16 novembre 2023

Après l'annulation du film Coyote vs. Acme, la Warner reconnaît son erreur

Après Batgirl et la suite du film d'animation Scooby-Doo, tous les deux annulés en pleine postproduction en août 2022, la Warner a fait une nouvelle victime : Coyote vs. Acme de Dave Green.

Le projet, qui met en scène le célèbre personnage des Looney Tunes, est doté d'un budget de 70 millions de dollars et a été stoppé net pour des raisons de déduction fiscale. Ainsi, 30 millions de dollars ont pu être économisés.

Problème : le film était presque fini. Tout était tourné, les effets spéciaux étaient en cours de finalisation et même la composition musicale était enregistrée.

Porté, entre autres, par John Cena, Coyote vs. Acme est donc condamné à prendre la poussière dans les tiroirs de la Warner. Enfin presque. Cette décision, très violente pour l'équipe, a créé un mouvement de colère, encore plus fort que pour Batgirl.

De nombreux acteurs du secteur - scénaristes, réalisateurs, producteurs - ont menacé le studio de ne plus travailler avec eux. Et pour cause, des réunions ont même été annulées suite à cet événement.

Pour enfoncer le clou, Coyote vs. Acme a été montré à l'occasion de diverses projections test et les retours étaient positifs, certains parlent même de la "meilleure version de Looney Tunes sur grand écran".

Sur les réseaux sociaux, certains cinéastes, comme Christopher Miller - à qui l'on doit le film Lego - ont pris la parole : "J'ai vu Coyote vs. Acme et c'est génial. Drôle, charmant, un bon timing comique, avec beaucoup de cœur. J'espère que plusieurs studios s'y lanceront afin que le monde puisse voir tout le bon travail que les gens ont fait."

Il ne croyait pas si bien dire. Après de nombreux mécontentements et un retour de boomerang assez violent, la Warner semble faire marche arrière. Le studio devrait permettre aux producteurs et au réalisateur de Dave Green de vendre leur film à d'autres studios.

Selon Deadline, les plateformes Apple, Amazon et Netflix seraient d'ores et déjà intéressés pour acheter le film. Affaire à suivre.

Netflix annule la série Shadow and Bone

Depuis mars et la sortie de la saison 2 de Shadow and Bone sur Netflix, les fans n’attendaient qu’une chose : le renouvellement de leur série adorée. Mais cela n’arrivera jamais. La plateforme de streaming a en effet annoncé l’annulation de l’adaptation des romans de Leigh Bardugo.

Une annonce qui n’étonne qu’à moitié. Si la première saison de Shadow and Bone avait fait de très bons scores, ceux de la seconde saison étaient bien en-deçà. Étant donné le budget conséquent demandé par la production et la grève des scénaristes/acteurs qui a coûté cher au streamer, Netflix a préféré y mettre un terme. Même sort pour le spin-off sur les Six of Crows, qui n’a jamais été officiellement annoncé, mais qui a été fortement teasé par les scénaristes.

Les fans ont bien évidemment réagi à cette nouvelle sur les réseaux sociaux, et notamment sur la plateforme X, où une pétition a d’ores et déjà été lancée. Il faut dire que la saga littéraire, tout comme son adaptation, jouit d’une très grande popularité. Mais cela n’a pas été suffisant pour Netflix.

Bardugo a elle aussi pris la parole sur Instagram pour partager sa tristesse et remercier le travail de toutes les équipes ayant travaillé sur le projet. A noter que Shadow and Bone n’est pas la seule série de la plateforme à connaître un sort funeste : Glamorous, Agent Elvis, Farzar et Captain Fall n’iront pas plus loin.

Même si Netflix n’a pas renouvelé Shadow and Bone pour une saison 3, la plateforme a annoncé la semaine dernière lors de sa Geeked Week le lancement d’un jeu mobile. Intitulé Enter The Fold, son action se déroule entre les saisons 1 et 2. Le joueur a la possibilité de camper 4 personnages : le général Kirigan, Alina, Jesper ou encore Sturmhond.

C’est l’occasion pour les fans du Grisherverse de retrouver une dernière fois leurs personnages préférés et d’explorer un peu plus le Fold.

