15 mars 2022

Disney+ : nouvelle bande-annonce pour la série Parallèles

Le 23 mars 2022, Disney+ mettra en ligne les 6 épisodes pleins de suspense, de mystères et d’aventures qui composent la série Para//èles, créée par Quoc Dang Tran (Marianne, Dix pour cent, Nox).

En attendant, c’est une nouvelle bande-annonce de ce show fantastique qui a été dévoilée par la plateforme. Des nouvelles images principalement centrées sur Romane et Victor, deux adolescents qui vont faire face à la soudaine disparition de leurs meilleurs amis lors d’une soirée d’anniversaire dans un bunker.

Ils vont alors grandir sans Bilal et Samuel, avant de trouver un moyen de remonter le temps ou plutôt de voyager entre deux univers, le leur et celui où ce sont eux qui ont disparu…

En attendant, c’est une nouvelle bande-annonce de ce show fantastique qui a été dévoilée par la plateforme. Des nouvelles images principalement centrées sur Romane et Victor, deux adolescents qui vont faire face à la soudaine disparition de leurs meilleurs amis lors d’une soirée d’anniversaire dans un bunker.

Univers parallèles, paradoxes temporels mais aussi histoires d’amour naissantes et relations parents-enfants, c’est tout ça et plus encore qui sera exploré au cours de cette série portée par Thomas Chomel, Omar Mebrouk, Jules Houplain, Jade Pedri, Naidra Ayadi, Guillaume Labbé, Maxime Bergeron, Victoria Eber et Timoté Rigault.

I Love America sur Prime Video : l'histoire vraie derrière le film avec Sophie Marceau

Pour nourrir ses films, la réalisatrice Lisa Azuelos s’est toujours inspirée de sa propre vie. Dans LOL et Mon Bébé, elle dépeint une relation mère-fille durant deux périodes bien distinctes et dans Une Rencontre, elle plonge dans une histoire d’amour extraconjugale. I Love America, son dernier long métrage, ne fait pas exception à la règle.

Cette fois, la réalisatrice s’intéresse à sa propre mère, la chanteuse Marie Laforêt. Comme dans sa comédie romantique avec Sophie Marceau, Lisa Azuelos est, elle aussi, partie aux Etats-Unis pour tenter sa chance. C’est d’ailleurs de cette manière que l’idée d’I Love America est née.

 “Quand je suis arrivée aux USA en septembre 2019, je pensais m’y installer et faire des séries comme réalisatrice. J’ai demandé mon visa de travail et je pensais ne plus rien avoir de personnel à dire, se remémore la cinéaste dans le dossier de presse. (...) Et puis, tout s’est déroulé comme dans le film. Je mettais en scène une comédie musicale sur le disco à New York et j’ai reçu un appel de ma sœur m’expliquant que ma mère allait partir. J’ai pris le premier avion pour Paris.”

Marie Laforêt décède trois heures après son arrivée en France, le 2 novembre 2019. Son projet d’écriture en Amérique change de façon radicale. “Je ne pensais pas que j’allais parler de mon enfance. Encore moins de ma mère, poursuit-elle. Au fur et à mesure de l’écriture, des flashbacks se sont imposés et j’ai compris que j’allais écrire sur le lien à l’amour.”

Elle précise : “Si on réfléchit bien, tous mes films ne parlent que de ça. Mais là, j’ai pu aller un peu plus loin car ma mère était partie, je n’avais pas peur de dire des choses intimes. J’en avais parlé avec elle mais je n’aurais pas osé faire ce film de son vivant je pense.”

Dans ses scènes de flashbacks, Lisa Azuelos exprime l’absence et le manque de cette mère à la fois difficile et célèbre. Elle conclut : “Les soins reçus, l’amour donné, l’amour manqué, la manière dont on a été touché ou pas, c’est ça qui fait l’empreinte de notre relation aux autres. Est-ce un lien de confiance ? De défiance ? D’amour ? De manque ? Je voulais décortiquer ce rapport à soi et aux autres, les liens du corps…”

Bande-annonce de Tokyo Vice

Dix ans après avoir réalisé le premier épisode de la série Luck avec Dustin Hoffman, Michael Mann revient à la télévision. Il met en scène le pilote de Tokyo Vice, un thriller de huit épisodes adapté d’une histoire vraie, celle d’un jeune journaliste américain qui va enquêter avec la police japonaise.

