16 mai 2024

David Copperfield accusé de violences sexuelles par seize femmes


Le mouvement #MeToo a fait tomber une nouvelle tête. Déjà accusé publiquement par le passé, le célèbre magicien David Copperfield est au cœur d'un scandale de violences sexuelles, après la publication d'une enquête dans l'édition américaine du Guardian, ce mercredi 15 mai. Le média rapporte la parole de seize femmes qui accusent l'illusionniste, âgé de 67 ans, "d’inconduites sexuelles et de comportements inappropriés". Plus de la moitié des potentielles victimes ont assuré avoir moins de 18 ans au moment des faits, qui se seraient déroulés sur la période allant de 1980 à 2014.

Ces dernières décrivent des situations où David Copperfield aurait profité de son statut pour abuser d'elles, et trois d'entre elles attestent que le prestidigitateur les a droguées avant d'avoir des relations sexuelles. Certaines ont expliqué que le pensionnaire du MGM de Las Vegas aurait promis de favoriser leur carrière dans le mannequinat ou le monde du spectacle. Des faits que l'incriminé a nié par la voix de ses avocats, déclarant que leur client n’avait "jamais agi de manière inappropriée avec qui que ce soit, et encore moins avec un mineur". Ils décrivent un homme "gentil, timide et respectueux", qui a encouragé les femmes à se manifester depuis l’apparition du mouvement #MeToo.

Connu pour avoir fait disparaître la statue de la Liberté, comme pour sa liaison avec la mannequin allemande Claudia Schiffer, David Copperfield figure sur la liste des personnalités liées de près ou de loin au scandale des crimes sexuels sur mineures impliquant Jeffrey Epstein. Selon un témoignage, il aurait réalisé des tours de magie au sein de l’une des résidences du prédateur mort en prison en 2019. Là encore, les avocats du magicien ont nié avec véhémence toute connaissance "des crimes épouvantables d'Epstein".

Anne Parillaud se confie sur l’inceste dont elle a été victime par son père

Dans Je ne serais pas arrivée là, si... (inspiré du livre de la journaliste Annick Cojean, publié chez Grasset), Anne Parillaud se produit sur scène au théâtre Antoine où elle donne vie à des femmes célèbres qui ont affronté et surmonté leurs traumatismes. Parmi ces histoires, elle pourrait sans difficulté jouer son propre rôle, elle qui a vécu un véritable drame étant enfant.

Dans un entretien accordée à Paris Match, c'est avec beaucoup d'émotion qu'Anne Parillaud est revenue sur l'inceste dont elle a été victime de la part de son père. "Je ne me souviens pas de l'âge que j'avais et je suis incapable, encore aujourd'hui, de prononcer ce mot", confie-t-elle à nos confrères. "À présent, le déni se délie, pourtant, je ne l'assume toujours pas. Petit à petit, je réapprends à marcher, à vivre", révèle la star du cinéma. Des membres de sa famille avaient bien "condamn[é] [s]on père" et "essayé de [la] convaincre", en vain. "Je ne les croyais pas", confie-t-elle aujourd'hui, à 64 ans.

"La guérison est très longue à venir : il faut conscientiser, déconditionner, puis assumer et enfin vouloir se soigner", confie l'actrice. Pour trouver la voie de la reconstruction, elle a d'ailleurs trouvé en l'écriture un bon moyen de sortir ses émotions. "J'ai découvert, entre autres, que j'étais atteinte du syndrome de Stockholm. Dans mon cas, aimer son bourreau est logique. Dès lors qu'un de vos parents n'est plus une instance éducatrice, cela crée la confusion dans l'amour qu'il vous porte et dérègle les fondations de votre socle affectif en y mettant toxicité, perversion et sexualité. Ça biaise tout le parcours", ajoute-t-elle.

Malgré son traumatisme, l'ex-compagne d'Alain Delon n'a pas trouvé utile de consulter un professionnel. "Un psy est efficace à condition que l'on s'exprime avec vérité, ce que je ne suis pas sûre de faire puisque je ne me dévoile pas". 

Polska gagne plus de 1000 euros par semaine grâce à TPMP

Auparavant connue uniquement sur les réseaux sociaux, Polska est devenue une personnalité du monde de la télévision en intégrant les équipes de Touche pas à mon poste au mois de novembre 2023. Aux côtés de Jean-Michel Maire, Gille Verdez, Kelly Vedovelli, Geraldine Maillet ou encore Valérie Benaïm, la jeune femme âgée de 24 ans commente régulièrement l'actualité, avec un avis parfois tranché qui ne fait pas toujours l'unanimité.