15 novembre 2023

L'actrice Jana Kramer a accouché de son troisième enfant

Jana Kramer est au septième ciel. En juin dernier, l'interprète d'Alex Dupre dans Les Frères Scott annonçait sa troisième grossesse sur son compte Instagram : "On vous a caché un autre secret, mais je suis enceinte ! Plus que bénie et reconnaissante pour ce bébé. Je ne pensais plus revoir le mot 'enceinte' sur un test de grossesse", s'était alors émue la mère de famille. Depuis, Jana Kramer a partagé de nombreuses photos de sa grossesse aux côtés de son fiancé Allan Russel. Mais dans une publication partagée le 15 octobre dernier, l'actrice de 39 ans a reconnu avoir fait face à quelques difficultés. Elle a notamment révélé avoir fait un séjour à l'hôpital après avoir souffert de douleurs intenses au dos : "Pour faire bref, j'ai eu une méchante infection bactérienne qui a atterri dans mes reins", avait-elle alors expliqué. Une complication qui appartient désormais au passé.

Ce mercredi 15 novembre, Jana Kramer a annoncé la bonne nouvelle sur son compte Instagram. La comédienne a en effet accouché de son troisième enfant dont elle a partagé les premiers clichés en noir et blanc. On peut y voir toute la petite famille faire la connaissance du nouveau venu. "Bienvenu dans le monde mon doux Roman James Russel. Bénis au-delà de toute mesure pour ce petit miracle", s'est-elle émue. Celle qui est déjà maman de Jolie et de Jace, issues de sa précédente relation avec le joueur de football américain Mike Caussin, a également révélé que son petit garçon était né ce lundi 13 novembre à 7 h 50 et qu'il pesait à peine 2,7 kg.

Une grossesse qui n'a pas été de tout repos puisque la partenaire d'écran de Sophia Bush avait reconnu avoir eu recours à plusieurs fécondations in vitro ayant mené à cinq fausses couches. Si ces épreuves resteront à jamais gravées en elle, Jana Kramer est bien décidée à commencer un nouveau chapitre.

Marion Cotillard, sur l'attitude de certains hommes au cours de sa carrière

Marion Cotillard semble être une toute différente personne dans le nouveau film de Mona Achache, intitulé Little Girl Blue. Dans ce long métrage hybride, qui mélange le documentaire et la fiction, la réalisatrice convoque ses traumatismes d'enfance, le milieu intellectuel des années 1960-1970, mais surtout sa mère, Carole Achache, qui s'est suicidée en 2016.

En effet, pour mieux comprendre le suicide de sa maternelle, Mona Achache a demandé à l'épouse de Guillaume Canet d'incarner sa mère, cette dernière ayant laissé beaucoup de souvenirs derrière elle. À l’aide de milliers de photos et d'enregistrements, le public replonge dans l'enfance de la réalisatrice française.

"Il s'agit d'un projet inclassable, hybride. J'ai eu accès à de nombreux documents, dont le livre 'Fille de', que Carole Achache avait écrit sur sa mère, des vidéos et des enregistrements de conversations avec des membres de la famille ou des connaissances", a expliqué Marion Cotillard à nos confrères de Sud Ouest, lors d'un entretien publié mardi 14 novembre 2023.

Parmi toutes les reliques qui ont aidé Mona Achache à construire la narration de Little Girl Blue, Marion Cotillard a découvert que Carole Achache avait été victime d'agressions sexuelles de la part de certains hommes qui faisaient partie de son entourage, notamment l'écrivain Jean Genet.

Des découvertes qui n'ont malheureusement pas étonné la comédienne française. Marion Cotillard a commencé sa carrière bien avant que les actrices de cinéma n'élèvent leur voix au moment du mouvement #MeToo, en octobre 2017. Elle a expliqué aux journalistes du quotidien Sud Ouest qu'elle avait également été l'objet d'avances douteuses lors de sa carrière professionnelle : "Il y a beaucoup d'hommes que j'ai dû repousser et remettre en place", a-t-elle avoué.

"Des hommes à qui il a fallu expliquer, et parfois violemment, que je n'étais pas un objet dont on pouvait se servir pour assouvir des fantasmes déviants", a dévoilé la quadragénaire. Au vu des nombreuses accusations de violences sexuelles qui font surface depuis le mouvement social qui a encouragé la prise de parole des femmes, il est nécessaire que les agresseurs comprennent le point de vue des agressés pour que les mœurs changent.

