18 novembre 2024

Denzel Washington renie certains de ses films dans les années 90

Denzel Washington renie-t-il une partie de ses films des années 1990 ? C'est ce que laissent entendre les propos qu'il a tout récemment tenu au journal Times of London (via Deadline), en pleine promotion de Gladiator II.

"Après Malcolm X, j'ai fait quelques vraies daubes. Cherchez-les - je ne donnerai pas les noms. Elles datent toutes des années 1990. Mais j'étais payé. J'avais des responsabilités."

"Grâce à un super agent, ma carrière s'est construite pour faire de l'argent, l'argent est donc rentré et la vie aussi, avec les factures, quatre enfants et une maison..."

Avec beaucoup de frais personnels, Washington a donc dû beaucoup travailler, et pas toujours dans de bons films, selon lui. Et au passage, il livre dans ce même entretien une analyse de la vie et d'à quel point l'argent était moteur dans ses choix de carrière de 1992 à 2000 :

"Dans la vie, vous apprenez, vous gagnez de l'argent et vous le rendez - vous le redonnez. Donc si vous vivez 90 ans, jusqu'à 30 ans vous apprenez, vous gagnez de l'argent entre 30 et 60... voilà, donc à cette période, je gagnais de l'argent."

Denzel Washington a-t-il les mêmes souvenirs des années 90 que les spectateurs de ses films ? Après Malcolm X, on peut le voir dans Beaucoup de bruit pour rien de Kenneth Branagh, L'Affaire Pélican et Philadelphia en 1993, USS Alabama et Le Diable en robe bleue (1995) mais aussi Le Témoin du mal et He Got Game en 1998 ou Hurricane Carter en 1999.

Un coup d'œil aux notes de ses films sur AlloCiné laisse entrevoir que Programmé pour tuer (1995), La Femme du pasteur et A l'épreuve du feu (1996), puis le film d'action Couvre-feu (1998) sont notés moins de 3 sur 5 en moyenne. De premiers indices ou des notes injustement basses ? N'hésitez pas à aller donner aux classiques de Denzel la note que vous jugerez la plus conforme à la réalité.

Par le passé, l'acteur avait déclaré : "Chaque expérience ratée est un pas de plus vers le succès", et en effet, ce qu'il pourrait qualifier d'expériences ratées dans sa riche carrière, l'a finalement conduit à remporter l'Oscar du Meilleur acteur dans Training Day (2002), et quatre nominations dans cette catégorie entre 2013 et 2022. Il avait remporté avant même Malcolm X l'Oscar du Meilleur second rôle dans le western Glory.

Jurassic World : Rebirth revient aux origines

Dans moins de 8 mois, les dinosaures seront de retour sur les écrans dans Jurassic World Rebirth ! Et pour leur toute nouvelle aventure, les géants du Jurassique feront face à Scarlett Johansson, Jonathan Bailey, Mahershala Ali, Rupert Friend, Manuel Garcia-Rulfo, Luna Blaise et David Iacono.

Le magazine Empire a dévoilé une nouvelle photo du long métrage (disponible plus bas) mis en scène par Gareth Edwards, qui va pour la première fois mettre son expertise en matière d'animaux à écailles (on lui doit Godzilla et Monsters), au service de la célèbre saga lancée par Steven Spielberg en 1993.

Écrit par David Koepp, scénariste d'origine de la franchise, Jurassic World Rebirth reviendra aux sources si on en croit les dires du cinéaste au magazine.

"Le film revient à ce que j'aimais dans l'original, avec plusieurs histoires qui s'imbriquent ensemble et des moments d'action stressants et amusants à la fois. En tant que réalisateur, j'ai eu beaucoup d'occasions de m'amuser et de jouer avec le public".

Gareth Edwards ajoute : "L'action se déroule des années après les événements de Jurassic World Dominion. Les dinosaures sont en liberté dans la nature. C'est donc une continuité à la précédente trilogie, tout en entamant un tout nouveau chapitre dans la chronologie de Jurassic".

Notons que les dinosaures préférés des spectateurs devraient bien être présents comme le confirme le réalisateur : "Il y a certains dinosaures qu’il serait criminel de ne pas inclure".

Le cinéaste revient ensuite sur le personnage incarné par Scarlett Johansson et précise : "Elle cherche un sens à sa vie après avoir quitté l’armée, et cette opportunité se présente : après ça, elle n'aura plus jamais besoin de travailler. Mais au cours de ce voyage, elle commence à remettre en question les implications éthiques de ce qu’ils font." L'héroïne de ce film devrait donc se remettre en question au fil de l'histoire.