Et s'il y a une personne avec qui elle s'entend difficilement parmi ses collègues, c'est bien Guillaume Genton. "Je suis exigeant. Je l'adore Polska, mais elle ne fout rien, elle se lève à 15h, elle ne répond pas (...) C'est du gâchis, elle a du talent, une vraie personnalité, mais elle ne bosse pas", a d'ailleurs révélé Guillaume Genton ce mercredi 15 mai. Pourtant, force est de constater que l'influenceuse voit son travail récompensé par un salaire on ne peut plus satisfaisant. Explications.

Invitée dans l'émission C'est Jordan ce mercredi 15 mai, Polska n'a eu aucun mal à révéler le montant de son salaire au sein du programme présenté par Cyril Hanouna. "Je touche 600 euros par émission", a-t-elle confié, elle qui apparaît à la table des chroniqueurs à raison de trois fois par semaine. "C'est pas mal, c'est un beau salaire", a déclaré Jordan de Luxe, visiblement surpris par cette confidence.

"Ça fait 7200 euros par mois. Ne vous inquiétez pas, je suis nul en calcul, mais quand c'est l'argent des autres je sais très bien calculer", a ajouté le présentateur, habitué aux confidences concernant les salaires des personnalités. Un très bon gagne-pain !

Avril Lavigne se moque de la folle théorie selon laquelle elle serait morte en 2003

Il y a des rumeurs qui battent des records d’invraisemblance. Celle qu’a évoquée Avril Lavigne mercredi dans le podcast Call Her Daddy vaut son pesant de cacahuètes.

La star des années 2000 serait tout bonnement décédée depuis 2003. La chanteuse de Sk8ter Boi aurait depuis été remplacée par une doublure répondant au doux nom de Melissa.

La star du pop-punk de 39 ans, loin de s’offusquer de cette mort de son vivant qui lui colle aux bottillons depuis une vingtaine d’années, trouve cela « très drôle ». « D’un côté, tout le monde est genre : “Tu es toujours la même. Tu n’as pas pris une ride." Mais d’un autre côté, il y a une théorie du complot qui dit que je ne suis pas moi », a-t-elle noté.

Selon elle, « ce n’est pas si grave. Cela pourrait être pire, pas vrai ? J’ai l’impression d’avoir une bonne blague à raconter. Je ne le vois pas comme négatif. Il n’y a rien d’effrayant ».

Preuve en est avec Paul McCartney, dont certains supposent également qu’il est mort en novembre 1966 et a depuis été remplacé pas une doublure. Une théorie du complot qui le poursuit depuis la sortie de l’album des Beatles Sgt. Pepper’s et qui n’empêche pas l’artiste, toujours vaillant à 81 ans, de faire salle comble à chacun de ses concerts.

« Évidemment, je suis moi, c’est tellement bête », a tout de même précisé celle qui sort son album
Greatest Hits avant de partir en tournée américaine cet été.

The Palace : le film de Roman Polanski déprogrammé "en catastrophe" à Paris

C'est dans un contexte très particulier qu'arrive The Palace, dernier film en date de Roman Polanski, comme nous l'écrivions la veille de sa sortie. Le verdict d'un des procès de Roman Polanski tombait mardi 14 mai (ce dernier a été relaxé face à la comédienne Charlotte Lewis).

Par ailleurs, le film sort dans un calendrier cinéma particulier, puisque le lancement du 77e Festival de Cannes monopolise toute l'attention.

Le journal Le Parisien révélait il y a quelques jours que le film de Roman Polanski ne sortait que dans 82 salles dans toute la France (versus 520 salles pour J'accuse en 2019), et parmi ces 82 salles, l'une d'entre elle était à Paris.

Finalement, le film a été déprogrammé à Paris après seulement une séance. L'information est rapportée par Le Figaro qui était présent à cette projection au Studio Galande. Le journal résume : "Le directeur du Studio Galande explique «avoir été piégé» par le distributeur de The Palace. À la seule séance maintenue, des manifestants se sont présentés devant le cinéma. Ainsi que le distributeur, très mécontent."

