Alors qu'il sort The Killer, dans une semaine sur Netflix, David Fincher revient sur l'un de ses films les plus populaires : Fight Club. Depuis sa sortie en 1999, son thriller social et violent porté par Edward Norton est devenu un film culte, et parfois même un étendard pour diverses convictions, notamment penchant vers l'extrême-droite.
31 octobre 2023
Robert Downey Jr. est Charlie Chaplin, à voir sur Arte
Au crépuscule de sa vie, Charles Chaplin se raconte à George Hayden, son biographe. Le “kid” qui, à 5 ans, a dû remplacer sur scène sa mère chanteuse de music-hall après qu’elle a été huée dans un cabaret londonien voit déjà son destin tout tracé : le spectacle sera son gagne-pain.
Au début des années 1910, repéré par l’impresario Fred Karno, l’artiste quitte les brumes de son Angleterre natale pour entamer une grande tournée aux États-Unis. Trois ans plus tard, un studio californien l’engage pour jouer ses gags au cinéma, sous la houlette de Mack Sennett. Un nouveau monde s’ouvre à lui…
Des années 80 jusqu’au début des années 90, Robert Downey Jr. est l’un des acteurs les plus prometteurs de sa génération. C’est à cette époque encore lumineuse qu’il accepte le rôle de Chaplin, un biopic réalisé par le vétéran Richard Attenborough. Et c'est peu dire que, vu l'aura entourant ce monstre sacré du 7e Art, l'entreprise s'annonce périlleuse.
Pour le rôle, l’acteur se prépare et s’entraîne comme jamais. Il apprend à jouer au tennis de la main gauche, à jouer du violon, il regarde tous les films de Chaplin et il s'entraîne à mimer la posture et les gestes de l’artiste durant 10 semaines de coaching. Devenu Chaplin, Downey Jr. parvient également à insuffler de lui-même dans le personnage, en livrant une composition formidable et électrisante.
Si son interprétation suscita des critiques favorables, le film fut un très injuste et douloureux échec commercial, avec moins de 10 millions de dollars de recettes au box office international. Ce qui n'a pas empêché le comédien de glaner une citation à l'Oscar du Meilleur acteur. La seule à ce jour d'ailleurs, puisque celle obtenue en 2009 pour le film Tonnerre sous les tropiques fut une citation au titre du Meilleur acteur dans un second rôle.
Ce rôle occupe donc une place bien à part et logiquement chère au coeur de l'acteur, qui a accepté de revenir dessus avec enthousiasme récemment, lors d'un entretien accordé à Vanity Fair alors qu'il assurait la promotion de Oppenheimer.
"Chaplin était un cadeau absolu et un véritable défi pour quelqu’un qui avait 25 ans quand ils ont commencé à préparer le film. Il y avait tous ces gens qui étaient encore là, comme Johnny Hutch qui venait du show The Benny Hill, qui connaissait le gars qui avait vraiment fait ces chorégraphies au théâtre Karno avec Chaplin. [...] Il m'a poussé durant des mois et des mois et des mois".
Johnny Hutch n'était pas n'importe qui. Décédé en 2006, cette légende vivante du monde du cirque fut l'un des plus grands acrobates britanniques du XXe siècle. Il fut d'ailleurs anobli par la reine Elizabeth II en 1994.
""J'ai utilisé tout ce que j'ai pu pour me présenter sur ce rôle" commente Downey Jr; soulignant même qu'avec son travail obsessionnel, il était devenu un expert sur son modèle d'origine. De là cette apostrophe d'Attenborough après le tournage d'une scène où l'acteur avait corrigé certains détails...
"Quand vous avez 25 ans et qu'on vous confie les clés du royaume, vous pouvez perdre vos moyens. Peut-être par peur, peut-être par manque de confiance. Et pour moi – à ce moment-là, sans vouloir me vanter – j’étais autant un expert de Chaplin que toute personne impliquée dans le projet. Et j'apportais des corrections à des choses qui étaient factuellement et historiquement inexactes, ce à quoi Attenborough a dit : "Mais mon garçon, nous faisons un film, pas un documentaire".
Le film Zombie ressort au cinéma
Dix ans après La Nuit des morts-vivants, le pape du film de zombies revenait en 1978 avec Dawn of the Dead (traduit par Zombie en version française). L'histoire suit un groupe de survivants qui se réfugie dans un centre-commercial abandonné.
Alors que la vie s'organise à l'intérieur, la situation empire à l'extérieur. Des morts-vivants assoiffés de sang ont envahi la Terre et se nourrissent de ses habitants.
