13 mai 2022

Elizabeth Olsen demande du respect pour les gens qui travaillent sur les films Marvel

Elizabeth Olsen - la Sorcière Rouge du MCU - est actuellement à l’affiche de Doctor Strange in the Multiverse of Madness. Star de la série WandaVision, elle explique à The Indépendant qu’elle ne pensait pas qu’autant de projets Marvel s’ouvriraient à elle : « J’avais signé pour seulement 2 films, donc c’est toujours une surprise quand on m’appelle ! Je me suis sentie tellement chanceuse  quand ils m’ont proposé de faire WandaVision ! […] Mais c’était également beaucoup de pression car il s’agit de la première série du MCU. Et c’est pareil pour la promo de Doctor Strange, mais pour un film. »

Pression qui se justifie par les nombreuses critiques dont les films Marvel (et de super-héros en général) font l’objet. En particulier celles qui partagent l’avis de Martin Scorsese : « Ce n’est pas du cinéma ». Pour l’actrice, c’est un manque de respect envers les équipes techniques : « Je ne dis pas que nous faisons des films d’auteur, mais ce genre de critiques nuit à notre équipe, et cela me dérange. On compte des décorateurs, des costumiers, des caméramans parmi les plus incroyables et cela revient à dévaloriser leur travail. » Elle explique encore : « D’un point de vue de comédienne, je comprends, ce n’est pas du tout le même genre de performance. Mais je ne crois pas que salir la réputation de Marvel soit respectueux pour les centaines de personnes talentueuses qui font partie de l’équipe technique. Et c’est pour cela que ça me rend irritable. »

Toujours dans les salles de cinéma, le deuxième opus de Doctor Strange, réalisé par Sam Raimi, repousse les limites du Multiverse encore plus loin. On y découvre d’anciens alliés, mais aussi de nouveaux, à travers les réalités hallucinantes et dangereuses du multivers pour affronter un adversaire mystérieux. Aux côtés de Lizzie Olsen, on retrouve Benedict Cumberbatch (Sherlock), Benedict Wong (Spider-Man : No Way Home) et Xochitl Gomez (Les Baby-Sitters), ainsi que quelques surprises…

A voir sur Disney+ du 13 au 19 mai

Film Original Disney+

Vendredi 13 mai :

Sneakerella

Séries Originales Star

Mercredi 18 mai :

Life & Beth – saison 1

The Great North – saison 2, épisode 13

Jeudi 19 mai :

Les Kardashian – saison 1, épisode 6

Ajouts au catalogue

Vendredi 13 mai :

L’incroyable Hulk

Belle Belle Belle

Ce soir je vais tuer l’assassin de mon fils

De feu et de glace

Mercredi 18 mai :

Je te promets – saison 2

Anna – saison 1

Grand Hôtel– saison 1

Grown-ish – saison 4

T.O.T.S. – saison 2

Amour et autres délices – saison 1

L’Egypte vue du ciel

Nouveautés Prime Video du 13 au 19 mai

Vendredi 13 mai :

Vive la France

Lizzo’s Watch Out For The Big Grrrls - saison 1

Lundi 16 mai :

Mademoiselle

Netflix annule la série française Drôle

Pourtant très attendue par la planète sériephile, la nouvelle création de Fanny Herrero (Dix pour cent) a été annulée par Netflix au terme de sa première saison ; intitulée Drôle, la série nous plongeait dans la vie de jeunes humoristes français, sur la scène stand-up parisienne.

Une décision surprenante, notamment quand on connaît le succès rencontré par Dix pour cent à l’international, avec des remake d’ores et déjà commandés en Angleterre, en Italie ou encore en Inde. Dévoilée par Netflix le 18 mars dernier, Drôle avait été accueillie par des critiques plutôt élogieuses (note de 4 sur 5 sur neuf critiques recensées).

Cette annulation intervient quelques semaines après l’annonce d’un important plan de redressement mis en place par Netflix, suite à la perte de 200 000 abonnés (une première dans l’Histoire de la plateforme).

12 mai 2022

Selma Blair révèle dans son autobiographie avoir été violée « plusieurs fois »

Selma Blair dévoile dans son autobiographie Mean Baby comment elle a été abusée par plusieurs hommes au cours de sa vie, à commencer par le doyen de l’école privée dans laquelle elle faisait ses études, adolescente.