Le Figaro poursuit : "«Je n’étais pas au courant de ces histoires autour de Polanski.» Le directeur du cinéma Studio Galande, dans le Ve arrondissement de Paris, Hicham Benmohammed, est l’unique professionnel qui avait programmé à Paris des séances du nouveau film de Roman Polanski, The Palace. Mais, dans l'après-midi, son directeur nous a annoncé qu'il déprogrammait finalement le film. Hicham Benmohammed assure ne pas être au courant des affaires judicaires de Roman Polanski. Il considère que c’est «une faute professionnelle», «faute d'inattention» de l’avoir programmé. Il explique même «avoir été piégé» par le distributeur qui lui «a bien vendu le film»." Le film a enregistré 45 entrées lors de cette projection parisienne unique.

Après avoir été sélectionné par le Festival de Venise hors compétition, en septembre dernier, The Palace est resté plusieurs mois sans distributeur français. Au point que d'aucuns s'interrogeaient sur la potentielle sortie en salle du film. C'est finalement la petite structure intitulée Swashbuckler, et
habituellement spécialisée dans la ressortie de films de patrimoine, qui s'est lancée dans le projet de sortir le film.

Dans un grand hôtel, le soir du 31 décembre 1999, à l'aube du nouveau millénaire, le destin croisé de plusieurs clients et du personnel de cet établissement situé dans les Alpes suisses.

The Palace est le 24e long métrage de Roman Polanski. Le tournage s'est déroulé en 2022, en Suisse, dans l'hôtel 5 étoiles Gstaad Palace. L'intrigue prend la forme d'un huis clos. Au casting, on retrouve parmi les personnalités les plus célèbres Fanny Ardant, John Cleese et Mickey Rourke. L'acteur allemand Oliver Masucci, ainsi que l'acteur portugais Joaquim de Almeida, complètent la distribution.

Déjà fraichement accueilli à Venise (Variety parlait d'un "silence de mort" dans la salle, comme le rappelle Le Parisien), The Palace arrive accompagné de critiques glaciales pour sa sortie française. Pour le journal 20 Minutes, c'est un "naufrage titanesque". "On en ressort avec l’impression démoralisante et poisseuse d’avoir assisté à un naufrage titanesque sans planche salvatrice et sans collier précieux. A l’image des blagues d’un vieux tonton qu’on a adoré quand on était enfant et qu’on fuit désormais lors de repas de famille trop arrosés, le film constitue une expérience douloureuse : il ne met pas en colère, il fait de la peine."

Du côté du Parisien, on résume ainsi : "À quoi ressemble ce film ? À une grosse meringue sucrée, étouffante, indigeste. (...) Jamais vraiment drôle, ce festival de cynisme et de vulgarité s’achève dans des débris de verres et de confettis et par un gros plan sur le chien de la marquise en train de sodomiser consciencieusement un pingouin".

Dans 20 Minutes, on peut également lire : "Même si on a été élevé dans le respect des chères têtes chenues et des grands cinéastes passés, on constate très (trop ?) rapidement que The Palace est un film de vieux messieurs libidineux un peu trop portés sur la scatologie et les blagues de fesses pas drôles qu’on ne devrait plus avoir envie de faire dans les années 2020."

Dans Première : "C’est un film si agressif, laid et misanthrope qu’on peut raisonnablement avancer que Polanski l’a conçu comme un doigt d’honneur. Un crachat, pensé pour exciter la colère de la foule cinéphile, l’acte sacrificiel d’un auteur qui, comme il sait qu’il ne quittera pas la scène sous les applaudissements, choisit d’encourager les huées."

The Palace de Roman Polanski, avec Fanny Ardant, John Cleese, Oliver Masucci, est sorti au cinéma le 15 mai 2024.

Comment se débarrasser de son patron aura son remake grâce à Jennifer Aniston

Après avoir joué dans la comédie Comment Tuer Son Boss ?, Jennifer Aniston va produire le remake de la comédie culte des années 80 Comment se débarrasser de son patron.

Cette comédie américaine sortie dans nos salles en 1981 suit Judy, Violet et Doralee incarnées alors par Jane Fonda, Lily Tomlin et Dolly Parton. Les trois femmes travaillent dans une importante société et toutes trois ont eu des problèmes avec Franklin (Dabney Coleman), leur chef. Elles ne pensent qu'à se venger. Elles concluent un pacte et unissent leurs forces afin de prendre une revanche sur les hommes et leur domination.

Le film de Colin Higgins a récolté 104 millions de $ au box-office mondial et est rapidement devenu culte. Devant le succès il a été adapté en sitcom sur ABC entre 1982-1983 et a même eu droit à une comédie musicale à Broadway en 2009.