C’est Ansel Elgort, récemment vu dans West Side Story de Steven Spielberg, qui incarne le reporter Jake Adelstein. Ce dernier rejoint en 1993, à seulement 24 ans, la rédaction du Yomiuri Shinbun, le quotidien le plus vendu au monde. Quelques années après son arrivée dans la rédaction, il s’immerge dans le monde du crime organisé.

L’acteur japonais Ken Watanabe campe Hiroto Katagiri, un inspecteur chevronné qui va l'accompagner sur le terrain. Rachel Keller (Fargo, Legion) et la comédienne franco-suisse Ella Rumpf (Grave) sont également au casting.

La première bande-annonce promet une intrigue nerveuse, à l’image des œuvres qui ont constitué la carrière de Michael Mann. Légende du polar américain - on lui doit, entre autres, Heat et Collatéral -, le cinéaste n’avait pas tourné depuis Hacker, son thriller sorti en 2015.

Les trois premiers épisodes de Tokyo Vice seront disponibles le 7 avril prochain sur la plateforme américaine HBO Max. En France, la série débarquera sur Canal+. Aucune date de diffusion n’a été communiquée pour le moment.

Jujutsu Kaisen 0 : le Grand Rex réagit après des débordements pendant une séance

Le dimanche 13 mars, Le Grand Rex a organisé des séances en avant-première du long-métrage Jujutsu Kaisen 0, dont la sortie officielle est prévue le mercredi 16 mars. Les aficionados de la série phénomène étaient impatients de découvrir ce film, dont l'histoire se situe avant les événements de l'anime.

La célèbre salle de cinéma parisienne met régulièrement en place ce genre d'avant-première, qui suscite un engouement sans précédent depuis quelques années. Cet enthousiasme a déjà été constaté sur les films Dragon Ball Super Broly, Demon Slayer Le Train de l'Infini ou le récent My Hero Academia World Heroes Mission.

Malheureusement, une tendance très pénible s'est aussi révélée durant certaines séances de films d'animation de cette ampleur. Certains fans déchaînés gâchent le visionnage du long-métrage en se donnant en spectacle en train de crier, siffler, danser ou carrément se déshabiller.

Des débordements avaient déjà été constatés au Grand Rex sur des séances de Demon Slayer ou My Hero Academia. Ces comportements n'ont pas épargné Jujutsu Kaisen, comme l'ont déploré certains fans sur Twitter.

Des groupes de personnes assistent à ces séances dans l'unique but de les perturber et gâcher le plaisir des autres en se croyant dans un stade de football.

Ces débordements ont suscité une vive polémique sur les réseaux sociaux, les spectateurs accusant le Grand Rex de ne pas avoir agi pour calmer ces fans au comportement affligeant. Pire encore, cela serait encouragé par les salles afin de partager des vidéos virales vantant l'ambiance de ces avant-premières.

"On appelle "singe" ou "bandeur d'ambiance" ces fans qui "aiment partager le film et les émotions qu’il procure avec toute la salle". Ça passe par des cris lors de scènes 'hypantes', de combats intenses, de retournements de situation inattendus, ou par des exclamations lors de scènes assez choquantes", explique le twittos Spider-Younes sur BFM.

L'an dernier, ces fans survoltés avaient adopté un cri de ralliement qui avait fini par agacer. Ils s'amusaient à crier très fort "Eren Jäger" pendant les séances, en référence au héros de L'Attaque des Titans. Cette manie a fini par se tasser, laissant place à des scènes de liesse de plus en plus consternantes.

"Le fait d’avoir une série japonaise qui débarque sous forme de film dans un cinéma tel que le Grand Rex, ça reste un petit miracle, même en 2022", constate la vidéaste Marie Palot au micro de BFM.