Pour rappel, dans Rebirth, la comédienne interprète Zora Bennett, une spécialiste des opérations secrètes, à la tête d’une équipe chargée d’une mission ultra confidentielle visant à sécuriser le matériel génétique de trois dinosaures qui sont la clé d’un remède miraculeux qui pourrait bien sauver l’humanité.

Duncan Kincaid (Mahershala Ali), son bras droit, est chargé de guider le paléontologue Henry Loomis (Jonathan Bailey) et le représentant des grandes sociétés pharmaceutiques, Martin Krebs (Rupert Friend). Mais l’expédition croise une famille de civils naufragés, dont l’embarcation a été renversée par des dinosaures aquatiques en maraude. Ils se retrouvent tous bloqués sur une île où ils vont découvrir le secret le plus révoltant qui ait jamais existé, sinistrement caché au monde depuis des décennies.

Tourné l'été dernier entre la Thaïlande, Malte et en studio au Royaume-Uni, Jurassic World Rebirth est annoncé dans nos salles obscures pour le 2 juillet 2025, soit trois ans à un mois prêt, après Le Monde d'après.

Splinter Cell : l''adaptation cinématographique de la célèbre série de jeux vidéo d’Ubisoft est annulée

En 2012, Ubisoft annonçait qu’un film basé sur la franchise "Splinter Cell", inspirée par Tom Clancy, était en préparation avec Tom Hardy dans le rôle du héros, Sam Fisher. Le réalisateur Doug Liman (Edge of Tomorrow, La Mémoire dans la peau) avait ensuite rejoint le projet… mais celui-ci est rapidement tombé dans l’oubli.

Cinq ans plus tard, le producteur Basil Iwanyk déclarait à Collider qu’un scénario existait, bien qu’il soit "encore un peu long". Sept ans plus tard, et après des années sans avancée, le producteur a annoncé au site The Direct l’abandon définitif de cette adaptation cinématographique.

"Ce film aurait été génial… Mais nous n’avons jamais réussi à le finaliser, que ce soit au niveau du scénario ou du budget. Pourtant, il aurait été incroyable. Nous avons travaillé sur des tonnes de versions différentes, mais ça devait être intense et impressionnant. C’est l’un de ces projets qui nous échappent, et c’est vraiment triste."

Il n’y aura donc pas de film basé sur la série de jeux d’infiltration lancée en 2002 par Ubisoft. Tom Clancy, écrivain spécialiste du roman d’espionnage (créateur, entre autres, de la série de romans Jack Ryan, adaptée en films et séries), avait collaboré au scénario du premier jeu pour renforcer le réalisme de l’intrigue. Splinter Cell suit les aventures de Sam Fisher, un agent spécial travaillant pour une organisation gouvernementale secrète appelée Echelon 3. Fisher est un expert en missions d’infiltration à haut risque, opérant aux quatre coins du globe.

Jugé trop complexe à écrire et à financer, le long métrage inspiré des aventures de ce héros vidéoludique ne verra donc jamais le jour. Netflix prépare de son côté Splinter Cell: Deathwatch, une série animée inspirée des jeux.

For All Mankind : ce chef-d'oeuvre est invisible depuis 35 ans en France

S'il diffère naturellement par sa forme des oeuvres fictionnelles, le champ émotionnel ouvert par le documentaire peut être d'une puissance absolument dévastatrice. Parce qu'il aborde des sujets touchant parfois à l'intime, des questions qui nous heurtent profondément et nous interrogent, sur notre rapport au monde, aux autres et au vivant. Et, heureusement, de nous émerveiller aussi, dans ce que l'Homme peut avoir de meilleur en lui. A ce titre, For All Mankind se pose là, aussi rare que précieux.

L'histoire de la conquête spatiale et des missions Apollo a depuis très largement été illustrée sur petit comme grand écran, avec de nombreuses oeuvres solides. Citons, dans une poignée d'exemples, Apollo 13 évidemment; l'excellente série De la Terre à la Lune diffusée à l'époque sur HBO; le récent et formidable Apollo 11, sorti en 2019 et projeté sur écran IMAX.