Le film, qui figure dans la liste des 100 films les plus drôles de l'American Film Institute, va aujourd'hui avoir droit à un remake grâce à Jennifer Aniston. L'interprète de Rachel dans Friends va en effet produire la nouvelle version du long métrage qui a lancé la carrière de la chanteuse Dolly Parton.

En projet depuis six ans, l'adaptation semble enfin avancer puisque le scénario a été confié à Diablo Cody (Juno, Jennifer's Body, Tully).

En 2018, Jane Fonda avait confirmé qu'une suite à Comment se débarrasser de son patron était en préparation et que Lily Tomlin, Dolly Parton et elle devaient reprendre leurs rôles originaux. Mais l'année suivante, Dolly Parton annonçait à Entertainment Tonight que l'idée avait été abandonnée "Nous n'avons jamais réussi à obtenir un scénario suffisamment différent de celui du premier film, qui était si bon."

L'idée d'un remake plutôt que d'une suite a donc fait son chemin. Aucun nom n'a encore été annoncé pour le casting de cette nouvelle version, on ignore donc à date si Jennifer Aniston jouera également dans le film.

Netflix : Squid Game fera son retour à la fin de l'année

C’est une info surprenante et qui n’aurait peut-être pas dû sortir… Lee Jung-jae, l'acteur de Squid Game a indiqué que la deuxième saison de ce qui reste le plus gros succès de Netflix à ce jour arrivera sur la plateforme à la fin de l’année !

Celui qui incarne le valeureux Seong Gi-hun a indiqué que c'était la fenêtre de sortie prévue pour la nouvelle saison dans une interview avec Business Insider, dans le cadre de la promotion de sa prochaine série Star Wars : The Acolyte qui sera lancée le 4 juin.

Sur le tapis rouge, au moment de la présentation de The Acolyte, le journaliste lui a demandé s’il pouvait dire quelque chose au sujet de Squid Game. L'acteur a gardé les détails importants pour lui. "Ce sera diffusé en décembre", a-t-il simplement déclaré par l'intermédiaire d'un interprète.

La première saison, sortie en septembre 2021, est devenue un phénomène mondial – totalisant plus de 1,65 milliard d’heures de visionnage en 28 jours et reste à ce jour la série la plus regardée jamais réalisée sur Netflix.

La plateforme n'a pas encore officiellement communiqué la date de lancement de la deuxième saison, alors que le Netflix upfront se tenait ce mercredi 15 mai à New York. Mais pour corroborer la déclaration de Lee Jung-jae, on retient la confirmation de Ted Sarandos, le co-PDG de Netflix, qui avait parlé d’une diffusion au cours du second semestre 2024, selon The Hollywood Reporter.

Pour cette saison 2, on attend à présent le retour de Lee Jung-jae dans le rôle de Seong Gi-hun, Lee Byung-hun dans le rôle du Front Man masqué noir, Wi Ha-joon dans celui du policier Hwang Jun-ho et Gong Yoo dans le rôle resté assez mystérieux du recruteur.

Jodie Comer rejoint le casting du prochain film de Kenneth Branagh

La star de The White Princess et Killing Eve a un emploi du temps plus que chargé ! Après avoir annoncé sa participation à 28 ans plus tard de Danny Boyle et La Mort de Robin des Bois où elle jouera aux côtés de Hugh Jackman, Jodie Comer rejoint le casting de The Last Disturbance of Madeleine Hynde, le prochain film de Kenneth Branagh.

Selon Deadline, il s’agira d’un thriller psychologique contemporain, sans plus de détail. Kenneth Branagh s’allie aux producteurs qui l’ont soutenu avec Belfast – Oscar du meilleur scénario en 2022.

Aperçu récemment dans Oppenheimer, l’acteur et réalisateur britannique est connu pour ses adaptations littéraires comme Frankenstein, relecture libre de l'ouvrage de Mary Shelley avec Robert DeNiro, et ses films tirés des oeuvres de William Shakespeare (Beaucoup de bruit pour rien) et Agatha Christie (Le Crime de l'Orient-Express, Mort sur le Nil...).

En attendant d’en savoir plus sur ce projet, l’actrice de The Last Duel est à l’affiche de The Bikeriders, un film sur un gang de motard dans lequel joue également Tom Hardy et Austin Butler. Sa sortie est prévue le 19 juin.