Camille Combal se confie sur son trait de personnalité qui amuse ses proches

Il est l’un des animateurs les plus populaires de TF1. À 41 ans, Camille Combal est aux commandes de certaines des émissions les plus populaires de la première chaîne, comme Mask Singer et Danse avec les stars. Depuis le 9 novembre, il présente également un talk-show baptisé Camille & images, diffusé chaque jeudi en deuxième partie de soirée. Autour de l’animateur, on retrouve une bande de chroniqueurs composée de Dominique Farrugia, Chantal Ladesou, Michèle Bernier, Anne Boissard, Philippine Delaire, Noom Diawara, Ilyes Djadel, Elena, Paul El Kharrat, GuiHome, Alexandre Kominek, Monsieur Poulpe, Nash, Héléna Noguerra, Adil Rami ou encore Arnaud Tsamère.

"J'aimerais avoir quelque chose qui soit une cour de récréation. Je viens de la radio où il y a beaucoup de liberté, de spontanéité et je voudrais essayer de trouver un programme où je puisse retrouver ça. Quelque chose où on puisse arriver comme on est, moi, les invités, les intervenants et pouvoir faire une vraie cour de récré", avait confié Camille Combal à Puremédias.

Mercredi 15 novembre, le journal Libération a consacré un portrait à Camille Combal. À cette occasion, le journal a interrogé les proches de l’animateur. Ces derniers décrivent un homme "très stressé", "angoissé", qui vit constamment avec "la peur de mal faire". "Ce contrôle lui permet aussi de sortir du cadre une fois en tournage", a confié Abdoul, le meilleur ami de Camille Combal. De son côté, le principal intéressé confirme être un "maniaque maladif". Une obsession qui est notamment visible dans sa penderie, où il s’obstine à vouloir ranger ses vêtements en fonction des couleurs : "Ça m'énerve : tout le monde trouve ça trop mignon quand c'est Beckham, alors que moi tout le monde se moque", a expliqué le mari de Marie Treille Stefani. 

Comment Martin Scorsese est devenu la nouvelle star de TikTok

Martin Scorsese continue de conquérir les réseaux sociaux à l’aide de sa fille Francesca. Déjà, en 2019, l’héritière Scorsese avait provoqué son père avec un emballage cadeau Marvel pour Noël – ce qui n’a pas manqué de faire réagir sa communauté, demandeuse d’autres vidéos mettant en scène son illustre paternel.

Lors d’une interview pour GQ, Francesca Scorsese s’est confiée sur les taquineries Marvelesques qu’elle entretient avec son père. Cette dernière prévient qu’elle ne cherche ni à provoquer ni à éveiller les rivalités entre deux teams, prêtes à s’écharper pour savoir qui possède le monopole du cinéma le plus légitime.

"Je ne veux pas blesser ou frustrer les gens. Je soutiens évidemment mon père, mais je me suis élevé moi-même. À l’origine, quand j’étais d’accord avec lui, je n’avais jamais vu un seul film Marvel. C’est pendant le COVID que j’ai fini tous les Marvel, mais ça ne m’a pas fait changer d’avis – je dirais que seulement quelques-uns d’entre eux sont bien."

"Les gens me disent de lui offrir un gâteau Marvel, je leur répond qu’il me tuerait !", dit-elle en plaisantant.

Rappelez-vous, en octobre 2019 lors de la promo pour The Irishman le réalisateur avait confié à Empire ne pas considérer les films Marvels comme faisant partie du cinéma.

"Je ne les regarde pas. J’ai essayé, vous savez ? Ce n’est pas du cinéma", affirmait Martin Scorsese à l’époque.

Cette activité sur les réseaux sociaux n'est pas sans risque. Une récente vidéo postée sur le TikTok de sa fille a fait réagir Joe Russo, co-réalisateur d’Avengers 3 et 4, qui n’a pas hésité à parodier Martin Scorsese.