On peut même inclure les oeuvres évoquant les théories conspirationnistes ou dystopiques comme le très solide Capricorn One de Peter Hyams; le remarquable faux documentaire Opération Lune en 2002, qui revient sur l'idée que l'administration américaine ait voulu se couvrir d'un éventuel échec de la mission Apollo 11 en réalisant en studio, avec l'aide de Stanley Kubrick, des images des premiers pas de l'Homme sur la Lune. Plus récemment, Apple a diffusé l'excellente série For All Mankind, qui évoque l'idée que la course spatiale n'a jamais pris fin et reste largement devancée par les russes.

Si le documentaire For All Mankind dont on parle possède le même titre, il ne joue pas du tout dans le même registre. Sans doute le plus extraordinaire documentaire jamais consacré au sujet, cité à l'Oscar en 1990, For All Mankind est le fruit d'un phénoménal travail de sélection au sein des archives de la NASA réalisé par Al Reinert, considéré à juste titre comme un des meilleurs spécialistes sur le sujet. Il a notamment travaillé sur la série De la Terre à la Lune.

For All Mankind retrace l'histoire des missions "Apollo", uniquement à partir d'images d'archives de la NASA. Mais il y a plus : la force des images réside notamment en ce que chaque équipe des missions Apollo embarquait une petite caméra pour se filmer et filmer leurs découvertes, quand ce n'étaient pas les astronautes eux-mêmes qui embarquaient leurs propres caméras. Le résultat ? Des plans pour certains tellement beaux qu'ils en deviennent irréels. Ou presque.

Au lieu de se concentrer seulement sur les faits, Al Reinert a cherché à évoquer les aspects humains de cette extraordinaire odyssée. Racontée par les astronautes eux-mêmes qui se sont succédés au gré des missions et rapportèrent leurs petits films, ils se souviennent et commentent les images, qu'ils ont eu le privilège de voir, de vivre, au nom de l'Humanité : For All Mankind.

Dégraissé jusqu'à l'os au prix d'une sélection absolument drastique des images d'archives (il dure à peine 1h19), porté par une musique élégiaque et hypnotique spécialement composée par Brian Eno qui a depuis fait le tour du monde (et réutilisée à maintes reprises, notamment par Steven Soderbergh dans Traffic), For All Mankind se paye même le luxe de proposer des séquences pas loin d'être bouleversantes.

Pas étonnant que Christopher Nolan place très haut dans son panthéon personnel ce documentaire d'Al Reinert, dont on se doute qu'il a dû le revoir avant de mettre en boîte Interstellar. Si vous n'avez qu'un seul documentaire à voir sur ce sujet, For All Mankind s'impose comme une évidence.

Le (grand) malheur, c'est qu'aucun éditeur français n'a encore jugé bon de sortir cette merveille absolue en DVD ou même en Blu-ray, contraignant les plus anglophiles à se tourner vers l'import. Ca fait quand même beaucoup de peine.

Charles Dumont est mort à l’âge de 95 ans

L’auteur-compositeur et interprète Charles Dumont, compositeur de Non, je ne regrette rien, d’Edith Piaf, est mort dans la nuit de dimanche 17 à lundi 18 novembre à Paris à 95 ans, des suites d’une longue maladie, a annoncé sa compagne à l’Agence France-Presse (AFP). Sur X, la ministre de la culture, Rachida Dati, a salué la mémoire d’« un monstre sacré de la chanson française ».

La carrière de ce trompettiste de formation avait pris un virage majeur quand il avait convaincu la star Edith Piaf d’interpréter l’une de ses compositions. C’est en 1956 que sortent du piano de Charles Dumont, alors musicien méconnu de 27 ans, les notes de ce qui deviendra une des chansons françaises les plus connues au monde. Mais la chanteuse n’est pas convaincue. « Piaf m’avait déjà viré trois fois, je ne voulais plus la revoir », racontait Charles Dumont à l’AFP en 2018. « Mais Michel Vaucaire, qui a écrit les paroles, m’a convaincu de retenter le coup en 1960. Quand elle a appris que je serais là, elle a hurlé, exigeant que le rendez-vous soit annulé. »

« On s’est quand même présentés à son domicile. Elle nous a laissés entrer. J’ai joué le morceau au piano. Et… on ne s’est plus quittés », relatait-il. « A ce moment-là, elle était au plus mal et ce titre lui a apporté la résurrection. » Non, je ne regrette rien est, depuis, devenu un inoubliable standard de la Môme, connu dans le monde entier.