"C’est une vraie reconnaissance pour cette communauté-là d’avoir un tel film projeté dans l'une des plus belles salles du monde. C’est aussi la promesse de découvrir les mêmes films que les Japonais", souligne la jeune femme, qui a été engagée pour animer l’avant-première de Jujutsu Kaisen 0.

"Parfois, on a juste besoin de dire le nom d'un personnage et les gens crient. Les fans de mangas et d'anime réagissent très facilement. On est l'allumette jetée sur un brasier déjà en feu. On va les surexciter à mort avant le film pour que peut-être ils soient calmes pendant la projection. Ou alors ce sera pire", précise-t-elle.

Ces comportements énervent en tout cas une très large majorité de fans, qui déplorent que cette minorité d'agitateurs jette le discrédit sur la communauté des amateurs de culture japonaise.

La grogne a d'ailleurs poussé le Grand Rex à réagir via un communiqué posté sur Twitter, promettant d'être plus ferme face à de tels agissements.

En attendant, Jujutsu Kaisen 0 débarque le 16 mars dans l'Hexagone. Le prochain phénomène animé sera Dragon Ball Super : Super Hero, dont la date de sortie française n'a pas encore été révélée. Suscitera-t-il de nouveaux débordements ou la tendance va-t-elle se calmer ? Réponse dans quelques mois.

Par ailleurs, ces comportements pénibles ont aussi été constatés pendant certaines projections de Spider-Man No Way Home. Des spectateurs confondaient cinéma et match de foot au moment où survenaient les scènes marquantes, comme l'apparition des trois Spider-Men. 

Uncharted interdit au Vietnam : pourquoi les autorités refusent le film avec Tom Holland ?

Sorti le 16 février dernier, Uncharted met en scène Tom Holland dans le costume de l'aventurier Nathan Drake. Réalisé par Ruben Fleischer, le film a remporté un succès modéré, récoltant 300 millions de dollars à l'international pour un budget de 120 millions.

Le long-métrage devait parvenir jusqu'au Vietnam le 18 mars, mais le gouvernement en a décidé autrement. Pourquoi les autorités du pays ont-elles fait volte-face et interdit cette oeuvre ?

"Au cours de l’examen du film, le Conseil national d’évaluation et de classification a découvert qu’une image de la ligne en neuf traits apparaissait dans le film. Par conséquent, ce film sera interdit de projection", a expliqué le directeur du Département du cinéma vietnamien, Vi Kien Thanh, au média d’État Zing.

Mais c'est quoi la "ligne en neuf traits" ? Il s'agit d'une délimitation géographique qui concerne la Chine. Elle est aussi surnommée la "langue de bœuf" à cause de sa forme. Elle définit les revendications de Pékin sur les eaux de la mer de Chine méridionale.

Le gouvernement de Hanoï n’est évidemment pas d’accord avec ces revendications chinoises. Cette image présente sur une carte dans le film a donc poussé les autorités à l'interdire. Une mesure drastique, qui démontre bien les vives tensions entre l'Empire du Milieu et le Vietnam.

Les deux pays se disputent notamment au sujet des îles Paracels et Spratleys, nommées Hoang Sa et Truong Sa par les vietnamiens.

Par ailleurs, dans les commentaires de la page Facebook officielle d'Uncharted, des internautes en colère ont laissé des commentaires tels que "Hoang Sa Truong Sa appartient au Vietnam !".

Ce plan sera-t-il censuré, permettant à l'oeuvre de sortir dans ce pays ? Rien n'est moins sûr pour le moment tant la discorde est brûlante entre les deux contrées.

14 mars 2022

Pinocchio avec Tom Hanks : une première photo dévoile Geppetto et le pantin dans la version live

Dix-huit ans après Le Pôle express, Tom Hanks retrouve Robert Zemeckis pour l’adaptation en prises de vues réelles de Pinocchio. C’est la quatrième fois que l’acteur et le réalisateur travaillent ensemble. Dans ce nouveau projet, la star deux fois oscarisée prêtera ses traits à Geppetto, le célèbre sculpteur et créateur d’un pantin plus vrai que nature.