« Nous nous sommes enlacés. C’était trop long, trop calme et trop tranquille. Sa main est allée dans le bas de mon dos, traçant l’espace juste au-dessus de mon coccyx. Ses lèvres étaient sur ma bouche. J’ai pensé "S’il te plaît. S’il te plaît, ne va pas sous mon pantalon, mon pantalon kaki Ralph Lauren approuvé par le code vestimentaire de l’école, dans lequel j’avais soigneusement rentré une chemise à carreaux. Tu es un adulte et je t’aime ; s’il te plaît, ne mets pas ta main dans mon pantalon". Mais il l’a fait. C’était une chose simple. Il ne m’a pas violée. Il ne m’a pas menacée. Mais il m’a brisée. Rien ne s’est jamais reproduit, mais je ne me suis jamais sentie en sécurité », écrit-elle dans l’ouvrage.

Mean Baby révèle également d’autres épisodes douloureux pour la star, notamment son addiction passée à l’alcool. Selma Blair explique avoir été violée à plusieurs reprises alors qu’elle était sous l’emprise de la boisson.

« Je ne sais pas si les deux m’ont violée. L’un d’eux l’a certainement fait », écrit-elle, relatant un incident en particulier, à l’université, après une fête très arrosée. « Je me suis faite toute petite et silencieuse et j’ai attendu que ça se termine. J’aimerais pouvoir dire que ce qui m’est arrivé cette nuit-là était une anomalie, mais ce n’est pas le cas. J’ai été violée, plusieurs fois, parce que j’étais trop ivre pour dire les mots "S’il vous plaît. Arrêtez". Seule cette fois-là a été violente. Je suis sortie de chaque événement calme mais honteuse », explique la star de Hellboy.

Selma Blair, qui a révélé souffrir de sclérose en plaques, a décidé de concentrer toute son énergie sur son fils Arthur. « Je me sens beaucoup plus sûre de moi dans la vie. Tant que mon fils va bien, que je ne suis pas condamnée à mort ou que je ne suis pas en danger immédiat, je peux probablement faire face à tout ce que je veux », ajoute-t-elle dans son livre.

Mean Baby doit sortir le 16 mai prochain.

Diam's : son documentaire Salam sortira au cinéma après le Festival de Cannes

Dans l'émission Boxoffice Pro du jeudi 12 mai, le Président de Pan Distribution Philippe Godeau a annoncé que Salam, le documentaire de Diam's, Houda Benyamina (Divines) et Anne Cissé, sortirait au cinéma le 1er juillet.

Le long-métrage, qui sera présenté à Cannes en séance spéciale, revient sur le parcours de l'interprète de "La boulette". Après 10 ans de silence, Mélanie Diam's se confie pour la première fois face caméra sur la gloire, la psychiatrie, la quête de sens et sa conversion à l’Islam. Elle nous entraîne sur les traces de Diam's et révèle dans ce récit intime et pudique les secrets de son histoire.

Salam montre ainsi les difficultés d’exister dans le regard des autres, du public, et aborde la problématique de la santé mentale chez une grande artiste française et le choix délicat de changer de vie.

Produit par Brut, le film sera diffusé sur la plateforme dès la rentrée, mais Pan Distribution le diffusera en salles le 1er juillet dans le cadre du décret sur les visas temporaires. Ce dernier rend possible la programmation d’une œuvre sur 500 séances maximum pour une durée de deux jours d’une même semaine cinématographique.

C'est ce que Pathé a fait pour CODA, Oscar du meilleur film. Diffusé sur Apple+ depuis le mois d'août, le long-métrage a pu sortir au cinéma pour une durée limitée les 23 et 24 avril derniers.

Philippe Godeau précise au micro de nos confrères de Boxoffice Pro que "ces séances auront lieu avant les vacances et avant la Fête du cinéma, sur une journée". Que les fans notent donc bien la date du 1er juillet dans leurs agendas ! 

Désordres : Florence Foresti raconte sa "vraie-fausse vie" dans une nouvelle série Canal+

Après Blanche Gardin, qui avait proposé il y a quelques mois la série La meilleure version de moi-même, dont elle était la créatrice et l'actrice principale, c'est au tour de la comédienne et humoriste Florence Foresti de raconter sa "vraie-fausse vie" dans une Création Originale Canal+.

La chaîne a annoncé aujourd'hui que Désordres, écrite, réalisée, et portée par la star d'Hollywoo et de Barbecue, arriverait à l'antenne à la rentrée 2022. Dévoilant au passage les premières informations sur l'histoire et le casting de cette nouvelle fiction événement qui n'est autre que la première série créée par Florence Foresti.