Débute alors une collaboration de plusieurs années, jusqu’à la mort de Piaf, en 1963, qui donnera naissance à plus de 30 morceaux, dont Mon dieu, Les Flonflons du bal ou Les Amants. « Ma mère m’a mis au monde mais Edith Piaf m’a mis dans le monde », disait le chanteur et pianiste né à Cahors le 26 mars 1929. « Sans elle, je n’aurais jamais fait tout ce que j’ai fait, ni comme compositeur ni comme chanteur », assurait-il lors d’un entretien à l’AFP en 2015.

Tout au long de ses quelque soixante ans de carrière, Charles Dumont a également collaboré avec Dalida ou Tino Rossi et s’était reconverti en « crooner » à la fin des années 1960, délaissant ses chansons contestataires. Il avait alors enchaîné les albums dans lesquels le thème de l’amour était central. Le disque Une femme lui avait valu en 1973 le prix de l’Académie Charles-Cros.

Charles Dumont a aussi travaillé avec Barbra Streisand. « C’est le destin qui m’a donné un coup de pied aux fesses. Un éditeur m’a conseillé de lui proposer une de mes compositions. Je suis allé à New York. Je l’ai jouée sur un piano dans sa loge de Broadway (…). Elle m’a dit : “Ça me plaît beaucoup. Je ferai le disque. Au revoir, jeune homme.” » Le Mur, chanté en français sur la face A, et sa version anglaise titrée I’ve Been Here, sur la face B, figurent sur le 8e album de la star, Je m’appelle Barbra, paru en 1966.

Sa dernière apparition sur scène remonte à 2019 au Théâtre de la tour Eiffel. « Quand vous revenez devant un public, qui vient vous voir comme il venait il y a vingt, trente ou quarante ans et vous fait le même accueil, alors il vous redonne vos 20 ans », disait-il.

15 novembre 2024

Eddy Mitchell cash sur le comportement de Johnny Hallyday

Sept ans après la mort de Johnny Hallyday, la douleur de cette disparition est toujours aussi vive dans le cœur d’Eddy Mitchell. "Il n’y a pas une journée qui passe sans qu’il n'y ait une anecdote qui revienne ou une pensée pour lui…", avait confié l’interprète de Couleur menthe à l’eau en novembre 2023 au micro de l’émission RTL Matin. Pour le chanteur, Johnny Hallyday était bien plus qu’un ami. Interrogé dans Quotidien, il l’avait qualifié de "demi-frère". Mais malgré les liens forts qui les unissaient, Eddy Mitchell n’a jamais hésité à critiquer le Taulier. Il y a peu, dans une interview accordée à Télé 7 Jours, il s’en prenait à la carrière d’acteur de l’interprète d’Allumer le feu. "Il n’a sans doute pas fait les bons choix. C’est important de bien lire un scénario et de discuter avec le metteur en scène avant de dire oui. Il faut savoir faire le tri dans les projets que l’on vous propose", avait-il commenté.

Dans son autobiographie parue le 7 novembre, Eddy Mitchell évoque évidemment Johnny Hallyday. Là encore, malgré toute l’affection qu’il lui porte, il ne mâche pas ses mots. "Je lui en veux de s'être cru invulnérable, et de nous l'avoir fait croire. Il croyait passer à travers tout. Il voulait rester le plus fort, comme un demi-dieu. Et nous aussi, on le voulait pour lui", a-t-il confié dans un extrait repéré par Télé-Loisirs.

Il s’est ensuite livré sur les excès du rockeur. "J'en ai partagé quelques-uns, et j'ai fini par me calmer, par la force des choses. J'ai été plus sage. Il y a une lassitude à mener cette vie, des avertissements, le corps et les toubibs qui vous alertent. Lui, il ne s'est jamais calmé, il n'a jamais levé le pied, et il a en partie bousillé sa vie. Mais il représente une partie de la mienne", a-t-il affirmé. Des propos francs qui témoignent toutefois de son affection pour Johnny Hallyday.

Manu Lévy reconnu coupable : l’animateur condamné pour harcèlement moral

La justice reconnaît le harcèlement moral exercé par Manu Levy sur trois de ses animateurs, Isabelle Giami, Valentin Chevalier et Aude Fraineau. En effet, l’animateur de NRJ vient de se faire condamner aux prud’hommes à verser 300.000 euros aux plaignants qui avaient quitté la radio en juin 2023 en un management jugé toxique de l’animateur.