Francesca assure à GQ qu'elle n'a pas regardé la réponse de Joe Russo. La jeune influenceuse continue en tout cas de mettre en avant son père sur son compte TikTok, lui faisant récemment participer au challenge "movie vs movie", un mini-tournoi où il faut choisir entre des films en hochant la tête d'un côté ou de l'autre. L'occasion de découvrir que Scorsese préfère Birdman à Once Upon a Time in Hollywood et Vice-Versa à La Reine des Neiges. 

Le réalisateur devient la muse de sa fille qui, elle, s’amuse à le voir jouer le jeu de ces "trends" dans des vidéos qui deviennent facilement virales (celles avec son père dépassent généralement les 2 millions de vues sur son compte). Dans la même mouvance, le réalisateur a récemment créé un compte Letterboxd proposant des listes de films destinées à guider la filmographie des amateurs du 7e art.

Bande-annonce de Madame Web, avec Dakota Johnson

Le 22 novembre, Tahar Rahim sera aux côtés de Joaquin Phoenix dans le Napoléon de Ridley Scott. Puis sa carrière américaine se poursuivra… chez Marvel.

Dans Madame Web, nouvel opus de l'univers dans lequel se trouvent déjà Venom et Morbius, où l'acteur français porte une tenue de Spider-Man et joue les méchants face à la super-héroïne jouée par Dakota Johnson.

Réalisé par S.J. Clarkson (Jessica Jones), le film sortira dans nos salles le 14 février. Et il mettra en scène plusieurs super-héroïnes qui évoluent dans l'univers de Spider-Man (qui apparaît ici au détour d'un plan ?) dans les comic books. Dont Madame Web (Dakota Johnson), dotée de pouvoirs de divination.

Comme la bande-annonce nous le montre, en les présentant notamment en costume, sont aussi prévues Julia Carpenter (Sydney Sweeney) et Mattie Franklin (Celeste O'Connor), amenées à devenir deux versions de Spider-Woman.

Orange mécanique : le roman qui a inspiré le film culte de Stanley Kubrick décrypté dans un documentaire sur Arte

Composé dans une langue inventée, le "nasdat", un anglais argotique hybridé de mots russes, L'orange mécanique, écrit par Anthony Burgess, a provoqué une double onde de choc. La première, à sa parution, en 1962. Puis en 1971, lors de son adaptation au cinéma par Stanley Kubrick.

Accusé de faire l'apologie de la violence, en écho à des actes criminels qui s’étaient revendiqués de son œuvre, l’écrivain britannique, profondément blessé, expose alors dans un manuscrit autobiographique rédigé en 1972-1973, The Clockwork Condition ("La condition mécanique"), son inquiétude sur le monde en train d'advenir.

Il y présente la vision humaniste qui lui a inspiré cet univers dystopique où la violence nihiliste d'une jeunesse sans espoir se fracasse sur un pouvoir décidé à contrôler les êtres par le conditionnement, en usant de technologies toutes-puissantes.

Jamais publié, ce manuscrit ne fut découvert qu'après son décès, en 1993. C'est sur cette trame passionnante que revient l'excellent documentaire diffusé sur Arte ce 15 novembre à 22h20 : Orange mécanique, les rouages de la violence.

Si Burgess accepta de vendre les droits de son roman à Stanley Kubrick et Warner en 1966, le film ne sortira donc qu'en 1971. Frappé de censure dans plusieurs pays (dont certains n'ont levé l'interdiction qu'en 2000 comme en Italie), le film fut exploité pendant deux ans en Grande-Bretagne avant d'être retiré des salles à la demande express de Kubrick (et ne ressortira là-bas qu'à sa mort).

Si Kubrick a façonné une version toute personnelle du personnage principal, Alex, alors que dans le roman il s'agit d'un adolescent de 15 ans, le cinéaste comme l'écrivain ont su capter avec une acuité effrayante et déjà très avant-gardiste la violence qui gangrène notre société.

"L'un des problèmes sociaux les plus déroutants de nos jours est "comment maintenir l'autorité sans être répressif ?" Il y a ce sentiment grandissant parmi les jeunes, que la politique et les moyens légaux pour faire évoluer la société sont trop lents et sûrement inutiles. D'un autre côté, l'autorité se sent menacée par le terrorisme et ce sentiment croissant d'anarchisme" expliquait alors Kubrick.