Interdit aux moins de 16 ans, le film culte de George A. Romero est ressorti en salles en version restaurée le 25 octobre et vous ne devez pas le rater ! La Nuit des morts-vivants, du même auteur, est aussi revenu au cinéma et vous devez absolument le voir également !
Sommet du gore, Zombie a été censuré en France avant de débarquer au cinéma 5 ans après sa sortie américaine, le 11 mai 1983. À l'époque, la commission de contrôle des films cinématographiques a pris la décision de censurer cette œuvre en raison de son aspect politique.
Les membres de la commission auraient décelé dans l'assaut des bikers et leur excitation à l'idée de massacrer des morts-vivants "une philosophie effrayante, avec une humanité et une sous-humanité." Cette joie de "tuer son semblable, de tuer les sous-hommes" formerait les "racines de l'idéologie nazie", selon la commission en place à la fin des années 1970.
Au-delà d'un film très violent et trash, Zombie reste un virulent pamphlet politique et une charge acerbe contre la société de consommation. Le cinéaste ne nous épargne rien, entre giclées de sang par hectolitres, tripes qui se déversent sur le sol et têtes qui explosent.
Le tournage s'est notamment déroulé au centre commercial Monroeville Mall, situé dans la banlieue de Pittsburgh, de novembre 1977 à février 1978. Tom Savini, collaborateur et ami de George A. Romero, s'est chargé du maquillage et des effets spéciaux du film. Cet artiste, âgé de 32 ans à l'époque, deviendra par la suite une véritable légende de l'horreur.
Grâce à lui, l'amateurisme de La Nuit des morts-vivants, caché par l'utilisation du noir et blanc,
n'existe plus dans Zombie. Savini, véritable maître en matière de maquillage effets spéciaux, est parvenu à nous offrir un résultat très réaliste, encore aujourd'hui considéré comme avant-gardiste.
S’il n’est pas le premier film à avoir mis en scène des morts-vivants (pour cela, il faut retourner en 1943 avec Vaudou de Jacques Tourneur), Zombie est le film qui a théorisé les règles du genre. Voici ses 5 directives devenues la norme :
- Les zombies ne courent pas
- Il faut leur tirer dans la tête pour les tuer pour de bon
- Il ne faut jamais se faire mordre par un zombie
- On ne sait pas pourquoi ils reviennent à la vie
- Il ne faut JAMAIS prononcer le mot "zombie"
Ironiquement, le titre français contrevient à l’un de ces préceptes. Rappelons que le titre original du film est Dawn of the Dead, que l’on pourrait traduire littéralement par L’aube des morts-vivants.
À noter que de nombreux cinéastes revendiquent l'influence de Zombie. On peut citer Edgar Wright (Shaun of the Dead), Zack Snyder (auteur d’un remake intitulé L’Armée des morts) ou encore Robert Rodriguez (Planète Terreur, Une nuit en enfer). De plus, The Walking Dead doit beaucoup à Zombie, dont l'influence se ressent énormément sur les premières saisons de la série culte.
Zombie est ressorti en salles le 25 octobre.
France 2 : premières images de la mini-série Sambre, avec Alix Poisson
Depuis plusieurs années, les faits divers ne cessent d’inspirer les scénaristes. Et après Dahmer sur Netflix, Une Affaire Française sur TF1 ou encore Oussekine sur Disney +, c’est désormais au tour de France 2 de nous proposer Sambre, une mini-série poignante qui revient sur l’histoire sordide du violeur de la Sambre.
Réalisée par Jean-Xavier de Lestrade, qui était déjà à l’origine de l’acclamée Laetitia, cette fiction en 6 épisodes est librement inspirée de l’enquête menée par Alice Géraud pour son livre Sambre. Radioscopie d’un fait divers, paru en janvier 2023 aux éditions JC Lattès. Cette dernière est d’ailleurs co-scénariste de la série, au côté de Marc Herpoux (Les Témoins).
Diffusée à partir du lundi 13 novembre dès 21h10 sur France 2, Sambre se dévoile dans une première bande-annonce qui met en lumière les différents protagonistes de cette mini-série, chaque épisode se déroulant en effet à une période différente et suivant un personnage clé ayant été en première ligne dans cette affaire.
Avec cette histoire, Jean-Xavier de Lestrade a cherché à raconter trente ans de faillite dans la prise en charge des victimes de viols, tout en montrant l’évolution d’une justice qui depuis les années 1980 a bien du mal à endiguer les violences sexistes et sexuelles.