Alors que la sortie se rapproche, le studio Disney a révélé le premier cliché du film, qui devrait parler aux fans de la première adaptation, sortie en 1940 :

Cette photo met en scène l’artiste face à sa création dans son atelier. Un détail n’échappera pas aux connaisseurs : le jeune héros, encore inanimé, est identique à sa version animée. Même chapeau et mêmes vêtements.

Cette ressemblance s’inscrit dans la volonté du studio de sortir des films live action qui se rapprochent le plus possible des classiques animés de Disney. Ce projet d’adaptation sort la même année qu'un autre film concurrent, le Pinocchio coréalisé par Guillermo del Toro et Mark Gustafson, prévu quant à lui pour la plateforme Netflix.

Guerre en Ukraine : Benedict Cumberbatch veut accueillir des réfugiés ukrainiens chez lui

Benedict Cumberbatch a un message pour ceux qui pensent que les stars sont déconnectées de la réalité et des problèmes de ce monde. Alors qu’il était sur le tapis rouge des BAFTA ce dimanche, le comédien, nommé dans la catégorie du Meilleur Acteur (qu’il n’a pas remportée, d’ailleurs), portait un badge aux couleurs de l'Ukraine. Interrogée sur ce symbole de soutien au pays envahi par la Russie, la star de Sherlock a annoncé qu’il comptait s’impliquer directement pour aider les populations affectées par le conflit.

« C’est une période vraiment choquante pour un Européen qui se trouve à deux heures et demie de vol de l’Ukraine, et c’est quelque chose qui pèse sur nous également. Nous devons tous faire plus que porter un badge », a-t-il annoncé dans une interview relayée par Reuters.

Comment Benedict Cumberbatch compte-t-il aider ? En prenant part à l’initiative mise en place par le gouvernement de Boris Johnson, qui consiste à encourager les Britanniques à accueillir chez eux des réfugiés Ukrainiens contre un dédommagement de 350 livres sterling par mois, soit environ 416 euros.

« Nous devons faire des dons, nous devons faire pression sur nos politiciens pour qu’ils continuent à créer une sorte de sécurité pour les réfugiés et un refuge ici pour les personnes qui souffrent. Chacun doit faire tout ce qu’il peut… Il y a eu un nombre record de personnes qui se sont portées volontaires pour accueillir des personnes chez elles, et j’espère en faire partie », a assuré l’acteur.

Un site Internet, pour permettre aux membres du public ainsi qu’aux associations caritatives de se porter volontaires pour accueillir des réfugiés, doit être mis en place dès aujourd’hui au Royaume-Uni. D’après la BBC, plus de 2,5 millions de personnes ont déjà quitté l’Ukraine depuis le début du conflit.

BAFTA 2022 : le palmarès

Will Smith a remporté le prix du meilleur acteur, pour son rôle dans La Méthode Williams.

Ariana DeBose est repartie avec celui du Meilleur second rôle féminin pour West Side Story.

Troy Kotsur a décroché le prix du Meilleur second rôle masculin pour Coda (le remake de La Famille Bélier) devenant le premier acteur sourd ainsi honoré. Coda remporte aussi le prix du Meilleur scénario adapté.

Paul Thomas Anderson repart avec le prix du meilleur scénario original pour Licorice Pizza.

Drive My Car, du Japonais Ryusuke Hamaguchi, est sacré Meilleur film en langue étrangère.

Encanto est couronné Meilleur film d'animation.

Dune décroche la plupart des prix techniques dont celui des Meilleurs effets visuels.

Samuel L. Jackson s'en prend aux cinéastes qui dénigrent les films Marvel

Samuel L. Jackson a mis un bon tacle bien senti à Martin Scorsese, Francis Ford Coppola et les cinéastes cultes hollywoodiens, qui ont multiplié les attaques contres les films de super-héros ces dernières années.

