comparé toutes ses blessures à celles de Mark Wahlberg, alors qu'ils discutaient de leurs dangereuses expériences en matière de cascades dans leurs nombreux films d'action.

"J'ai été mise KO trois fois, j'ai eu un bras cassé, des côtes cassées deux fois – deux côtes une fois, trois côtes une autre fois – le coccyx cassé, deux orteils cassés et un doigt cassé. Ce doigt", dit Berry dans la vidéo Netflix ci-dessous en riant et en levant son majeur.

Parmi ses blessures les plus notoires, on peut citer une fracture de l'avant-bras sur le tournage de Gothika en 2003, qui avait retardé la production de plusieurs semaines. Trois de ses côtes cassées sont le résultat de cascades dans John Wick Parabellum (2019).

Deux autres sont survenues lors du tournage de Meurtrie en 2020, un film dans lequel elle incarne une combattante de MMA et qui marquait également ses débuts en tant que réalisatrice. Ces accidents n'ont cependant pas entamé sa détermination à continuer de tourner des scènes d'action, bien au contraire.

Dans son dernier film, The Union, qui sera disponible sur Netflix à partir du 16 août, Halle Berry incarne Roxanne, une agente des services secrets américains. Elle partage l'affiche avec Mark Wahlberg, qui joue Mike, son ex-petit ami du lycée, désormais ouvrier du bâtiment. Recruté par Roxanne pour une mission d'espionnage de la plus haute importance, Mike se retrouve plongé dans un monde de danger et de trahison.

Ce film, mêlant action et suspense, rappelle que Halle Berry est une véritable guerrière à Hollywood, prête à tout pour offrir du grand spectacle, même au prix de blessures graves.

La presse américaine s'enflamme pour Alien Romulus

Il y a d'abord eu Ridley Scott. Puis James Cameron, David Fincher et Jean-Pierre Jeunet. Place aujourd'hui à Fede Alvarez, cinquième réalisateur à inscrire son nom au générique de la saga Alien grâce à Romulus.

Attendu le 14 août dans nos salles, le long métrage se situe entre Alien et Aliens dans la chronologie, et met notamment en scène Cailee Spaeny, vue cette année dans Priscilla et Civil War. Après des bandes-annonces plus que prometteuses, les premiers avis américains laissent entendre que le pari est réussi pour le réalisateur de Don't Breathe :

"Alien Romulus possède toutes les caractéristiques que l'on peut attendre d'un film Alien, mais ne donne jamais l'impression de faire preuve de nostalgie ou de fan service... et va même dans une direction complètement nouvelle. Fede Alvarez et le casting viennent de donner naissance au meilleur film de l'été."

"Alien: Romulus est absolument somptueux et fait honneur à tous les films qui l'ont précédé. Cailee Spaeny et David Jonsson sont de très bons acteurs principaux, et les effets de l'alien sont très satisfaisants. Le final va diviser, mais je l'ai adoré. Très fan de cet opus."

"Alien : Romulus est incroyablement bon. Ce film est très inventif en matière d'horreur, de sensations fortes et sur le plan visuel, sans jamais être gratuit en matière de sang et de gore. Il émule parfaitement les Alien originaux. J'ai dû ramasser ma mâchoire sur le sol pendant le troisième acte. C'était dingue. Wow."

"Alien Romulus s'appuie fortement sur ses origines horrifiques pour créer une embardée implacable et viscérale, qui démarre lentement et augmente en intensité jusqu'à ce que vous ayez le souffle coupé. Dépourvu de toute profondeur thématique, il intègre tellement de clins-d'œil et de moments de fan service qu'il ressemble souvent plus à un best-of qu'à une tentative d'apporter quelque chose de nouveau ou de profond. Ceci étant, les performances réalistes de Cailee Spaeny et David Jonsson fournissent juste assez de poids émotionnel pour garder le public investi pendant le massacre. Certainement le film plus direct de la franchise."

"Alien Romulus est le premier film de la saga pendant lequel j'ai été terrifiée. Rain, jouée par Cailee Spaeny, est un personnage parfait à suivre dans ce voyage, et grâce aux rebondissements de Fede Alvarez, on ne sait jamais vraiment où Romulus va. Le 3ème acte est vraiment FOU. J'adore."

"Alien Romulus met un peu de temps à démarrer mais plonge dans l'horreur pure pendant son troisième acte, en présentant quelques similitudes avec les précédents films de Fede Alvarez. Avec quelques surprises et rappels, bien sûr. Les Facehuggers m'ont donné la chair de poule, mais c'est dû à mon truc avec les araignées."

"Alien Romulus joue avant tout la carte de la nostalgie gratuite, en remixant ce qui a été fait avant avec parfois quelques gros frissons. Mais au sein d'une franchise célèbre pour ses bizarreries psychosexuelles, c'est l'entrée la plus prudente et la plus fade que la franchise ait jamais connue. Je n'ai pas aimé."