C’est en 1988 que débute Sambre. Dans le Nord de la France, des femmes sont violées tôt le matin, toujours de la même manière, sur la même route, le long de la rivière Sambre. Les policiers ne prennent pas la mesure de ces agressions et ne font pas le lien entre toutes les victimes.
La justice est débordée devant les dossiers qui s’accumulent. Il faudra trente ans pour arrêter un homme qui n’a jamais cessé d’agresser les femmes et qui est responsable d’au moins 54 viols ou agressions sexuelles.
Côté casting, Alix Poisson, vue dans Jeux d'influence et Parents, mode d’emploi, incarne Christine Labot, l’une des premières victimes du violeur qui mettra des années à mettre des mots sur son agression.
C’est Jonathan Turnbull (Sentinelles) qui a la lourde tâche de se glisser dans la peau du criminel. Olivier Gourmet, Julien Frison, Noémie Lvovsky, Clémence Poésy (qui est actuellement à l'affiche du spin-off de The Walking Dead qui a beaucoup fait réagir les internautes) et Pauline Parigot viennent compléter la distribution.
Poltergeist va devenir une série pour Amazon
Difficile d’échapper à cette nouvelle tendance. Les adaptations de films en séries sont de plus en plus nombreuses. Après celle de Millénium, annoncée il y a quelques jours, c’est au tour de Poltergeist de Tobe Hooper d’être transposé sur le petit écran par la plateforme Amazon.
Aucun scénariste n’est, pour le moment, annoncé, mais Variety précise que Darryl Frank et Justin Falvey produiront le programme avec la société Amblin.
Ce n’est pas la première fois que Poltergeist connaît une adaptation sur grand écran. A la fin des années quatre-vingt-dix, une série intitulée Poltergeist : Les Aventuriers du surnaturel suivait une équipe d’experts qui luttaient contre des phénomènes inexpliqués et maléfiques. Quatre saisons ont été produites.
Sorti il y a plus de 40 ans, Poltergeist est un classique du cinéma d’horreur américain. Sa popularité repose sur ses nombreux effets spéciaux - déjà très impressionnants pour l’époque - mais aussi sur toutes les étranges histoires qui ont entouré la production.
La première : Steven Spielberg, crédité en tant que producteur et coscénariste, aurait réalisé le film en secret à la place de Tobe Hooper.
Les autres histoires sont plus beaucoup plus tragiques. De nombreuses sources ont longtemps affirmé que Poltergeist était un film maudit. Pendant le tournage, le jeune acteur Oliver Robins manque de se faire étranger par la marionnette du clown.
En 1982, année de sortie du film, l’actrice Dominique Dunne, qui joue l’adolescente de la famille, est tuée par son compagnon. Deux autres acteurs apparus dans la suite, Poltergeist II, trouveront également la mort.
Enfin, la jeune Heather O’Rourke, figure angélique et emblématique de la saga, meurt à l’âge de 12 ans après une infection lors d’une opération. Les trois Poltergeist resteront les seuls films de sa filmographie.
La Chronique des Bridgerton : l'actrice Ruby Barker s'en prend à Netflix après avoir subi des "crises psychotiques"
L’actrice britannique Ruby Parker, connue pour interpréter le personnage de Marina Thompson dans La Chronique des Bridgerton vient de se livrer sur son expérience sur le tournage de la série.
Deadline rapporte que l’actrice a interpellé Netflix et la société de production Shondaland et leur reproche de ne pas l’avoir plus soutenue pendant ce qu’elle appelle ses "crises psychotiques".
"Lorsque je suis entrée à l'hôpital une semaine après le tournage de la première saison de Bridgerton, tout a été dissimulé et gardé secret parce que la série allait sortir", a déclaré Ruby Barker lors d'une apparition sur le LOAF Podcast, un podcast de l’université d’Oxford.
"Pendant le tournage, mon état s'est dégradé. J'étais vraiment tourmentée parce que mon personnage était très aliéné, très ostracisé, livré à lui-même dans ces circonstances horribles".
Elle poursuit : "Pas une seule personne de Netflix, pas une seule personne de Shondaland depuis que j'ai eu deux crises psychotiques dans cette série ne m'a contactée ou ne m'a envoyé un e-mail pour me demander si j'allais bien ou si je pouvais bénéficier d'un suivi ou d'un soutien quelconque. Personne."