Désordres, c'est l'histoire de Florence Foresti qui, lorsqu'elle n'est pas sur scène, est une femme comme les autres. En pire. Personnalité publique, elle est aussi une mère en garde alternée, une célibataire à la dérive, une artiste en quête d’inspiration, et une angoissée chronique.

Cette série composée de 8 épisodes de 30 minutes chacun, qui a été tourné l'automne dernier en région parisienne, nous invite à entrer dans le quotidien de Florence Foresti, une semaine sur deux, quand elle n’a pas sa fille à charge, pendant la création de son spectacle Épilogue, en 2017.

Un quotidien à l’image de sa vie duelle, où le routinier côtoie le glamour, le rire flirte avec le grave, et la parodie s’invite dans le réel. Bref, "un beau bordel", conclut le synopsis révélé par Canal+.

Produite par Iconoclast Films, Désordres mettra également en scène Baptiste Lecaplain et Audrey Lamy aux côtés de Florence Foresti, mais aussi Béatrice Facquer, Laëtitia Vercken, Anouk Féral, Clément Bresson, Eric Bougnon, Lucy Ordenacion, et Luc Antoni.

La rentrée 2022 sera donc décidément chargée pour Florence Foresti puisque l'humoriste remontera sur scène à partir du 28 septembre au théâtre Marigny avec un nouveau spectacle intitulé Boys Boys Boys. Avant de se lancer dans une grande tournée à travers la France dès janvier 2023.

La série SurrealEstate reviendra pour une saison 2


C'est la vie des séries : chaque année, de nombreuses fictions sont annulées par les plateformes de streaming ou les chaînes de télévision, faute d'audience. Au grand désespoir des fans qui se sont investis dans les aventures de leurs héros préférés.

Il arrive cependant parfois que des séries soient sauvées et reprises par un autre diffuseur, à l'image de Lucifer qui avait été stoppée par Fox au terme de sa saison 3 en 2018 avant d'avoir droit à une résurrection surprise du côté de Netflix peu de temps après pour trois saisons supplémentaires.

Un retournement de situation au sein d'une même chaîne est plus rare, mais pas impossible. Récemment, NBC a fait revenir à l'antenne New York Police Judiciaire pour une saison 21... onze ans après son arrêt. Et aujourd'hui, c'est au tour de Syfy de revenir sur sa décision concernant l'une des ses plus récentes séries, encore inédite en France.

Lancé le 16 juillet 2021 sur CTV Sci-Fi Channel au Canada et sur Syfy aux États-Unis, le drama fantastique SurrealEstate avait été annulé au terme de sa première saison de 10 épisodes selon le créateur George R. Olson, qui avait annoncé en octobre dernier que le programme n'aurait pas de suite.

Mais selon TVLine, Syfy a finalement changé d'avis et a décidé de renouveler la série pour une saison 2, qui arrivera à l'antenne en 2023.

Portée par Tim Rozon (Wynonna Earp) et Sarah Levy (Schitt's Creek), SurrealEstate raconte les aventures de l'agent immobilier Luke Roman et de son équipe d’experts qui s’occupent des biens que personne d’autre ne veut ou peut gérer : des maisons hantées qui font littéralement peur aux acheteurs potentiels.

Tout en luttant contre leurs propres démons, ils "réparent" les objets qui bougent durant la nuit et multiplient les efforts pour apaiser les esprits ayant pris possession des lieux et parvenir à vendre les propriétés en question.

Si ce renouvellement inattendu est une bonne surprise, reste à voir si tous les comédiens seront disponibles pour reprendre leurs rôles dans cette seconde salve d'épisodes.

SurrealEstate rejoint ainsi Chucky au rang des séries Syfy assurées de revenir prochainement pour une saison 2. Syfy qui proposera également dans les mois à venir plusieurs nouveautés dont The Ark, par le scénariste d'Independence Day, Reginald The Vampire, et le téléfilm Bring It On : Cheer or Die, qui poursuit la franchise American Girls de manière horrifique.

Bande-annonce de The Duke

Si vous êtes fans de faits divers improbables et des longs métrages qui en sont inspirés, alors la comédie dramatique The Duke, en salles aujourd'hui, devrait vous convenir. Car ce long métrage, aussi drôle qu'émouvant, revient sur une histoire dont on a peine à croire qu'elle s'est vraiment déroulée.