"Il y a beaucoup de choses que j'aime dans Alien Romulus - j'ai VRAIMENT apprécié certains moments créatifs des deux premiers actes. Cependant, le final prend un virage qui ne m'a pas plus et m'a laissé sur ma faim. Un Alien créatif mais imparfait, et surtout : Prometheus > Romulus."

"Alien Romulus est le meilleur Alien depuis Aliens. Le pont parfait entre la science-fiction horrifique du film original de Ridley Scott et l'action trépidante de la suite signée James Cameron. Le film se fait de plus en plus palpitant à chaque scène, et culmine dans un acte final époustouflant qui prouve que Fede Álvarez ne se retient jamais. Une dinguerie absolue pleine d'idées nouvelles."

"Alien Romulus est palpitant, terrifiant, époustouflant et inoubliable. Fede Alvarez est l’un de mes réalisateurs préférés et il ne m’a pas déçue. C'est tellement dégoûtant. Et tellement BON."

"Alien Romulus est curieux. Il y a des moments de frayeur efficaces, mais chaque scène ressemble à un niveau de jeu vidéo, au début d'un grand huit ou d'un labyrinthe de nuits horrifiques. Le travail sur les personnages ne m'a pas marquée non plus, alors que je suis bon public. Ça n'est pas pour moi."

"Alien Romulus de Fede Alvarez est percutant, captivant et magnifiquement sombre (de l'histoire à la photographie de Galo Olivares en passant par la musique de Benjamin Wallfisch). Il propose des choses intelligentes et astucieuses de manière innovante, jouant subtilement les plus grands moments de la saga. Cailee Spaeny et David Jonsson dominent l'ensemble. C'est génial !"

"Alien Romulus est un grand huit déjanté qui file entre les six précédents Alien, empruntant des éléments à chacun d'eux pour raconter une histoire qui se suffit globalement à elle-même avec du gore et des sursauts magnifiques. De mieux en mieux au fil du récit, jusqu'à se terminer avec un revirement phénoménal dans le troisième acte."

"Alien Romulus m'a tenu en haleine avec son suspense. Fede Alvarez a compris la mission et l'a accomplie avec brio. En tant que fan [de la saga], j'ai adoré les nouveaux éléments qu'il a introduits et les rebondissements. Cela donne un nouveau souffle à la saga Alien, dont ce film pourrait être l'un des meilleurs."

"Alien Romulus, c'est Don't Breathe dans l'espace. Un méchant mélange des prequels de Ridley Scott et des deux premiers films de la saga, qui se bat comme un dingue pour trouver sa propre identité. Il y parvient parfois (et c'est dingue et tordu), et à d'autres moments non, mais les décors en dur de Fede Alvarez nous offrent l'opus le plus sale et sordide à ce jour."

"Alien Romulus est FOUTREMENT PHÉNOMÉNAL ! Fede Alvarez a intelligemment tissé une histoire tissée à partir d'éléments de TOUS les précédents films. L'équilibre entre horreur et action est parfait. Les visuels sont à couper le souffle. Cailee Spaeny et David Jonsson sont les meilleurs. ET CE 3ÈME ACTE MON DIEU ! Mon film préféré de l'année à ce jour."

"Alien Romulus est le chef-d'oeuvre de science-fiction que l'on attendait ! Fede Alvarez a ramené la franchise à ses origines de la façon la plus terrifiante possible. Chaque moment possède une tension à couper le souffle et il contient tout ce que vous attendez d'un film Alien, et plus encore. Le meilleur Alien depuis des décennies. À ne pas rater en IMAX."

"Alien Romulus est un épisode solide et bourré d'action. Fede Alvarez a su saisir l'atmosphère. Quelques jump scares médiocres, des références aux films précédents qui ne se justifient pas et un dernier acte douteux, mais il y a beaucoup à aimer ici, avec des séquences palpitantes. David Jonsson est absolument remarquable."

"Alien Romulus se présente comme l'un des meilleurs épisodes de la franchise. Une histoire tendue, terrifiante et chaotique construite avec des morceaux de bravoure extrêmement bien exécutées qui rendent l'expérience encore plus unique. Le casting est excellent, le travail sur le son dingue, à voir absolument au cinéma."

"Alien Romulus ne révolutionne pas la formule, mais possède en Cailee Spaeny et David Jonsson deux armes secrètes vitales. Le réalisateur Fede Alvarez ramène la franchise à ses racines horrifiques, nous offrant l'un des derniers actes les plus effrayants de la saga Alien."

"Pour moi, Alien Romulus fonctionne comme un best-of de la franchise ; il n'y a pas grand-chose de nouveau (à part [SPOILER] et j'ai adoré), mais ce que nous avons ici est exceptionnellement bien fait. Spaeny et Jonsson sont solides comme des rocs. Je suis ravi."

Netflix commande la nouvelle série animée Ghostbusters

En projet depuis deux ans, la nouvelle série animée Ghostbusters va bien voir le jour sur Netflix.