Ruby Barker a joué le rôle de Marina dans les deux premières saisons de la série dramatique. Marina était une femme controversée, tentant d’éviter un scandale lié à sa grossesse hors mariage. Dans la vraie vie, Barker était confrontée à des problèmes de santé mentale à cause de la série.
Elle a expliqué que beaucoup de choses se produisaient en même temps que le lancement de la série, ajoutant : "Ma vie changeait radicalement du jour au lendemain et pourtant il n'y avait toujours pas de soutien, et il n'y en a toujours pas eu depuis tout ce temps. J'essayais donc vraiment de faire comme si tout allait bien, que je pouvais travailler et que ce n'était pas un problème".
"C'est presque comme si j'avais ce pistolet invisible sur la tempe pour vendre cette série parce qu'elle est pétillante et amusante. Je ne veux pas dire que je ne suis pas d'accord avec ça, parce que je pourrais ne plus jamais travailler", a-t-elle ajouté.
Bridgerton est une des séries les plus populaires de Netflix, créée par Chris Von Dusen et basée sur la série de livres du même nom de Julia Quinn. Shonda Rhimes, papesse des séries télé et directrice de Shondaland produit la série pour le diffuseur.
Elle a elle-même créé la série préquelle La Reine Charlotte : Un chapitre Bridgerton, devenue elle aussi un des plus gros succès de la plateforme, dont toute l’intrigue tourne autour de la santé mentale du Roi George, interprété par Corey Mylchreest.
Il faut noter cependant que "les séries prennent beaucoup plus au sérieux la santé mentale chez les jeunes", comme le rappelle le Dr Jean-Victor Blanc dans un entretien qu’il a consacré à AlloCiné sur cette question.
Si les productions s’y intéressent pour leur narration, il reste à espérer qu’elles y prêtent une plus grande attention concernant les actrices et les acteurs.
30 octobre 2023
Suzanne Somers : les causes de la mort de l’actrice révélées
La terrible nouvelle a été annoncée par ses proches. Dimanche 15 octobre 2023, au matin, Suzanne Somers est morte. La comédienne américaine connue pour ses rôles dans les séries télévisées Vivre à trois (Three’s Company) et Notre belle famille (Step by Step) s'apprêtait à célébrer son 77 anniversaire. Elle les aurait eu le lendemain.
"Sa famille était réunie pour fêter son 77e anniversaire le 16 octobre. Au lieu de cela, ils célébreront sa vie extraordinaire, et veulent remercier ses millions de fans et d’adeptes qui l’aimaient tendrement", pouvait-on ainsi lire dans le communiqué.
Alors que Suzanne Somers souffrait d’un cancer du sein depuis plus de vingt-trois ans, les causes de son décès ont été révélées, comme le rapporte The Blast. Selon un certificat de décès qu'ils auraient obtenu, l'actrice serait décédée après que son cancer du sein se soit propagé dans tout son corps.
Le document aurait désigné "un cancer du sein avec métastases au cerveau" comme cause immédiate du décès. Une biopsie aurait été réalisée et aurait permis de découvrir que son cancer s'était répandu dans tout son corps. Si une autopsie n'aurait pas été pratiquée, il aurait également été indiqué, sur le certificat, que l'hypertension artérielle et l'hydrocéphalie étaient facteurs importants qui auraient pu entraîner sa mort.
Toujours selon The Blast, la comédienne aurait été enterrée trois jours après sa mort dans le Desert Memorial Park à Cathedral City à l'issue d'une cérémonie organisée par une maison funéraire à Palm Springs, en Californie.
En juillet 2023, elle avait annoncé à ses fans qu'elle devait de nouveau faire face à une rechute dramatique de son cancer. "Comme vous le savez, j'ai eu un cancer du sein il y a vingt ans, et de temps en temps, il réapparaît, et je continue de le combattre. J'ai utilisé la meilleure alternative. et des traitements conventionnels pour le combattre. Ce n'est pas un territoire nouveau pour moi. Je sais comment enfiler mon équipement de combat et je suis une combattante", avait-elle assuré.
Tina Arena annule de nouveaux concerts pour raisons de santé
Le 15 septembre dernier, Tina Arena sortait son tout nouvel album Love Saves. Pour l'occasion, la chanteuse australienne a écumé les plateaux de télévision et de radio français. Le 30 septembre dernier, elle était au micro de l'émission 1 heure avec... diffusée sur RFM. Elle s'est notamment exprimée sur sa carrière et sur l'impact qu'ont eu la pandémie et la crise sanitaire sur elle. "Avec le confinement, je me suis posée beaucoup de questions", a-t-elle débuté, avant de poursuivre : "J'ai dit 'non, je ne peux plus travailler dans ce système'". En effet, l'artiste qui fêtera ses 56 ans le 1e novembre a pris la décision de travailler en tant qu'indépendante. "Il n'y a aucune transparence, et comme être humain, j'ai besoin de transparence", a-t-elle relevé. Et si la sortie de ce nouvel album devait être le début du nouvelle ère pour la chanteuse, il semblerait que le destin en ait décidé autrement.