De plus, comme le rapporte l’AFP, "Isabelle Giami, Valentin Chevalier et Aude Fraineau, qui réclamaient la requalification de leurs contrats en CDI ou, pour la troisième, des rappels d'heures supplémentaires, doivent également être indemnisés au titre du préjudice moral".

"C'est une grande victoire assez nette et sévère pour NRJ. Clairement, le harcèlement moral a été reconnu", a-t-il estimé leur avocat Me Pierre Vignal, ravi de la décision de justice. En ce qui concerne la station, celle-ci, malgré la sollicitation de l’AFP, n’a pas souhaité réagir dans l’immédiat. 

Si les trois premiers plaignants ont obtenu gain de cause, Jean-Marc Morandini rappelle que l’affaire en comptait cinq au total mais quatre ont obtenu gain de cause. Cyrille Laporte, membre du comité social et économique (CSE) du groupe NRJ, contestait un avertissement reçu après une tentative de licenciement. Celui-ci doit se faire indemniser à hauteur de 8.000 euros environ.

La cinquième plaignante de Manu Levy, Pauline Goireau, estimait, elle, que sa période d'essai dans la filiale de podcasts de NRJ avait pris fin "au fait que son concubin, Valentin Chevalier, était 'lanceur d’alerte’", rappellent nos confrères. Celle-ci a en revanche été déboutée de ses demandes.

"Tous ont vu leur santé atteinte et ont subi un préjudice de carrière", expliquait Me Vignal à l’AFP en avril. L’avocat assurait que le harcèlement subi aurait été "le déterminant" de leur départ de la station de radio en 2023. 

En ce qui concerne Manu Levy, celui-ci "réfute catégoriquement tous les faits dont (il est) accablé". "En 13 saisons sur NRJ, je n'ai eu connaissance d'aucune réclamation me concernant. Sur les 10 dernières années, Valentin Chevalier est resté 8 ans, Isabelle Giami 5 ans", se défendait l’animateur en avril auprès de l’AFP.

Bob Sinclar fait des confidences touchantes sur sa relation avec ses enfants

Le DJ Bob Sinclar a toujours été proche de ses enfants. Son fils, Raphaël Le Friant est le premier enfant du DJ, dont il porte le vrai nom de famille. Il est issu de son mariage avec son ex-épouse Ingrid Aleman. Né le 4 août 2000, le jeune homme a grandi à l'abri des regards, mais depuis quelques années, il n'hésite pas à afficher ses looks sur les réseaux sociaux. "Pour l'instant Raphaël travaille avec moi comme community manager à mi-temps", avait confié son père en 2020. De son côté, sa fille Paloma Le Friant, née en 2024 est plus discrète. "Paloma, on verra plus tard, elle grandit, je la protège", avait confié le faiseur de tubes à Purepeople. Comme son frère, la jeune femme n'hésite pas à partager son quotidien à ses 127 000 followers sur Instagram.

Si l'on se fie à son compte Instagram, elle fait partie de l’agence de mannequins Marilyn Agency Paris. La jeune femme apparaît souvent aux côtés de son père, que ce soit lors de vacances familiales ou de certaines apparitions publiques. Le 3 novembre dernier, Bob Sinclar s'était affiché avec ses deux enfants sur le plateau de 20h30 le dimanche sur France 2 à l'occasion de la sortie de son livre, disponible Bob Sinclar et DJ Yellow : nos 30 ans de French Touch.

Christophe le Friant, de son vrai nom, a toujours noué une relation complice avec ses enfants. Un schéma que le DJ n'a jamais connu avec son propre père. "Je sais que ma relation avec mes enfants surprend parfois et ça me rend à la fois heureux et triste : heureux parce que j’ai été élevé par ma maman et que je n’ai pas connu ça", a expliqué le père de Raphaël et Paloma à nos confrères de Gala. Et d'ajouter : "Triste parce que ça devrait être la norme pour tous les papas".

À 55 ans, Bob Sinclar est un père comblé. Dans les colonnes du magazine Crush, le DJ parlait de sa carrière, en expliquant à quel point ses enfants jouaient un rôle important dans son équilibre de vie. "J’ai deux enfants merveilleux, qui sont toute vie (...) C'est difficile de concilier vie de papa et vie pro, mais j’ai vite compris que la qualité du temps est plus importante que la quantité, surtout quand tu n’as pas le choix". Des paroles qui viennent du cœur.