Variety annonce que la plateforme a commandé ce nouveau dessin animé dérivé des S.O.S Fantômes, certainement convaincu par le joli petit succès de La Menace de Glace et ses 200 millions de dollars de recettes au printemps dernier.

On ne sait pas encore quels personnages seront au centre de l'intrigue (les anciens ? Phoebe Spengler ? de nouveaux chasseurs ?) mais elle sera animée en 3D et dans la lignée des deux derniers films Ghostbusters en terme de ton.

Elliott Kalan, auteur du Daily Show with Jon Stewart, sera le scénariste et producteur exécutif, tandis que les producteurs de SOS Fantômes : l'héritage et SOS Fantômes : la menace de glace, Jason Reitman et Gil Kenan, seront producteurs via Ghost Corps, Inc. 

Notons qu'il s'agira de la troisième série animée de la franchise après SOS Fantômes (The Real Ghostbusters) diffusée de 1986 à 1991 et Extrême Ghostbusters, sortie en 1997.

Avatar 3 a une date de sortie française

Ce week-end, James Cameron a fait le déplacement aux Etats-Unis depuis la Nouvelle-Zélande, où il est en post-production d'Avatar 3, pour en dévoiler son titre officiel lors de la D23, la convention des studios Disney.

Le prochain opus de la saga s'intitulera Avatar : Fire and Ash (feu et cendre), un nom accompagné d'une poignée de concept arts, certains dévoilant ses nouveaux Na'vi, le peuple des cendres. « Ce ne sera pas ce que vous attendez, mais ce que vous aimez », a aussi confié le cinéaste à propos de cette suite de La Voie de l'eau, qui a déjà pas mal de pression : pour suivre ses aînés, Fire and Ash devra faire un carton au box-office !

Le premier opus, sorti au cinéma fin 2009, est le plus gros succès de tous les temps sur la planète, fort de 2,9 milliards de dollars de recettes. Sa séquelle sortie fin 2022 est troisième de ce même classement, juste après Avengers Endgame, grâce à 2,3 milliards.

Toujours porté par Sam Worthington (Jake Sully), Zoe Saldana (Neytiri), Sigourney Weaver (Kiri), Jack Champion (Spider), Britain Dalton (Lo'ak), Trinity Jo-Li Bliss (Tuk) et Stephen Lang (Miles Quaritch), Avatar 3 sortira en France le 17 décembre 2025, viennent de préciser les studios 20th Century, en laissant supposer qu'on connaîtra prochainement son titre en VF. Patience...

Pixar s’apprête à diffuser sa toute première série originale

Une révolution dans le monde de l’animation ? L'emblématique studio Pixar, connu pour ses succès au cinéma depuis près de trente ans, s’apprête à débarquer dans le monde des séries. La compagnie américaine a dévoilé en effet lors de la D23 la bande-annonce de sa toute première production originale, intitulée Gagné ou perdu.

Cette série met en scènes les membres d’une équipe de softball au collège. Des personnages hauts en couleur, à retrouver dans des aventures du quotidien absolument désopilantes. La particularité du programme est de proposer des épisodes dont chacun sera centré sur l’un des membres de l’équipe.

Gagné ou perdu sera la toute première production originale Pixar destinée à la télévision. Auparavant, la compagnie avait produit un grand nombre de séries et programmes courts dérivés de leurs plus grands succès cinématographiques, notamment Toy Story et Cars ou encore Là-haut.

Cette nouvelle production marquera donc une nouvelle page dans l’Histoire du célèbre studio. Rappelons que Pixar a déjà marqué les esprits cette année, en battant le record du plus gros succès d’un film d’animation au box-office mondial avec Vice Versa 2 (1,5 milliard de recettes, et ce n’est pas encore fini !).

12 août 2024

Le film Crawl va connaitre une suite

Un survival avec des crocodiles ? Souvenez-vous, en 2019, Crawl réalisé par Alexandre Aja sortait au cinéma, et connaissait un joli succès (plus de 470 000 entrées). Un succès qui s'est poursuivi avec l'arrivée du film sur la plateforme Netflix. Sans oublier l'adoubement par un certain Quentin Tarantino lui-même, qui selon Deadline, aurait été impressionné par le premier volet et ce qu'il a vu "en termes de pure cinématographie".

Selon The Hollywood Reporter, une suite de Crawl est initiée 5 ans après la sortie du premier volet.

Le média rapporte que le projet est en cours de développement et qu'un tournage devrait avoir lieu, cet automne, avec pour cadre, New York. Le casting sera différent du premier volet. Pour mémoire, il avait Kaya Scodelario dans le rôle principal, entourée notamment de Barry Pepper et Morfydd Clark.

Alexandre Aja sera à nouveau à la réalisation. Andrew Deutschman et Jason Pagan écrivent le scénario. Ils ont précédemment signé Paranormal Activity 5: The Ghost Dimension et Projet Almanac.

Crawl avait rapporté 91,5 millions de dollars pour un budget inférieur à 14 ùillions de dollars.