Membre permanent du Marvel Cinematic Universe depuis 15 ans, Samuel L. Jackson est le Nick Fury des Avengers, personnage qu'il reprendra dans la série Disney Plus Secret Invasion. Alors il monte au créneau pour défendre ses super-camarades : "Un film est un film. Les films Marvel, ce sont les films que j'allais voir quand j'étais enfant", développe-t-il dans l'émission The View. "Le talent artistique, celui qui permet de faire un film, c'est quelque chose qui a été un mystère pendant très longtemps. Mais ce n'est plus un mystère. Les enfants savent comment faire des films sur leurs téléphones aujourd'hui. Alors c'est facile pour ces réalisateurs de mépriser ces films-là, juste parce que les gens ne vont pas voir leurs films..."

Dans son analyse, Samuel L. Jackson estime que le cinéma a toujours été comme ça, composé de films de divertissement et de films plus sérieux, et que Marvel n'a rien à se reprocher en la matière : "On dirait qu'ils disent que les gens sont comme abrutis par ces films. Mais ça a toujours été un peu comme ça ! Quand j'étais plus jeune, les gens allaient voir des films de cow-boys, et ils allaient voir des films de super-héros d'un autre acabit. ils regardaient des super-héros à la télévision. Lorsque vous faisiez des films plus sérieux, c'était pour un public de niche. C'est toujours la même chose aujourd'hui. La plupart des gens vont au cinéma pour se sentir mieux et sortir de leur quotidien."

L'acteur de 73 ans conclut : "Les gens vont dans les salles obscures pour passer un bon moment. C'est un sacré bon moment. Vous riez ensemble et criez ensemble. Je fais toujours des films que j'aurais aimé aller voir quand j'étais enfant..."

Mort de l'acteur William Hurt

William Hurt est décédé ce dimanche 13 mars, à l'âge de 71 ans. Acteur prolifique et inclassable, il a baladé sa haute silhouette du cinéma d'auteur aux blockbusters avec la même élégance. Si sa famille évoque des "causes naturelles" pour expliquer sa disparition, il semble que le comédien soit mort du cancer contre lequel il luttait depuis plusieurs années.

Étudiant en théologie à Londres et à Boston, puis en comédie à la fameuse Ecole de Juilliard, William Hurt débute sa carrière sur les planches à la fin des années 70, puis passe au grand écran dans Au-delà du réel de Ken Russell en 1980.

Très vite, il se plonge dans des oeuvres contemporaines au scénario alambiqué comme L'Oeil du témoin (1981) de Peter Yates, La Fièvre au corps (id.) de Lawrence Kasdan ou encore Gorky Park (1983) de Michael Apted. Fidèle au cinéaste Lawrence Kasdan, pour qui il tourne Les Copains d'abord (1983) et The Accidental tourist (1988), William Hurt passe au drame avec Les Enfants du silence (1986).

Sa prestation dans Le Baiser de la femme-araignée lui vaut l'Oscar du Meilleur acteur ainsi que le Prix d'interprétation masculine du Festival de Cannes 1985. William Hurt se retrouve également devant la caméra de Woody Allen pour Alice (1990). Les années 90 le voient se tourner vers un cinéma plus cérébral avec Smoke de Wayne Wang en 1994, Jane Eyre de Franco Zeffirelli et Un divan à New York de Chantal Akerman en 1996.

William Hurt s'essaie triplement à la science-fiction en s'illustrant dans les futuristes Dark City (1996) d'Alex Proyas, Perdus dans l'espace (1998) de Stephen Hopkins et A.I. Intelligence artificielle (2001) de Steven Spielberg.

Dès lors, l'alternance entre cinéma commercial et oeuvres plus intimistes se poursuit : Le Village (2004) de M. Night Shyamalan et A history of violence de David Cronenberg dans la première catégorie, Au plus près du paradis (2002) de Tonie Marshall, aux côtés de Catherine Deneuve, et The King (2005), dans la seconde.

Il s'applique à orienter sa carrière selon ces deux directions, avec notamment Into the Wild (2007) de l'engagé Sean Penn mais aussi L'Incroyable Hulk (2008) du Français Louis Leterrier. Son personnage, le Général Thaddeus E. Ross, deviendra l'une des figures récurrentes du MCU, apparaissant régulièrement jusqu'à Black Widow, en 2021.