Gil Alma en dit plus sur son célibat sur les tapis rouges

Connu entres autres pour son rôle dans la série Nos Chers Voisins sur TF1, Gil Alma était l'invité du Buzz TV de TV MAG ce vendredi 15 novembre. Le comédien est venu parler de son nouveau projet. Une nouvelle émission intitulée : 25 kilos : 3 jours pour vider son sac, au concept "écolo et fun", diffusée sur France 5 lundi 18 novembre, avec Benoit Joubert.

"25 kilos de cailloux sur le dos, on part avec notre charge de CO2 et plus on avance, il y a un truc qu'il faut savoir c'est qu'a peu près, quand on fait 110 kilomètres en voiture, c'est 25 kilos de CO2. Donc c'est très simple, si on fait nous 110 kilomètres à pieds ou en vélo, on a a économisé 25 kilos donc on peut enlever les 25 kilos. Plus on avance de manière douce et verte, plus on enlève les cailloux." a expliqué Gil Alma. Une idée née avec la production Martange. "Moi je suis arrivé avec un concept qui s'appelait Les derniers coins sauvages de France, je voulais visiter la France dans des coins encore inexplorés, ils m'ont que ça, ça plus ou moins été fait donc on va trouver autre chose. Comme je suis un peu vert, un peu écolo, j'ai un peu de conscience par rapport à notre planète, on a trouvé ce petit truc." a-t-il raconté.

Au cours de l'interview, Gil Alma a également évoqué sa vie amoureuse. Si par le passé, il n'a pas hésité à la partager, il se fait plus discret ces derniers mois.

"Quand j'étais avec mon ex-femme, j'exposais avec plaisir mais comme je suis tout seul là...Tant que je suis pas amoureux, je vais pas emmener quelqu'un à mon bras sur le tapis rouge." a-t-il indiqué. Gil Alma est célibataire depuis 2021.

Le comédien avait annoncé sa séparation d'avec sa femme Aminata et mère de ses deux enfants, sur les réseaux sociaux. Une histoire qui a pris fin après 15 ans d'amour. En décembre 2022, dans les colonnes de Télé Star, Gil Alma était revenu sur cette période de sa vie. Le divorce est "l'une des pures choses qui me soient arrivées." avait-il déclaré. Papa poule, Gil Alma est très proche de ses enfants et passent beaucoup de temps avec eux.

Le thème du concours de Miss France 2025 déçoit les internautes

Le 14 décembre prochain, c’est à l’Arena Futuroscope dans la Vienne que va se dérouler l’élection de Miss France 2025. Un concours placé sous le signe du glamour, qui va être l’occasion pour Eve Gilles de remettre sa couronne. Au total, elles sont 30 Miss régionales à espérer remporter le titre de Miss France 2025. Et certaines jeunes femmes font déjà partie des favorites du concours, comme Sabah Aib, Miss Nord-Pas-de-Calais 2024, qui espère bien ramener le titre dans sa région pour la seconde année consécutive. Un rêve que chérissent également Anne-Sophie Sevrette et William Cerf, tous les deux membres du comité Miss Nord-Pas-de-Calais.

“On repart cette année avec l’espoir de réussir un doublé, comme avec Camille et Iris. Sabah est une pépite, mais on pourrait nous mettre des barrières pour éviter qu’une autre Miss du Nord soit élue…”, a récemment confié le duo auprès de Paris Match. Qui dit Miss France dit forcément Jean-Pierre Foucault, mais aussi glamour, paillettes et robes plus belles les unes que les autres. Pour que la soirée soit inoubliable autant pour les candidates que pour les membres du jury et que pour les téléspectateurs, un thème a longuement été pensé par les responsables du concours. Et il vient d’être révélé à la France entière.

Après “le cinéma des Miss” en 2022 et “la boîte à musique des Miss” en 2023, le thème de l’élection de Miss France 2025 vient d’être révélé sur Instagram. Cette année, les jeunes femmes défileront sous le thème du “grand bal des Miss”. Une annonce loin d’avoir transporté les internautes, qui ont tous un sentiment de déjà-vu. “J’ai l’impression qu’on tourne autour du pot et que c’est toujours dans la même thématique…”, “Pas d’originalité, pour une émission TV ce serait bien une prise de risque”, “Ça serait cool d’évoluer …. Ça tourne en rond c’est dommage, au vu de la production de Miss France qui est mondialement connue…”, “Ca veut tout et rien dire à la fois, c’est vague”, ont déploré plusieurs abonnés sur le réseau social. On ne peut malheureusement pas plaire à tout le monde !