The Duke raconte ainsi la rocambolesque aventure de Kempton Bunton, chauffeur de bus sexagénaire à la retraite (chauffeur de taxi dans le film) qui, en 1961, déroba à la National Gallery de Londres le portrait du Duc de Wellington peint par Goya. Après ce vol de très grande ampleur, le Britannique envoya des notes de rançon, menaçant de ne rendre le tableau qu’à condition que le gouvernement rende l’accès à la télévision gratuit pour les personnes âgées.

Inoffensif mais excentrique retraité, Kempton Bunton, sorte de Robin des Bois des temps modernes, va alors se retrouver avec toutes les polices britanniques aux trousses. Car imaginez : à l'époque, personne n'avait dérobé un seul objet de la National Gallery depuis sa création en 1824. Et personne n'en a d'ailleurs volé un depuis cet illustre larcin.

C’est Christopher Bunton, le petit-fils de Kempton, qui a contacté la productrice Nicky Bentham pour lui partager l’histoire de son grand-père et lui faire part de son souhait de la porter à l'écran. "Malgré les échecs constants que la vie lui a infligés, Kempton était un éternel optimiste et un activiste. Partout, nous avons besoin de gens comme lui, qui mettent toujours des bâtons dans les roues des autorités et remettent en question tout ce qu’on leur ordonne d’accepter", explique le regretté réalisateur Roger Michell, à qui l'on doit notamment Coup de foudre à Notting Hill.

"Toute cette histoire porte un message puissant magnifiquement transmis par les scénaristes", ajoute Jim Broadbent, qui incarne avec talent ce personnage haut en couleurs disparu en 1976. "Kempton a eu le courage de risquer sa peau pour le bien des autres, car c’était dans sa nature de prendre soin de son prochain. C’est un personnage complexe et totalement ambivalent. Il est intègre, mais légèrement bête. Il a toujours de bonnes intentions mais il se trompe aussi !"

Grand défenseur des plus faibles et des plus vulnérables, Kempton Bunton, qui se préoccupait en particulier du sort des personnes âgées, a fait de la prison à deux reprises pour avoir refusé de payer les redevances de la BBC. Et l'issue de son très médiatisé procès après qu'il se soit rendu de lui-même aux autorités ? Pour la connaître, il faudra aller découvrir en salles The Duke, charmante fable so british dont il serait dommage de se priver. 

11 mai 2022

Madonna sort trois NFT pour soutenir des associations caritatives

Madonna se lance à son tour dans les NFT. La chanteuse s’est associée avec l’artiste Beeple (Mike Vinkelmann), connu notamment pour avoir vendu un NFT à 69 millions de dollars l’année dernière, afin de créer trois alter ego numériques. Un « triptyque en NFT » qui, d’après la Material Girl, représente « différentes formes de naissance dans notre monde contemporain ». L’œuvre a mis un an à être créée.

« Lorsque Mike et moi avons décidé de collaborer à ce projet il y a un an, j’étais ravie de pouvoir partager ma vision du monde en tant que mère et artiste avec le point de vue unique de Mike. C’est un voyage extraordinaire que de construire ce projet, d’une idée intellectuelle à une histoire émotionnelle, en donnant naissance à l’art. Je voulais étudier le concept de création, non seulement la façon dont un enfant entre dans le monde par le vagin d’une femme, mais aussi la façon dont un artiste donne naissance à la créativité. Mais surtout, nous voulions profiter de cette occasion pour aider les mères et les enfants qui en ont le plus besoin en ce moment », a révélé la star dans un communiqué, relayé par Billboard. L’œuvre s’intitule Mother of Creation.

Pour répondre à tous les critiques des NFT qui estiment que ce genre de produit virtuel est une arnaque, Madonna a décidé que la vente de cette œuvre se ferait au profit de trois associations caritatives : Voices of Children, qui aide les femmes et les enfants affectés par la guerre en Ukraine ; City of Joy, qui lutte pour défendre les victimes de violences au Congo ; Black Mama’s Bail Out, qui soutient des mères incarcérées en les aidant à payer le montant de leur caution.

La plateforme de cryptomonnaies Moonpay a également annoncé qu’elle verserait 100.000 dollars à chaque association. Les trois œuvres virtuelles seront mises en vente sur SuperRare à partir de ce mercredi.