Le 12 octobre dernier, Tina Arena annonçait un premier coup dur sur son compte Instagram. La chanteuse avait été en effet contrainte d'annuler ses concerts au sein de son propre pays, l'Australie. "Une décision difficile" due à sa santé, qui doit "toujours" passer "en premier". Ce dimanche 29 octobre, le tabloïd britannique Daily Mail a rapporté que Tina Arena a également annulé ses prochaines dates prévues en novembre au Canada, à Paris, à Londres ou encore aux Etats-Unis. "Même si je voulais continuer, je me suis rendu compte que le plus grand cadeau que je pouvais vous faire est d'honorer mon corps et de prioriser ma guérison", a écrit l'interprète d'Aller plus haut dans un mail adressé aux détenteurs de billets.
"Performer en direct est l'une des choses que je préfère - J'adorerais voir vos visages souriants dans la foule alors que nous passons de précieux moments ensemble entourés par l'amour et le pouvoir de guérison de la musique", a-t-elle ajouté. Si Tina Arena fait mention de sa santé, aucune information supplémentaire n'a été divulguée quant à la nature même de cette mystérieuse maladie. "Je vous promets que je serai de retour", a finalement conclu la chanteuse.
Guerre Hamas-Israël : Non, ce n’était absolument pas Jason Statham avec un drapeau palestinien sur sa voiture
Son compte Instagram est plus lisse que la pelouse d’un jardin anglais entretenue à la cisaille, ses prises de position inexistantes : publiquement, Jason Statham se cantonne à entretenir son image d’homme musclé, et ça lui réussit bien. Il serait surprenant alors que l’acteur britannique, à l’affiche d’Expendables 4, soit surpris en train de décorer une voiture aux couleurs de la Palestine.
Pourtant, tout TikTok, ou presque, croit avoir reconnu le comédien dans une vidéo d’une vingtaine de secondes, dans laquelle un homme accroche un tissu qui ressemble à un keffieh aux rétroviseurs de son imposant SUV. Le capot de la voiture est entièrement recouvert d’un drapeau palestinien.
Une vidéo de la scène, postée le 23 octobre, simplement légendée « Jason Statham ? » a été vue plus de 3,4 millions de fois sur ce réseau social. D’autres Tiktokeurs ne s’embarrassent pas du point d’interrogation et affirment que l’acteur a même « défié la police » – américaine ou britannique, les versions diffèrent – en affichant ce drapeau.
Résultat : Des sites d’information turcs ou indonésiens s’emballent et en parlent comme d’un fait attesté. Sous le dernier post Instagram de l’acteur daté du 9 octobre – un selfie à la salle – les internautes affluent pour le remercier pour sa supposée prise de position sur le conflit qui a éclaté après les attaques du Hamas le 7 octobre en Israël.
Jennifer Lopez a vendu sa maison de Bel Air pour 34 millions de dollars
Une demeure dominée par le bois et les pierres apparentes dont les innombrables baies vitrées laissent entrer en abondance la lumière du ciel de Californie, comme on peut le constater grâce aux images dévoilées par Carolwood Estates, l’agence qui s’est occupé de la vente.
Enfin, son nouveau propriétaire n’aura pas à craindre les regards indiscrets, puisque le domaine est entouré d’un épais manteau boisé, tandis qu’il pourra profiter d’une salle de projection pouvant accueillir jusqu’à 100 personnes !
Voilà qui a dû soulager Jennifer Lopez qui a emménagé avec Ben Affleck depuis un bon moment déjà, tout en cherchant la maison idéale pour y installer leur famille recomposée.
Une quête qui s’est conclue en mai dernier avec l’achat d’une gigantesque demeure, comptant douze chambres et pas moins de 15 cheminées, située dans les hauteurs de Beverly Hills. Une propriété pour laquelle, d’après TMZ, ils ont déboursé la modique somme de 60 millions de dollars. A supposer qu’ils aient divisé la note en deux, Jennifer Lopez a largement couvert sa part avec la revente de sa maison de Bel Air.