Brad Pitt est accusé d’avoir détourné de l’argent du domaine viticole Château Miraval

Un divorce est rarement une partie de plaisir, mais les péripéties de celui de Brad Pitt et Angelina Jolie le font tourner vraiment vinaigre, sur fond de luxueux domaine viticole. Les tribunaux sont le cadre des échanges des ex-Brangelina, ou des échanges qui prolongent leurs précédents différends. Car l’histoire est à rebondissements depuis la demande de divorce déposée en 2016 par Angelina Jolie.

Au cœur de leur combat, Château Miraval, un château-bastide du XVIIe siècle et son domaine viticole de plus de 400 hectares, situé dans la commune de Correns, dans le Var, acheté par le couple quand il s’aimait encore. Mais voilà, la rupture consommée, Angelina Jolie a décidé de revendre ses parts (40 %) à l’oligarque russe Iouri Shefler. Celles-ci sont désormais détenues par Tenute del Mondo, une filiale du groupe Stoli spécialisée dans les vins et spiritueux premium.

Dire que Brad Pitt n’a pas apprécié la manœuvre et a tout fait pour s’y opposer est un euphémisme : il a porté plainte en juin 2023 contre cette vente au prétexte qu’un contrat liait les ex-époux qui ne pouvaient pas vendre sans le consentement de l’autre.

Or, c’est au tour de Tenute del Mondo de contre-attaquer. La société accuse l’acteur d’avoir détourné l’argent du domaine viticole au profit de ses autres entreprises, notamment le studio d’enregistrement Miraval (Brad Pitt a fait rénover le célèbre studio où Pink Floyd, Sting ou encore The Cure ont enregistré), une société de cosmétiques et une marque de gin développée avec des Français.

L’acteur, âgé de 60 ans, aurait, selon la plainte déposée au tribunal, « fait en sorte que des millions de fonds soient dépensés pour des projets qui lui profitent personnellement. Pire encore, Pitt a détourné les actifs de la société au profit de ses activités secondaires, notamment un studio d’enregistrement appelé Studio Miraval, une ligne de produits cosmétiques appelée Le Domaine et une marque de gin appelée The Gardener », peut-on lire dans les documents.

Des accusations lourdes, puisque ce procédé est tout à fait illégal et est désigné dans la loi française sous le terme d’« abus de biens sociaux ».

Les plaignants utilisent le terme de « vol » pour qualifier ce tour de passe-passe. Selon eux Brad Pitt et sa société Mondo Bongo ont détourné des fonds qui auraient dû revenir de droit à Tenute del Mondo. « Ce vol a mis des millions de dollars dans les poches des entreprises de Pitt et de Mondo Bongo, et a détourné à leur profit des dividendes et des remboursements de prêts qui auraient autrement été versés à Tenute, l’un des propriétaires ultimes de Château Miraval », affirme la plainte rapportée par TMZ, qui précise : « Pitt et Mondo Bongo ont fait de Château Miraval leur tirelire personnelle. Ils ont effectué une série de transactions en utilisant les fonds de Château Miraval qui ont privé Tenute des bénéfices et des remboursements de prêts auxquels elle a droit. »

Brad Pitt et ses avocats n’ont pas encore commenté ces nouvelles péripéties juridiques, mais l’ancienne société d’investissement d’Angelina Jolie avait déjà accusé l’acteur d’avoir « dépouillé » Château Miraval par des dépenses somptueuses jugées inutiles.

Festival de Cannes 2024 : « Vous êtes raciste, madame ? » s’étonne Omar Sy après la remarque d’une fan

C’est ce qui s’appelle perdre une occasion de se taire. Omar Sy est membre du jury du Festival de Cannes, qui s’est ouvert mardi, et se prêtait ce jour-là au jeu des autographes et des selfies sur la Croisette. Sur une vidéo publiée sur X et repérée par La Voix du Nord, on le voit signer plusieurs cartes avant qu’une femme lui demande une photo avec elle et son enfant. Et de rajouter : « Ça ferait bizarre avec mon blond aux yeux bleus, non ? » L’acteur tique immédiatement et demande à son tour « Pourquoi ça ferait bizarre ? » « Ça ferait un contraste intéressant », répond la mère. En s’approchant d’elle pour prendre des photos, Omar Sy lui demande « Vous êtes raciste, madame ? C’est quoi cette remarque ? » « Non, au contraire », se défend-elle.

Une scène bien gênante où on pourra quand même noter la classe de l’acteur, qui a gardé tout du long son sourire et son flegme, terminant même par un « la vie est belle » et par un petit mot à l’attention de l’enfant.