Ajoutant : la question est : "comment trouver, si c'est encore possible, un équilibre ?" La réponse n'est pas dans la vision optimiste très utopique visant à détruire l'autorité pour en tirer du bien. Et ce n'est pas non plus en disant que l'autorité doit s'imposer par la force. C'est un dilemme".

Burgess acceptera de s'associer à la promotion du film, mais sera blessé par les attaques incessantes sur son oeuvre -désormais portée à l'écran. "Depuis la sortie du film, on m'associe à sa violence. Si on violait des nonnes, les journalistes m'appelaient pour savoir ce que j'en pensais et si je ne me sentais pas responsable. On m'a étiqueté expert dans la violence, ce que je ne suis pas" commentait l'auteur dans une interview télévisée dont un extrait est diffusé dans le documentaire.

"Nous devenons indifférents lorsque les médias nous abreuvent, jour après jour, de reportages et d'images d'une réalité violente" expliquait Burgess, qui décrit aussi dans son roman, à travers le fameux traitement Ludovico que subit Alex, les techniques coercitives menées par les gouvernements pour "guérir" toutes sortes d'habitudes anti-sociales : l'alcoolisme, la toxicomanie, ou encore l'homosexualité. Ce sont les fameuses et infâmantes thérapies de conversion.

In fine, la question du libre arbitre est centrale chez Burgess et dans son oeuvre. "L'idée que notre capacité puisse être limitée par une force extérieure me terrifie" écrivait-il dans The Clockwork Condition. "Je crains que l'Etat ne soit prêt à s'emparer de nos cerveaux et à faire de nous de bons petits citoyens privés de libre arbitre. Autrement dit, des oranges mécaniques". Plus de 50 ans plus tard, cette interrogation reste, à l'ère de surveillance des masses, plus que jamais d'une brûlante actualité.

"Orange mécanique, les rouages de la violence", diffusé ce mercredi 15 novembre sur Arte à 22h20. Egalement disponible sur arte.tv jusqu'au 12 mai 2024.

Ted est de retour ! Seth MacFarlane dévoile la première photo de la série

750 millions de dollars dans le monde en deux films. Ted et Ted 2 ont été d'immenses cartons et dix ans plus tard, on va retrouver l'ours en peluche crade et vulgaire.

Seth MacFarlane vient de dévoiler une photo de la prochaine série préquelle, attendue l'année prochaine sur la plateforme Peacock, et qui racontera l'enfance de John Bennett (Mark Wahlberg dans les films) avec son ami la peluche qui parle.

"Une image de @Framestore Melbourne, qui s'est surpassé avec son travail VFX exquis sur Ted. Beaucoup de gratitude envers nos amis australiens !"

Seth MacFarlane sera de retour pour doubler Ted, tandis que Alanna Ubach, Giorgia Whigham Max Burkholder (Parenthood) et Scott Grimes complèteront le casting.

Avant que les flammes ne s'éteignent : Camélia Jordana face à la justice et aux violences policières

En 2022, Nos frangins et la série consacrée à Malik Oussékine revenaient sur le meurtre de cet étudiant commis le 5 octobre 1986, en marge d'une manifestation. Aujourd'hui, le sujet des violences policières est au coeur d'Avant que les flammes ne s'éteignent, sorti ce mercredi 15 novembre dans nos salles.

Co-scénariste sur la saison 2 d'Hippocrate, Mehdi Fikri signe ici son premier long métrage. Si le sujet est actuel, cet ancien journaliste ne s'inspire pas d'une histoire vraie en particulier : "J’ai fait le choix de mettre en scène une famille fictive pour aller au fond des choses et parler des aspects sombres de mes personnages, sans crainte de heurter personne", dit-il dans le dossier de presse.

Une famille dont les membres sont notamment incarnés par Camélia Jordana et Sofiane 'Fianso' Zermani, confrontés à la mort de leur frère Karim (Larry), attribuée à une crise d'épilepsie survenue pendant une interpellation policière. Malika, le personnage principal, se lance alors dans une quête judiciaire pour que les responsables soient jugés. Quitte à ce que son combat ait des conséquences sur son entourage.

Passé par le dernier Festival de Toronto, Avant que les flammes ne s'éteignent est également porté par Sofian Khammes, Louise Coldefy, Samir Guesmi ou encore Makita Samba, l'une des révélations des Olympiades de Jacques Audiard.